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30 juillet 2009 4 30 /07 /juillet /2009 01:40

Ce blog figure au TOP des blogs, comme R-sistons à l'intolérable (190e/950.000) et R-sistons à la désinformation


Article à lire absolument !
La Chronique Agora

Le XXIème siècle devra faire

face à 3 défis majeurs...

ou il ne sera pas !

Il y a urgence !


Certains l'ont bien compris :

ils préparent dès aujourd'hui leurs profits de demain
en investissant dans les secteurs ultra-prometteurs
qui relèveront ces
3 challenges clés pour l'avenir

Qu'attendez-vous pour les rejoindre ?

 

Cher Investisseur,

Imaginez-vous un instant en 1880, en pleine révolution industrielle.

Partout, de nouveaux secteurs apparaissent. Le chemin de fer, en pleine expansion, est en recherche permanente pour améliorer ses rails ou ses engins. Par ailleurs, la situation géopolitique, de plus en plus tendue, pousse les pays nouvellement industrialisés à se lancer dans une course effrénée à l'armement.

Dans ces conditions où les bouleversements se mêlent aux innovations, un secteur commence à se démarquer : la sidérurgie. Cette année là, la France, la Belgique, le Luxembourg et l'Allemagne produisent à eux quatre 1 220 000 tonnes d'acier.

Mais ça n'était qu'un début... car en 1913, la production d'acier industrielle était passée à 27 400 000 tonnes ! Soit une hausse de la production de +2 146% !

Quelques investisseurs de l'époque avaient eu du nez... et s'étaient positionnés bien au début de cette tendance spectaculaire. Certaines des plus grandes fortunes industrielles du 20ème siècle ont été fondées sur le secteur sidérurgique -- et sur les changements majeurs induits par la révolution industrielle.

Maintenant, avançons un peu dans le temps : vous êtes en 1997 ...

Le modèle du World Wide Web a fait son apparition sept ans plus tôt et Internet est en train de devenir un phénomène de masse. 10 000 000 ordinateurs sont déjà connectés -- mais, comme le démontrera la suite, ce n'est qu'un début ! Des flux d'informations de toutes sortes envahissent la toile.

Aujourd'hui, je suis sûr que faire une recherche précise sur internet vous semble un jeu d'enfant. Mais en 1997, ces nouvelles technologies de l'information constituent un vaste bouleversement des habitudes et effectuer une recherche qui mène où on le souhaite n'est pas chose si aisée que ça.

Larry Page et Sergey Brin, deux étudiants de l'université Stanford, l'ont bien compris ! C'est dans leur petit laboratoire de l'université qu'ils mènent leurs premières recherches en 1996. Ils cherchent un moyen de classer ce flot de données en fonction des demandes des internautes. Et ils le trouvent !

Comment ? En créant un système révolutionnaire de classement de l'information sur la toile !

Et leur système révolutionnaire s'est rapidement imposé comme le meilleur moteur de recherche qui réponde à ce nouveau besoin de précision et de rapidité des citoyens modernes.

Je pense que vous l'aurez compris, cette petite start-up née de presque rien n'est autre que... Google.

Mais ce que je veux maintenant vous dire, c'est qu'au-delà de créer une formidable invention, cette aventure a également rapporté beaucoup à ses inventeurs :

En 2007, Forbes classait Larry et Sergey à la 5ème place de son classement des plus grandes fortunes de la planète, avec 18,5 milliards de dollars.

Ces deux compères ne sont pas les seuls à en avoir profité, les actionnaires qui ont su voir en Google une société d'avenir aussi, comme vous verrez avec les chiffres qui suivent... et qui parlent d'eux-mêmes !

Introduite en Bourse en 2004 à 80 $, un an plus tard l'action Google cotait... 250 $ ! Fin 2007, elle avait grimpé à 700 $.

