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22 janvier 2012 7 22 /01 /janvier /2012 22:53

 

 

http://www.protic.net/profs/menardl/agriculture/ruralite.gif

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Blog  |  http://www.mandji.fr/blog

Via Scoop.itLocavore | Manger Local

Ma petite entreprise, ne connaît plus la crise.
Le Pays salonais aura bientôt sa monnaie locale.
Nous voulons dynamiser l’économie de proximité et favoriser la relocalisation tout en défendant une certaine Éthique.
Via salontransition.wordpress.com

 

 

 

 


Histoire de pimenter un peu le moment déjà tellement excitant des courses, je tente cette semaine de me constituer des repas avec des ingrédients…
Via www.consommerdurable.com

 

 

 

 

 

C’est une première, à l’initiative des trois commerçants artisans alimentaires de Couffé, en réaction à l’attrait de la zone commerciale de Saint-Géréon, toute proche. Monique et Joseph Brûlé boucher-charcutier-traiteur, Nicole et Fabrice Barthélémy boulanger-pâtissier, Adeline et Loïc Anizon épicier-primeur se sont associés pour créer le premier « Drive rural de proximité », en phase de test. Ils ont créé l’association « Mes artisans commerçants » et proposent aux gens de passer une commande groupée par Internet (www.mes-artisans-commerçants.net) ou par téléphone (02 40 96 59 02) qu’ils pourront venir chercher à l’épicerie. Via www.ouest-france.fr

 

 

 

Manger frais : consultez le calendrier des fruits et légumes de saison

 

 

 

 

 

Ce n’est plus un effet de mode. 3600 exploitations, soit 11 % des fermes bretonnes, commercialisent tout ou partie de leur production en circuits courts. Regardés de haut, il y a seulement une dizaine d’années, les projets atypiques, prévoyant la vente directe d’une majorité des produits de la ferme, le sont de moins en moins.

L’écart se creuse entre deux types d’agriculture complémentaires :

  • les grosses structures ayant vocation à « nourrir la planète » et
  • les petites fermes qui vendent localement et dégagent une forte valeur ajoutée.

Lire la suite sur  Paysan Breton.


 

 

Inspirés par une coopérative alimentaire bio, Arthur Potts Dawson et Kate Wickes-Bull ont lancé il y a environ 1 an, le supermarché coopératif People’s Supermarket.  Le supermarché proposent des produits locaux, des produits artisanaux et du bio aux clients membres et au public.

Lire la suite »

 

 

 

A Londres, l’ancienne station de métro Fulham Broadway est désormais un supermarché de producteurs.
L’Union Market, designé par l’agence Cada Design Group, allie l’atmosphère d’un marché de producteurs locaux et la praticité du supermarché. Les produits peuvent être livré jusqu’à 1,5 km de la boutique par des camions électriques.

Le lieu, résolument British, valorise une alimentation naturelle, locale, saisonnière et de qualité, et souhaite développer un nouveau modèle de distribution, à la fois fonctionnel, éthique et esthétique. Avec sa politique verte concernant les ingrédients, les émission de gaz et les économies de packaging, l’Union Market s’incrit au coeur des préoccupations des consommateurs vis à vis de la santé et de l’environnement.
Via ccdessert.com

 

 

 

Vous voulez manger mieux et pour des prix raisonnables ? En constituant un groupe vous pourrez passer des commandes groupées et obtenir des produits de qualité à un meilleur prix pour vous et pour le producteur.

Etape 1 : Parlez de votre projet d’achat groupé de produits alimentaires locaux

Les avantages d’acheter en commun des produits alimentaires en circuit court sont multiples :

Lire la suite »

 

 

 

 

 

En Italie, le label Kilomètre zéro vise à accroître et encourager l’usage des circuits courts.

