12h00
PARIS (NOVOPress Aquitaine) -
Quand la SNCF se débarrasse de son sous-traitant en gardiennage Vigimark (par ailleurs, en liquidation judiciaire), au prétexte qu’il employait des clandestins, l’entreprise française donne le marché à une autre société de gardiennage à la condition expresse de reprendre tous les employés de la précédente, y compris…les clandestins. Précisons à toutes fins utiles que l’enquête initiée par le syndicat Sud Rail, suite à la découverte en novembre 2008, de salariés clandestins, a mis à jour le fait que ceux-ci s’étaient fait embaucher sous de fausses identités.
C’est à n’y rien comprendre, mais attendez. Car, il est amusant de savoir que lorsque Vigimark avait été choisi en 2005 pour succéder à la société MAGG (également en liquidation judiciaire à ce moment là), elle-même avait été contrainte de reprendre les marchés dans des conditions identiques.
Autrement dit, des travailleurs clandestins collaboraient déjà avec la SNCF , et ce, bien avant 2005. Et la SNCF avait obligé Vigimark à les reprendre à son service.
Autrement dit, c’est avec la bénédiction de la SNCF et donc de l’Etat, que sont embauchés des clandestins ; interdisant par là même occasion, des centaines de français d’accéder à des emplois. Car on le sait, mais il faut le rappeler, un français n’est pas du tout compétitif par rapport à un clandestin.
CQFD
[cc] Novopress.info, 2008, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d’origine
[http://aquitaine.novopress.info]
PARIS (NOVOPress Aquitaine) - Quand la SNCF se débarrasse de son sous-traitant en gardiennage Vigimark (par ailleurs, en liquidation judiciaire), au prétexte qu’il employait des clandestins, l’entreprise française donne le marché à une autre société de gardiennage à la condition expresse de reprendre tous les employés de la précédente, y compris…les clandestins. Précisons à toutes fins utiles que l’enquête initiée par le syndicat Sud Rail, suite à la découverte en novembre 2008, de salariés clandestins, a mis à jour le fait que ceux-ci s’étaient fait embaucher sous de fausses identités.
C’est à n’y rien comprendre, mais attendez. Car, il est amusant de savoir que lorsque Vigimark avait été choisi en 2005 pour succéder à la société MAGG (également en liquidation judiciaire à ce moment là), elle-même avait été contrainte de reprendre les marchés dans des conditions identiques.
Autrement dit, des travailleurs clandestins collaboraient déjà avec la SNCF , et ce, bien avant 2005. Et la SNCF avait obligé Vigimark à les reprendre à son service.
Autrement dit, c’est avec la bénédiction de la SNCF et donc de l’Etat, que sont embauchés des clandestins ; interdisant par là même occasion, des centaines de français d’accéder à des emplois. Car on le sait, mais il faut le rappeler, un français n’est pas du tout compétitif par rapport à un clandestin.
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http://www.marcfievet.com/article-34393744.html
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