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16 janvier 2012 1 16 /01 /janvier /2012 02:34
Décès du reporter d’Envoyé Spécial : la France dissimule les preuves
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Alors que des médias basés en France laissent filtrer des rumeurs concernant la mort du reporter Gilles Jacquier et que le parquet de Paris a ouvert une enquête pour homicide volontaire, il convient de rappeler un élément particulier de cette affaire.
Réseau Voltaire
Dimanche 15 Janvier 2012
Décès du reporter d’Envoyé Spécial : la France dissimule les preuves
En effet, à l’inverse des normes juridiques internationales, l’autopsie de la victime n’a pas été faite en Syrie, alors que la France pouvait tout à fait mandater son propre médecin légiste pour contrôler la procédure syrienne. Au lieu de cela, la France a rapatrié le corps par avion spécial à Paris, et procédé à son autopsie dans la foulée, afin que la Syrie ne dispose pas du temps nécessaire pour proposer à son tour son propre expert pour y assister.

Alors que gouverneur de Homs a annoncé le 12 janvier la création d’une commission d’enquête pour faire la lumière sur les circonstances du décès, le gouvernement syrien se voit privé de sa capacité à contrôler les causes de la mort du reporter.

En droit pénal, l’acte que vient de pratiquer la France en rapatriant le corps du journaliste Gilles Jacquier de France-Télévisions est qualifié d’appropriation frauduleuse d’un corps. Les circonstance dans lesquelles la France à procédé au rapatriement et à l’autopsie de la dépouille du journaliste constituent une tentative de destruction, dégradation et détérioration de preuves.

Au demeurant, ce comportement de l’exécutif français conduira obligatoirement la Justice à invalider le rapport d’autopsie. Ce faisant, il rend impossible l’établissement de la vérité.

Au-delà de la volonté du gouvernement actuel de la France d’instrumentaliser systématiquement les événements en cours contre l’État syrien, ces détails posent question. Qu’est-ce que la France cherche à cacher concernant la mort de notre confrère de France 2 ?

http://www.voltairenet.org/Deces-du-reporter-d-Envoye-Special http://www.voltairenet.org/Deces-du-reporter-d-Envoye-Special

 

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http://www.alterinfo.net/Deces-du-reporter-d-Envoye-Special-la-France-dissimule-les-preuves_a69668.html

 

Autres articles

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http://static.lexpress.fr/medias/1670/855064_france-media-awards.jpg

http://static.lexpress.fr/medias/1670/855064_france-media-awards.jpg


(..)Depuis un an, les services secrets militaires français

sont placés au service de l’impérialisme états-unien.

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Ils ont organisé un début de guerre civile en Côte d’Ivoire. Par la suite, ils ont manipulé le séparatisme de la Cyrén http://www.mondialisation.ca/index.php?context=viewArticle&code=V.20120116&articleId=28683aïque pour faire croire à une révolution anti-Kadhafi et s’emparer de la Libye. Maintenant, ils encadrent des repris de justice recrutés par le Qatar et l’Arabie saoudite pour semer la terreur, accuser le gouvernement syrien et menacer de venir le changer.

Il n’est pas sûr que le peuple français apprécierait de savoir que Nicolas Sarkozy a rabaissé son pays au niveau d’un vulgaire preneur d’otages. Et il ne faudra pas s’étonner si un Etat qui pratique le terrorisme chez les autres doive un jour le confronter sur son sol.

Par Boris V. - 16 janvier 2012
Article publié par l’équipe de télévision russe dans Komsomolkaya Pravda  

http://www.mondialisation.ca/index.php?context=viewArticle&code=V.20120116&

http://www.alterinfo.net/Le-fiasco-des-barbouzes-francais-a-Homs_a69742.htmlarticleId=28683

 

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Syrie : assassinat du journaliste, défection d’un observateur... et désinformation
Al-Manar


Toute une armada politico-médiatique s’attelle pour induire en erreur l’opinion publique et laisser entendre que la mort du reporter de France 2 en incombe aux autorités syriennes.

Au lendemain de la mort de Gilles Jacquier tué alors qu’il effectuait un reportage à Homs, épicentre de la rébellion contre le régime syrien, les responsables occidentaux de premier rang se sont tous mis de concert pour mener à bien cette tâche.

D’aucuns ont exigé aux autorités syriennes de protéger la presse. (Juppé et le Clinton). Insinuant que c’est en raison de leur déficience que le journaliste a été abattu. D’autres ont réclamé l’ouverture d’une enquête (Sarkozy et Ashton).

Alors que le chef de la diplomatie britannique s’est engagé dans un discours mesquin et pitoyable volontairement déconnecté de l’incident, évoquant « le prix terrible payé par la population de Homs et le courage des journalistes qui prennent de grands risques pour faire savoir ce que vit la population syrienne ». Seul Human Right Watch va droit au but, demandant à la Ligue arabe « de condamner d’urgence les forces de sécurité qui tirent sur les protestataires pacifiques qui cherchent à contacter les observateurs arabes ».

