Introduction d'eva :
Après la menace soviétique,
voici la chinoise.
L'Occident a besoin d'ennemis,
au moins pour faire travailler l'industrie militaire !
Mais la Chine, tout en servant ses intérêts vitaux
(à l'affût de nouvelles ressources vitales),
n'a pas la mentalité impérialiste de l'Occident,
ni ses habitudes militaristes, conquérantes.
Elle est à la fois atelier et banquier du monde,
mais elle ne bombarde personne.
Alors, relativisons, de grâce, la prétendue menace !
Eva R-sistons
.

Le Japon a exprimé, le 2 août, ses inquiétudes concernant l'expansion maritime de la Chine vers le Pacifique et "l'opacité" de son budget militaire. Dans son rapport annuel sur la défense (Defense of Japan 2011), le ministère de la défense japonais prévoit que la Chine, "compte tenu de la récente modernisation de ses forces aériennes et navales", va étendre ses activités en mer de Chine méridionale, en mer de Chine orientale et dans l'océan Pacifique.
"En relation avec les articles sur la 3ème guerre mondiale - les mécanismes économiques menant aux guerres mondiales ainsi que Philippe Dessertine, François Lenglet, Jean François Susbielle, Hervé Juvin"
15/12/2010 - France 2 - Le protectionnisme n'est plus un tabou face à la Chine
30/09/2010 - Ce Soir Ou Jamais - La guerre contre la Chine est-elle inéluctable? (2 parties)
Autre vidéo (non dailymotion): 01/09/2010 - Documentaire - Usa, Chine "Une guerre sans limite"
Une 3ème guerre mondiale (avec la Chine notamment) est impossible sans la faillite du système (faillite d'un pays avec effet domino) entraînant une crise monétaire majeure (et une guerre des monnaies), débouchant sur une crise commerciale et le protectionnisme, et bloquant au final les échanges internationaux en détruisant d'un seul coup des décennies de mondialisation.
Cette situation créera inévitablement une grave crise politique mondiale (situation idéale pour élire des extrémistes) pour déboucher au final sur la guerre. Un rappel, en 2012 se déroule les élections en France mais aussi dans une vingtaine de pays tel que: Usa, Russie, Venezuela, Espagne, Turquie, Islande, Inde, Finlande, Corée du sud, ainsi que le passage du pouvoir politique en Chine.
Aucun moyen matériel existe pour arrêter le programme du pire, conçu pour que toute la puissance de l'égoïsme mondialisé et du mal se révèle partout dans le monde, 99% de la population étant égoïste sous différentes formes, en ne le sachant pas. Faire prendre conscience de la situation de crise extrême aux 90% de la population encore endormie, peut etre le départ afin de se diriger dans la bonne direction.
Une question reste en suspend: est ce que tout cela à été voulu, préparé, organisé et donc calculé? Comme le mensonge et l'égoïsme n'ont presque aucune limite, la réponse a la plus grande probabilité d'être dans le camp du oui. Malheureusement, là n'est pas le problème. Personne dans le monde n'a de véritables choix, la liberté dans un état égoïste n'existant pas, nous serons toujours des esclaves, avec ou sans télé, avec ou sans coca et peut être même si l'argent n'existait pas. Si nous serions milliardaire, nous nous efforcerons à conserver nos intérêts et augmenter notre richesse (les manifestions philanthropiques servant qu'à acheter des honneurs)...de plus, personne n'est vraiment responsable de son héritage, qu'il soit matériel ou psychologique, ou l'éducation reçue etc.
D'un point de vue optimiste, ceci mènera peut être les gens à prendre conscience que toute leur vie n'est basée que sur mensonges, apparences, jugements superficiels, narcissisme, séparation, fainéantise intellectuelle, hypocrisie, "profitage", les choses étant jugées positives que lorsqu'elles sont bonnes pour notre propre personne. Dans la plupart des cas si quelque chose est bonne que pour nous même, quelqu'un en payera le prix. En prenant la bourse comme exemple, pour qu'il y est des gagnants il faut obligatoirement des perdants et donc des crises.
