KIT POUR CONTAMINATION RADIOACTIVE source de Michel Dogna
(À avoir chez soi)
(1) = pharmacie (2) = bout diététique
EN PRIORITE
Miso (2 )– 5 poches plastique ou boites
< p> - En cas de pollution radioactive :1 cuillère à café de la pâte dissoute dans un bol d’eau chaude – 4 à 5 fois par jour
- En préventif : 1 bol matin et soir
Teinture d’iode (1)
En cas d’accident nucléaire, nous sommes exposés aux retombées d'iode radioactif très dangereux car il se fixe rapidement sur la thyroïde. C’est la cause des cancers de la thyroïde comme on l’a constaté après Tchernobyl. Pour limiter ce risque, il faut prendre aux 2 repas principaux 1 goutte par 10 kg de poids de TEINTURE D'IODE ou d'alcool iodé (1) afin de saturer la thyroïde en iode... ce qui évitera que l'iode radioactif ne s'y fixe. L'iode radioactif ayant une période de vie de 8 jours, au bout de quelques semaines le risque de cet iode radioactif dans l'atmosphere doit être redevenu nul.
NOTA : Je ne conseille pas la forme chimique d’iode en comprimés, qui seront vendus en pharmacie sous contrôle de l'armée, ce qui fait craindre un vice caché, comme cela a été le cas pour le vaccin H1N1.
EN SECOND LIEU (si l’on n’a pas de MISO)
Argile fine à boire (1 - 2) : 2 boites
Connue pour être faiblement radioactive, par le principe du TAO, elle a la faculté d’absorber la petite radioactivité
– 1 cuil à café pour un verre d’eau par jour, après macération une nuit.
Chlorure de magnésium (1) – 5 sachets ou nigari en magasin Bio (moins cher)
C’est un chélateur des radio-éléments et de plus un principe très YANG qui équilibre l’hyper YIN radioactif – 40 ml matin et soir
Pectine de pomme (rayons gélifiants confitures) – 5 boites ("Vitpris" par exemple)
Ce remède a été appliqué sur des enfants irradiés de la région de Tchernobyl atteints de leucémie, par une équipe médicale qui a eu des résultats inespérés. On ne connait pas les doses utilisées, mais vu la non dangerosité, on peut improviser…
La phycocyanine et la radioactivité : Chez BIOVEDAS
L'ADN est sensible à la radioactivité, celle-ci peut occasionner la cassure du brin d'ADN et les modifications chimiques telles que l'ionisation des bases azotées codant l'information génétique. Une lésion favorise la mutation ou l'aberration chromosomique indui sant soit la mort cellulaire, soit l'apparition d'une tumeur. L'organisme a ses propres réponses afin de réparer les lésions. Lorsque celle-ci n'affecte qu'un brin d'ADN, ily a excision de la lésion et remplacement en utilisant l'autre brin comme matrice. C'est le cas le plus courant. Lorsque les deux brins sont touchés, il y a recherche d'une séquence homologue par enjambement (crossing-over). Lorsque les lésions sont trop nombreuses, la cellule meurt ou mute. Si la lésion de l'ADNéchappe aux mécanismes de contrôle de l'organisme, ceci amène une mutation irréversible fixée dans le génome. La cellule mère mutée donnera des cellules filles identiques, et ainsi de suite. La réplication d'une cellule mutée est en rapport avec l'indice de divi sion d'une cellule. Les cellules précurseurs des cellules sanguines se multiplient en permanence, lorsque celles-ci sont touchées la conséquence est une leucémie aiguë lymphoïde qui apparaît généralement lors des deux années suivant l'irradiation. A l'inverse, les cellules souches des bronches se renouvellent peu, les tumeurs n'apparaîtront que 10 ans plus tard. Chez l'enfant, la fonction thyroïdienne largement sollicitée sera sujette à cancer. Au-delà de la sensitivité des tissus concernés, la gravité dépendra du type de radiation, de la dose absorbée mais aussi de la vitesse d'absorption. Une irradiation courte et intense provoque la mort de la cellule, les effets sont visibles rapidement. Une irradiation plus longue mais moins intense laisse le temps à l'organisme de réparer les li aisons. La mesure de l'effet biologique du rayonnement se mesure en sieverts (Sv).
