Les banquiers et les assureurs ont déclaré
la guerre aux citoyens du monde entier:
Défendons notre Droit à la vie !
Guerre mondiale des peuples
contre les escrocs de la Finance.
Par eva R-sistons à l'intolérable
Mes frères, mes soeurs en humanité,
chers citoyens du monde,
relayez cette lettre ! Elle doit circuler partout...
J'écrivais il y a plusieurs mois sur mon principal blog http://r-sistons.over-blog.com : "A la mondialisation financière doit répondre la mondialisation des luttes". D'ores et déjà, via Internet, les réseaux sociaux, l'usage des SMS etc, elles doivent se mener dans le cadre de l'Union Européenne, confrontée aux mêmes fléaux : Exigences du FMI, via Strauss-Kahn (faux socialiste et vrai ennemi des peuples), agences de notation, spéculations insensées sur des Etats exsangues, prêts accordés à des taux usuriers...
La situation, d'abord :
Les Méga-Banques ont pris le contrôle des politiques menées dans le monde. Je ne traiterai pas, ici, des pratiques des traders fous, de la création de bulles, etc. J'irai droit au but : La dette. Les banksters prêtent de l'argent à partir de rien (c'est une imposture !), et elles encouragent l'endettement, pire encore, elles fabriquent des dettes frauduleuses, non remboursables, menaçant tous les pays les uns après les autres. Bref, pays et citoyens sont ruinés, ou sur la voie de l'être. La zone euro risque d'éclater, les économies risquent de s'effondrer.
En prenant la tête du FMI, Strauss-Kahn l'a boosté: L'influence de cet organisme carnassier devient tentaculaire. Or, le FMI a ruiné des Etats du Tiers-Monde, en les asphyxiant avec des taux usuriers et en imposant des politiques d'austérité agressives. Et maintenant, il s'en prend à l'Europe et aux Etats-Unis ! Au menu: Des sous, des milliards en fait pour les Banques, et l'austérité drastique, les sacrifices pour les citoyens de base : Postes de fonctionnaires supprimés, retraites, allocations et salaires amputés, et tout cela pour engraisser des banksters d'une cupidité maladive ! Le prétexte: Relèvement de l'économie, un faux prétexte relayé par les Médias aux ordres des puissances financières.
Concrètement, des milliards de citoyens sont pris en otage. Il s'agit, à partir d'une dette folle, du plus grand hold-up de l'Histoire de l'humanité ! Et ce hold-up frauduleux s'accompagne d'un contrôle total de tous les leviers politiques, industriels, médiatiques, etc, et même ... des populations !
L'Europe d'aujourd'hui est le "machin" (de Gaulle) des banques, et cette U.E. est-elle même le tremplin du Nouvel Ordre Mondial en gestation, véritable future dictature planétaire des Méga-Banques. Au programme des banksters: Endettement maximum, juteux pour eux, contrôle total des pays et des populations, crises, pandémies et guerres permanentes réductrices de population, main-mise sur la Santé, l'Education, etc, destruction de toutes les conquêtes sociales et de toutes les libertés...
Et aujourd'hui, les Banksters exercent des ravages dans tous les domaines : Neutralisation des citoyens et de la démocratie, destruction des nations souveraines, des Etats, de la politique, de l'économie réelle, des protections sociales, des services de base, des dépenses publiques, des retraites, des postes de fonctionnaires, des budgets nationaux, des lois, du Droit, de l'indépendanec des Médias, et puis guerres économiques tueuses d'emplois, restrictions de dépenses d'infrastructures, surveillance de tous les citoyens considérés comme des terroristes potentiels, création de nouveaux impôts et de nouvelles taxes (plus discrètes)...
Cibler les Banksters
et les gangsters de l'Assurance
Les Etats, les peuples, les Elus, les Médias, sont pris en otage. Et les Méga-Banques ne sont pas seules responsables : Les Assurances le sont tout autant. Notre combat doit être double: Contre les banksters et contre les gangsters de l'Assurance privée. Une guerre sans merci doit être déclarée à ces prédateurs sans scrupules qui ont pris en otage les peuples et qui organisent pan par pan leur appauvrissement (par exemple, fin de la retraite solidaire par répartition). C'est un véritable génocide contre l'humanité toute entière ! Même la médecine naturelle est en voie d'interdiction, comme d'ailleurs l'alimentation saine, de nos potagers par exemple ...
