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29 juillet 2009 3 29 /07 /juillet /2009 06:00



publié par roland (Dazibaouebmaster) le 26/07/2009 20H04

Dossier Sécuriré SocialePar Alain Marceau (Terra nova)

Terra Nova inaugure aujourd'hui un dossier de notes sur les finances sociales. Un groupe de travail composé de spécialistes des finances sociales, des retraites et des politiques de santé analysera dans le détail les enjeux des réformes qui seront soumises au Parlement dans le projet de loi de financement de la Sécurité sociale dès la rentrée. Trois premiers axes de réflexion seront privilégiés : l'âge de départ à la retraite, la rémunération des professionnels de santé, et le rôle des complémentaires de santé. Une priorité politique s'impose : arrêter de faire peser le poids des réformes sur les seuls assurés.

Télécharger cette note (format PDF)

Le sénateur de l’UMP commis à la Sécurité sociale, M. Alain Vasselle, a choisi d’intituler son dernier rapport publié en juillet 2009 : « Finances sociales : arrêté de péril ». Ces mots, qui  ne sont pas choisis au hasard, s’appliquent habituellement aux immeubles qui menacent de s’effondrer.

Pour les Français, les annonces catastrophistes sur le « trou de la Sécu » sont une véritable litanie. Ils savent qu’elles sont toujours suivies des mêmes mesures, prises au nom de la sauvegarde de notre modèle social : recul de l’âge de la retraite, déremboursements de médicaments, franchises sur les actes de soins, etc. Ils constatent en réalité la lente dégradation de leur couverture et l’insuffisance répétée des réformes successives. L’angoisse de ne pouvoir maintenir dans les prochaines décennies les acquis fondamentaux que sont l’accès généralisé aux soins et la retraite décente pour le plus grand nombre pèse lourdement sur leur confiance dans l’avenir. Le coût de cette perte de confiance pour la croissance de notre économie est sans doute mal mesuré.

Face à la dégradation accélérée causée par la crise, le Gouvernement et sa majorité se préparent à agir une nouvelle fois dans la même direction. Ils concentrent toute leur énergie à faire accepter en 2010 le recul de l’âge légal de cessation d’activité. Ils le présentent comme la seule alternative à une diminution des pensions de retraite.

En réalité, cette mesure n’est pas une alternative à la diminution des pensions. C’est une manière de diminuer les pensions, un peu moins directe et un peu plus acceptable par la société. En effet, tant que l’âge réel de départ à la retraite n’augmentera pas, ce qui n’est jamais arrivé depuis les années 1960, toutes les mesures telles que l’augmentation de la durée de cotisation ou le recul de l’âge légal de cessation d’activité auront pour seule conséquence de diminuer les pensions servies. Le Gouvernement s’apprête à transformer une nouvelle fois de jeunes retraités en vieux chômeurs. Comme avec les franchises, la droite ne sauve pas notre modèle social, elle acte sa dégradation progressive.

Il faut engager un autre chantier, celui de la maîtrise solidaire de nos finances sociales. Leur tendance spontanée implique de financer 2 à 4 % de PIB d’ici 2025. Une part d’augmentation des impôts et cotisations est incontournable pour maintenir un haut niveau de protection sociale. Mais il n’est pas envisageable que les dépenses de retraites et de santé préemptent toutes les marges de manœuvre fiscales pour les vingt prochaines années. La maîtrise des dépenses est donc nécessaire, mais elle ne doit plus peser sur les assurés.

Le pouvoir  politique devrait donc appliquer son énergie à définir avec les employeurs et les professions de santé des réformes de transformation sociale, plutôt que de faire accepter les prochaines dégradations. Seul un tiers des salariés de plus de 55 ans travaille ; augmenter ce taux aurait un impact considérable sur les recettes et impliquerait des efforts de lutte contre la pénibilité du travail et de formation tout au long de la vie qui seraient bénéfiques à tous les travailleurs. La tarification à l’acte des médecins a des effets inflationnistes avérés ; introduire d’autres modes de rémunération permettrait de mieux maîtriser l’évolution des dépenses mais aussi de passer de véritables contrats pour renforcer la prévention et lutter contre les inégalités d’accès aux soins.