La peur ne fera qu'accélérer le processus, l'achat d'or comme formidable accélérateur pour que l'on soit sure que tout s'écroule au moment choisi. Tant qu'une majorité d'individus laissera la vérité de côté, sans jamais se poser la moindre question sur les racines et le sens de sa vie, les chutes, les drames et les coups se produiront éternellement sans aucune possibilité de les arrêter. Minuit Moins Une"
04/08/2011 - L'inquiétante expansion de la marine chinoise
Or Pékin a confirmé mercredi 27 juillet qu'elle remettait en état un porte-avions de conception soviétique acheté à l'Ukraine, le Varyag, et, selon des sources proches du pouvoir, qu'elle aurait parallèlement entrepris la construction de deux autres porte-avions, de conception chinoise. Ce sont des moyens idéaux pour projeter des forces sur des théâtres d'opération lointains. Ces développements récents ne font que confirmer l'expansion continue de la marine de guerre chinoise.
Pendant longtemps, celle-ci a été reléguée au second plan. De l'établissement de la République populaire de Chine, en 1949, jusqu'aux années 1980, Pékin était surtout intéressée par la protection de ses côtes vis-à-vis d'une possible invasion. Avec les réformes lancées par Deng Xiaoping à partir de 1978, les enjeux se sont élargis. L'amiral Liu Huaqing a favorisé la transition vers une doctrine de "défense active des mers proches". Elle impliquait pour la marine de couvrir une aire beaucoup plus grande qu'auparavant, englobant les eaux à l'intérieur et autour de la "première chaîne d'îles", selon la terminologie chinoise, qui va du Japon aux îles Ryukyu et de Taïwan aux Philippines jusqu'à Bornéo. Avec la montée en puissance de la Chine dans le monde, la marine évolue maintenant vers une nouvelle stratégie d'"opérations dans les mers lointaines" avec des responsabilités qui s'étendent au-delà de la "seconde chaîne d'îles", partant du Nord du Japon jusqu'au Nord des îles Mariannes et Guam où se trouve importante base navale américaine.
Les trois flottes (celle de la Mer de l'Est, dont le QG est à Shanghaï, la flotte du Sud, basée à Zhanjiang, et la flotte du Nord, à Qingdao) ont été modernisées en ce sens. En 2010, la marine comptait 225 000 hommes, au moins 58 sous-marins, dont six nucléaires, plus de 50 frégates et au moins 27 destroyers. Elle est devant le Japon, la première flotte d'Asie, si l'on exclut la marine américaine. Et en tonnage, elle est la troisième du monde. Les Etats-Unis, qui sont un acteur militaire clef du Pacifique, s'en inquiètent. Le "déclin" américain est toutefois relatif. Si l'on considère le tonnage cumulé, la marine américaine a un avantage de 2,63 contre 1 vis-à-vis des flottes russe et chinoise combinées… Et qualitativement, elle est très supérieure.
Néanmoins, la Chine fait peur parce qu'elle a d'importants différends territoriaux maritimes avec ses voisins. Et aussi parce qu'elle est devenue le deuxième importateur mondial de pétrole, ce qui ne fait qu'accentuer les revendications territoriales chinoises. Le grave incident naval entre la Chine et le Japon autour des îles disputées de Diaoyu (en chinois) ou Senkaku (en japonais) en mer de Chine orientale en septembre 2010 a conduit à de vives tensions entre Pékin et Tokyo. Au sud, en mer de Chine méridionale, d'autres différends empoisonnent les relations entre Pékin et ses voisins. Outre les Paracels, l'archipel des Spratly (Nansha en chinois), constitué d'îlots et de récifs, est revendiqué par six pays. Pékin a commencé à y débarquer des troupes à partir de 1988, ce qui a donné lieu à des affrontements meurtriers entre les marines chinoise et vietnamienne.