Poitrine d’oie confite avec courge au four et sa mousse de fromage aux amandes, millefeuille gratiné au ragoût d’oie et velouté de salade Trévise : ces deux plats sont à la carte du menu Kilomètre zéro du restaurant La Ballotta, à Torreglia en Vénétie. Dans cette trattoria, aux portes de la ville de Padoue, 90% des vins, 60% des fruits et légumes et 40% des viandes et volailles proviennent des champs et élevages environnants.

via Libération

 

 

 

 

 

 

L’agriculteur perdu dans sa « cambrousse », la mine revêche, réfractaire au modernisme : les clichés ont la dent dure ! Alors qu’ils sont complètement obsolètes : la mode, la culture, les loisirs ne sont pas réservés aux « gens de la ville ». Ni Internet, comme le prouve encore une fois l’enquête « Agrisurfeurs » 2011 (1). Les chiffres parlent d’eux-mêmes…
Via www.terre-net.fr

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Un film réalisé par le producteur Johnny Kelly. Il décrit le chemin d’un agriculteur qui transforme peu à peu sa petite exploitation en une véritable « industrie » avant de réaliser son erreur et de changer…

 

 

 

Après les USA et le Canada, les «poules urbaines» rencontrent un véritable succès en France.

Claire est une Parisienne qui a bien de la chance. Non contente d’habiter un rez-de-chaussée avec cour privative et jardin derrière la butte Montmartre, la jeune femme a le privilège, chaque matin, de pouvoir récolter un œuf frais au saut du lit.  Car depuis six mois, elle est l’heureuse propriétaire d’une poule naine. « J’avais envie d’un retour à la nature, explique-t-elle. Et puis cela me rappelle mon enfance. » Ses voisins n’ont pas tiqué. Au contraire. « Leurs enfants sont ravis de nous rendre visite ! », se réjouit-elle. Avec sa poule en plein Paris, Claire passe encore pour une originale. Mais pour combien de temps ? L’élevage de gallinacés en ville gagne du terrain.[...]

En novembre, à Nantes, le projet de prospective urbaine baptisé Les Ekovores, imaginé par deux designers industriels autour de la production alimentaire locale, a placé un poulailler détonnant place Graslin… via LeMonde.fr.

Les chiffres :

La chaîne de magasins dédiés aux animaux domestiques, Animalis annonce avoir vendu plus de 6000 poules en 2011 contre environ 2000 en 2010. Elle propose d’ailleurs un kit mini-poulailler comprenant de la paille et du grain pour environ 200 euros. source oeilbylaser.com

Les jardineries Truffaut ont vendu plus de 20 000 poussins et poules pondeuses ou d’ornement à des particuliers en 2011 (+50% en 2011) source lemonde.fr

En deux ans d’existence, l’entreprise alsacienne Eco-poules a écoulé suffisamment de poulaillers en kit pour abriter 30 000 gallinacés (80 % des ventes se réalisent sur Internet). source lemonde.fr

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Un agriculteur et un artisan ont décidé de s’associer dans une même société, Les Délices de Lionel, à Payzac, pour se spécialiser dans la boucherie et charcuterie traiteur en circuit court. Une aventure quelque peu incomprise mais qui fonctionne.

L’union de l’élevage et de la boucherie

Drôle de mariage que celui contracté voilà un an et demi entre Ludovic Lacombe et Francis Roux. Dans la profession des bouchers, certains s’en étonnent encore parfois. Pourtant, aux yeux des deux intéressés, rien ne paraissait plus logique et naturel : un agriculteur qui s’associe avec un artisan… Et pourquoi pas après tout. « C’est juste un boucher qui décide d’acheter sa matière première à un paysan, comme il y a 50 ans, le boucher du coin achetait sa viande au paysan du coin », résume simplement Ludovic Lacombe.
C’est sous la dénomination “Les Délices de Lionel” que l’alliance entre ces deux mondes s’est concrétisée, le 1er août 2010. C’est sur une collaboration professionnelle de quinze ans et une bonne dose de feeling et de folie que les deux hommes ont bâti leur projet. L’agriculteur, qui travaillait à l’époque avec son frère Lionel, raconte : « L’exploitation a commen­cé par de la vente directe puis on a développé la vente de carcasses avec une clientèle boucherie.

En 2003, on a commencé à faire les marchés. Avant ça, on avait l’habitude de vendre des cochons vivants et tout le monde nous demandait si on connaissait un boucher pour assurer la découpe. L’idée a commencé à germer de proposer une prestation complète de vente et découpe. »
Ainsi est né le labo, construit sur l’exploitation à Payzac. Mais à la suite du décès de Lionel, Ludovic se retrouve seul.