Sans oublier le vice-président américain Joe Biden qui se veut devant le Premier ministre et chef de la diplomatie qatari « condamner les violences perpétrées par le régime Assad en Syrie »


Le journaliste tué au sein d’une manif pro Assad


Bien entendu aucune allusion chez tous ceux-là au fait que le journaliste français qui faisait partie d’un groupe de journalistes (un autre de France 2, cinq belges, deux suisses, deux Libanais et un journaliste syrien, selon un collègue de Jaquier, Mohammad Ballout cité par le Figaro) a été tué au milieu d’une manifestation pro Assad qui, a peine attroupée a été victime de tirs de mortiers et de RPG, armement favori des rebelles syriens. Et naturellement, les responsables occidentaux omettent de signaler que 8 civils syriens ont aussi été tués dans ce pilonnage et qu’ils sont tous des sympathisants du président syrien.

Même l’Observatoire syrien des droits de l’homme qui diffuse des chiffres sur les victimes sans donner de preuves, tente dans sa réaction une démarcation, disant ignorer l’origine des tirs et réclamant l’ouverture d’une enquête. Tellement les faits sont évidents.


Défection douteuse d’un observateur...Al Jazeera encore


Une autre affaire liée également à la crise syrienne révèle la manière d’agir manipulatrice des sbires des insurgés syriens.

Mercredi, un des observateurs de la Ligue arabe (LA), l’algérien Anouar Malek a déclaré pour AlJazeera sa décision de se retirer de la commission des observateurs sous prétexte qu’il s’est « trouvé en train de servir le régime syrien ».

De Doha, Malek a accusé le régime syrien de commettre « les actes les plus sales », de tuer ses partisans pour étayer sa version des faits. Il a dit avoir vu dans les régions qu’il a visitées (Bab Amro, Khalidiyya, Sultaniyyé, Bab Sibae) « des spectacles honteux, des cadavres torturées, ---, des enfants martyrisés ». Il a dit avoir vu de ses propres yeux les partisans du régime ouvrir le feu sur les manifestants...

Or il s’avère que les propos de cet observateur n’ont rien à avoir avec la réalité. Selon le quotidien libanais AsSafir, la Ligue arabe et par la voix de son vice-secrétaire général Ahmed Ben Helli a tenu à signaler que personne d’autre que le porte-parole de la commission, le général soudanais Mohammad Ahmad al Dabi ne peut parler en son nom.

« ... quant à celui qui voudrait renchérir ou mentir, il n’exprime en rien la position de la Ligue arabe, de sa délégation ou tout autre », a-t-il précisé.

Selon l’AFP, le chef de la mission d’observation, le général soudanais Mohammed Ahmed al-Dabi, a déclaré dans un communiqué que "les déclarations d’Anouar Malek sur une chaîne satellitaire sont sans fondement".

"M. Malek était déployé avec une équipe à Homs, mais pendant six jours il n’a pas quitté sa chambre et ne s’est pas joint aux autres membres sur le terrain en prétextant être malade", a-t-il ajouté.

Selon le général Dabi, M. Malek avait demandé à aller à Paris pour y être soigné, mais est parti sans attendre l’autorisation.

Un responsable de l’organisation pan arabe ayant requis l’anonymat a affirmé selon AsSafir que le témoignage de Malek est erroné, et quoiqu’étant réellement un des observateurs de la mission, mais il est resté au lit dans sa chambre d’hôtel en raison de sa maladie.

Il a indiqué que Malek qui est un algérien résident en France est membre de la Commission arabe des droits de l’homme dont le siège se trouve à Paris, qu’il sert d’autres agendas, sachant qu’il a des lien de parenté avec le chef du Conseil national syrien (CNS) Bourhane Ghalioune, ( de par sa première épouse algérienne, ndlr)et qu’il est en contact avec Haytham Mannaa qui est le chef de l’organisme de coordination des forces du changement démocratique à l’étranger.

Le ministre algérien des affaires étrangères s’est lui aussi exprimé sur le faux témoignage de Malek, indiquant qu’il n’a pas été dépêché par le gouvernement algérien et que les dix autres observateurs algériens de la commission ont « des avis différents du sien ».

Sa défection avant la publication des conclusions finales ne soient publiées semble être une tentative de décrédibiliser la mission des observateurs, surtout si ces conclusions seront différentes des attentes de l’opposition qui n’a cessé de la futiger.


AlArabi : le spectre de la guerre civile


A cet égard, le chef de la Ligue Arabe Nabil AlArabi a mis en garde contre l’éclatement d’une guerre civile en Syrie. dans un entretien télévisé, rapporte le site en ligne alArab Online, il a signalé que la Syrie est un pays influent dans la région et que les problèmes dont il souffre auront des séquelles sur l’entourage.

Selon lui, le scénario d’ingérence étrangère en Syrie a l’instar de ce qui s’est passé avec la Libye n’est pas envisageable : « La Syrie n’est pas séduisante pour des pays qui utilisent leurs armes et trouvent qui leur payer. Elle n’a pas de pétrole et les Etats-Unis ont des élections cette année et par conséquent je ne pense pas qu’ils veuillent entrer dans des aventures militaires », a-t-il expliqué, indiquant avoir dit ceci a plusieurs reprises à l’opposition syrienne.