Comme dans les Senkaku, la présence d'hydrocarbures off-shore complique la donne. Ces dernières années, les incidents – collisions entre bateaux ou accusations d'incursion dans les eaux territoriales – n'ont pas été très graves, mais ils ont provoqué à chaque fois de vives réactions diplomatiques.
Elle conduit aussi les voisins à moderniser leur appareil militaire. Après l'incident des Senkaku, le Japon a été conforté dans l'idée de restructurer ses forces : l'accent est porté sur la protection des îles lointaines du sud du Japon et la sécurité des routes maritimes. Le nombre de sous-marins va passer de 16 à 22. Mais d'autres pays asiatiques accroissent aussi leur flotte de sous-marins, et étoffent leur flotte de guerre, au point que certains parlent de course aux armements. Aux Philippines, qui bordent la mer de Chine méridionale, le gouvernement a soumis fin juillet au Parlement un projet de budget 2012 qui prévoit une augmentation des dépenses militaires annuelles de 5 à 8 milliards de pesos (83 à 133 millions d'euros). "Le programme de porte-avions chinois illustre la modernisation de l'armée chinoise. Les Philippines ne peuvent pas tenir ce rythme", prévient toutefois Rommel Banlaoi, directeur de l'Institut philippin de recherche sur la paix, la violence et le terrorisme.
Aussi, un réseau de nations, avec pour pivot les Etats-Unis, émerge dans la région qui essaie de contrebalancer la puissance chinoise ascendante, en accroissant leur coopération militaire. Des navires de guerre américains ont ainsi fait récemment escale au Vietnam. Cependant, Washington manifeste une certaine prudence et soutient aussi la volonté des pays de la région de régler les disputes dans un cadre multilatéral. La Chine et l'Association des Nations d'Asie du Sud-Est (Asean) ont adopté jeudi 21 juillet une "feuille de route" modeste, première approche vers un règlement collectif des nombreuses controverses.
Reste que, selon l'expert naval Philippe Langloit, la marine chinoise pourrait connaître un développement encore plus massif et plus rapide en raison de la part modeste consacrée à la défense par rapport au PIB. Il estime aussi que : "Les marines sont toujours d'un point de vue historique, les instruments de l'expansion coloniale." La marine chinoise va maintenant de plus en plus loin de ses bases. Pour assurer la sécurité de ses voies de communication, venant du golfe Persique, Pékin construit "un collier de perles" de bases permanentes le long des côtes de l'Océan Indien. Et elle intervient au lointain pour participer à la lutte contre la piraterie au large de la Somalie. Récemment, elle a même déployé un navire en Méditerranée, une première, pour évacuer des ressortissants dans la crise libyenne. La question reste donc de savoir ce que la Chine fera de sa puissance navale.
Le monde
08/07/2011 - La dérive des dérivés
Bien que menée par des armées dépenaillées, la guerre monétaire s’intensifie. Les généraux s’adonnent à la propagande grossière qui caractérise les situations désespérées. En attendant, la mèche qui brûle sous l’arsenal des CDS continue de se consumer. Avant de produire l’étincelle du premier défaut souverain.
