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15 décembre 2012 6 15 /12 /décembre /2012 01:01

 

 

http://www.dailymotion.com/video/xldsox_sionisme-la-verite-sur-le-journalisme-francais-richard-lab_news#.UMu9m6zeEa8

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Vido à voir,

à enregistrer,

à relayer avant censure !

 

ici également :

http://www.youtube.com/watch?v=ZzAQ8h3n7pg 

 

 

 

Le licenciement de Richard Labévière  
Rédacteur en chef de RFI :
une énormité,
soulignent la CFDT
et le principal intéressé

CAPJPO-Euro-Palestine

 

Politique
Le licenciement de Richard Labévière : une énormité, soulignent la CFDT et le principal intéressé
Nous revenons sur l’incroyable licenciement de Richard Labévière, rédacteur en chef de RFI, le 11 août dernier, en produisant le communiqué de la CFDT et plusieurs des remarques faites par Richard Labévière.

"Cette histoire estivale s’inscrit dans l’orwellisation en cours de la presse française, la remise en cause du pluralisme journalistique et de la liberté d’expression au pays des Lumières. Avec, pour horizon, la volonté d’imposer une lecture unique, néo-conservatrice, de la politique, des crises et des relations internationales ", indique Richard Labévière.

"Défendre la liberté d’expression et les droits de l’homme face à leurs violations caractérisées en Chine ou ailleurs, c’est bien. À condition de s’appliquer à soi-même ces beaux principes et de commencer par balayer devant sa porte." , souligne le journaliste.

Voici le communiqué de la CFDT :

"L’intervieweur français du président syrien Bachar al-Assad licencié par RFI !

Le 8 juillet dernier, Richard Labévière, rédacteur en chef à RFI, obtenait en exclusivité pour RFI et TV5-Monde une interview du président syrien Bachar al-Assad, à la veille de sa venue à Paris.

Dans n’importe quel organe d’information, cette réussite aurait été saluée par la Direction. A RFI, il en est autrement : faire son métier est passible de licenciement. Celui-ci a été notifié à Richard Labévière, ce lundi 11 août, malgré un enchainement de fautes de procédures. En dépit de dysfonctionnements internes et imputables aux seules directions de RFI et TV5-Monde, le dossier d’accusation reste désespérément vide.

A moins de trois semaines du voyage du président de la République Nicolas Sarkozy en Syrie, la direction de l’Audiovisuel Extérieur de la France, licencie l’un des journalistes experts des questions proche et moyen-orientales, infligeant ainsi un camouflet aux autorités syriennes qui avaient décidé d’accorder cette interview à Richard Labévière. Mais peut-être que la Directrice générale de l’Audiovisuel Extérieur de la France saura en informer à temps le ministre des Affaires étrangères ? Cet incident grave constitue le dernier épisode caractérisant l’attitude répétitive de harcèlement de la direction de RFI à l’encontre de Richard Labévière, portant atteinte à ses droits et à sa réputation professionnelle.

Depuis son entrée à RFI en 2000, il a été mis fin à ses fonctions de chef du service Etranger en 2003. Ses nouvelles fonctions d’éditorialiste international ont été brutalement interrompues en octobre 2005. Depuis lors, il n’a conservé que la production du magazine hebdomadaire « Géopolitiques ».

Paris, le 12 août 2008

Par ailleurs, Richard Labévière dans une lettre à la direction de RFI démontre l’inanité des reproches qui lui sont faits ainsi que le caractère illégal de la procédure engagée par sa hiérarchie, et le rôle très "ambigu" joué par la SDJ . Il souligne notamment :

"Constat : j’ai procédé pour l’interview du président syrien comme je l’ai fait pour les derniers grands entretiens effectués dans le cadre du magazine « Géopolitiques » - dont j’étais le producteur responsable - sans que cela soulève la moindre remarque de ma hiérarchie. Ainsi : le sociologue Edgar Morin (23/12/2006) ; l’ethnologue Jean Malaurie (7/4/2007) ; le général libanais Michel Aoun (2/6/2007) ; l’ancien ministre des affaires étrangères Hubert Védrine (17/11/2007) ; le juge international Claude Jorda (29/12/2007) ; le philosophe Régis Debray (28/2/2008) et le conseiller spécial du Président de la République Henri Guaino (19/07/2008)."

