Israël va retirer le droit de séjour de 300 personnalités politiques à Jérusalem 14/06/2010
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14/06/2010
Un ministre des affaires de Jérusalem, député et ancien de Jérusalem, Khaled Abou Arafa a révélé un projet israélien de retirer le droit de séjour de 300 personnalités politique résidant à Jérusalem comme un prélude pour les jeter hors de la ville !
Le Conseil islamique suprême a mis en garde hier d'un système de dimensions et le retrait des cartes d'identité de Jérusalem.
Selon Abou Arafa, qui cite des sources israéliennes bien informées, « l'intention de déplacement et d'expulsion de plus de 300 personnalités politiques de Jérusalem, rentre dans le cadre d’un projet israélien visant à remplacer les Jérusalem ", mais les autorités ont commencé par les élites pour rendre plus facile ensuite le déplacement des familles résidant à Jérusalem en général.
Abou Arafa a dit que ce projet est lié à la décision militaire n° 1650, et qui permet à l’occupation israélienne la déportation de plus de 70 mille Palestiniens de la Cisjordanie et de Jérusalem vers la bande de Gaza, et vers d'autres pays sous prétexte qu'ils n'ont pas de carte de séjour !
http://www.almanar.com.lb/NewsSite/NewsDetails.aspx?id=142102&language=fr
Le système de santé à Gaza "au plus mal" après quatre ans de blocus (CICR) 14/06/2010
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à la bande de Gaza, estimant que le "système de soins est au plus mal" dans le territoire palestinien.
"Pour sortir le million et demi de Gazaouis de la situation précaire dans laquelle ils sont plongés, l'assistance humanitaire à elle seule ne suffit pas. La seule solution durable consiste à lever le blocus", affirme le CICR dans un communiqué intitulé "Blocus de Gaza: pas une année de plus".
Le raid israélien meurtrier contre la flottille internationale d'aide pour Gaza le 31 mai a rappelé la difficulté des conditions de vie dans le territoire, où "les Gazaouis continuent à se débattre contre le chômage, la pauvreté et les effets de la guerre, tandis que le système de soins de santé est au plus mal", selon le texte.
Les coupures de courant et la pénurie de carburant pour les hôpitaux, ainsi que de fournitures médicales, mettent en danger la santé, voire la survie des habitants, souligne le CICR.
"Le système de santé de Gaza n'a jamais été aussi précaire" a déclaré Eileen Daly, coordonnatrice du CICR chargée de la santé à Gaza, citée dans le texte, qui pointe des raisons politiques à cette situation.
En conséquence, le CICR affirme qu'"Israël doit veiller à ce que les besoins essentiels des Gazaouis soient satisfaits, notamment en ce qui concerne les soins de santé".
"Les autorités palestiniennes doivent quant à elles faire tout ce qui est en leur pouvoir pour dispenser des soins de santé adéquats, assurer l'approvisionnement en électricité et entretenir les infrastructures à Gaza", ajoute le communiqué, déplorant l'impact sur l'approvisionnement en fournitures médicales des frictions entre le Hamas, qui contrôle le territoire, et
l'Autorité palestinienne.
http://www.almanar.com.lb/NewsSite/NewsDetails.aspx?id=142036&language=fr