Les questions ne sont jamais indiscrètes, mais les réponses le sont parfois », prétendait le dramaturge britannique Noël Coward, qui ne doit pas figurer dans la bibliothèque de Christian Noyer, le Gouverneur de notre Banque centrale. Convenons que tous les grands argentiers de la planète subissent depuis pas mal de temps des pressions insoutenables, qui peuvent les pousser à commettre des imprudences verbales, nichées dans l’aubier de leur langue de bois. Dans une intervention récente à Bruxelles, Christian Noyer a repris le leitmotiv de la BCE : il ne faut pas « toucher à la dette grecque ». Il ne faut surtout pas « provoquer un défaut ou un événement de crédit » a-t-il ajouté, livrant en cette occasion le fond d’une pensée qu’il n’entendait probablement pas dévoiler. Car le défaut est lui-même un « événement de crédit », ce qui confère une curieuse connotation répétitive à son observation. Sauf si l’on note que l’événement de crédit appartient à la langue spécifique des contractants de CDS, les Credit Default Swaps, ces titres en forme de grenade dégoupillée qui furent directement responsables de la déconfiture d’AIG, premier assureur mondial recapitalisé en hâte par l’Etat fédéral en 2008, et indirectement à l’origine de bien d’autres embarras passés, présents et à venir. Car ils équivalent à un contrat d’assurance sur le crédit : en cas de défaillance de l’emprunteur, le vendeur du CDS couvre la perte subie par le prêteur (ou plus exactement par le détenteur du CDS, qui n’est pas nécessairement créancier). En échange, le vendeur du CDS reçoit chaque année une « prime », d’autant plus forte, bien entendu, que le risque de sinistre est élevé. En théorie, le prix du CDS est égal au « spread », c’est-à-dire à la différence de taux entre les créances de référence et celles de l’emprunteur concerné. Pour les obligations grecques à 5 ans, par exemple, le CDS vaut en ce moment un peu plus de 16% du notionnel (les emprunts se négociant au taux d’environ 20%...). Tout ceci est conforme à la note la plus récente de la signature d’Athènes : CCC, c’est-à-dire équivalente à celle de la famille Groseille. Au cas d’espèce, si aucun « événement » ne se produit, le vendeur du CDS fait d’énormes profits. Dans le cas contraire, il ne lui reste même plus de caleçon pour essuyer ses larmes. Dans un contrat de CDS, les événements de crédit sont clairement énoncés : défaut de paiement, bien sûr ; simple moratoire (report d’échéan-ces) ; restructuration de la dette (rééchelonnement sur une durée d’amortissement plus longue) et faillite pure et simple, correspondant au refus d’honorer la dette (de bonne ou de mauvaise foi). Pour que Christian Noyer insiste à ce point sur les dangers énormes de « n’importe quel événement de crédit » – tous n’ayant évidemment pas les mêmes conséquences en termes d’enjeu financier – il ne peut y avoir qu’une seule explication : il faut à tout prix empêcher les porteurs de CDS d’exercer leurs droits. Pourquoi ? On n’en sait rien. Tout au plus, peut-on supposer que les émetteurs de ces CDS habitent près de chez nous, ainsi que leurs plus gros détenteurs…. Si les contrats n’étaient que partiellement honorés, ou pas du tout, ce serait alors un très, très gros désordre dans les comptes des grandes institutions bancaires – et peut-être dans ceux des banques centrales elles-mêmes (la masse en jeu est monumentale). Sur le sujet, l’intransigeance de la BCE et de ses filiales frise l’hystérie : ce n’est sans doute pas sans (bonnes) raisons.
L’empoignade monétaire
Voilà des années que l’on revient régulièrement, dans ces colonnes, sur le caractère inévitable d’une guerre des monnaies. Les épisodes présents s’inscrivent parfaitement dans ce scénario. On a pu observer que les Américains ne négligent aucun moyen, jusqu’à la rouerie, pour maintenir le statut d’exception du dollar qui leur évite d’être traités comme… les Grecs. Tout ce qui peut affaiblir l’euro, sur des critères réels ou imaginaires, est du pain béni pour l’Oncle Sam qui gagne ainsi un peu de temps. Un peu de temps avant que la fiction ne s’effondre. Une fiction qui dure maintenant depuis 1971 – date de l’abandon de la convertibilité du dollar en or –, longue période pendant laquelle l’étalon du système monétaire mondial se trouve être une devise… élastique, ne trouvant sa valeur que dans la seule parole de l’émetteur. Un phénomène aussi extravagant n’a pas de précédent dans l’histoire monétaire : même les assignats de la Révolution française étaient gagés sur des actifs réels (les biens du clergé) et n’ont sombré que sous l’effet de leur multiplication excessive – moindre toutefois que celle du dollar contemporain. Il est même permis de douter, comme le font certains observateurs yankees, que la FED détienne réellement le stock d’or qui figure à son bilan. Les Américains ayant déjà démontré leurs aptitudes remarquables dans la tricherie vulgaire et le mensonge éhonté, une telle hypothèse n’a rien d’insensé. Il faut pourtant admettre que notre propre Institut d’émission ne peut être crédité d’une parfaite bonne foi. Et que la situation présente, objectivement explosive, le contraint à exiger des Etats des politiques intenables, à défendre jusqu’à l’outrance un système bancaire à l’agonie et à travestir la réalité en martelant quelques poncifs incantatoires. Sera-t-on sauvé par le verbe ? C’est douteux.