"Question : comment se fait-il qu’un tract de la SDJ (Société des journalistes de RFI) affirme dès le 11 juillet, c’est-à-dire cinq jours avant le lancement de la procédure de mon licenciement : « La SDJ s’est étonnée des conditions d’obtention de l’interview du président syrien Bachar al-Assad. Cette interview a été négociée par un journaliste de RFI sans que la hiérarchie et le service international n’en soient informés ». Comment la SDJ était-elle au courant ? Comment la SDJ a-t-elle eu accès aux pièces du dossier disciplinaire avant même que celui-ci ne soit officiellement constitué ?"

"Enfin, je ne vois toujours pas quel préjudice l’Audiovisuel extérieur de la France aurait subi à cause de cette interview. RFI et TV5-Monde qui l’ont diffusée, ne sont-elles pas les filiales de cette seule entité ? La nouvelle directrice de TV5-Monde vient, du reste, d’annoncer le lancement d’une émission de politique internationale coproduite par RFI et TV5-Monde.

Dès lors que j’ai informé ma hiérarchie de l’accord définitif de la présidence syrienne pour l’interview, dès lors que j’ai demandé, sans succès, un technicien de reportage (le Tour de France vous apparaissait alors prioritaire !), dès lors que je suis parti à Damas, précipitamment il est vrai, mais avec l’aval de ma hiérarchie, je ne comprends pas quelle prétendue déloyauté peut m’être reprochée.

Vous n’ignoriez ni le fait que l’interview était également filmée par votre partenaire TV5-Monde, ni le fait que le président Assad n’avait agréé qu’un seul journaliste pour cette interview, en l’espèce moi-même.

Pour l’ensemble de ces raisons, j’estime que mes droits fondamentaux de citoyen, de travailleur et spécialement de journaliste n’ont pas été respectés et que les motifs du licenciement portent atteinte à mon indépendance de journaliste et au respect tant de ma personne que de mon travail.

La gravité de la situation m’amène à saisir sans délai les juridictions compétentes."

Extraits d’une lettre de Richard Labévière à

Madame Martine Paris
Directrice des ressources humaines
Radio France Internationale
116, avenue du Président-Kennedy
BP 9516
75762 Paris cedex

CC : Alain de Pouzilhac, Christine Ockrent, Geneviève Goëtzinger, Pierre Koelsch.

Et bien entendu, outre la signature de la pétition de soutien à Richard Labévière, sur le site ipetitions.com il n’est pas interdit d’écrire à ces "responsables" de l’audiovisuel !

source

CAPJPO-Euro-Palestine
http://www.voxnr.com/cc/politique/EkEAFkVFAkdLzExcRw.shtml
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Richard Labévière
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Richard Labévière, né à Thonon-les-Bains en 1958, est un journaliste français qui a travaillé à RFI avant d'en être licencié en août 2008. Il est actuellement rédacteur en chef de Défense, la revue de l'Institut des hautes études de défense nationale (IHEDN).

 

Sommaire

Biographie

Diplômé en sciences politiques, histoire et philosophie des universités de Paris I (Panthéon-Sorbonne), Genève et Grenoble, il est l'auteur de plusieurs livres sur les liens du terrorisme islamiste avec l'Arabie saoudite et la CIA. Pour lui il faut différencier les attentats organisés par Ben Laden de ceux attribués plus tard à Al-Qaida, qui ne serait selon lui pas une véritable organisation terroriste, mais une étiquette collée a posteriori sur les attentats islamistes afin de justifier une guerre perpétuelle contre la terreur1.