Les dirigeants de ces Organismes, Banques, Assurances, Institutions comme le FMI ou la BM, doivent être mis hors d 'état de nuire. Il existe des Tribunaux de Nuremberg ou de la Haye pour les criminels, il est temps d'obtenir qu'eux aussi ne soient plus les otages de l'Occident, donc qu'ils ne jugent plus seulement les assassins de Juifs ou, de manière scandaleuse, des dirigeants serbes qui ont été attaqués par des puissances coloniales et qui ont défendu, légitimement, leur pays... Ces Tribunaux au service de l'Occident doivent, pour être crédibles, juger les vrais auteurs de crimes de guerre ou contre l'humanité, comme les Bush, les Rumsfeld, les Cheney, les Blair, les Rockefeller, les Rothschild, les Kissinger, etc, ou, désormais, les dirigeants des Grandes Banques, les Méga-Assureurs, ou les Maîtres du Monde, et même les responsables de multinationales du Pétrole, de la Chimie, de l'Agro-Alimentaire, de la Pharmacie, de l'Armement (je viens d'apprendre au sujet d'une grosse société pétrolière française particulièrement opaque, qu'on ne sait même pas vraiment dans quel pays elle opère ! Et lorsqu'on sait, pour ces multinationales, ce que valent la vie des autochtones, des indigènes, etc, il y a de quoi être effrayé !).
Peuples contre banksters
et gangsters de l'Assurance.
Comment les empêcher de nuire ?
Merci à Cantona d'avoir utilisé son nom pour diffuser une idée essentielle: C'est de l'intérieur qu'on peut venir à bout d'un Système assassin, en informant d'abord, ensuite en le coulant par des initiatives intelligentes. Sur mes blogs, j'ai toujours défendu, comme le formidable blogueur ASPETA, l'idée suivante: Ne dépensons pas, pensons... Les manifs, "Ils" en rigolent. Et même les Syndicats nous divisent pour désamorcer la force du mouvement de revendication d'une autre société (je dirais vraiment républicaine, avec les idéaux de liberté, d'égalité, de fraternité, donc société humaine, éthique, juste..).
Nous devons, à mon avis, faire plusieurs choses. Certes, l'idée que deux millions de citoyens marchent sur Bruxelles, est bonne. Mais il y a mieux, et Cantona l'a compris: Il faut vider les Banques, les priver de leurs moyens de nuire aux peuples. Pour mettre l'argent où ? Voici deux pistes: Les Banques solidaires comme la NEF, ou les banques islamistes, éthiques, elles, et attachées à promouvoir le travail, la création d'entreprise, plutôt que le capital moderne, parasite...
Ensuite, si nous voulons acheter un bien, patientons, économisons d'abord, et achetons ensuite. Alors, nous priverons les banques de leurs pratiques mafieuses, créant des dettes illimitées, et onéreuses, nous étranglant. Et puis, recentrons nos existences sur l'essentiel, vivons simplement, recherchons le qualitatif plutôt que le quantitatif (l'accumulation de biens), préférons le troc de biens, de services, orientons-nous vers l'économie solidaire et plus généralement, redécouvrons les vertus du lien social, de la solidarité...
Et puis, nous devons refuser de payer les dettes, ces intérêts qui s'accumulent et ne seront jamais remboursables, d'ailleurs, en dépit des sacrifices toujours plus consentis par les citoyens de base. Faisons comme l'Argentine, qui s'en est sortie en annulant elle-même sa dette !
Il y a une manière intelligence de combattre efficacement. Sans nous, "Ils" ne sont rien. Montrons-leur notre pouvoir, en changeant nos modes de vie, nos projets, nos besoins, nos orientations, et privons-les de leurs instruments mortifères d'asservissement... Alors, nous aurons vaincu un Système inique, prédateur, assassin, qui de surcroît hypothèque l'avenir de nos enfants, de nos descendants.
Je suis d'accord pour prendre la tête, avec Cantona et avec d'autres, de ce combat VITAL pour les peuples, et pour l'avenir même de l'humanité, et de mettre ma voix, plus forte et plus efficace que ma plume, au service des citoyens spoliés.
Cantona, le combat commence ! Tous ensemble... Et finalement, peut-être la crise est-elle l'occasion historique de changer les choses ?
