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5 mai 2010 3 05 /05 /mai /2010 08:51

 

Le compositeur et ancien ministre grec Míkis Theodorákis ne croit pas que son pays soit responsable du malheur financier qui l’accable. Il décèle derrière cette crise la main de Washington et dénonce le rôle du FMI.

 

 

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Míkis Theodorákis

Avec le sens commun dont je dispose, je ne peux pas expliquer et encore moins justifier la vitesse à laquelle notre pays a dégringolé à partir de 2009, au point de faire appel au FMI, perdant ainsi une partie de sa souveraineté nationale et passant à un régime de tutelle. Et il est curieux que personne jusqu’à présent ne soit occupé du plus simple, c’est-à-dire de notre parcours économique avec chiffres et documents, de manière à ce que, nous ignorants, comprenions les causes réelles de cette évolution vertigineuse et sans précédent, qui a comme résultat la perte de notre identité nationale accompagnée de l’humiliation internationale.

J’entends parler d’une dette de 360 milliards, alors qu’en même temps je vois les mêmes dettes, voire de plus grandes, dans de nombreux autres pays. Par conséquent, celle-là ne peut pas être la cause essentielle du malheur. Ce qui me pose problème également, c’est l’exagération des coups internationaux dont notre pays est la cible, d’une telle coordination quasi-parfaite contre un pays d’une économie insignifiante, ce qui finit par être suspect. Ainsi suis-je conduit à la conclusion que quelques uns nous ont culpabilisé et nous ont fait peur, de manière à nous conduire au FMI, qui constitue un facteur essentiel dans la politique expansionniste des Etats-Unis et tout le reste concernant la solidarité européenne est de la poudre aux yeux, pour cacher qu’il s’agit d’une initiative purement états-unienne, pour nous jeter dans une crise économique artificielle, de manière à ce que notre peuple ait peur, qu’il s’apprivoise, qu’il perde des conquêtes précieuses et enfin qu’il se mette à genoux, une fois acceptée la domination étrangère. Mais pourquoi ? Pour servir quels plans et quels objectifs ?

Bien que j’aie été et reste partisan de l’amitié gréco-turque, néanmoins je dois dire que je crains ce renforcement soudain des relations gouvernementales, et les contacts précipités entre ministres et autres acteurs, les déplacements récents à Chypre et la prochaine visite d’Erdogan. Je soupçonne que derrière tout ça se cache la politique états-unienne avec ses projets suspects, qui concernent notre espace géographique, l’existence de gisements sous-marins, le régime de Chypre, la mer Egée, nos voisins du nord et l’attitude arrogante de la Turquie, le seul obstacle étant la méfiance et l’opposition du peuple grec.

Tous, autour de nous, peu ou prou, sont attachés au char des Etats-Unis. La seule différence c’est nous, qui depuis la dictature de la Junte et la perte de 40% de Chypre jusqu’aux embarrassantes polémiques avec Skopje (Ancienne République Yougoslave de Macédoine) et les ultra nationalistes Albanais, nous recevons des coups sans prendre conscience.

Il faudrait ainsi que nous soyons éliminés en tant que peuple et c’est ce qui arrive exactement aujourd’hui. J’appelle les économistes, les politiciens, les analystes, à me démentir. Je crois qu’il n’existe pas d’autre explication logique en dépit du complot international, auquel ont participé les européens pro-US du type Merkel, la Banque Européenne, la presse réactionnaire internationale, tous ensemble ont participé au ” grand coup ” de la dévalorisation d’un peuple libre à un peuple soumis. Tout au moins, je ne peux donner aucune autre explication. Je reconnais que je n’ai pas de connaissances spécifiques mais ce que je dis, je le dis avec mon sens commun. Peut-être beaucoup d’autres pensent comme moi et nous le verrons peut-être les jours à venir.

En tout cas, je voudrais préparer l’opinion publique et souligner que si mon analyse est juste, alors la crise économique (laquelle, comme je le dis, nous a été imposée) n’est que le premier verre amer d’un repas de Lucullus qui suivra et que cette fois-ci viendront aussi des questions nationales cruciales, dont je ne veux pas imaginer où elles nous conduiront.