Il fut rédacteur en chef de RFI, chef du service étranger, avant de se voir retirer son poste en 2003. Il garde des fonctions d'éditorialiste international jusqu'en 2005. Richard Labévière affirme que ces mises au placard sont liées au soutien qu'il apporte au journaliste controversé Alain Ménargues. Selon lui c'est après l'intervention de l'ambassadeur d'Israël Nissim Zvili que ses fonctions lui furent retirées. Il affirme aussi avoir été victime de menaces de mort émanant vraisemblablement du Betar sur son lieu de travail2.

Il continue néanmoins son émission Géopolitique, le débat jusqu'à son licenciement pour faute grave au cours de l'été 20083. Son interview de Bachar el-Assad constituerait une faute grave car il n'aurait pas informé sa hiérarchie de la tenue de ladite interview. Accusation que l'intéressé conteste, affirmant que sa hiérarchie était amplement au courant4. Il affirme comme raison de son licenciement être le seul journaliste à continuer à interviewer des personnalités du monde arabe. Dans la même conférence de presse donnée à Beyrouth, il déclare également que ce licenciement intervient dans un contexte de mise au pas de l'audiovisuel extérieur de la France par Christine Ockrent (compagne de Bernard Kouchner) et Alain de Pouzilhac5.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Richard_Lab%C3%A9vi%C3%A8re

 

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Le 11-Septembre de France 24

Panique à Issy-Les-Moulineaux. Le siège de France 24 est entouré d’une épaisse fumée depuis la chute des deux tours de la rédaction : Grégoire Deniau et Bertrand Coq. Déjà, le bruit circule : il s’agirait d’un complot terroriste de la reine Christine Ben Kouchner, orchestré par son bras droit, Poupou Al-Zawahiri. Décryptage de l’attaque du redoutable groupuscule de fanatiques atlantistes à l’assaut du monde libre.

"Trois langues, un seul langage". Telle était la devise caractérisant la spécificité de France 24 à son lancement : la synergie d’une rédaction composée d’une trentaine de nationalités et chargée de relater les informations en français, anglais et arabe. Deux ans plus tard, il faudrait rajouter "et d’une seule voix".

Les critiques perfides du projet d’une chaîne info voulue par Jacques Chirac évoquaient alors la "voix de la France", une sorte d’ORTF, version high-tech et trilingue. Il n’en est rien : le licenciement de Grégoire Deniau, directeur de la rédaction, et la mise à pied de Bertrand Coq, rédacteur en chef, traduisent bien autre chose qu’une directive déguisée du quai d’Orsay.

Au-delà des griefs comportementaux formulés à leur encontre (rudesse, autoritarisme, mauvaise foi, etc.), l’affaire révèle une tendance lourde, constatée depuis l’arrivée de Christine Ockrent, passée des ménages au "grand ménage", à la direction de l’audiovisuel extérieur : la volonté politique d’une épuration idéologique.

Un attentat précurseur a déjà été commis par la reine Christine et Poupou : ceux qui suivent l’actualité du Moyen-Orient n’ont pu manquer le licenciement sec, il y a deux mois, de Richard Labévière, journaliste émérite de RFI et bête noire de ses collègues atlantistes pour ses inclinaisons pro-arabes affichées. Le prétexte invoqué était tout aussi savoureux que pour le tandem Deniau/Coq : Labévière fut sévèrement grondé d’avoir obtenu et négocié avec TV5 l’exclusivité d’un entretien avec Bachar Al-Assad sans avoir suivi la procédure habituelle avec sa direction. Pour ce motif futile, on se débarrasse ainsi d’un trublion incontrôlable, surtout coupable d’avoir commis des enquêtes "délicates" sur la connivence entre Américains et Saoudiens financiers du terrorisme. Richard Labévière avait également réussi l’exploit de dénicher le scoop de la rencontre entre Ben Laden et Larry Mitchell, agent de la CIA, à l’hôpital américain de Dubaï, en juillet 2001. Une information qui lui fut d’ailleurs confirmée par la suite (comme il l’a évoqué début septembre en conférence) de la part d’agents de services secrets arabes et d’attachés militaires américains, sous couvert d’anonymat.