1 - LA DEGRADATION CAUSEE PAR LA CRISE NE PEUT FAIRE OUBLIER QUE LE DEFICIT DE LA SECURITE SOCIALE EST STRUCTUREL


Selon la commission des comptes de la Sécurité sociale, le déficit du régime général (celui des salariés du secteur privé pour l’essentiel) devrait atteindre en 2009 le niveau sans précédent de 20 milliards d’euros, soit un doublement par rapport au solde enregistré en 2008. Cette dégradation s’explique en grande partie par la crise : les cotisations sociales, qui représentent la majorité des recettes, sont assises sur la masse salariale, très dépendante des évolutions de l’emploi. A cause de la hausse spectaculaire du chômage, la masse salariale devrait se contracter de 1,25 % en 2009, après avoir progressé d’environ 4 % par an entre 2006 et 2008. En comptant l’ensemble des régimes sociaux (autres régimes que le régime général, retraites complémentaires, UNEDIC et hôpitaux), le besoin de financement devrait atteindre 25 à 30 milliards d’euros.

Pour autant, les Français savent bien que le « trou » de la Sécurité sociale ne date pas de la crise, qui explique tout au plus 10 milliards sur les 20. Voici six ans que le déficit annuel du régime général tourne autour de 10 milliards. Avec une croissance moyenne du PIB réel de 2 % par an, certes modeste mais que les économistes s’accordent à considérer comme notre niveau tendanciel, le gouvernement n’a jamais été en mesure depuis 2002 d’équilibrer les finances sociales ni même de les rapprocher de l’équilibre.

 

 

 2 - LES MESURES DE REDRESSEMENT ENGAGEES PAR LA DROITE DEPUIS 2002 ONT ETE INSUFFISANTES ET ONT PESE PRESQUE EXCLUSIVEMENT SUR LES ASSURES


Face à cette situation, la stratégie conduite par la droite a consisté presque exclusivement à faire porter sur les assurés le poids du redressement des comptes sociaux.

a) En matière de retraite, la réforme « Fillon » de 2003, dans la ligne de la réforme « Balladur » de 1993, a allongé la durée légale de cotisation nécessaire pour avoir une pension à taux plein. Elle a aligné le secteur public (37 ans et demi avant la réforme) sur le secteur privé (40 ans), et a prévu pour la suite un mécanisme automatique d’allongement de cette durée au vu des paramètres démographiques, qui permet d’éviter de repasser devant le Parlement. On en a vu la première application en 2008, où la durée légale a été portée par décret de 40 à 41 ans à l’horizon 2012.

b) En matière de santé, la droite a multiplié les « coups de canif » dans la prise en charge collective des dépenses de soins, au nom de la « responsabilisation » des assurés. La loi « Douste-Blazy » de 2004 a créé une « participation forfaitaire » de 1 € sur les actes médicaux, un forfait de 18 € sur les interventions à l’hôpital et augmenté le forfait journalier qui reste à la charge des patients pour chaque nuit passée à l’hôpital. La loi de financement de la sécurité sociale pour 2008 a créé des « franchises » de 50 centimes par boîte de médicament et de 2 € par transport médical, qui se rajoutent aux précédentes. Cette juxtaposition de dispositifs permet de dégrader de manière peu visible le niveau de prise en charge pour la plupart des assurés (même si de nombreuses exemptions, qui ne font que complexifier l’assurance maladie, permettent d’en limiter l’impact sur certaines catégories de population ainsi que sur le taux moyen de prise en charge par la sécurité sociale), chaque nouveau forfait paraissant d’ampleur limitée et l’ensemble étant délibérément illisible.

Ces mesures étant néanmoins insuffisantes, les gouvernements successifs ont bouclé leurs budgets par un manque répété de sincérité des prévisions soumises au Parlement. La réforme des retraites de 2003 devait garantir l’équilibre des comptes jusqu’à 2020. Des économies de plusieurs milliards d’euros devaient être réalisées grâce à la mise en place du dossier médical personnalisé ou à la « maîtrise médicalisée », c’est-à-dire des engagements de maîtrise des prescriptions pris par les médecins dans les conventions avec l’assurance-maladie, sans garantie d’application effective, en contrepartie de coûteuses augmentations de leur rémunération. Des rapports successifs de la Cour des comptes, de l’inspection générale des affaires sociales et de l’inspection générale des finances  ont montré que ces économies avaient été largement surévaluées voire inexistantes.