Jean-Jacques JUGIE - Echos Judiciaires
26/04/2011 - La Chine veut se débarrasser de ses dollars
MoneyWeek
26/04/2011 - Qui la Chine menace-t-elle?
Que ce soit lors du Sommet du G20 ou lors du Sommet du BRICS, la Chine était au centre des attentions. Cela a suscité l'envie et la jalousie de certaines personnes. Alors la « menace chinoise » se fait de nouveau entendre. Le Japon qui n'est pas encore rétabli de la crise nucléaire, due au grand tremblement de terre, et qui a reçu toutes sortes d'aides chinoises, a de nouveau évoqué la menace chinoise. Le magazine « SAPIO » prétendait d'une manière extravagante que « la Chine allait épuiser tout ce qu'il y a sur le globe », accusant la Chine d'être responsable de la hausse du prix des céréales dans le monde. Le « New York Times » et le journal britannique The Guardian prétendent que l'inflation chinoise va se propager dans le monde entier. Donald Trump, un milliardaire américain de l'immobilier, a reproché à la Chine de « corroder les Etats-Unis ». Il a prétendu que s'il était élu président américain, il appliquerait un impôt punitif de plus de 25% pour tous les produits chinois pour chasser les « Made in China » des Etats-Unis.
L'assertion sur «la menace chinoise » n'est pas nouvelle. Elle est souvent accompagnée de trois arguments suivants : le développement de l'économie chinoise est tellement rapide qu'il devient menaçant ; les forces militaires chinoises sont trop puissances qu'elles deviennent menaçantes ; La consommation chinoise de pétrole et d'autres ressources est trop importante qu'elle en devient menaçante.
Cependant, les « auteurs » de la « menace chinoise » ont négligé trop d'autres choses : le PIB par tête de la Chine est classé après le 100e rang dans le monde et à l'intérieur de la Chine, les problèmes sont nombreux pour l'amélioration des structures économiques, la diminution de l'écart entre les riches et les pauvres et l'amélioration des moyens d'existence.
D'autre part, il est à noter que le développement de la Chine n'a pas été acquis aux dépens des autres. Au contraire, la contribution que la Chine a apportée à la croissance du PIB du monde a dépassé 20%. Le plus important est que les dirigeants chinois ont affirmé en différentes occasions que la Chine s'engagera fermement dans une voie de développement pacifique et appliquera toujours une politique de la défense nationale défensive. Ils ont encore déclaré ceci : jamais la Chine ne se lancera dans la course aux armements, la Chine ne constituera jamais une menace militaire pour aucun pays, la Chine ne prétendra jamais à l'hégémonie et ne se livrera jamais à l'expansion à l'étranger.
Les occidentaux estiment que l'augmentation des forces réelles signifie l'expansion. Selon leur logique, chaque grand pays, économiquement redressé, cherchera inévitablement à verser dans l'expansionnisme, ceci pour modifier l'ordre mondial existant. D'autre part, certains politiciens tentent d'attaquer le développement de la Chine et de faire croire à «une menace chinoise » qui n'existe pas, afin de freiner l'élan du développement de la Chine.
L'humanité est déjà entrée dans l'ère de la mondialisation. Ce à quoi nous devons réfléchir, ce n'est pas qui menace et qui est menacé, mais chercher à mieux vivre sur le globe, qui est notre grande communauté à tous.
Quotidien du peuple en ligne
20/04/2011 - Les entreprises chinoises confrontées à des barrières commerciales
Selon les experts, les obstacles commerciaux sont du protectionnisme déguisé