Je souhaite avoir tort.

  Míkis Theodorákis

 

 

http://www.voltairenet.org/article165288.html

 

http://www.marcfievet.com/article-qui-veut-detruire-la-grece-par-mikis-theodorakis-49823225.html

 

 

 

A lire aussi:

Pourquoi le « plan d’aide » à la Grèce ne mettra pas fin à la crise 

 

 

 

La France ne doit pas payer pour aider la Grèce… à mourir !

Alors que la presque totalité de mes collègues Députés va se prononcer pour la participation de la France au plan d’aide européen à la Grèce, je voterai contre et m’en expliquerai, ce soir, à la tribune de l’Hémicycle.

En effet, ce plan est contraire à la fois aux besoins de la Grèce et aux intérêts des Français. C’est un remède pire que le mal.

Le remède est pire que le mal car en imposant une austérité inouïe à la Grèce sans lui donner la possibilité de dévaluer (et donc de sortir de l’euro), on la condamne à mort. Ses déficits vont s’accroître fatalement car la récession va s’aggraver. C’est un véritable assassinat économique et social qui ne peut mener qu’à la faillite et à la révolte.

De leur côté, comment les Français pourraient-ils accepter de se sacrifier sans aider efficacement les Grecs ? Le gouvernement, avec la complicité du PS, engage à terme pas moins de 16 milliards d’euro (le prêt n’est qu’une fable), alors même qu’on nous explique à longueur de journée que le déficit de 7 milliards d’euros du régime de retraite est inacceptable.

L’entêtement des dirigeants européens à sauver un euro qui étouffe l’économie européenne, est une folie qui aboutira obligatoirement dans les années à venir à une crise encore plus forte.

Je défendrai ce soir dans l’Hémicycle la seule voie alternative à cette fuite en avant suicidaire : la sortie de l’euro de la Grèce et la création d’une monnaie commune européenne où les monnaies nationales restaurées pourront enfin s’ajuster les unes par rapport aux autres.

Nicolas DUPONT-AIGNAN Député de l’Essonne Président du rassemblement gaulliste Debout la République

 

 

 

Bagot Jean-PaulMay 4, 2010 at 3:20pm
Objet : L’euro va dans le m17 milliards à main levée
Par Nicolas Dupont-Aignan le mardi 4 mai 2010

Cette nuit, à 1H30 du matin, par un vote à main levée, le gouvernement, l’UMP et le PS ont engagé les Français pour 16,9 milliards d’euros dans un plan dit de sauvetage de la Grèce. Un plan que j’ai qualifié de « sabordage », tant il est surréaliste, défiant toute rationalité économique et sociale.
Si Jean-Pierre Brard, Charles Amédée de Courson et moi-même n’avions pas été présents dans l’hémicycle, le vote de la loi de finances rectificative, engageant la France et débloquant une première enveloppe de 3,9 milliards d’euros, aurait été obtenu en moins de deux heures.
Je recommande aux internautes de visionner les images de cette soirée pour comprendre la déchéance de notre démocratie, les ravages du bipartisme, l’inculture économique ou alors le don de dissimulation du gouvernement comme de l’opposition, et surtout le poids du lobby bancaire !
Car, en effet, comme l’a très justement noté de Courson, le contribuable se substitue une fois de plus aux banques. Les prêts, qui seront en toute hypothèse indéfiniment prolongés pour prévenir le défaut de paiement, permettront à la Grèce de rembourser les banques imprudemment engagées dans ce pays.
Lorsque la Grèce dans 1, 2, ou 3 ans s’avèrera incapable de rembourser, surtout après la crise d’austérité imposée, ce seront les autres Etats européens qui devront digérer le rééchelonnement de la dette grecque, ce pour épargner aux banques les conséquences de leur imprévoyance !
Le gouvernement a bien été incapable de répondre à cette interpellation.
De même, Mme Lagarde n’a pas été en mesure de me citer des pays comparables à la Grèce qui pourraient redresser leurs finances sans dévaluer !
Pour toute réponse, elle a mentionné la Suède, le Canada et la Corée, des pays à la structure économique sans rapport avec la Grèce et surtout, pour les deux premiers, qui peuvent jouer de leur monnaie.
Tout au long de ce débat, je me suis interrogé sur le fait de savoir si le gouvernement était incompétent, dissimulateur ou les deux à la fois. Dans tous les cas, la conséquence est la même : des souffrances toujours plus grandes imposées aux peuples d’Europe, un retard cumulatif dans la guerre économique mondiale qui nous oppose à la Chine et aux Etats-Unis (qui, eux, profitent d’une monnaie souple et fiable pour investir), des difficultés sociales croissantes et la résurgence des nationalismes.
La cause est toujours la même : la religion aveugle de l’euro, cette ligne Maginot monétaire à l’abri de laquelle on prétend être protégé de tout, et l’angélisme – ou une coupable résignation – face à l’attitude de l’Allemagne.
En cette séance nocturne, j’ai pu voir grandeur nature à quel point, une fois de plus dans sa longue histoire, la France n’est plus vraiment gouvernée ! Le gouvernement qui, comme de juste, a pu compter sur une opposition totalement solidaire de cette politique au fil de l’eau, cette dernière assortissant comme d’habitude son satisfecit de desideratas tous plus hypocrites les uns que les autres. L’hypocrisie, une spécialité où le PS est passé maître, lui qui avait déjà fait mine en février 2008 de défendre le référendum pour ratifier le traité de Lisbonne tout en le votant au Congrès « au nom de l’intérêt européen »…
Plus que jamais, j’ai ressenti le devoir qui est le nôtre d’alerter l’opinion et d’offrir une autre voie.
ur, les dirigeants européens accélèrent et en plus ils klaxonnent