3 - LA DYNAMIQUE DES DEPENSES DE SANTE ET DE RETRAITE MET EN QUESTION LES AMBITIONS DU SYSTEME DEFINI EN 1945


Le déficit de la Sécurité sociale ne menace pas à court terme sa viabilité financière. Il reste limité comparé à celui de l’Etat, qui était de l’ordre de 40 milliards d’euros ces dernières années et qui devrait atteindre 110 milliards en 2009. Même dans une très mauvaise année comme 2009, il ne représente que 6 % des recettes, qui devraient atteindre 326 milliards.

Ce n’est donc pas le niveau du déficit qui est en lui-même préoccupant, mais la dynamique annuelle des dépenses. Quel que soit le mode de financement retenu, à moyen terme, les recettes de la Sécurité sociale évoluent sensiblement comme la croissance du PIB ; il s’agit donc de savoir si les dépenses évoluent plus vite ou moins vite que la croissance.

De ce point de vue, deux branches ne posent pas de difficulté majeure à long terme :

-    La branche accidents du travail et maladie professionnelles (AT-MP), qui ne représente que 3,6 % des charges du régime général, est en principe automatiquement équilibrée du fait du mode de calcul de ses cotisations.
-    La branche famille a des dépenses qui évoluent selon un rythme à peu près égal à l’inflation plus la croissance du nombre d’enfants, car la majorité de ses charges sont des prestations familiales dont le montant est indexé sur les prix et dépend du nombre d’enfants. Comme ses ressources évoluent comme la croissance du PIB et donc généralement plus vite que ses dépenses, la branche famille dégage à moyen terme des excédents.

Il en va différemment des branches maladie et vieillesse. Pour la maladie, entre 1950 et 2005, la croissance en volume de la consommation de services et de biens médicaux (CSBM) a été chaque année supérieure de 2,6 % à celle du PIB. Si elle a ralenti ces dernières décennies, le « gap » de croissance a encore été de 1,9 % entre 2000 et 2005. La part de la CSBM dans le PIB ne cesse donc de progresser, du fait du vieillissement, du progrès médical et des modes de tarification (le paiement à l’acte) des offreurs de soins. Le haut conseil pour l’avenir de l’assurance maladie a estimé que d’ici 2025, la part de la CSBM dans le PIB pourrait passer de 8,8 % à 10 % dans une hypothèse basse et 11 % dans une hypothèse haute .

Pour les retraites, leur part de la richesse nationale a, elle aussi, constamment progressé, d’abord du fait de la montée en charge des régimes, ensuite du vieillissement de la population et de l’arrivée à l’âge de cessation d’activité des générations du baby boom. Le conseil d’orientation des retraites a prévu dans son scénario central (plein emploi à compter de 2015) que d’ici 2020, les dépenses pourraient passer de 12,8 à 13,7 % du PIB. Dans l’hypothèse où le chômage resterait à un niveau de 9 %, le besoin de financement passerait de 0,9 % de PIB à 1,6 % .

Ce sont donc entre 2,1 % et 3,8 % de PIB qu’il faudra financer d’ici 2025, soit un montant compris entre 59 et 108 milliards d’euros (en équivalent 2009). Contrairement à ce qui est souvent affirmé, ce n’est pas la viabilité financière de la Sécurité sociale qui est menacée par ces évolutions. Pour garantir cette dernière, il suffit de ne pas socialiser ces dépenses supplémentaires et de les laisser à la charge des ménages. Ce qui est en jeu, c’est le maintien des ambitions du système défini en 1945 : l’accès aux soins pour tous et la garantie d’une retraite maintenant à peu près le niveau de revenu connu pendant la vie active. Didier Tabuteau a montré comment, en l’espace d’une génération, la tendance spontanée à l’augmentation des dépenses de santé pouvait contraindre, si on choisissait de maintenir le niveau de socialisation à ce qu’il est aujourd’hui, à ne plus rembourser les soins courants (grippe, angine, jambe cassée, etc) . En matière de retraites, après quatre décennies de diminution, le taux de pauvreté des per-sonnes âgées recommencerait à croître : la diminution de la pauvreté des plus de 65 ans s’est déjà interrompue depuis la fin des années 1990 et la pauvreté des personnes âgées seules a augmenté. Le nombre de bénéficiaires du minimum vieillesse a cessé de diminuer.