Voici quelques exemples:
- 0,05 Sv : modification de la formule sanguine par mort des globules blancs et rouges,
- 0,5 à 1 Sv : troubles digestifs, perte de cheveux et poils, fatigue, stérilité, cancer, etc. - 2,5 à 4 Sv : nausées, vomissements,
- 6 Sv : risques de perforations intestinales,
- 7 Sv : 90% de mortalité dans les mois suivant,
- 100 Sv : Mort dans les heures qui suivent,
- 1000 Sv : Mort dans les minutes qui suivent.
Dans le cadre de la radioactivité et de ses effets dévastateurs, comment la phycocyanine peut-elle nous aider?
Une étude démontre (sur le rat) la correction des effets d'une exposition aux rayons X à dose de 5 Gy (le gray est l'unité de mesure de la dose absorbée), ce en quatre semaines. Pour vous faire une idée, sachez qu'à partir de 1 gray les globules blancs et rouges et les plaquettes sont détruits. Nous avons vu dans le chapitre « la phycocyanine et le sang» la capacité de cette dernière à favoriser la production de cellules souches ainsi que leur différenciation au sein de la moelle osseuse. Les enfants de Tchernobyl dont la moelle osseuse est atteinte sont immunodéficients. La ph ycocyanine ainsi que les éléments de la spiruline associés permettent de favoriser un rétablissement en six semaines !
Nous avons également vu au chapitre de l'immunité la capacité de la phycocyanine à inhiber les cassures dans un brin d'ADN. Comme nous l'avons déjà dit, les polysaccharides spécifiques accompagnant la phycocyanine permettent d'améliorer l'activité enzymatique du noyau cellulaire ainsi que la synthèse réparatrice de l'ADN. Enfin, la puissante activité antiradicalaire et antioxydante de la phycocyanine permet à l'organisme de mieux se défendre.
Il nous paraît que la phycocyanine est d'un usage incontournable dans le cadre des rayonnements, qu'ils soient de nature accidentelle ou de nature thérapeutique dans le cadre de soins anticancéreux . Elle est à intégrer dans le cadre de ces soins, mais plutôt que d'en faire un usage curatif suite à un cancer, nous conseillons fortement un usage préventif. Il est toujours préférable d'entretenir sa santé que de se battre contre une maladie !
Utilisation post-radiative de complexes contenant des vitamines et d'un extrait de phycocyanine dans les lésions faites par radiation chez le rat
Karpov LM, Brown II,Poltavtseva NV, Ershova ON, Karakis SG, Vasil'eva TV, Chaban IuL.
Mechnikov Odessa State University, Ukraina.
Extrait du livre: LA PHYCOCYANINE Editions M
Les taux de radioactivité
Radioactivité, la situation au 12 mars 2011, accident de Fukushima
http://www.irsn.fr/FR/popup/Pages/irsn-meteo-france_19mars.aspx
Radioactivité de l'air à Tokyo le 21 mars 11
En situation accidentelle, il est indispensable de disposer, en temps réel, des ordres de grandeurs de la contamination de l’air qui 1/ détermine le risque encouru par inhalation de gaz et d’aérosols radioactifs ; 2/ conditionne – en association avec les paramètres météorologiques - l’intensité des dépôts au sol et par conséquent les niveaux de contamination de la chaîne alimentaire.
Tout un cocktail de produits radioactifs dans l’air de Tokyo
Le laboratoire de la CRIIRAD a pu accéder aux mesures effectuées par le Tokyo Metropolitan Industrial Technology Research Institute sur les poussières atmosphériques prélevées à Tokyo, dans l’arrondissement de Setagaya, sur la période du mardi 15 mars minuit au mercredi 16 mars 18h (heures locales), soit 42 heures de suivi.
