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17 janvier 2013 4 17 /01 /janvier /2013 14:58

Sur http://www.prorussia.tv, j'ai pris connaissance de la prise d'otage de la ravissante journaliste ukrainienne. Soutien total à cette journaliste ! Soutien total à la Russie et à la Chine qui s'interposent pour que la Syrie ne soit pas disloquée au profit d'israël et de tous les prédateurs internationaux va-t-en guerres meurtrières (quitte à s'acoquiner avec les "terroristes") ! (eva)  !

 

 

Une journaliste ukrainienne otage du conflit syrien
 

 

Ankhar Kochneva, une journaliste ukrainienne servant d'interprète à des médias russes, a été prise en otage il y a plus de deux mois en Syrie par un groupe armé qui se dit être une unité de l'Armée syrienne libre, formée par l'opposition au président Assad. Les ravisseurs réclamaient le versement d'une rançon de 50 millions de dollars avant jeudi dernier.

Marie Desnos - Parismatch.com

 

 

La vie d’une journaliste est en danger. L’Ukrainienne Ankhar Kochneva, enlevée il y a deux mois par des insurgés syriens, est menacée d’exécution si la somme de 50 millions de dollars (près de 40 millions d'euros) n’est pas versée à ses ravisseurs. A vrai dire, l’ultimatum posé par le groupe armé non identifié, qui se revendique proche de l’Armée syrienne libre (ASL), a expiré le 13 décembre (jeudi dernier). Mais selon les dernières informations, les négociations sur la libération continueraient. Le ministère ukrainien des Affaires étrangères, via Reporters sans frontières (RSF), a notamment rapporté lundi que la jeune femme serait actuellement détenue entre Tartous et Damas, dans des «conditions satisfaisantes».


Ankhar Kochneva, qui collabore avec de nombreux médias russes, notamment comme interprète, est arrivée en Syrie pour couvrir le conflit peu après son éclatement, en mars 2011. D’après «Russia Today», elle s’était rendue à Tartous, le 8 octobre, avec une de ses consœurs, Elena Gromova, qu’elle avait quittée le lendemain pour aller à Homs dans le cadre d’un reportage pour la chaîne NTV. C’est alors qu’elle aurait été enlevée par des hommes armés qui se disent membres d’une faction de l’ASL. Le jour-même, une vidéo a été publiée sur Facebook dans laquelle l’Ukrainienne demande d’accomplir les exigences des kidnappeurs (vidéo en VO) sans préciser lesquelles.

 

 

 

 

 

La victime a confirmé son enlèvement dès le 9 octobre par téléphone, et même contacté NTV, les 12 et 13 octobre, selon RSF. Le 29 novembre, un deuxième enregistrement a été diffusé, mais cette fois, Ankhar Kochneva affirme avoir travaillé pour les renseignements russes et syriens, en tant que traductrice. L’ONG juge «vraisemblable que ses propos aient été tenus sous la contrainte» (vidéo en VO également).

 

 

 



Depuis, les kidnappeurs ont fait connaître leur revendication, soumise à ultimatum. Mardi 11, le ministère ukrainien des Affaires étrangères a prié Damas d'intensifier ses efforts pour obtenir la libération de la journaliste. Le même jour, des hommes armés et masqués ont répondu, dans un nouveau film, qu'aucun Russe, Ukrainien ou Iranien –pays ayant soutenu le régime de Bachar al-Assad depuis le début du soulèvement- ne doit quitter la Syrie vivant.

L'UE et les Etats-Unis appelés à faire pression sur la coalition

Puis la veille de l’échéance fixée par les ravisseurs, diverses ONG ont à leur tour donné de la voix en faveur de l’otage. RSF et deux autres organisations de défense des journalistes (le Comité de protection des journalistes (CPJ) et l’International Press Institute) ont ainsi exhorté la France, la Grande-Bretagne, les Etats-Unis et l'Union européenne à «user de leur influence auprès des factions rebelles syriennes pour obtenir la libération de la journaliste». Cet appel intervenait quelques heures après que «Amis de la Syrie», y compris les Etats-Unis, eurent rejoint la France, la Grande-Bretagne, et des pays arabes comme l’Arabie saoudite et le Qatar, en reconnaissant la coalition nationale syrienne (CNS). «Ces trois pays, de même que l’UE, ont reconnu la Coalition et son dirigeant Ahmed Moaz Al-Khatib en tant que représentants légitimes du peuple syrien et se doivent donc de faire pression sur la Coalition concernant l’importance de respecter les droits de l'Homme et (…) de condamner les violations.»

De son côté, Amnesty International avait aussi plaidé pour que la principale coalition d'opposition garantisse la «libération immédiate et en toute sécurité d'Anhar Kochneva». «Toute prise d'otage menée dans le cadre d'un conflit armé constitue un crime de guerre», mettait en garde Ann Harrison, directrice adjointe du programme Moyen-Orient et Afrique du Nord de l’ONG. Et de s’inquiéter des informations qu’elle recevait, «de plus en plus» nombreuses, «selon lesquelles les forces de l'opposition font subir d'horribles sévices à des personnes qu'ils ont capturées, dont des membres de l'armée gouvernementale, ainsi que des journalistes et d'autres civils». Amnesty recommandait enfin «l'établissement d'une hiérarchie et d'une chaîne de commandement clairement définies au sein de la nouvelle autorité militaire, afin de prévenir les crimes de guerre, les crimes contre l'humanité et les violations des droits humains».Point final

 

http://www.parismatch.com/Actu-Match/Monde/Actu/Une-journaliste-ukrainienne-otage-du-conflit-syrien-453080/

 

 

olympia.gr

 

Visitez le site : http://www.prorussia.tv

 

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