4 - LA GAUCHE NE DOIT PAS PENSER QUE LES DIFFICULTES FINANCIERES DE LA SECURITE SOCIALE SE RESOUDRONT PAR LE SIMPLE JEU DU RETOUR DE LA CROISSANCE OU D’UNE HAUSSE DES PRELEVEMENTS


Dans le souci légitime de ne pas être enfermé dans une « pensée unique » justifiant les choix du gouvernement, le discours de la gauche tend souvent à minimiser la nécessité de maîtriser la croissance des dépenses. Deux arguments sont le plus souvent invoqués : le retour de la croissance à un niveau plus élevé serait suffisant pour garantir l’équilibre ; les valeurs de la gauche devraient conduire à financer les besoins par une hausse des prélèvements, notamment sur le capital et les hauts revenus.

Le rôle de la croissance est indéniable. Entre 1997 et 2001, la croissance du PIB a été sensiblement supérieure à celle des dépenses de soins ; le régime général avait été en excédent. Le rapport Teulade de 2000 avait calculé qu’un taux de croissance de 3,5 % par an suffirait à garantir la pérennité du système de retraites.

Pourtant, le retour de la croissance à un niveau de 3 % par an ou supérieur ne peut être l’argument central de la gauche et ne pourrait en tout état de cause qu’être le résultat de réformes structurelles très profondes. Le ralentissement de la croissance de la population tirera à la baisse notre croissance économique ; trop d’incertitudes pèsent sur les conditions du retour à une croissance durablement plus élevée et même sur son caractère souhaitable dans un contexte de dégradation de l’environnement. La gauche ne peut se présenter aux Français en basant ses promesses sur les scénarii les plus optimistes. Des hypothèses raisonnables rendront ses engagements d’autant plus crédibles ; si la croissance s’avère plus élevée, il sera toujours possible de l’utiliser pour financer une couverture plus généreuse, d’autres dépenses publiques ou le désendettement.

Une hausse des prélèvements paraît incontournable pour financer une part de l’augmentation des dépenses. Elle est seule à même de faire face immédiatement à la dégradation causée par la crise. Cependant, il ne faut pas se faire une idée exagérée des marges de manœuvre dans ce domaine. La France a déjà l’un des taux de prélèvements obligatoires les plus élevés de l’OCDE. Des hausses de prélèvement seront sans doute nécessaires par ailleurs pour financer de nouveaux investissements publics, renforcer l’enseignement supérieur et la recherche et faire face à la croissance de la charge de la dette. La santé et les retraites ne peuvent préempter l’ensemble des marges de manœuvre fiscales pour les vingt prochaines années. La hausse des impôts ou des cotisations sociales ne peut être la seule solution.

 

 

 5 - UNE MAITRISE SOLIDAIRE DE NOS FINANCES SOCIALES PASSE PRINCIPALEMENT PAR UNE RELANCE DE L’EMPLOI DES PLUS DE 55 ANS ET PAR UNE RESPONSABILISATION BIEN PLUS GRANDE DES OFFREURS DE SOINS


Loin de « sauver » la Sécurité sociale comme elles l’ont prétendu, les réformes successives des gouvernements de droite ont surtout mis en œuvre le renoncement progressif aux ambitions de 1945, à travers la baisse de la part socialisée des dépenses de santé et de retraite. C’est patent pour la santé avec l’empilement des forfaits non remboursés. Mais c’est aussi le cas pour les retraites, bien que l’allongement de la durée de cotisation ait été présenté comme une alternative à la baisse des pensions. En réalité, comme l’âge effectif du départ à la retraite n’a pas évolué depuis 1995 – il reste de 59 ans, le renforce-ment des exigences de durée de cotisation a eu pour principale conséquence une baisse relative du niveau des pensions sans effets sur le taux d’emploi.