Après Labévière, l’épuration continue

Bertrand Coq : prix Albert Londres 2003, ancien de TF1 et de la Cinq, l’homme est réputé rugueux, véhément, caractériel. Néanmoins, les problèmes relationnels du rédacteur en chef se seraient améliorés depuis un an, selon un collaborateur de la rédaction. Le grief relève-t-il alors de son attitude envers ses subalternes ou bien, comme pour Labévière, de son travail journalistique ? Son ouvrage persifleur, intitulé Les Tribulations de Bernard K. en Yougoslavie et consacré à Bernard Kouchner, compagnon de sa supérieure hiérarchique, pourrait bien lui être revenu, quinze ans plus tard, comme un boomerang en pleine figure.

Il est judicieux de rappeler ici que Christine Ockrent avait déjà rejoint France 24 en tant que chroniqueuse, BCBG et bilingue, avant de quitter la chaîne pour revenir quelques mois plus tard en tant que commandeur suprême. Ce parcours atypique dénote un rapport de force, différent dans le temps, entre la reine Christine et ses sujets. Virer le pourfendeur de son French Doctor, sous un prétexte fallacieux, était sans doute un fantasme à l’époque. C’est désormais une réalité accomplie dans ce qui s’avère être un règlement de comptes.

Everything you are not supposed to know

"Tout ce que vous n’êtes pas censés savoir" : promesse ambitieuse inscrite sur la façade du siège de France 24. Question naïve : nous saurons vraiment tout, y compris sur le 11-Septembre ?

Grégoire Deniau, directeur de la rédaction, prix Albert Londres 2005, rugbyman et baroudeur de terrain, présent en Irak au début de l’invasion. Dans son cas, une affaire digne d’un vaudeville médiatique, entre le théâtre de boulevard et la farce tragicomique. Nous sommes le jeudi 11 septembre et le débat du jour, animé par Sylvain Attal, concerne les fameuses "théories du complot". En bon orthodoxe chargé de brûler l’hérétique, Attal organisa un débat pseudo-contradictoire où quatre invités, convaincus de la version conventionnelle des attentats, ont été "confrontés" à un jeune militant du réseau Reopen911, association prônant la réouverture de l’enquête sur le 11-Septembre. Bref, un débat pour la forme, sans réel enjeu, sinon celui de "bigardiser" - diaboliser - tout pratiquant du doute sous le sceau de l’infamie ("délirant, antisémite, paranoïaque, révisionniste, anti-américain, etc.). Objectivement, le débat, de par son déséquilibre et le faible écho des arguments du représentant de Reopen911, n’allait pas susciter un "conspirationnisme aigu" à travers le monde ni provoquer l’ire de l’ambassade américaine.

Et, pourtant, ce fut un scandale d’avoir "laissé passer" cette discussion, "selon des téléspectateurs" outrés et une "partie de la rédaction", d’après Poupou. Convocation de Deniau qui se serait embrouillé alors dans son explication, sur le mode "de toute manière, j’étais contre ce débat à l’origine". En somme, ni Attal ni Deniau n’ont assumé la responsabilité d’avoir organisé la "confrontation" entre partisans et adversaires de la version officielle du 11-Septembre. Le véritable coupable dans la "chaîne de commandement" journalistique demeure inconnu... Dans sa tentative de se dédouaner, Deniau serait paru de mauvaise foi, au point que Poupou n’avait plus qu’à sortir le carton rouge magique de la "faute professionnelle".

Ironie du sort, pendant ce sulfureux débat dont la simple présentation, sommaire et superficielle, a pourtant chauffé les esprits à France 24, l’animateur du réseau français de Reopen911 avait suggéré qu’il était dangereux d’aborder la question dans les médias avant d’être contredit immédiatement par Attal qui tenta de le rassurer sur le degré élevé de liberté d’expression sur la chaîne. Le doute sur la parole du journaliste est permis : contrairement à d’autres débats plus convenus, le débat sur ce sujet ne figure pas dans les archives du site web de France 24. Un bel exemple d’auto-censure a posteriori.