Et en seulement trois ans, vous auriez réalisé une plus-value de +775% ! -- juste en ayant fait preuve d'un peu de flair... et en anticipant les nouveaux besoins d'information des populations.

Si je vous parle de ces deux exemples, c'est pour vous montrer que les investisseurs vraiment prospères -- ceux qui engrangent de véritables fortunes, solides et durables dans le temps -- savent anticiper et comprendre les bouleversements que le monde connaît en permanence.

Aujourd'hui, au XXIème siècle, ces bouleversements sont plus importants que jamais. De nouveaux besoins bien différents apparaissent. Et pour les satisfaire, il faudra relever trois défis que je vais d'ailleurs vous faire découvrir un peu plus loin. Ce que je peux vous dire avec certitude dès maintenant, c'est que les investisseurs qui s'intéresseront à ces besoins d'un nouveau genre pourront réellement assurer leur avenir financier, tout en contribuant à relever des défis vitaux pour l'humanité.

Mais, croyez-moi, il faut agir vite !

Car plus vous investirez tôt dans les quelques entreprises à même de relever ces 3 défis du XXIème siècle – qui vont connaître un développement sans précédent au cours des prochaines années – plus vos profits seront importants.

Certains investisseurs l'ont déjà compris et ils en profitent : vous avez aujourd'hui les moyens de les rejoindre. Mais, j'insiste, vous devez faire vite -- car les cours de ces sociétés ont toutes les chances de grimper très vite... mais aussi et surtout très haut !

Et vous allez comprendre pourquoi dans un instant...

 


Pas de plan B pour l'humanité


Je ne suis pas en train de jouer les Cassandre ou les oiseaux de mauvais augure ; je me contente de constater des faits objectifs et concrets. Des faits que vous devez intégrer à votre mode de fonctionnement, en tant qu'investisseur, si vous ne voulez pas être emporté par la vague qui menace de nous engloutir. Et je voudrais vous y aider.


Voyez-vous, l'équilibre mondial est en train de changer. D'un côté, le monde développé n'est pas prêt à renoncer à son mode de vie. De l'autre côté, le monde émergent veut rattraper son retard... mais aussi égaler voire surpasser le mode de vie occidental.

Le problème, c'est que les ressources terrestres sont limitées. Il n'y aura pas assez pour tout le monde. Dans un tel scénario, les conflits religieux et politiques ne vont pas disparaître, mais vont plutôt être canalisés en affrontements dont l'enjeu sera les meilleures sources d'eau, d'énergies, la nourriture, les terres habitables.


Nous vivons en ce moment une redistribution complète des cartes planétaires : la géopolitique du pétrole et du gaz qui a dominé les 60 dernières années est en train d'être peu à peu remplacée par une géopolitique de la survie : les luttes pour le pétrole et le gaz seront intégrées à une sorte de "super-conflit" comprenant aussi des ressources vitales comme la nourriture (cultures et élevage) et l'eau.

Comme d'habitude, les pays les plus démunis seront en première ligne. Mais les pays plus avancés et plus riches ne seront pas épargnés. Les guerres pour l'accès aux ressources vitales vont devenir un phénomène global.

 

La base du problème est ultra-simple : le premier milliard d'êtres humains sur la planète a été atteint vers 1800 -- il a fallu des centaines de milliers d'années pour y parvenir. Mais pour doubler ce chiffre, il n'a fallu que 130 ans -- en 1930, la Terre comptait deux milliards d'habitants.


Depuis, le processus s'accélère de manière fulgurante : 30 ans pour passer à 3 milliards... 14 ans pour arriver à 4 milliards... 13 ans pour passer à 5 milliards... et 12 ans pour arriver aux 6,7 milliards d'êtres humains que nous sommes aujourd'hui.


A ce rythme, en 2023, nous serons 8 milliards d'êtres humains sur notre bonne vieille planète. Or huit milliards, selon certaines estimations, c'est la population maximum que la Terre puisse supporter. D'autres chiffres, plus optimistes, estiment qu'une stabilisation démographique se fera vers 10 à 11 milliards.