Age effectif de départ à la retraite
(source : OCDE)

Avec la réforme annoncée du recul de l’âge légal de départ à la retraite, c’est une nouvelle étape dans la même direction que la droite propose de franchir. L’argument mis en avant est qu’un recul significatif de l’âge légal, jusqu’à 67 ans par exemple, permettrait de changer les comportements et d’obtenir enfin un recul de l’âge effectif. Plusieurs raisons permettent d’en douter : l’absence d’effet en ce sens des réformes intervenues depuis 1993 et le fait que dans l’OCDE, les pays où l’âge légal est élevé ont souvent un âge effectif inférieur de plusieurs années. Si le pari de cette nouvelle réforme échoue, ce seront les assurés qui en subiront les conséquences à travers une baisse significative de leurs pensions.  La gauche doit s’inscrire en rupture avec cette démarche qui consiste à toujours faire peser le risque financier sur les assurés.

Une autre stratégie est possible et financièrement soutenable. Elle consiste à faire en sorte qu’un maximum d’assurés atteigne vraiment les conditions légales actuelles, c’est-à-dire l’âge de 60 ans et les 41 ans de cotisations. Les marges de progrès de la France, qui a l’un des taux d’emploi des 55-64 ans les plus faibles de l’OCDE, sont considérables. D’autres pays, comme les Pays-Bas, la Finlande ou le Canada, sont parvenus à augmenter de manière significative leur taux d’emploi des seniors. Au-delà de l’enjeu financier, la réalisation de cet objectif impliquerait des évolutions dans les conditions de travail et les politiques de ressources humaines qui seraient vertueuses pour l’ensemble des travailleurs.

En matière de santé, il faut rouvrir une voie qui a été depuis longtemps négligée : celle de la régulation de l’offre de soins. Les conventions entre l’assurance-maladie et les professions de santé, qui devraient avoir ce rôle, sont aujourd’hui des marchés de dupes dans lesquels l’assurance-maladie prend des engagements tangibles de revalorisation tarifaire tandis que les professionnels prennent des engagements peu contraignants de maîtrise de leurs prescriptions. La refondation de ces relations passe par une révision des modes de rémunération. Il est aujourd’hui établi que les pays qui rémunèrent les professionnels au moins en partie par le salariat ou la capitation maîtrisent mieux leurs dépenses que ceux, comme la France, qui recourent principalement au paiement à l’acte. La France ne peut aujourd’hui faire l’économie de cette réforme. Celle-ci permettrait non seulement de mieux maîtriser nos dépenses, mais aussi de s’attaquer aux principales faiblesses de notre système de santé : l’insuffisance de la prévention et les inégalités territoriales et sociales d’accès aux soins.

Terra nova




http://www.dazibaoueb.fr/article.php?art=5153


Source:



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Extrait 1 :  En 2007, le niveau de vie médian par unité de consommation d'un ménage français a progressé de 2,1 % en euros constants, à 18.170 euros sur l'année et 1.510 euros mensuels. Cela signifie que 50 % des Français se situent au-dessus et 50 % en dessous de ce seuil.  

 

Extrait 2 : Le seuil de pauvreté, établi à 60 % du revenu médian (et qui constitue désormais la référence dans les comparaisons internationales), soit 910 euros de niveau de vie mensuel, concernait 13,4 % de la population en 2007 (+ 0,3 point). Plus de 8 millions de Français vivent sous le seuil de pauvreté.


Propositions pour le changement !


  I - Urgence sociale   


1 )
Augmentation substantielle des minimas sociaux en lien avec la gratuité des services publics essentiels.  

Plusieurs systèmes d'indexation du revenu minimum sont possibles : http://www.tnova.fr/index.php?option=com_content&view=article&id=411

-   indexer le RMI sur le salaire moyen, comme c'est le cas aux Pays-Bas ;

-  indexer le RMI sur le seuil de pauvreté, égal à 60 % du salaire médian, ce qui garantirait que le RMI demeure au-dessus du seuil de pauvreté.


2) Augmentation du SMIC : En 2009 les propositions tournent entre 1500 à 1600 euros par mois.

 

II - Prendre d'abord chez les plus riches


donc "Ne pas deshabiller PIERRE pour habiller PAUL" 


1) Pas d'atteinte au pouvoir d'achat de ceux  d’en-bas dont la frontière supérieure est à 2 fois le SMIC revendiqué.soit 3000 ou 3200 euros par mois.


2) Répartition des richesses vers ceux d'en-bas en valoriser l'impôt progressif et les services publics. En finir avec les cadeaux aux riches.