L’incident est d’autant plus cocasse que TOUS les concurrents directs de France 24 n’ont pas ces émois de vierge effarouchée lorsqu’il s’agit d’évoquer le sujet des théories alternatives du 11-Septembre : CNN, Russia Today, Al Jazeera English, BBC World, Press Tv et même, ô comble de l’affront, Fox News, antenne de propagande républicaine, toutes ont réalisé des reportages ou des entretiens sur la question. Pratique élémentaire du journalisme, puisqu’il s’agit d’évoquer un phénomène de société, indéniable et croissant : le scepticisme d’une majeure partie de la population mondiale, selon les sondages encore effectués cet été, à l’égard du récit politico-médiatique dominant du 11-Septembre.

Ce fait est incontournable, n’en déplaise aux autruches qui se targuent pourtant de faire leur métier de journaliste : de plus en plus de citoyens dans le monde ont, au minimum, un doute sur la complète véracité de la version officielle.

A sa manière, l’affaire Deniau, au-delà des luttes de pouvoir au sein de France 24 et de la purge politique par une direction plus atlantiste (ou "sarko-kouchnero-compatible"), témoigne d’autre chose, qui émerge à peine : la nervosité d’une corporation hybride (patrons de médias, chroniqueurs influents, journalistes, faiseurs d’opinion) à l’endroit de toute parole publique "dissidente" sur le 11-Septembre. L’unanimité incroyable pour fustiger violemment un pitre inoffensif comme Jean-Marie Bigard révèle le décalage saisissant entre les acteurs des médias et l’opinion publique, plus indulgente envers le comique amateur de films "conspirationnistes". Même le référendum sur l’Europe en 2005 n’avait pas connu un tel alignement de la part des journalistes hexagonaux.

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Il y a 8 mois - 1 minute

Le candidat socialiste a rencontré mardi 10 avril les lecteurs du «Parisien» - «Aujourd'hui en (...)

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"Beyond the news" : au-delà de l’information, promet le slogan de France 24. Pari réussi : la chaîne s’efforce bien, par condescendance, lâcheté ou paresse intellectuelle, à survoler une information capitale.

L’info ? Sept ans après les attentats, de plus en plus d’individus dans le monde n’acceptent pas la version du 11-Septembre, telle que contée par le gouvernement américain et rapportée docilement par l’écrasante majorité des médias occidentaux.

Depuis 2001, le 11-Septembre n’en finit pas de faire des victimes collatérales, coupables d’avoir posé des questions et bannies de l’exposition médiatique jusqu’à ce qu’elles fassent repentance avant d’aboutir, au moyen d’une dépêche AFP, à en prononcer ce terrible mot : "pardon".

"Et pourtant elle tourne", aurait répliqué Galilée aux tenants de l’Inquisition... Et pourtant le 11-Septembre continuera de faire débat. Partout dans le monde, sauf, désormais, sur France 24.

 

 

*Bonus : l’équipe de France 24 pour son premier anniversaire fin 2007 "Good old time, buddy"...


NDLR : ci dessous, un droit de réponse demandé par Sylvain Attal suite à la publication de cet article.

Droit de réponse :


"Contrairement à ce que vous affirmez sans apporter la moindre source à votre récit, j’ai toujours assumé et j’assume encore jusqu’à ce jour le débat que j’ai proposé à la direction de la rédaction au sujet des théories conspirationnistes. J’assume aussi la façon (que vous qualifiez d’orthodoxe) de conduire ce débat. Certains, au sein de la redaction étaint d’avis que ce débat ne devait pas avoir lieu, en particulier ce jour là, point de vue que je respecte, comme je souhaite que le mien le soit.

