25 novembre 2010
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Guerre pour booster l'économie US,
ou tout simplement pour garder le pouvoir ?
L'horreur nous vient des USA...
Pauvres Coréens, pauvres Iraniens,
salopards d'Américains !
Eva R-sistons à l'intolérable
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ALEX JONES
http://www.dailymotion.com/video/xfr8rm_alex-jones-et-ron-paul-sur-la-crise-coreenne-vostfr_news#from=embed
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MONDE
Mercredi 24 Novembre 2010
Les autorités nord-coréennes accusent la Corée du Sud d'une "provocation armée absurde", rapportent mercredi les médias occidentaux citant l'agence de presse nord-coréenne KCNA.
"Les démarches sud-coréennes empêchent la normalisation des relations entre les deux Corées, entravent les contacts intercoréens dans le cadre de la Croix Rouge et ont amené la péninsule au bord de la guerre", a déclaré l'agence nord-coréenne.
D'après les informations de Séoul, la Corée du Nord a tiré mardi 23 novembre des dizaines d'obus sur l'île sud-coréenne de Yeonpyeong, en mer Jaune. Séoul a immédiatement riposté aux frappes de son voisin par 80 tirs. Deux militaires sud-coréens ont été tués, 17 autres militaires et 3 civils blessés.
Après les bombardements, les autorités nord-coréennes ont annoncé que la Corée du Sud avait ouvert le feu. "Malgré tous nos avertissements, la Corée du Sud a effectué des dizaines de tirs à partir de 13h00 (04h00 GMT). Nous avons immédiatement riposté", a indiqué l'agence nord-coréenne.
Pyongyang promet également de poursuivre les frappes contre la Corée du Sud si elle viole la frontière maritime entre les deux pays.
"Les démarches sud-coréennes empêchent la normalisation des relations entre les deux Corées, entravent les contacts intercoréens dans le cadre de la Croix Rouge et ont amené la péninsule au bord de la guerre", a déclaré l'agence nord-coréenne.
D'après les informations de Séoul, la Corée du Nord a tiré mardi 23 novembre des dizaines d'obus sur l'île sud-coréenne de Yeonpyeong, en mer Jaune. Séoul a immédiatement riposté aux frappes de son voisin par 80 tirs. Deux militaires sud-coréens ont été tués, 17 autres militaires et 3 civils blessés.
Après les bombardements, les autorités nord-coréennes ont annoncé que la Corée du Sud avait ouvert le feu. "Malgré tous nos avertissements, la Corée du Sud a effectué des dizaines de tirs à partir de 13h00 (04h00 GMT). Nous avons immédiatement riposté", a indiqué l'agence nord-coréenne.
Pyongyang promet également de poursuivre les frappes contre la Corée du Sud si elle viole la frontière maritime entre les deux pays.
Echanges de tirs coréens: les réactions internationales (SYNTHESE)

Les forces nord-coréennes ont tiré mardi matin près de 200 obus sur l'île sud-coréenne de Yeonpyeong, dans la zone démilitarisée en mer Jaune, déclenchant une riposte de Séoul. Deux militaires sud-coréens ont été tués, 17 autres militaires et trois civils ont été blessés.
Les autorités nord-coréennes ont plus tard accusé la Corée du Sud d'avoir ouvert le feu près de la frontière maritime entre les deux pays. La communauté internationale a fait part d'une préoccupation unanime.
Chine
Pékin a exprimé son inquiétude avant d'espérer que la situation sur la péninsule coréenne resterait stable. "Nous espérons que les parties intéressées déploieront davantage d'efforts pour préserver la stabilité sur la péninsule", a déclaré le porte-parole de la diplomatie chinoise Hong Lei.
Russie
La Russie a mis en garde contre une "escalade" de la situation sur la péninsule de Corée. "L'incident mérite d'être condamné et ceux qui ont pris l'initiative du bombardement de l'île sud-coréenne prennent une immense responsabilité", a déclaré le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov. Le chef de la diplomatie russe a rappelé qu'il s'agissait déjà du troisième incident analogue récent. "Autrefois ce n'étaient que des incidents isolés, alors qu'à présent il y a des morts et des blessés", a-t-il relevé.
Japon
Le premier ministre japonais Naoto Kan a chargé le gouvernement de rassembler les informations sur l'incident et de se préparer à "des démarches inattendues"."J'ai donné deux directives au secrétaire général du gouvernement et au ministre de la Défense. La première consiste à faire tout leur possible pour réunir des informations. La seconde est d'effectuer les préparatifs qui s'imposent afin de pouvoir parer à toute éventualité", a-t-il déclaré aux journalistes.