Eva R-sistons
http://r-sistons.over-blog.com
(eva) En cherchant des illustrations sur Google,
je tombe sur un de mes posts, je le republie
:
Bien que cela puisse semble tout à fait évident, je vais quand même dire que nous avons souvent tendance à oublier qu’une communication intelligible est essentielle à la compréhension mutuelle. Sans compréhension commune de ce que nous nous disons les uns aux autres, nous nous retrouvons à la dérive au Babel-land. Le risque pour nous tous de l’absence de compréhension commune ne pourrait être surestimé.
Au milieu du déluge de renflouages, de paquets de sauvetage et de stimulus, il n'y a aucune communication claire concernant exactement pourquoi sont prises ces mesures et comment elles entendent améliorer la vie des gens ordinaires. Il est évident que c’est délibéré. Si nous, les gens normaux de la planète, avions une compréhension commune de ce qui se passe réellement, nous déciderions que nous n’approuvons pas, nous conviendrions précisément du pourquoi nous n’approuvons pas et nous nous accorderions probablement sur ce que nous souhaiterions voir se produire à la place. Ceux qui contrôlent notre monde savent cela, aussi font-ils en sorte qu'aucune entendement commun ne perce ; ils ont besoin de la confusion. En fait, ils créent la confusion.
Ils le font parce que, si suffisamment de gens parvenaient vraiment à saisir ce qui se passe réellement sur cette planète, une masse critique pourrait être atteinte, et nous déciderions collectivement de ne plus tolérer la manière d’être du monde et, plus important encore, nous pourrions avoir une direction commune pour sortir de la pagaille.
Afin d’assurer que nous ne puissions développer cette direction commune, les contrôleurs, ou les Managers, comme les appelait Douglas Reed, veillent sans cesse à ce que nous soyons en état de confusion. La condition préalable à la réalisation de cette confusion, c'est que nous soyons maintenus en état de peur mutuelle constante, grâce auquel nous considérons les « autres » comme une menace, tant pour nous que pour nos biens, notre statut social, position au travail, place dans notre communauté, situation économique et même pour notre survie.
Nos sociétés ont été organisées de telle manière que les riches craignent les pauvres, la classe moyenne a peur des travailleurs syndiqués, les races et les croyances religieuses se craignent l’une l’autre, et ainsi de suite quasiment à l’infini. Nous rivalisons plutôt que coopérons et nous redoutons et haïssons plutôt qu'aimons et compatissons. Toutes nos religions, tous nos partis politiques, toutes nos croyances ont été manigancés de manière à nous maintenir en état de peur. Chaque société reflète dans la peur de son peuple les inégalités et l'injustice de sa structure sociale et le programme politique et social du gratin régnant.
Pour la plupart des gens dans les pays soi-disant « libres » du monde occidental, la peur est en général envers l’un l’autre, et envers l’étranger, qu'il soit immigrant ou « terroriste, » mais cette situation a changé, car nous avons de plus en plus conscience de l’effrayant pouvoir de l’État quand il manifeste sa brutalité contre nos manifestations, quand il rogne peu à peu nos « libertés » et engage nos nations dans des guerres et des exactions criminelles et immorales. Afin d'accumuler de plus grands pouvoirs pour lui-même, l'État manipule la peur des gens, sous prétexte de « guerre contre le terrorisme », « guerre à la drogue », d'immigration et d'insécurité économique. La superposition de la peur est un barrage constant à l'information contradictoire, la fausse information et la désinformation étant échafaudées de manière à ce qu'aucune image nette de la réalité ne puisse être perçue. En un mot, l'État utilise la technique du Transmarginal Inhibition [sorte de programmation pavlovienne, ndt] pour rendre la majorité des gens passifs, apathiques, dociles et confus.
Les gens en état de confusion perpétuelle sont impuissants et incapables d'action collective cohérente. La tactique a toujours été de diviser pour régner.