Mais qu'on parle de huit milliards ou 11 milliards... ça ne change rien à la réalité actuelle des faits : les capacités de production de notre Terre sont non-renouvelables et limitées -- je dirais même qu'elles sont en voie d'épuisement... et puisqu'on ne peut pas encore s'installer sur Mars ou sur la Lune... il n'y a pas de plan B pour l'humanité.

Je le répète : je ne suis pas un oiseau de mauvais augure, et je ne me délecte pas de la misère du monde.

Même si j'estime que les conflits sont inévitables, je suis sûr que l'humanité porte en elle les solutions de sa subsistance. Des solutions existent déjà, ou seront découvertes au fil des ans.

Le problème, c'est... combien de temps prendront-elles à mettre en place ? Et quels dégâts nous faudra-t-il subir en attendant ?


Comme le dit Bruno Parmentier, professeur à l'Ecole Supérieure d'Agriculture d'Angers et auteur du livre Nourrir l'humanité :

"Ne croyons surtout pas qu'il suffise de faire le dos rond quelque temps : le problème est structurel. En 2050, il y aura 10 milliards d'êtres humains sur la planète. Or nous aurons, pour les nourrir, moins de terres, moins d'eau, moins d'énergie et moins de chimie. En 1960, nous étions seulement deux habitants pour nous partager un hectare de culture. En 2050, nous serons six".

D'autres chiffres font froid dans le dos :

  • Depuis quelque temps, l'organisation Global Footprint Network calcule tous les ans le Earth Overshoot Day -- c'est-à-dire le jour qui marque, chaque année, le moment où l'humanité commence à vivre au-dessus de ses moyens écologiques. En 2008, il s'est produit le 23 septembre : cela signifie que sur l'ensemble de 2008, l'humanité a utilisé environ 40% de plus que ce que la nature peut régénérer sur la même année. Et ce déficit de ressources va en s'approfondissant.

  • Si l'Occident consomme la majorité de la production mondiale, les pays émergents s'y mettent aussi : la Chine aspire déjà à elle seule 5% du total des échanges mondiaux dans le secteur des céréales. Elle est le premier importateur mondial de soja... le deuxième de riz... le quatrième de lait en poudre... le cinquième de volaille... et ça continue.

  • Sans compter que -- paradoxe de la course aux énergies de substitution -- les biocarburants viennent désormais perturber les marchés de l'alimentation ! Ils consomment des quantités astronomiques de céréales -- ce qui a déjà provoqué des troubles sociaux dans des pays comme le Mexique. 65 millions de tonnes de maïs ont ainsi été détournés de leur utilisation alimentaire pour terminer dans des réservoirs de voitures aux Etats-Unis -- un chiffre qui devrait doubler dans les trois prochaines années.

Un chiffre résume bien la situation : en l'état actuel des choses, pour nourrir tout le monde, il faudrait que la production agricole double tous les 10 ans !


Partout dans le monde, les fermiers, les paysans et les agriculteurs se sont donc lancé donc une véritable course au rendement pour parvenir à nourrir l'humanité. Et sur cet immense secteur aux débouchés spectaculaires, des profits considérables seront au rendez-vous... notamment dans un segment bien particulier du marché.

 

Arrivez en tête de la course au rendement
avec les engrais agricoles !

N'y allons pas par quatre chemins : pour arriver à nourrir encore plus de monde dans les années à venir, il va falloir produire plus. Comment ? Eh bien... une partie de la réponse passe par l'engrais.

Eh oui, pour augmenter les rendements, rien de tel qu'un engrais adapté à la nature du sol, au type de culture, etc.

Ce n'est pas écologique ? Tant pis ! Pour augmenter le rendement, tout est bon... surtout aux Etats-Unis, où les agriculteurs ont de l'argent à dépenser, étant donné le cours des céréales ces derniers temps. Ils sont donc près à investir... et certaines entreprises sont parfaitement positionnées pour vous faire profiter de cette ruée vers la productivité agricole.