CD

Une étude de l'INSEE vient de paraître

http:// www.lesechos.fr/investisseurs/actualites-boursieres/02078104643.htm

La moitié des Français disposent de moins de 1.500 euros par mois !
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29 juillet 2009 3 29 /07 /juillet /2009 05:14
Mardi 28 juillet 2009



Le discours d’Obama devant la NAACP (Association nationale pour l’avancement des personnes de couleur)

Source   WSWS

Par Tom Eley
27 juillet 2009

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L’idée maîtresse du discours prononcé jeudi par Barack Obama à l’occasion du centenaire de la NAACP (l’Association nationale pour l’avancement des personnes de couleur) a été de rejeter sur la classe ouvrière afro-américaine la responsabilité de la crise sociale qui la frappe.

Obama a fait allusion au degré de misère auquel sont confrontés les travailleurs noirs. Les Afro-Américains sont « bien plus touchés par le chômage que n’importe qui  » et sont « plus susceptibles d’avoir à souffrir d’une multitude de maladies, mais ont moins de chance d’avoir une assurance maladie, » a dit le président. Obama a également évoqué le nombre d'une grandeur disproportionnée d’Afro-Américains qui sont incarcérés dans le système carcéral massif du pays et qui sont touchés par le sida.

Cette liste tronquée - Obama aurait aussi pu mentionner les ventes forcées de maisons, la situation des sans-abri, la crise de l’enseignement public dans les villes, etc - ne donne qu'une vague idée des conditions terribles auxquelles sont confrontés les travailleurs afro-américains, et sûrement pas les seuls travailleurs noirs.

Mais quelle est la raison de cette misère ? Et comment Obama pense-t-il la soulager ?

Là, Obama a recouru à l’ensemble des remèdes universels fallacieux et droitiers quant à la « responsabilité individuelle » et qui sont employés pour justifier la destruction des programmes sociaux, exacerbant par là la crise à laquelle sont confrontées de vastes sections de la classe ouvrière.

« Les programmes du gouvernement ne suffiront pas à conduire nos enfants vers la Terre promise, » a déclaré Obama. En d’autres termes, les travailleurs noirs ne peuvent pas s’attendre à bénéficier d’une importante aide sociale du gouvernement Obama. Au lieu de cela, Obama a affirmé que ce qui était nécessaire c’était « un nouvel état d’esprit, de nouvelles attitudes. »

D’après Obama, « [L’]un des héritages les plus destructeurs et les plus durables de la discrimination est la manière dont nous avons intériorisé le sens des limites, la manière dont tant d’entre nous en sont venus à attendre si peu de ce monde et d’eux-mêmes. »

Obama sait pertinemment que ceci est une reprise de la théorie largement discréditée de Daniel Patrick Moynihan de la « culture de la pauvreté ». En 1965, le sociologue (et plus tard sénateur démocrate) avait rédigé une étude affirmant que la pauvreté parmi les noirs était essentiellement une pathologie sociale transmise au sein des « familles noires ». Ces conceptions ont toujours joué un rôle de premier ordre dans le but de restreindre les bénéfices du système de protection sociale.

Obama a clairement dit que les terribles conditions sociales n’étaient pas une justification pour que des jeunes noirs puissent bénéficier de l’assistance gouvernementale. Même s’il existe des problèmes économiques, a-t-il dit, « Ce n’est pas une raison pour avoir de mauvaises notes, ce n’est pas une raison pour sécher les cours, ce n’est pas une raison pour abandonner la scolarité et quitter l’école. »

« Nous devons apprendre à nos enfants…Votre destin est entre vos mains… Pas d’excuses… toutes ces difficultés vont simplement te rendre plus fort, mieux à même de prendre part à la compétition. » Pour Obama la faim, la situation de sans-abri, le harcèlement de la police ne sont pas seulement des « excuses ». Ces « difficultés » sont en fait un bienfait et rendent les jeunes noirs « plus forts, mieux à même de prendre part à la compétition. »

Le président a même donné quelques conseils aux parents. « Parents… vous ne pouvez pas simplement sous-traiter vos obligations parentales, » leur a-t-il dit. « Cela veut dire mettre la Xbox de côté et mettre nos enfants au lit à une heure raisonnable. »