Il se déroule une lutte qui décidera de l'avenir de cette planète et de sa population. Contre les gens normaux se déploie un système morbide, dominé par des psychopathes de toutes races, croyances et couleurs. Ces psychopathes n’ont pas un objectif bien compréhensible pour les gens normaux ; leur but est le pouvoir, le pouvoir pour eux-mêmes. Ils ne poursuivent aucun objectif stratégique politique ou économique, il n'existe aucune terre précise qu'ils convoitent, ni degré de richesse qu’ils ambitionnent, car il n'y a pas suffisamment de terres, ni assez de richesses pour les satisfaire. Il n'existe pas non plus de limite à la souffrance qu’ils infligeront pour avoir l’air de se réjouir des bains de sang, des actes de torture et de la misère. Ils cherchent le contrôle absolu, aucun marché ni pourparler ne peut les satisfaire, il n'y a aucun traité qui puisse mettre fin à leur progression avide, ni principe qui puisse les limiter.
Chaque institution de notre monde, nos gouvernements, entreprises et religions, reflètent l’aliénation du psychopathe. Nous avons grandi et élevé nos enfants dans un monde dominé par cette morbidité et ces êtres.
Pourtant, le psychopathe a une faiblesse fondamentale. Comme tout prédateur rodant dans la nature, dont le manger dépend de leur camouflage, ils ont une peur immense d’être découverts. C'est cette peur innée d’être exposé domine une grande partie de ce qu'ils font et explique l’état d'immense peur et de confusion dans lequel ils nous maintiennent. La peur et la confusion du monde sont un stratagème délibéré des psychopathes pour éviter d’être découverts.
Nous ne pouvons lutter avec des armes de guerre contre les psychopathes et le système malsain qu'ils ont créé, car ils contrôlent la plus grande des machines de guerre que le monde ait jamais vu ; nous ne pouvons réussir par aucun autre moyen qu’une simple et toute-puissante révolution, une révolution de vérité. Pour que la vérité révèle le mensonge et que le psychopathe dépérisse à la lumière de la vérité.
Comme Saint Paul l’a admirablement déclaré, la vérité nous rendra en plus libres. Elle nous libérera de la peur et de la confusion, car la vérité n'est pas politique, religieuse ou autre, elle se dresse sur elle-même. Mais trouver la vérité n'est pas tâche aisée, car elle demeure cachée derrière des voiles et des voiles. Notre tâche est donc d’ôter sans pitié chaque voile ; sans pitié surtout pour nous-mêmes et la vague chaleur des mensonges religieux et philosophiques que nous avons utilisé comme de la laine sur nos yeux.
Nous découvrirons sur le monde et sur nous-mêmes des horreurs qui interpelleront tout ce que nous prenions pour acquis, mais, si nous n'avons pas le cran de faire face à ces horreurs, à ces vérités sur nous-mêmes et notre monde, nous perdrons, et le monde sombrera dans des ténèbres d’où il ne pourra plus jamais se redresser. Les psychopathes dominent le monde depuis des millénaires, mais aujourd'hui ils ont le pouvoir de détruire ce monde sans la capacité de comprendre ce que cela signifie réellement. Comme Andrew M. Lobaczewski l’a présenté dans Ponérologie politique, « Les microbes ne savent pas qu'ils seront brûlés vifs ou enterrés profondément dans le sol avec le corps humain qu’ils font mourir. »
Lorsque nous éliminons les mensonges, le système qui nous retient captifs ne ressemble plus au monde dans lequel nous pensions vivre. Toute limite et caractéristique du monde en lesquelles notre conditionnement nous faisait croire sont des illusions artificielles, créées tout simplement comme cadre de contrôle. Pour ceux qui mènent véritablement le monde, il n'y a pas de frontières ; pour eux il n'y a ni État nation, ni loi, ni moralité ; il n’y a que le pouvoir.
L'argent et l'économie ne sont que des outils d’obtention du pouvoir, de sorte que tout ce que nous observons dans le domaine économique et de l'argent découle tout simplement de l’accumulation perpétuelle de pouvoir. Pourtant, nous devons comprendre que le système, la Matrice, n'est pas quelque chose que nous découvrirons soudain un jour et que nous serons capables de désigner en disant : « voyez, elle est là, » car elle nous entoure ; tout ce que nous voyons est au mieux un simple reflet de ce qui se passe à des niveaux que nous ne pouvons pénétrer.