Par Nicolas Dupont-Aignan le vendredi 30 avril 2010,

La méthode Coué n’a jamais fait une politique économique sérieuse. En actant le plan d’aide à la Grèce, les dirigeants européens s’engagent dans une fuite en avant sans fin et suicidaire. Une fois de plus, les élites gouvernantes pensent pouvoir imposer aux peuples des politiques contraires à leur volonté et à leurs intérêts.
Pourtant, ce plan est intenable pour deux raisons, et il y a fort à parier que les peuples européens n'avalent pas cette couleuvre supplémentaire.
Tout d’abord les Français, les Italiens, les Allemands sont logiquement scandalisés d’être encore et toujours mis à contribution pour des sommes considérables, alors même qu’on leur demande des sacrifices permanents pour lutter contre des déficits dont ils ne sont pas responsables ou pour financer, par exemple, rien de moins que leurs propres et modestes retraites. Pour endormir les Français, le gouvernement parle bien entendu de prêt, mais tout le monde sait que la situation catastrophique de la Grèce le transforme en un véritable don.
Comment la caste européenne imagine-t-elle que nos concitoyens puissent accepter un engagement français de 6,3 milliards d’euros, alors même que l’on ne remplace plus dans les commissariats les policiers qui partent à la retraite, y compris dans nos quartiers, les infirmières dans les hôpitaux ou encore les enseignants dans l’Education Nationale, le tout pour économiser seulement 500 millions d’euros par an sur le budget de l’Etat ?
Le deux points deux mesures est flagrant, honteux, et il ruine lentement mais sûrement la cohésion de notre pays.
Le jour viendra où L’UMP comme le PS devront répondre devant les électeurs de ces prélèvements sans fin pour, en vérité, sauver une nouvelle fois les placements aventureux des banques qui dictent leur loi aux gouvernements, au mépris des peuples.
En outre, ce plan est totalement irréalisable car, qui peut croire un instant que la Grèce puisse en deux ans ramener son déficit budgétaire de 14% à 4% ? Cela ne s’est jamais vu et les mesures annoncées vont entraîner une récession cumulative sans précédent qui, elle-même, va accroître par ricochet le déficit budgétaire.
Indice supplémentaire que le système ne cherche pas à sauver ceux à qui il prétend venir en aide.
Bien évidemment, le peuple grec ne supportera pas cet assassinat économique et social. Il se révoltera rapidement, car un gouvernement perd sa légitimité lorsqu'il impose à son peuple des mesures injustes et inefficaces.
La seule solution pour la Grèce et la vraie solidarité : aider la Grèce à sortir de l'euro. La libérer du carcan technocratique dans lequel on l'a enfermée. Il sera notamment possible de convertir immédiatement les dettes et les créances du pays en drachmes sur le cours d’origine lors du passage à l’euro, puis d'administrer un remède salutaire, à savoir une dévaluation d’environ 30%.
A ceux qui rétorquent bassement que cela n’est pas possible car léserait les créanciers, je réponds que de toute façon les créanciers seront bien lésés lorsque la Grèce sera placée en cessation de paiement. Mieux vaut pour un créancier perdre un peu et voir son débiteur relancer son économie, et donc sa capacité de remboursement, que de tout perdre dans le chaos, la révolution et l'indignité.
Plutôt que ce plan absurde dicté par une petite oligarchie bancaire qui préfère sacrifier les peuples que de bâtir une économie forte, il faut d’urgence aller à la cause du problème et mettre fin à la monnaie unique, non sens absolu dans lequel les anglais ne sont pas tombés, pour la remplacer par exemple par une monnaie commune qui laisse vivre les monnaies nationales. La crise grecque n’est en effet que le premier domino de l’effondrement en chaîne de l’euro, tout simplement parce que cette monnaie ne correspond pas à la réalité des économies à laquelle elle s’applique.
La Grèce, l’Espagne, le Portugal, l’Italie et la France doivent organiser au plus vite la sortie de cette prison qui asphyxie leurs économies et qui les plonge dans une récession permanente au moment même où les Etats-Unis et la Chine utilisent le levier monétaire pour relancer l’investissement et préparer la guerre économique mondiale du XXIème siècle.
Mondialisation, euro... Ah, tristes élites qui - pour paraphraser Bossuet - déplorent sans fin les effets dont elles chérissent les causes
!

