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Pas si zen le Dalaï-lama ?
12 août 2011 | Auteur: Jo ^^
« Nouveau coup de tonnerre ! L’actuel Dalaï Lama serait copain avec la CIA …
Il est très probable que ce livre obtienne, à l’unanimité, l’adhésion des dirigeants chinois.
Du reste, l’agence de presse chinoise Xinhua s’est empressée de mettre un article à ce sujet sur son site que voici »:
Il est très probable que ce livre obtienne, à l’unanimité, l’adhésion des dirigeants chinois.

Du reste, l’agence de presse chinoise Xinhua s’est empressée de mettre un article à ce sujet sur son site que voici »:
Il n’est pas si aisé de faire une critique du Dalaï-lama en France. Le leader spritituel tibétain fait en effet partie de ces personnages intouchables au même titre que Gandhi, Martin Luther King ou Nelson Mandela.
Maxime Vivas, journaliste et auteur du livre « Pas si zen, la face cachée du Dalaï-lama » aux éditions Max Milo, s’y essaye tout de même, quitte à soulever la polémique.
Le Dalaï-lama, « création » des médias ?
D’après l’auteur, le Dalaï-lama est une figure sympathique que l’on voit toujours souriante, une sorte de « bisounours international », plein de compassion, de patience, de bonté et de générosité, selon ses propres termes. Cet aspect est la face médiatique du dirigeant religieux mais la réalité n’est pas toujours ce que l’on croit.
Pour Maxime Vivas, le doute n’est pas permis. Sans l’appui des médias, le Dalaï-lama serait un moine inconnu du Tibet. Sa personnalité et sa tenue vestimentaire en font un personnage pittoresque et exotique. La religion et la philosophie qu’il véhicule en font également un des chouchous des Occidentaux. Toutes ces raisons expliquent sa popularité à travers les médias.
La lignée des Dalaï-Lamas est-elle responsable de l’obscurantisme au Tibet ?
Maxime Vivas explique que la lignée des 14 dalaï-lamas qui se sont succédés ont maintenu le Tibet dans un état de misère et d’ignorance inouïes. Avant l’arrivée des Chinois, 95% de la population était exclue de l’enseignement et seuls les aristocrates et les moines avaient accès à une forme d’enseignement qui se bornait à l’étude de la langue tibétaine et du bouddhisme.
Le maintien du peuple dans l’ignorance était une volonté selon le journaliste, il permettait ainsi un meilleur contrôle des populations et favorisait le système féodal de servage, en vigueur dans le pays. Selon M. Vivas, le Dalaï-Lama n’a jamais tenté d’abolir l’esclavagisme au Tibet, il en veut pour preuve la décision des Chinois de mettre un terme à ces pratiques d’un autre âge, seulement onze jours après l’annexion de leur nouvelle province…
Le rôle de la CIA
L’ouvrage de Maxime Vivas met également en avant le rôle joué par la CIA dans le financement du gouvernement tibétain en exil. Selon lui, il est de notoriété publique que, depuis des décennies, la CIA , via une « couverture », la National Endowment for Democracy, suventionne le Dalaï-Lama et pas moins de 14 programmes dits humanitaires.

À lire aussi:
Sur mes blogs, depuis des années je dis que le Dalaï-Lama est financé par la CIA - pour aboutir à la séparation du Tibet de la Chine (I/3 du territoire de la Chine, je crois) et que les moines bouddhistes du Tibet étaient les pires féodaux qui soient, pratiquant avec cruauté le servage. Si le Tibet se sépare, la Chine est affaiblie, et plus vulnérable... avec une base américaine à ses portes ! L'enjeu est de taille !
eva R-sistons
Voir aussi :
et surtout :
http://www.michelcollon.info/TIBET-Vrai-ou-faux-Reponses.html