Dans cet esprit, revenons à la question de la confusion. Il nous semble que l'immense confusion entourant la crise économique est un élément clef pour percevoir la Matrice. Il nous semble que ceux qui mènent le monde, les Managers, comptent sur cette confusion pour faire en sorte que nous prenions une voie particulière qui est à leur avantage. Nous pensons que la voie qu’ils nous font descendre est proche d’une débâcle économique totale entraînant le naufrage de l'ordre social existant et l'imposition d’une dictature militaire ouverte. C’est la conséquence finale évidente de ce qu'ils font et c’est donc leur intention.
C'est précisément le scénario envisagé en novembre 2008 dans une monographie de l'Institut des Études Stratégiques intitulée « Known Unknowns : Unconventional 'Strategic Shocks' in Defense Strategy Development, » (Inconnus notoires : ‘Chocs stratégiques’ non conventionnels dans le développement de la stratégie de défense) dans laquelle il est indiqué : La violence civile répandue à l’intérieur des États-Unis pourrait en dernier recours forcer l’ordre établi à réorienter les priorités pour défendre l’ordre national élémentaire et la sécurité humaine. L’usage délibéré d’armes de destruction de masse ou tout autre moyen catastrophique, effondrement économique imprévu, détérioration du fonctionnement politique et de l'ordre légal, résistance interne déterminée ou insurrection, urgence sanitaire généralisée dans le public, et catastrophe naturelle et désastre humain sont autant de pistes pour un choc perturbateur dans le pays.
Il a dit que les banques, en particulier celles qui continuent encore à payer de grosses primes malgré qu’elles aient reçu des milliards de l’argent du contribuable, sont devenues des « cibles persistantes. » Il en va de même pour le siège social des compagnies multinationales et des autres institutions financières de la City, qui sont responsables de la crise financière.
Hartshorn, qui organise régulièrement des réunions d'information sur les causes possibles des troubles civils, a déclaré que l'état d'esprit dans certaines manifestations a récemment changé, avec des activistes qui ont de plus en plus « l'intention de descendre dans la rue pour créer des troubles contre l'ordre public. »
L'alerte arrive à la suite de violentes manifestations contre le traitement de l'économie en Europe. Au cours des dernières semaines, les agriculteurs grecs ont bloqué les routes à cause de l’échec à relever les prix agricoles ; un million de travailleurs ont pris part à des manifestations en France pour demander une plus grande protection de l'emploi et des salaires ; et les manifestants se sont affrontés à la police de Reykjavik en Islande.
Au Royaume-Uni, le mois dernier, des centaines de travailleurs de la raffinerie pétrolière ont lancé une grève sauvage contre le recours aux travailleurs étrangers.
Des rapports du renseignement indiquent que « des activistes connus » sont aussi de retour dans les rues, et les policiers affirment qu'ils vont fomenter des troubles. « Ces gens pourraient bien motiver les gens, mais ils n'ont pas la capacité de mettre réellement à exécution les manifestations, » a déclaré Hartshorn. « Manifestement, le ralentissement économique, le chômage, les saisies, changent cela. Soudain, il existe pour les gens la possibilité d’une manifestation de masse. »
Dans son From Smoke to Smother (De la fumée à en étouffer) (1948), Douglas Reed prévoyait exactement ce scénario quand il écrivait sur la Dictature Mondiale qu’il voyait monter sous le couvert de l'Organisation des Nations Unies, introduite grâce aux « pouvoirs d'urgence », à la « direction du travail » et au « rationnement du pain. »
Nous avons désormais les « pouvoirs d'urgence » en place : le Patriot Act, la loi relative aux commissions militaires, etc aux Etats-Unis, les lois relatives au terrorisme au Royaume-Uni (pour n'en nommer que quelques-unes). Bientôt nous aurons la « direction du travail, » car, l'économie tombant en ruines, pour les compagnies mondiales, travailler pour l'État ou grâce à l'État deviendra une nécessité face à la famine. En temps voulu, avec la débâcle du commerce mondial et de la structure sociale, il y aura sans aucun doute quelque sorte de « rationnement du pain. » Que ce soit un véritable rationnement ou plutôt un simple moyen de privation contre ceux qui ne s'inclinent pas devant le pouvoir de l'empire étasunien et israélien.
Pourtant, nous voyons à présent que l'Organisation des Nations Unies pourrait avoir toujours été une couverture. Depuis 50 ans, les fondamentalistes chrétiens et les théoriciens de la conspiration des États-Unis et d’ailleurs, déclament avec véhémence sur le Nouvel Ordre Mondial de l'ONU tout en décrivant les États-Unis en bastion des libertés et seule puissance qui puisse s'opposer à l'ONU et au monde. Cela a rendu les gens très imaginatifs incapables de voir où se trouve le véritable danger.