Si un politicien blanc avait fait de telles déclarations, il ne fait pas de doute que lui ou elle aurait été traité de raciste. Mais, en raison de sa couleur de peau, les paroles d’Obama passent pour être un exemple de « qui aime bien, châtie bien » (« tough love »). Obama avait prononcé dernièrement un discours identique en Afrique dans lequel il affirmait que le continent le plus ravagé par l’impérialisme était responsable de son propre sort. (Voir « La mission néocoloniale d’Obama en Afrique »)



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La leçon d’Obama faite aux travailleurs afro-africains ressemblent fortement aux positions de Booker T. Washington (1856-1915), un enseignant noir qui soutenait que le seul moyen par lequel les noirs pourraient contrer la brutalité et la pauvreté dans le Sud ségrégationniste où régnaient les lois Jim Crow, c’était en améliorant leur position par « l’entraide » (« self-help »), et non par l’action politique.

L'ironie de tout cela réside dans le fait que c'est son opposition amère contre Booker T. Washington qui avait conduit W.E.B. Du Bois (1868-1963) à fonder en 1909 la NAACP. Obama a affirmé que la NAACP « ne fut pas fondée pour obtenir l'aumône. » Peut-être pas. Mais elle fut fondée, et quelles qu’en soient ses limitations, dans le but de combattre politiquement la répression de la population noire.

Obama a révélé le contenu essentiel de sa perspective en déclarant : « C’est parce que les lois Jim Crow ont été abrogées que des PDG noirs dirigent des entreprises figurant au classement du magazine Fortune des 500 plus grosses du monde. (Applaudissements.) Parce que les lois sur les droits civiques ont été votées, que des maires noirs, des gouverneurs noirs, des parlementaires travaillent en des lieux où par le passé ils auraient [sic] non pas simplement pu voter, mais pu prendre une gorgée d’eau. Et parce que des gens ordinaires ont fait ces choses si extraordinaires… qui m’[ont] permis d’être ici ce soir en tant que 44ème président des Etats-Unis d’Amérique. (Applaudissements) »

Ce passage a reçu un accueil enthousiaste de la part d’un auditoire constitué principalement de nantis. Pour cette couche sociale, l’essentiel du mouvement des droits civiques était de créer une couche de « PDG noirs » et de politiciens. Ils n’éprouvent que du mépris pour les besoins des travailleurs noirs.

Le contenu progressiste du mouvement des droits civiques était basé sur la lutte pour l’égalité. Toutefois, à mesure que les conflits sociaux s’intensifiaient dans les années 1960, y compris les insurrections populaires dans les ghettos en 1967-68, une section de l’establishment politique chercha à créer une classe moyenne noire en adoptant la politique de la discrimination positive et en l’intégrant dans l’establishment capitaliste. Au cours des quatre dernières décennies, l’inégalité sociale au sein de la population noire s’est considérablement accrue.

Obama est le produit de ce processus. Il n’existe rien dans l’histoire personnelle ou politique d’Obama qui soit relié aux luttes des travailleurs afro-américains. Il fut choisi très tôt par de puissants cercles politiques et financiers et qui l’ont escorté jusqu’à la Maison Blanche. En raison de son passé ethnique particulier, il fut considéré comme quelqu’un de plus apte à vendre une politique droitière.

Loin de promouvoir les intérêts de la majorité de la population noire, la politique identitaire est devenue un instrument visant à lancer des attaques sévères à l’encontre des travailleurs afro-américains et de la classe ouvrière en général. Alors que son gouvernement débloque plus de 12 mille milliards de dollars en faveur des grosses institutions financières, Obama manipule la faillite de l’industrie automobile dans le but de faire baisser les salaires et les niveaux de vie de la classe ouvrière. Il a proposé une réforme du système de santé qui aboutirait à un système d’assurance obligatoire et des soins rationnés. En ce qui concerne l’éducation, qu’il a qualifiée de condition préalable au succès, Obama soutient la fermeture des écoles publiques, et l’expansion des écoles privées sous contrat ainsi que les attaques contre les enseignants.


Le discours d’Obama et l’ensemble du contenu politique de son gouvernement ne font que prouver que la société est divisée en classes sociales et non en groupes ethniques.