Tous les ingrédients sont réunis pour que le secteur des engrais vous permette de doubler votre investissement dans les mois qui viennent. Dans quelques instants, je vous dirai comment en faire profiter votre portefeuille -- d'autant que ce secteur n'est pas le seul qui vous permettra de profiter de la hausse des matières premières agricoles : là encore, quelques sociétés et fonds d'investissement bien particuliers pourraient faire décoller vos profits alors que la crise économique lamine la majorité des industries "classiques".

 

Un visionnaire au service de
vos investissements

Mais je me laisse un peu emporter ! Je m'aperçois que je ne me suis même pas présenté... Mon nom est Jean-Claude Périvier.Depuis toujours, je m'intéresse aux grandes tendances qui font évoluer le monde, l'économie et la société.

On peut dire que j'ai su appliquer ce sens affûté de l'anticipation dans ma vie quotidienne, puisque je me suis intéressé très tôt au secteur de l'informatique -- bien avant qu'il ne devienne un incontournable de l'économie. J'ai ensuite fondé une SSII, toujours avec une bonne longueur d'avance sur le marché. Je me suis également impliqué dans des activités d'intelligence économique.

Parallèlement, dès 1986, je me suis intéressé à la Bourse. N'étant de loin pas satisfait des placements que me proposait mon banquier... j'ai décidé de prendre les choses en main moi-même. Cela m'a réussi à tel point que mon entourage n'a pas tardé à me demander des conseils ! J'ai donc élargi mon champ d'action en lançant ma propre lettre boursière, de circulation très confidentielle à l'époque.

J'ai bien conscience que mon parcours est assez éclectique... mais que voulez-vous, ça me passionne !

Voir comment les fondamentaux planétaires se modifient... prévoir quels secteurs, quelles entreprises, quelles tendances vont se développer -- et lesquelles vont disparaître... dénicher LA perle parfaitement positionnée qui rapportera des gains à deux, voire trois chiffres... observer de quelle manière l'humanité avance et progresse... j'ai ça dans le sang.

Alors quand les Publications Agora sont venues me trouver en me proposant de lancer un service basé exactement sur ce principe... je n'ai pas hésité une seconde. Parce que plus qu'une affaire de gains, c'est une affaire de passion. Et cette passion, ces connaissances, ce sens de la Bourse... je me propose de les mettre à votre service, mois après mois et semaine après semaine... pour vous aider à détecter des opportunités comme celles que je viens de vous décrire.

Le nom de ce service, c'est Défis & Profits. Et je suis convaincu qu'il pourra vous aider non seulement à faire face aux bouleversements qui se préparent... mais bien à en profiter.

Permettez-moi de vous redire que je ne suis pas un vendeur d'apocalypse. Il existe des moyens de vous en sortir -- et même de vous en sortir avec des gains qui peuvent aller jusqu'à 250% grâce à mes recommandations. Mais vous devez vous protéger, et vous devez le faire MAINTENANT.

Parce que l'alimentation n'est pas la seule menace qui pèse sur l'humanité... Un autre facteur déclencheur de conflits -- liquide, celui-là -- se fait de plus en plus pressant.

 

La ressource qui fera couler
plus de sang que le pétrole


La demande pour cette ressource aussi unique qu'indispensable ne cesse d'augmenter. Et contrairement au pétrole, il n'y a pas de produit de substitution. C'est pourquoi la grande affaire des nations au 21ème siècle sera la capacité d'en maîtriser l'approvisionnement et la gestion.

Vous l'aurez deviné, je veux parler de l'eau. Et dans ce domaine, la situation est bien plus grave qu'on l'imagine.

En fait, paradoxalement, la planète ne manque pas de liquide ; après tout, 70% du globe est composé d'eau.