Même Douglas Reed considérait l'ONU comme l’organisme supranational qui imposerait la première Dictature Mondiale. Et à quel point s’est-on trompé quand on voit l'invasion de l'Irak fondée entièrement sur des armes imaginaires, les brimades envers l'Iran parce que ce pays est sur le chemin de l'hégémonie des États-Unis et d’Israël, pendant que le génocide éhonté perpétré par Israël est passé inaperçu encore moins abordé par les Nations Unies impuissantes ?
De la même manière, nous serons confrontés à un ou plusieurs organismes supranationaux établis, comme l'Organisation des Nations Unies l’a été, au prétexte du « plus jamais ça. » Cette fois, le « plus jamais ça » est d'ordre économique, mais il deviendra militaire à la suite de l'agitation sociale et de la violence étatique. Les mêmes mensonges seront débités pour justifier ces institutions, comme dans les années 40, et, encore une fois, il y aura cachés derrière ces repoussoirs ce qui dirige véritablement le monde : les États-Unis et Israël.
Les Managers ont conçu cette crise, sa forme, portée et ampleur, de manière à ce que nos gouvernements ne puissent rien faire en dehors des limites qui leur sont imposées, même s’ils voient et comprennent dans quel piège nous sommes tous.
La crise bancaire a été manigancée habilement grâce à la transformation de la banque en casino mu par la cupidité à haut risque, permise par la fourberie de la disparition de toute réglementation, et au surplus de la masse monétaire. Le système bancaire est d’une nature telle qu'il aboutit inévitablement à l’endettement poussé par la bulle du prix des actifs, qui extirpe des millions aux prisonnier de la dette et fait perdre des milliards aux esclaves. Année après année, les fusions bancaires ont abouti à un petit nombre de banques qui en viennent à dominer le monde, avec pour conséquence inévitable le fait que l'existence même du système entier repose désormais sur leurs épaules.
Pourtant, on a délibérément permis à ces banques d’être dirigées de façon désinvolte et immorale, avec très peu de supervision adéquate. De même, le monde est devenu dominé par un petit nombre de compagnies mondiales qui contrôlent l'accès à l'énergie, à l'alimentation, et aux autres choses essentielles et non essentielles de la vie. Nos systèmes politiques sont devenus otages de l'intérêt de ces empires bancaires et corporatistes. Nos gouvernements sont tellement dominés par eux que l’administration étasunienne a été qualifiée de « gouvernement Sachs » en référence au nombre de postes ministériels occupés par des gens de Goldman Sachs.
Les gouvernements de nos nations ne sont désormais plus que de simples marionnettes des banques et des compagnies qui dominent le monde, elles-mêmes marionnettes des Managers cachés qui imposent leur autorité grâce à la puissance militaire et l’État policier.
C’était tout le piège, conçu pour aboutir exactement à cette situation sans échappatoire évidente. Nos dirigeants politiques, nos fonctionnaires, nos banquiers et dirigeants d'entreprises, sont tous le produit d'un système qui leur a fourni un cadre de réalité fallacieux, limité et manigancé de telle sorte que le psychopathe monte au sommet et que le non-psychopathe devienne si désespérément contaminé qu'il pourrait aussi bien être psychopathe. Leurs croyances sur le monde sont tellement aliénées qu'ils se permettent de piller et détruire des populations et des nations entières, et se justifieront de la répression et de la destruction de leur propre peuple. On nous dit pourtant que nous devons nous en remettre à ces gens pour nous sortir de la chienlit qu'ils ont créé.
La grande majorité de ces gens n’ont pas créé sciemment ce gâchis, ils ont tout simplement participé à sa création parce que c'est leur manière d’être, c’est le reflet de leur nature, ils ne peuvent être autrement et ne pouvait rien faire d'autre.