ONU
Les membres du Conseil de sécurité de l'ONU ont décidé de se réunir d'urgence le 23 ou le 24 novembre, ont rapporté les médias occidentaux citant une source diplomatique française. Selon le diplomate, une telle réunion est déjà en cours d'organisation.
Nucléaire coréen
L'échange de tirs s'est produit sur fond de vives inquiétudes internationales face aux allégations de la Corée du Nord qui affirme disposer d'une nouvelle installation d'enrichissement d'uranium. En octobre 2006 et en mai 2009, Pyongyang a effectué des essais nucléaires, qui ont provoqué un regain d'inquiétude au sein de la communauté internationale.
Relations entre les deux Corées
Les experts estiment que la politique sud-coréenne de réconciliation et de coopération avec le voisin du Nord s'est soldée par un échec. "L'attaque nord-coréenne contre le Cheonan, navire de guerre sud-coréen, en mars 2010, qui a entraîné la mort des 46 marins, témoigne du fait que la politique étrangère de la Corée du Nord reste inchangée", estime le ministère sud-coréen de la Réunification.
Le leader actuel sud-coréen, Lee Myung-bak, a mis un terme à la politique de réconciliation avec la Corée du Nord, menée par ses prédécesseurs. Selon lui, cette approche ne pourra reprendre qu'à condition que Pyongyang renonce à l'utilisation de son arsenal nucléaire.
Les autorités nord-coréennes ont plus tard accusé la Corée du Sud d'avoir ouvert le feu près de la frontière maritime entre les deux pays. La communauté internationale a fait part d'une préoccupation unanime.
Chine
Pékin a exprimé son inquiétude avant d'espérer que la situation sur la péninsule coréenne resterait stable. "Nous espérons que les parties intéressées déploieront davantage d'efforts pour préserver la stabilité sur la péninsule", a déclaré le porte-parole de la diplomatie chinoise Hong Lei.
Russie
La Russie a mis en garde contre une "escalade" de la situation sur la péninsule de Corée. "L'incident mérite d'être condamné et ceux qui ont pris l'initiative du bombardement de l'île sud-coréenne prennent une immense responsabilité", a déclaré le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov. Le chef de la diplomatie russe a rappelé qu'il s'agissait déjà du troisième incident analogue récent. "Autrefois ce n'étaient que des incidents isolés, alors qu'à présent il y a des morts et des blessés", a-t-il relevé.
Japon
Le premier ministre japonais Naoto Kan a chargé le gouvernement de rassembler les informations sur l'incident et de se préparer à "des démarches inattendues"."J'ai donné deux directives au secrétaire général du gouvernement et au ministre de la Défense. La première consiste à faire tout leur possible pour réunir des informations. La seconde est d'effectuer les préparatifs qui s'imposent afin de pouvoir parer à toute éventualité", a-t-il déclaré aux journalistes.
ONU
Les membres du Conseil de sécurité de l'ONU ont décidé de se réunir d'urgence le 23 ou le 24 novembre, ont rapporté les médias occidentaux citant une source diplomatique française. Selon le diplomate, une telle réunion est déjà en cours d'organisation.
Nucléaire coréen
L'échange de tirs s'est produit sur fond de vives inquiétudes internationales face aux allégations de la Corée du Nord qui affirme disposer d'une nouvelle installation d'enrichissement d'uranium. En octobre 2006 et en mai 2009, Pyongyang a effectué des essais nucléaires, qui ont provoqué un regain d'inquiétude au sein de la communauté internationale.
Relations entre les deux Corées
Les experts estiment que la politique sud-coréenne de réconciliation et de coopération avec le voisin du Nord s'est soldée par un échec. "L'attaque nord-coréenne contre le Cheonan, navire de guerre sud-coréen, en mars 2010, qui a entraîné la mort des 46 marins, témoigne du fait que la politique étrangère de la Corée du Nord reste inchangée", estime le ministère sud-coréen de la Réunification.
Le leader actuel sud-coréen, Lee Myung-bak, a mis un terme à la politique de réconciliation avec la Corée du Nord, menée par ses prédécesseurs. Selon lui, cette approche ne pourra reprendre qu'à condition que Pyongyang renonce à l'utilisation de son arsenal nucléaire.
Mercredi 24 Novembre 2010
http://www.alterinfo.net/Conflit-coreen-Pyongyang-accuse-Seoul-de-provocation-armee_a52029.html
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