 

 

 

 

Débat parlementaire sur le plan de sauvetage de la Grèce Lundi 3 mai 2010
Intervention de Nicolas DUPONT-AIGNAN

 

Vous prétendez sauver la Grèce tout en faisant gagner de l’argent aux Français. C’est Alice aux pays des merveilles ! Mais les Français ne croient plus depuis belle lurette aux contes de fées et près de deux décennies de monnaie unique, hélas, leur donnent mille fois raison.

Et oui, vos promesses d’aujourd’hui rappellent vos promesses d’hier, celles faites ici-même il y a très précisément 18 ans, lorsque le débat parlementaire sur Maastricht faisait rage. Déjà, l’idéologie de l’euro était à l’œuvre. Déjà, le Parti socialiste mêlait ses voix à celles de la droite et du centre pour soutenir cette pensée unique, tout en assortissant - déjà, là encore ! - son vote d’hypocrites considérations sur la nécessité d’une Europe plus « sociale », comme s’il avait eu besoin de se faire pardonner quelque chose.

Mais, mes Chers Collègues, mêmes causes, mêmes effets ! Les promesses de 2010 ne seront pas davantage tenues que celles de 1992…

Je prends date devant vous : ce plan de « sauvetage » si mal nommé ne sauvera pas la Grèce, pas plus qu’il ne fera gagner de l’argent aux Français qui risquent plutôt de se réveiller un de ces quatre matins avec un déficit supplémentaire de près de 17 milliards d’euros.

Des Français, soit dit en passant, qui n’ont vraiment pas besoin de cette nouvelle ponction, eux à qui on impose des économies de bouts de chandelles prétendument indispensables à la stabilisation des comptes publics, mais dont les effets très négatifs dans les commissariats, les écoles, les hôpitaux, etc. sont, eux, particulièrement réels et douloureux.

Loin de moi l’idée de ne pas être solidaire des Grecs. Mais la solidarité que vous proposez est des plus étranges. Avec ce plan on va aider la Grèce, oui, mais on va l’aider à mourir, comme si on offrait une euthanasie en classe affaire à un malade à qui on refuse par idéologie d’administrer les bons remèdes.