Mais derrière eux se trouvent ceux qui sont très conscients des actions qu'ils prennent et qui ont un agenda clair et précis. La manière de travailler de ces Managers est simple, ils comprennent la nature des psychopathes, puisque c'est la leur, et les faiblesses des gens normaux, et ils jouent avec eux. Ils élaborent des environnements dans lesquels prospéreront les psychopathes et où deviendront dominants les points faibles des gens comme la cupidité et l'avarice. Le système capitaliste du marché libre est exactement ce genre de cadre, un milieu facile à truquer par les Managers pour créer tous les effets qu’ils souhaitent.
Le dénouement qu’ils ont voulu et cristallisé est l'effondrement du système, exactement comme nous le voyons ; l'inévitable bataille frénétique de leurs larbins pour les « solutions, » qui font elles-mêmes partie du plan, avec l’organisation simultanée du pillage des trésors nationaux dans le monde entier, de manière à arracher le maximum de richesses, augmente la dette de manière exponentielle et crée des personnages détestés dans les banques et chez les banquiers pour que les masses dirigent leur colère contre eux.
Chaque pièce de l'échiquier a sa raison d’être. Les dirigeants politiques sont choisis pour leur caractère, que ce soit Obama, pour son charisme apparent, au contraire de Bush, Brown, pour son air maussade, ou Sarkozy, pour son arrogance sans borne. Les banques ont été organisées de manière à faire faillite, pour ensuite solliciter l'argent public au dégoût et à la colère inévitable des masses. Les machines de guerre ont été endurcies au combat, le personnel militaire et policier conditionné à la mentalité « guerre à la terreur, un terroriste demeure dans chaque individu, » les gens ont suscité la peur et la confusion. La masse des gens a été réduite à une foule ignorante et confuse, aisément dirigée, manipulée dans la violence ou la soumission, exactement comme le souhaitent les Managers. À aucun moment les Managers ne peuvent être identifiés, car ils ne sont jamais sur l'échiquier.
Pour beaucoup, l'idée que notre monde est un échiquier géant est indigeste. Ceux-là retombent dans les illusions de la Matrice, recherchant toujours une explication plus confortable, plus rassurante. Comme le disait Douglas Reed, « Les hommes sont prompts à trembler devant les dangers imaginaires et lents à voir les vrais. »
Nous sommes entraînés vers l'apocalypse économique, l’effondrement de la société et la dictature totalitaire ; c’est aussi simple que ça. Refuser la réalité rend victime, l’affronter construit l’avenir des gens.
le 23 février 2009. | |
Articles de Simon Davies publiés par Mondialisation.ca http://mondialisation.ca/index.php?context=va&aid=12481 et sur http://panier-de-crabes.over-blog.com/article-28526034.html |
Michel Peyret
Jean-Claude Guillebaud, à l’occasion d’un de ses derniers billets de Sud Ouest Dimanche, mettait en évidence la « sourde inquiétude » qu’il percevait en France et, plus largement encore, chez les peuples d’Europe.
A sa façon, il montrait ce que je m’efforce de faire depuis pas mal de temps déjà, à savoir que « la question des retraites n’était pas seule en cause » dans la crise sociale actuelle.
« Cette réforme-là, poursuivait-il, lancée dans un climat de suspicion et de scandales, a favorisé la cristallisation de quantités de frustrations éparses, de colères rentrées, de désarroi confus...Une chose est sûre : le sourd malaise est plus profond qu’on ne le croit.
suite ici :
http://www.comite-valmy.org/spip.php?article1008
par Frédéric Lordon
http://blog.mondediplo.net/2010-12-02-Ne-pas-detruire-les-banques-les-saisir
http://www.comite-valmy.org/spip.php?article1001
http://www.comite-valmy.org/spip.php?article997
Source : www.agoravox.fr - vendredi 3 décembre 2010
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par Paul Villach
http://www.comite-valmy.org/spip.php?article1002
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Opinion: Programme de sortie de crise
Avocats d'Affaires, Présidents de la République
L'article d'eva R-sistons publié à l'instant:
http://www.lepost.fr/article/2008/04/09/1178846_l-ump-et-les-ogm-un-concours-de-lachete-et-d-inelegance.html
Méfiance ! Avocat d'Affaires...
Pour devenir Président de la République, voici l'homme idéal pour le Nouvel Ordre Mondial carnivore : L'avocat d'Affaires. Pourquoi ?