La suite concerne des problèmes de management, des malentendus et des dysfonctionnements qui relèvent du fonctionnement et du débat interne de France 24 et sur lequel je ne souhaite pas m’étendre ici.
Sylvain Attal "



Sur le même thème
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http://www.agoravox.fr/actualites/medias/article/le-11-septembre-de-france-24-44588
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commentaires

E
<br /> Ségolène : J'ai posté ça sur le site :<br /> <br /> <br /> Pour moi elle est une femme libre, trop libre, et donc à éliminer politiquement. Mais elle est aussi prisonnière du Lobby comme hélas tous, par réalisme politique au moins ! Elle devrait revenir,<br /> elle a l'énergie - mais une épine : Jalouse, Valérie Rotweiller ne la laissera pas approcher "son" homme ! Pour moi, cette vilaine femme au grand ascendant sur Hollande, est le plus dangereux<br /> adversaire pour l'avenir politique de la méritante Ségolène. Pauvre France, polluée par la mafia sioniste-talmudiste, et paralysée par des Rotweiler ! eva<br />
Répondre
C
<br /> mes derniers posts :<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Pas le temps de trié :)<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> http://chiron.over-blog.org/article-bagarres-au-parlement-ukrainien-113436440.html<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> http://chiron.over-blog.org/article-non-a-la-debilisation-de-la-civilisation-113427451.html<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> http://chiron.over-blog.org/article-le-secretariat-general-de-l-enseignement-catholique-a-pris-jeudi-13-decembre-position-contre-le-mari-113426330.html<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> http://chiron.over-blog.org/article-l-abolition-des-visas-et-le-troisieme-paquet-energie-113423058.html<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> http://chiron.over-blog.org/article-la-maladie-genetique-qui-permet-de-chiffrer-l-ampleur-de-l-immigration-la-drepanocytose-113422380.html<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> http://chiron.over-blog.org/article-la-russie-est-un-des-rares-pays-ou-l-on-peut-vivre-calmement-113419642.html<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> http://chiron.over-blog.org/article-de-la-zombification-de-l-humanite-ke-ha-et-nafissatou-113396757.html<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> http://chiron.over-blog.org/article-les-annees-a-venir-determinantes-pour-la-russie-et-le-monde-poutine-113380386.html<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> http://chiron.over-blog.org/article-russie-le-pouvoir-ne-doit-pas-etre-une-caste-poutine-113380300.html<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> http://chiron.over-blog.org/article-la-russie-doit-conserver-son-identite-nationale-poutine-113378865.html<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> http://chiron.over-blog.org/article-geopolitique-la-russie-trouvera-sa-place-sans-confrontation-poutine-113350993.html<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> http://chiron.over-blog.org/article-la-fin-du-monde-ce-sera-la-delivrance-de-toutes-les-fausses-croyances-113326495.html<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> http://chiron.over-blog.org/article-perfidies-folies-et-mesquineries-du-judaisme-etc-113325910.html<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> etc...<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Bises, Corinne<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> L'Apocalypse est la révélation de la vérité face aux<br /> débilités des fausses croyances...<br /> <br /> <br /> Les dessous du mariage pour tous...<br /> <br /> <br /> Mais ou est Ségolène Royale???<br /> <br /> <br /> Le retour des cloches de la cathédrale Saint-Isaac de<br /> St-Pétersbourg<br /> <br /> <br /> La politique étrangère de Russie : les points sur les « i » sont mis<br /> <br /> <br /> Bon voyage en Russie !<br /> <br /> <br /> Le<br /> chef de la diplomatie polonaise le 17 décembre à Moscou<br /> <br /> <br /> Sibérie: de la vodka pour réchauffer deux éléphants frigorifiés<br /> <br /> <br /> « Design soviétique<br /> 1950-1980 » : un retour en URSS<br /> <br /> <br /> Poutine organise le renouveau de la<br /> Russie<br /> <br /> Liste complète<br />
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C
<br /> Bonjour chère Éva !<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Des flashs me viennent au sujet de Ségolène Royale ???<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Que devient-elle???<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> http://www.alterinfo.net/Segolene-ROYAL-politiquement-MORTE_a78054.html<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> ???<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Bises, Corinne<br />
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