Les résultats publiés concernent 4 radionucléides (produits radioactifs) : iode 131, iode 132, césium 134 et césium 137. Moyennées sur les 42 heures de suivi, les activités sont les suivantes :
- Iode 131 : 14,9 Bq/m3
- Iode 132 : 14,5 Bq/m3
- Césium 134 : 3,4 Bq/m3
- Césium 137 : 3,2 Bq/m3
Accéder aux tableaux de résultats :
1. Mise en forme CRIIRAD
2. Originaux de l’Institut de Recherche de Tokyo : 15-03-11 ; 16-03-11 ; 17-03-11
En situation normale, le seul radionucléide que l’on s’attend à mesurer dans l’atmosphère est le césium 137. Du fait des essais nucléaires militaires et de la catastrophe de Tchernobyl, subsiste en effet une contamination résiduelle mais heureusement très faible : de l’ordre de quelques µBq/m3. (1µBq = 10-6 Bq) Une valeur moyenne de 3,4 Bq/m3 représente une augmentation considérable du niveau de radioactivité : de l’ordre de 1 million de fois.
Précision importante : l’air contient nécessairement d’autre radionucléides : probablement des gaz rares radioactifs comme le krypton 85 et le xénon 133 mais également du tritium, du tellure 132, des isotopes du ruthénium, du tellure, du strontium. Il faudrait également savoir si l’air contient des transuraniens, des émetteurs alpha très radiotoxiques comme les plutoniums 238,239 ou 240 ou encore l’américium 241.
Si l’on considère l’évolution des concentrations dans le temps, on constate que le niveau de radioactivité de l’air a très fortement augmenté sur Tokyo le 15 mars, entre 10h et 12h, avec un pic de radioactivité sur les poussières prélevées à 11h :
- Iode 131 : 241 Bq/m3
- Iode 132 : 281 Bq/m3
- Césium 134 : 64 Bq/m3
- Césium 137 : 60 Bq/m3 (soit plus de 10 millions de fois le niveau antérieur aux accidents nucléaires)
Accéder au graphique établi par la CRIIRAD (résultats actualisés au 17 mars)
A partir d’une activité moyenne en iode 131 de 15 Bq/m3, nous avons calculé les doses équivalentes à la thyroïde qu’ont pu recevoir en 48 heures les enfants habitant Tokyo. Les résultats restent inférieurs au milliSievert (mSv) et par conséquent au seuil d’intervention de 10 mSv défini par l’OMS pour l’administration de comprimés d’iode stable.
Il faut cependant souligner que les chiffres utilisés pour les calculs sous-évaluent très probablement l'activité réelle de l'air. L’air a, en effet, été échantillonné à partir de filtres à poussières. Pour obtenir un bilan complet, il faudrait disposer de résultats sur des filtres à charbon actif capables de piéger les gaz, et notamment les formes moléculaires et organiques de l’iode. Elles peuvent représenter une part importante, voire majoritaire, de l’iode présent. Cette information doit être obtenue d’urgence. Que se passe-t-il plus au nord ?
Le plus préoccupant est que Tokyo n'est pas le secteur le plus touché par le passage des masses d'air contaminé.
L’analyse des relevés de débits de dose disponibles le montre clairement. Ces quelques éléments très – trop – lacunaires nous conduisent à nous interroger sur les niveaux d’exposition des personnes résidant à moindre distance de la centrale de FUKISHIMA DAIICHI (Tokyo est situé à 230 km au sud). A quels niveaux de contamination ont été exposés les habitants de la Préfecture de Fukushima (l’évacuation est limitée à un rayon de 20 km) ou encore ceux du secteur d’ONAGAWA où les débits de dose ont été multipliés par 100, voire par 1 000 (à Tokyo, l’augmentation n’aurait été que d’un facteur 16) ?
Et qu’en est-il des habitants de la Préfecture d’IBARAKI où l’élévation du niveau de rayonnement ambiant est un peu supérieure à celle de Tokyo et surtout bien plus prolongée ?