Définition: Un avocat d'Affaires "a pour clients des sociétés. Ses activités se rapprochent de celles du conseil en stratégie. Il a pour spécialité, selon les cas, le droit financier, le droit boursier (..) Il exerce dans des cabinets spécialisés, français, mais aussi assez souvent – à Paris – dans des cabinets anglo-saxons. "L’avocat d’affaires diffère du juriste d’abord du fait de son diplôme d’avocat, bien sûr, mais aussi par ses facilités relationnelles, indispensables dans ses relations avec les clients (..) L’avocat d’affaires est en général sous statut libéral" (http://www.letudiant.fr/etudes/30-filieres-pour-gagner-plus-14915/avocat-daffaires-12982.html)
Les mots soulignés représentent, finalement, ce dont les citoyens se méfient de plus en plus. Sarkozy, Copé, honnis, sont des avocats d'Affaires: Multipliant les relations haut placées, au service de grosses sociétés surtout financières, souvent anglo-saxonnes (la City n'est pas loin !), défendant le libéralisme dont les peuples ne veulent pas...
Le Nouvel Ordre Mondial qui décime la planète, adore les avocats d'affaires, et les promeut aux fonctions les plus importantes, même présidentielles. Deux atouts essentiels:
suite ici :
6 décembre 2010 14:40, Les mots ont un sens, par Napakatbra |
3 300 milliards de dollars aux États-Unis, 2 000 milliards d'euros pour l'Europe. Les États banquent... en toute discrétion.
Mercredi dernier, sous la contrainte du Congrès, la réserve fédérale US s'est résignée à publier le détail des 21 000 transactions effectuées entre le 1er décembre 2007 et le 21 juillet 2010. Sur cette période de panique généralisée, la Fed a distribué 3300 milliards de dollars d'aides d'urgence. Et l'on découvre qu'on a frôlé la catastrophe planétaire, malgré les déclarations éminemment rassurantes de nos valeureux dirigeants.
3 300 milliards de dollars aux États-Unis
Depuis le début de la crise, des banques réputées "solides" se sont succédé au guichet de la Fed pour quémander des centaines de milliards de dollars d'aides en tous genres. Par exemple, Citigroup a demandé l'intervention de la Fed au moins 174 fois. Même topo pour Merrill Lynch, Goldman Sachs et Morgan Stanley, parmi tant d'autres.
Mais aussi des banques étrangères. UBS a reçu 74,5 milliards. 200 milliards pour la Barclays. BNP Paribas, Société Générale, Natixis, Dexia, Bayerische Landesbank, Dresdner Bank et Commerzbank et même... la Banque centrale européenne ont également bénéficié de ces aides d'urgence. Mais aussi des sociétés commerciales. Caterpillar, Harley-Davidson, General Electric, McDonald's, Toyota (...) ont tiré profit de ces programmes de prêts gratuits débloqués en catastrophe. Bref, du sauve-qui-peut à qui-n'en-veut.
Comme des petits pains...
"Je pense que nos actions ont empêché un résultat encore plus désastreux", s'est défendu Donald L. Kohn, l'ancien vice-président de la Fed. D'autant que la plupart de ces aides seraient maintenant remboursées. "Après des années de tergiversations de la Fed, le peuple américain est enfin informé des détails incroyables et à couper le souffle du plan de sauvetage [...] de Wall Street et des entreprises" privées, a déclaré Bernard Sanders, sénateur du Vermont, qui n'en revient toujours pas que la Fed soit devenue la "banque centrale du monde".
2 000 milliards d'euros en Europe
En Europe, ce sont plus de 2 000 milliards d'euros d'aides d'État qui ont été refourgués aux établissements financiers, en 2008 (957) et 2009 (1106), selon un récent rapport de la Commission européenne. Ces aides sont quasiment intégralement liées à la crise. Bien sûr, pendant tout ce temps, les autorités (ultra)compétentes ont toujours prétendu que la situation était sous contrôle. Dormez tranquilles, citoyens.
Pendant ce temps là, la Grèce et l'Irlande se sont écroulées, le Portugal titube, l'Espagne vacille... Et, 50 millions de chomeurs plus tard, les banques continuent de spéculer à tout va, sans aucun contrôle, reversant des records de bonus en tous genres à leurs tauliers.
Plus belle, la crise...
http://www.lesmotsontunsens.com/mille-milliards-de-mille-bobards-sabords-8593
(Article publié sur le site "Les mots ont un sens")
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