19 août 2011
5
19
/08
/août
/2011
07:35
Nouveaux vaccins à la rentrée: l’école s’engage contre le cancer
18 août 2011 | Auteur: Jo ^^
Elle s’engage aussi contre beaucoup d’opposition de la part des parents…
Vous allez devoir doubler de vigilance à la rentrée si vous avez des filles de 13 et de 14 ans, face à la mafia médicale qui sest donné la mission de tous les convaincre, probablement à coup de propagande de peur, de se faire vacciner. Mais pourquoi seulement les 13-14 ans?

Dès la rentrée prochaine, la Communauté Française offrira aux filles âgées de treize et quatorze ans la possibilité de se faire vacciner gratuitement contre le cancer du col de l’utérus.
Parents, attendez-vous dès septembre à recevoir une convocation à l’adresse de votre fille via son établissement scolaire. Mais ne vous affolez pas: il ne s’agira pas d’une tirade concernant un comportement rebelle, mais bien d’une invitation à faire vacciner celle-ci contre le cancer du col de l’utérus.
97 et 98 sinon rien
Cette offre de vaccination s’adresse aux jeunes filles issues de la génération 1997 – 1998, soit celles âgées de 13 et 14 ans. Pour elles, et elles uniquement, cette immunisation sera entièrement prise en charge par la Communauté Française. Leurs parents recevront une convocation de la part du centre de Promotion de la Santé et son Etablissement (PSE) à une visite médicale, à laquelle sera jointe une proposition de vaccination contre le HPV, papillomavirus, virus à l’origine cancer du col de l’utérus.
Trois injections
La vaccination se déroulera en plusieurs temps: en effet, elle s’étale sur une durée de six mois, à raison d’une piqûre tous les deux mois, soit un total de trois injections.
Notons que ce vaccin ainsi que le passage par le PSE n’ont rien d’obligatoire. En effet, dans le cas où votre enfant a entamé son processus de vaccination chez son médecin traitant, rien ne vous empêche de continuer les administrations par son biais.
848.000€ pour la santé
Pour ces futurs adultes, la Communauté Française a choisi de faire confiance à Glaxo SmithKline, multinationale pharmaceutique britannique, et à son célèbre Cervarix. Cette démarche préventive est certes admirable – 700 femmes en sont touchées par an – mais a néanmoins son prix: en effet, le budget investi s’élève à 848.000€, dont 565.000 pris en charge par l’Inami.
Et bientôt ça sera au tour des garçons…Ça serait un excellent moyen pour tous les stériliser à leur insu, et abaisser leur vibrations.
On dirait qu’ils mettent le paquet puisqu’ils ont annoncé cette semaine un futur vaccin en voie de réalisation pour prévenir le sida… avec ça, ils s’assurent d’avoir tous les jeunes sans faire trop d’efforts pour les convaincre.
Jo ^^