La CRIIRAD ne souhaite qu’une chose, c’est d’être rassurée sur les niveaux d’exposition de la population. Si les autorités considèrent que les niveaux de risques sont minimes, elles doivent le démontrer, chiffres à l’appui.
Si l’on se base sur les informations publiées par l’AIEA, jusqu’au mercredi 16 mars, l’ordre d’administrer des comprimés d’iode stable à la population n’avait pas été donné. L’AIEA indique que dès le 14 mars dernier, les autorités japonaises avaient distribué 230 000 tablettes de comprimés d’iode stable aux centres d’évacuation mais sans donner l’ordre de les administrer aux habitants. Or, la zone d’évacuation était encore hier limitée à un rayon de 20 km autour de FUKUSHIMA DAIICHI et consigne était donnée aux personnes résidant dans un rayon de 30 km de se confiner chez elles.
Le problème, c’est que le confinement ne peut apporter qu’une protection très provisoire : une habitation n’a rien d’une enceinte étanche : en quelques heures tout le volume d’air intérieur est renouvelé.
On gagne un peu de temps en calfeutrant toutes les ouvertures mais le confinement n’est absolument pas adapté à une contamination qui persiste sur plusieurs jours. L’aide internationale doit se mobiliser pour apporter la logistique nécessaire à l’évacuation des personnes sur un périmètre bien plus large. Ceci aurait dû être fait bien plus tôt. En attendant, il faut limiter les risques et l’iode stable est un moyen efficace – s’il est pris à temps ! – de limiter l’irradiation de la glande thyroïde et donc la survenue ultérieure de cancers ou d’autres pathologies thyroïdiennes. Rappelons également que l’iode stable n’est pas la panacée : il ne protège ni de l’irradiation externe, ni de la contamination par les autres radionucléides.
Dépôts au sol et contamination des aliments
La radioactivité présente dans l’air se dépose progressivement au sol et sur les végétaux. Les dépôts secs sont intensifiés par la pluie qui lessive les masses d’air contaminé et précipite au sol les particules radioactives (aérosols) et les gaz solubles (iode notamment).
Il faut disposer au plus vite d’une cartographie des activités surfaciques (Bq/m2 de sol) permettant de recenser les zones à risque et de cibler les mesures à prendre pour le retrait des aliments contaminés ou les mesures de prévention (alimentation du bétail en fourrage non contaminé par exemple).
Concernant la contamination de la chaîne alimentaire, il faut rappeler que depuis 5 jours, des quantités très importantes de produits radioactifs sont rejetées à la mer. Il faut donc vérifier l’impact de ces rejets sur les produits de la mer dans les zones proches et en fonction des courants.
Le fait de connaître les niveaux de contamination des paramètres clefs de l’environnement n’est certes pas une garantie de protection. Il est en revanche certain que l’absence de données ne peut qu’empirer les choses. L'opacité n’a jamais profité à la défense des intérêts sanitaires de la population. Tchernobyl l’a clairement démontré.
Pour comparaison
D’après les chiffres officiels, dans le sud-est de la France, une des régions les plus touchées par les retombées radioactives de Tchernobyl, l’activité moyenne de l’air du 1er au 3 mai 1986 était comprise :
- pour le césium 137 : entre 0,3 et 0,9 Bq/m3 à comparer à la concentration moyenne sur 2 jours de 3,2 Bq/m3 à Tokyo
- pour l’iode 131 : entre 0,6 et 4,2 Bq/m3 à comparer à la concentration moyenne sur 2 jours de 14,9 Bq/m3 à Tokyo
17 03 2011
CRIIRAD
471 avenue Victor Hugo
26000 Valence
Tel : 04 75 41 82 50
Fax : 04 75 81 26 48
E-mail : communication@criirad.org
Cela en devient de la folie, les californiens sont effrayés par les radiations du réacteur de Fukushima qui viennent les contaminer même s'il n'y a aucun risque, tout est normal, ils n'ont pas à s'affoler. Il y a une autre inquiétude, le séisme qui menaçait l'état et une partie du reste du pays le 09 [...]
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