La solution se présente avec Francis Roux que Ludovic appelle souvent à la rescousse pour de menus soucis. « Nous avons évoqué l’idée en mai et comme nous sommes plutôt réactifs tous les deux, ça s’est mis en place au mois d’août suivant »,  se souvient l’artisan boucher charcutier.

L’un a l’exploitation et le labo et vend sur les marchés et en livraison à domicile, l’autre a pignon sur rue avec une boucherie à Saint-Yrieix-la-Perche. « Nos deux chiffres d’affaires étaient équivalents. Il n’y avait aucune raison qu’on squeeze l’une ou l’autre des activités. »

 

 

 

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Réveillons le rural qui sommeille en nous !

 

Le territoire agricole aujourd'hui, autrefois, ailleurs

http://www.protic.net/profs/menardl/agriculture/2004situation-agri.html

 

 

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commentaires

R
<br /> Recette de la fameuse bière "open source" sans "droits de propriété intellectuelle" ! <br /> <br /> <br /> Pour environ 85 l (6% environ)<br /> <br /> <br /> Empâtage<br /> <br /> <br /> Malt (quatre types de malt d'orge sont combinés) :<br /> <br /> <br /> 6 kg de Pilsner<br /> <br /> 4 kg de Münsner<br /> <br /> 1 kg de Caramel<br /> <br /> 1 kg de Blond<br /> <br /> <br /> <br /> Le malt est grossièrement moulu et empaté pendant 30 min dans 45l d'eau à 50/52°C.<br /> <br /> <br /> Brassage<br /> <br /> <br /> Chauffer pendant 40 min entre 65°C et 68°C en remuant régulièrement.<br /> <br /> <br /> Chauffer à 77°C ou 78°C pendant 10 min.<br /> <br /> <br /> Le résultat (maische) est filtré en étalant les drêches (malt moulu et empaté) sur un récipient perforé reposant sur un réceptacle. Repasser plusieurs fois pour obtenir un liquide assez clair.<br /> <br /> <br /> Chauffer 40L d'eau à 80°C et laver les drêches.<br /> <br /> <br /> Transvaser le liquide recueilli dans le récipient de chauffe.<br /> <br /> <br /> Houblonnage<br /> <br /> <br /> Houblon:<br /> <br /> <br /> 60 g de houblon amer tetnang<br /> <br /> 50 g de houblon aromatique Hallertauer<br /> <br /> 300 g de graines de guarana (disponible dans les magasins de diététique)<br /> <br /> 4 kg de sucre<br /> <br /> <br /> <br /> Le moût est porté à ébullition dans un grand récipient avec le houblon et 70 l du liquide filtré Évitez l'eau du robinet, chlorée, ou laissez-la reposer au moins 24 heures à l'avance.<br /> <br /> <br /> Pour l'ébullition, évitez à tout prix les récipients en aluminium<br /> <br /> <br /> Au bout d'une demi-heure, ajoutez les graines de guarana et le sucre.<br /> <br /> <br /> Laissez la préparation frémir pendant une heure environ, puis filtrez et laissez refroidir dans un récipient fermé.<br /> <br /> <br /> Fermentation<br /> <br /> <br /> Ajoutez de la levure (un sachet pour 20 litres de bière), et laissez fermenter à température ambiante pendant deux<br /> semaines environ. La levure utilisée est de la Safbrew T58 disponible en paquet de 10g.<br /> <br /> <br /> N'oubliez pas ensuite de la filtrer<br /> <br /> <br /> Conditionnement<br /> <br /> <br /> Avant d'embouteiller, prenez soin de rajouter encore un peu de sucre (4 g/l) et un peu de levure issue de la partie filtrée.<br /> <br /> <br /> Attention, si vous mettez trop de sucre à l'embouteillage, la bière contiendra trop de gaz.<br /> <br /> <br /> Vous pouvez embouteiller.<br /> <br /> <br /> Laissez la Vores Øl à température ambiante 8 à 10 jours, pendant lesquels elle s'enrichira des bulles et de mousse. Enfin, elle est prête à être dégustée, bonne et<br /> rafraîchissante.<br />
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