Un ballon d’oxygène financier va certes être apporté à Athènes, mais au prix d’un supplice inouï pour le peuple et l’économie grecs, qui ne s’en relèveront pas. Cette « thérapie de choc » va tuer la Grèce car cette dernière sera bien incapable de redresser sa compétitivité et sa croissance, définitivement martyrisées par l’impossibilité de dévaluer. Oui, mes chers Collègues, c’est là le point central : on n’a jamais vu dans l’histoire l’économie d’un pays rebondir sans dévaluation. La rigueur est efficace quand parallèlement on stimule le moteur économique par la dévaluation. Souvenez-vous des efforts vains de l’Argentine ! A l’évidence, une thérapie de choc ne sert à rien sans dévaluation.

En réalité, ce n’est pas la Grèce que l’on veut sauver, ni la France, ni même l’Europe ! C’est l’euro que l’on veut sauver à tout prix. Cet euro qui tue pourtant à petit feu l’économie grecque comme la plupart des économies européennes. Il est le mal et non pas le remède ! Voilà pourquoi la Grèce ne sera pas sauvée. Voilà pourquoi les Français perdront leurs 17 milliards.

Voilà pourquoi, aussi, ce plan miraculeux n’empêchera pas la contagion aux autres maillons faibles de l’eurozone, où les marchés financiers vont s’empresser de mettre à l’épreuve cette drôle de solidarité européenne. Une « solidarité » coûteuse et contreproductive, qui nécessiterait pour sauver l’Espagne et le Portugal des centaines de milliards d’euros lesquels, bien entendu, n’existent pas.

Voilà d’ailleurs pourquoi, à la fin des fins, l’euro lui-même ne sera pas sauvé, au risque d’entraîner dans son naufrage la construction européenne.

Ce scénario-catastrophe est écrit d’avance. Il résulte tout bonnement de la fuite en avant dans l’idéologie de l’euro qui « torture l’Europe » (le mot est d’Emmanuel Todd).

Il y a 18 ans presque jour pour jour, Philippe Séguin prononçait son « Discours pour la France » mettant en garde le pays contre l’aventurisme de la monnaie unique. Je cite : « Dans le domaine monétaire comme dans les autres, il faut se plier aux réalités. Il faut donc savoir ajuster les parités quand c’est nécessaire, non pour faire de la dévaluation compétitive, mais pour éviter la déflation. En choisissant la monnaie commune au lieu de la monnaie unique, on choisirait, je crois, l’efficacité contre l’idéologie. » Je n’enlèverai pas un mot à ce propos qui conserve, intacte, toute sa force.

L’efficacité de la monnaie commune qui laisserait respirer les pays et les peuples, plutôt que l’idéologie de la monnaie unique qui les étrangle. C’est ce à quoi j’invite à mon tour.

C’est pourquoi je voterai contre ce faux plan de « sauvetage » qui a tout d’un plan de sabordage

 

 

La meilleure façon d'aider le peuple grec (

Le peuple grec n’est pas responsable de la faillite de son Etat. C’est pourtant lui que les marchés financiers et les institutions internationales veulent saigner à blanc. Signez notre pétition en ligne.

La Banque centrale européenne a accordé des prêts gigantesques à seulement 1% d’intérêt aux banques qui, à leur tour, les ont prêtés à des taux de 4 à 8%. La Grèce doit elle aussi bénéficier de taux n’excédant pas 1%, sans autres conditions que le maintien des droits sociaux, de l’emploi et des services publics.

Tous les peuples d’Europe sont menacés de plans d’austérité de même nature. L’Union européenne et tous les Etats membres doivent donc se mobiliser pour préserver les chances d’une Europe des peuples.


 

Signez cet appel sur:

http://www.humanite.fr/APPEL-Il-faut-aider-le-peuple-grec

 

http://alainindependant.canalblog.com/archives/2010/05/04/17746093.html

 

 

 

 

SOLIDARITÉ AVEC LE PEUPLE GREC
 
Le M’PEP est signataire de l’appel unitaire à rassemblement de solidarité avec le peuple grec :
 
MERCREDI 5 MAI 2010
 
18H30, Paris

 
Tous devant la délégation de la Commission européenne à Paris
288, boulevard Saint-Germain, Paris 7e (métro Solferino)
 
Pour accéder au texte de l’appel, cliquez ici :
http://www.m-pep.org/spip.php?article1683

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