Ce qui manque cruellement, par contre... c'est de l'eau propre. Potable, sans danger pour l'être humain. Seule 2,5% de l'eau sur Terre est potable -- et encore, sous forme de glaciers et d'icebergs. Résultat : un tiers de la population mondiale n'a pas accès à l'eau propre. A côté de cela, 20% de la population mondiale (c'est-à-dire nous) consomme et gaspille cette ressource naturelle pour laquelle d'autres se battent et meurent.

Ce ne sont pas des paroles en l'air :

  • La moitié des lits d'hôpitaux, dans le monde entier, est occupée par des gens souffrant de maladies liées à l'eau impropre. Les décès dans le monde à cause de l'eau contaminée, quelque soit la cause, sont supérieurs aux décès dus au SIDA ou au cancer. En fait, l'eau contaminée tue plus de personnes que les guerres mondiales du 20ème siècle !

  • Plus d'un tiers de la population mondiale n'a pas accès à une bonne hygiène : un milliard d'hommes sont touchés chaque année par une maladie liée à la qualité de l'eau.

  • Selon les Nations Unies, si la tendance actuelle en consommation d'eau se poursuit, dans moins de 25 ans, cinq milliards d'êtres humains (soit la majorité de la population planétaire) vivront dans des zones où il sera impossible de satisfaire les besoins de base pour boire, cuisiner et assurer l'hygiène minimum.

 

L'or bleu : un élément vital pour la planète...
et pour vos investissements


Croyez-moi, qu'on le veuille ou non, nous sommes tous concernés par la raréfaction et la dégradation de l'eau -- directement ou indirectement. Là encore, c'est un facteur que vous devez prendre en compte dans votre stratégie d'investissement, parce que ce bouleversement, comme tous les bouleversements, fait naître des opportunités à côté desquelles il ne faut pas passer.

En effet, en tant que ressource non-substituable, l'eau est essentielle à la vie sur Terre. Et je ne parle pas uniquement de votre litre d'eau quotidien. "L'or bleu" est vital pour entretenir quasiment toutes les formes de vie sur terre. Il est essentiel pour l'agriculture, l'industrie, le nettoyage, les conditions sanitaires, etc.

Nous n'en sommes qu'au début, mais l'eau douce de surface deviendra de plus en plus un enjeu stratégique à mesure qu'elle se fera rare.

Pour les pays avancés, l'eau est un problème majeur en termes de changements climatiques, de pollution, de vieillissement des réseaux et de pertes d'exploitation.

Pour les pays du Tiers-Monde, la pénurie d'eau est mortelle.

Pour les pays en développement, c'est une situation de crise, car le  manque d'eau propre engendre des maladies et des décès qui freinent le développement économique.

Et dans la lutte pour l'or bleu, tous les coups sont permis.

 

Après la Guerre du Feu...
la Guerre de l'Eau ?


On pourrait tout à fait envisager de voir un jour des pays réduire leurs "exportations d'eau" comme le fait déjà la Russie pour le gaz ou le pétrole, afin d'exercer une pression politique ou un chantage sur d'autres pays dépendants.

Sans faire un mauvais roman d'anticipation, que se passera-t-il vraiment si un jour la pénurie d'eau douce issue des lacs, des rivières, des glaciers, des nappes souterraines, met en péril la survivance de populations entières ?

A l'autre bout du globe, le Groenland, propriété du Danemark, donc de l'Europe, se voit convoité par les Russes, les Américains et les Canadiens. Certes en raison de ses richesses supposées  en pétrole et en gaz, mais aussi en raison de la quantité énorme d'eau douce que renferment ses glaciers.

Il ne fait aucun doute que des conflits, même entre "bons voisins" (Mexique, USA) se produiront à l'échéance d'une décennie. Si tôt ? Oui, car il y a urgence !