Alarabi pense qu’en exerçant des pressions et un embargo politique et économique de la part de plusieurs pays sur le régime syrien et l’opposition aussi pourrait porter ses fruits et faire cesser la violence. D’après lui, la situation s’est beaucoup compliquée et les rapports qui lui parviennent du bureau de la LA à Damas, via le général al Dabi sont « particulièrement inquiétants ».

Concernant la saisine du Conseil de sécurité, réclamée incessamment par l’opposition pro occidentale, AlArabi estime que s’il voulait vraiment interférer, il l’aurait fait effectivement, et n’a pas besoin d’une décision de la LA pour le faire.

Mercredi, l’organisation pan arabe a décidé de surseoir à l’envoi de nouveaux observateurs en Syrie après une attaque contre la mission lundi, au cours de laquelle trois d’entre eux ont été blessés légèrement.


Pékin hostile toujours à l’internationalisation de la crise


De leur coté, les Chinois à l’instar des Russes ne changent pas de position d’un iota et refusent toute internationalisation de la crise syrienne.

L’émissaire de Pékin pour le Moyen-Orient Wu-Sike a réitéré cette position lors d’une rencontre avec AlArabi au Caire devant lequel il a insisté sur la solution de cette crise dans le cadre de la Ligue arabe.

Faisant état de difficultés auxquelles font face les observateurs de la Ligue arabe en Syrie, il s’est refusé, cpntrairement aux positions occidentales et arabes, a en incomber la responsabilité exclusivement au gouvernement syrien .

"Le gouvernement syrien et les autres parties syriennes devrait faire en sorte que la mission bénéficie de conditions convenables pour l’accomplissement de son travail", a-t-il déclaré à l’issue d’une rencontre avec le chef de l’institution panarabe, Nabil al-Arabi.

Pékin "espère que les observateurs feront preuve de patience et poursuivront leurs efforts afin de réaliser leurs objectifs pour le bien de la Syrie et de son peuple", a-t-il ajouté.

 

URL de cet article 15594
http://www.legrandsoir.info/syrie-assassinat-du-journaliste-defection-d-un-observateur-et-desinformation.html
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Anouar Malek en tenue de combat ou de ville, mais toujours prêt à séduire!
Anouar Malek en tenue de combat ou de ville, mais toujours prêt à séduire!

L’Algérie a l’insigne “honneur” d’être le pays d’appartenance d’Anouar Malek, ce membre de la mission d’observateurs de la Ligue Arabe en Syrie qui a quitté avec fracas ce pays. Selon lui, il a été menacé de mort par le gouvernement syrien et il possèderait des dizaines de photos où il apparait avec des cadavres.

J’ai comme l’impression qu’il attend que les photomontages soient achevés dans quelque officine à Londres ou à Amman avant de nous les exhiber.

Pour l’instant, ce monsieur qui a passé le plus clair de son temps dans un hôtel nous renvoie à YouTube  pour plus d’informations. C’est sûrement comme ça qu’il a appréhendé la situation en Syrie, depuis sa chambre d’hôtel.

M. Malek, décidément très en verve, nous dit aussi que les mêmes autorités qui l’ont menacé de mort lui ont envoyé, ainsi qu’à ses collègues, des femmes pour le séduire. Pensez donc qu’il aurait pu mourir de plaisir !

Comment s’étonner de voir M. Malek traité de menteur par le chef de la mission d’observation mandatée par la Ligue Arabe ?

le général soudanais Mohammed Ahmed al-Dabi, a déclaré dans un communiqué que “les déclarations d’Anouar Malek sur une chaîne satellitaire sont sans fondement”. “M. Malek était déployé avec une équipe à Homs, mais pendant six jours il n’a pas quitté sa chambre et ne s’est pas joint aux autres membres sur le terrain en prétextant être malade”, a-t-il ajouté.
Selon le général Dabi, M. Malek avait demandé à aller à Paris pour y être soigné, mais est parti sans attendre l’autorisation. Ceci étant, la Ligue arabe, qui a indiqué que deux des quelque 160 observateurs  envoyés en Syrie par la Ligue arabe ont quitté leurs fonctions, a imputé ces départs à des raisons personnelles ou de santé mettant en cause les déclarations de l’un d’eux. “Deux observateurs se sont excusés, un Algérien et un Soudanais”, a déclaré le chef des opérations en Syrie Adnan Khodeir à des journalistes, au siège de la ligue au Caire. Il a assuré que l’observateur algérien avait quitté ses fonctions “pour des raisons de santé”, et que son collègue soudanais “rentrait dans son pays pour des raisons personnelles”.

On se consolera en se disant qu’Anouar Malek ne faisait pas partie des observateurs officiellement désignés par le gouvernement algérien mais de pseudo représentants de la société civile choisis par je ne sais qui à la Ligue Arabe.

http://mounadil.wordpress.com/

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