Rappelez-vous qu'une guerre russo-chinoise a failli se produire au sujet du fleuve Amour, et pas uniquement parce qu'il s'agissait d'une frontière naturelle... mais aussi pour son exploitation.

Autre point essentiel : l'eau n'est pas une matière première comme une autre -- il n'y a pas de produit de substitution, et surtout, elle est décorrélée des autres matières premières (contrairement à l'or et au pétrole, ou à l'argent par exemple). Elle est également décorrélée des devises dans son utilisation primaire.

Cela en fait un secteur d'investissement de premier plan sur le moyen/long terme. Comme les matières premières soft, le prix de l'eau est tiré par la croissance inexorable de la population mondiale, à laquelle il faut ajouter l'élévation globale du niveau de vie.

Purifier, filtrer, transporter, stocker, distribuer et même embouteiller l'eau seront des activités de plus en plus importantes dans l'économie mondiale. Et qui prendront de plus en plus de valeur.

Les pays dépenseront des milliards de dollars au cours des deux prochaines décennies afin d'installer et d'améliorer les infrastructures de traitement et de distribution d'eau. Les Etats-Unis à eux seuls dépenseront 1 000 milliards de dollars au cours de cette période afin d'améliorer leur infrastructure qui se détériore.

Pour vous aider à profiter de cette tendance qui se développe à vitesse exponentielle, vous retrouverez régulièrement dans Défis & Profits mes meilleures recommandations sur le secteur de l'eau -- sous toutes ses formes : entreprises bien entendu, mais aussi ETF, SICAV... Je vous révélerai tous les détails dans Défis & Profits : je vous dirai comment en profiter, à quel moment entrer dans le marché et bien sûr quand solder votre position. Je vous expliquerai dans quelques lignes comment bénéficier de mes recommandations, mais pour l'instant, intéressons-nous à une nouvelle tendance de fond qui pourrait vous permettre de récolter de coquets profits...

 

Votre poubelle vaut de l'or !

Nos sociétés assoiffées de consommation produisent de plus en plus de déchets -- et les pays émergents sont en train de nous rattraper dans ce domaine aussi :

  • Rien qu'en France, on produit pas moins de 600 millions de tonnes de déchets. Au niveau individuel, le poids des déchets est passé de 217 kg/habitant/an en 1975 à 373 kg en 2000... et environ 450 kg aujourd'hui ! Vous et moi, nous rejetons en moyenne chaque année six fois notre poids !

  • Dans l'ensemble, selon une étude CyclOpe/Veolia, le gisement de déchets collectés dans le monde atteint 2,5 milliards de tonnes par an. Autrement dit, la société actuelle produit chaque année à peu près autant de déchets que de céréales ! Vertigineux...

  • Bien entendu, ces déchets varient selon les zones géographiques. Plus les pays sont riches... plus ils consomment... plus cette consommation est chargée d'emballages... et plus ils rejettent. Ainsi, un Américain produit en moyenne 700 kg de déchets par an contre 150 kg pour un Indien.

Vous vous en doutez, à mesure que les pays émergents se développeront, la quantité de déchets augmentera. Et ces déchets... il faudra bien les traiter et les recycler.

Je ne vais pas m'étendre trop longtemps sur la question : sachez simplement que globalement, les marchés des matériaux issus de la récupération progressent et s'internationalisent. Ils pèsent actuellement plus de 600 millions de tonnes, emploient 1,5 million de personnes et représentent un chiffre d'affaires de 160 milliards de dollars.

Pas question de passer à côté d'une telle opportunité ! Voilà pourquoi je donne à ce secteur une place de choix dans le portefeuille de Défis & Profits -- avec des recommandations triées sur le volet et qui vous permettront de profiter pleinement de cette industrie en plein développement. J'ai notamment l'oeil sur quelques sociétés saines et bien gérées, mais qui ont été injustement entraînées à la baisse durant la débâcle actuelle : pour vous positionner à bon compte... le moment est donc idéal !


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