(Article original paru le 18 juillet 2009)

http://panier-de-crabes.over-blog.com/article-34306187.html

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29 juillet 2009 3 29 /07 /juillet /2009 05:03
 
ISM FRANCE

Egypte - 27-07-2009


Par Miche > intmorb@googlemail.com
 

A tous ceux qui sont curieux de comprendre comment le blocus de Gaza fonctionne, de voir à quel point les autorités égyptiennes, américaines, arabes et européennes sont complices d’Israël dans le maintien de ce blocus criminel et illégal, une violation flagrante des droits de l’Homme, de voir comment les autorités égyptiennes maltraitent et rackettent les Palestiniens, nous vous invitons à venir passer quelque temps à la frontière de Rafah.























Photo : Un pick-up égyptien transportant du matériel destiné à la bande de Gaza


Les autorités égyptiennes ont transformé le Sinaï, la péninsule située entre Gaza, Israël et le Nil, en camp militaire destiné à protéger l’Etat Sioniste mais cela a une contrepartie : l’exploitation financière des Palestiniens assiégés.

Suite à la signature en 2005 de l'accord de libre mouvement et accès (AMA), entre Israël, l’Autorité Palestinienne et l’Union Européenne, accord honteux qui permettait l’ouverture du passage de Rafah sous surveillance européenne et israélienne, l’Egypte a commencé à mettre en place l’infrastructure routière qui permettrait de soutenir l’activité économique liée à cette ouverture, en démarrant la construction d’une quatre-voies entre Ismaïlia et Rafah.

Mais en janvier 2006, après la victoire du Hamas aux élections parlementaires pourtant considérées par tous comme démocratiques, Israël a imposé un embargo à l’Autorité Palestinienne, les Etats-Unis et l’Union Européenne ont gelé l’envoi de leurs aides et l’Egypte a fermé le passage de Rafah, mis en place des dizaines de checkpoints à travers le Sinaï, poursuivi la construction de l’infrastructure routière et économique et développé l’industrie des tunnels.

Les medias traditionnels lient généralement les tunnels à l’entrée d’armes dans Gaza alors qu’ils ne servent, en grande majorité, qu’à alimenter en produits de base les Gazaouis assiégés et à enrichir les industriels et autorités égyptiennes.

Et cela se fait au vu et au su des autorités égyptiennes, de l’armée sioniste, des observateurs américains, européens et des Nations-Unies.

Lorsque l’on passe quelque temps dans le nord du Sinaï et au Passage de Rafah, l’on comprend bien pourquoi l’Egypte n’est pas pressée d’ouvrir le passage de Rafah et pourquoi les déclarations du Quartet, de l’Union Européenne et des Etats-Unis ne sont qu’hypocrisie.

N’importe quel observateur, même sans connaître la langue, peut le constater.

Il y a d’abord les signes extérieurs de richesse : les grosses voitures, les pickups neufs : rien à voir avec ceux que l’on peut voir ailleurs en Egypte.
En effet, des centaines de ces pickups flamboyants, bleus, verts, rouges, sillonnent les routes entre le Canal de Suez et Rafah. Ils transportent tous du matériel ou des produits de base que les Gazaouis paieront 7 fois leurs prix.

Un activiste local m’a expliqué qu’en fonction de leurs couleurs, on pouvait connaître le chef d’entreprise qui dirige le réseau, en général, un dignitaire bédouin du Sinaï et ce trafic est obligatoirement connu des autorités égyptiennes, étant donné le nombre important de checkpoints placés sur cette route et la présence des services de renseignements sur ces checkpoints.

Ces véhicules sillonnent les rues de Rafah où ils franchissent allègrement les plusieurs dizaines de checkpoints de police installés dans la ville et circulent sans problèmes devant le poste d’observation des Nations-Unies.

Ils passent également quotidiennement devant la base des Forces Internationales basées dans le Sinaï, à 25 km de Rafah, d’où partent les convois des Forces Américaines qui viennent chaque jour à la Porte de Rafah pour contrôler que le blocus de Gaza est bien maintenu
Ce qui démontre vraiment l’hypocrisie des leaders mondiaux et du Quartet lorsqu’on les entend appeler à la levée du Siège de Gaza.

Le problème n’est pas seulement l’hypocrisie générale au sujet des tunnels mais aussi le racket organisé des Palestiniens qui tentent d’entrer ou de sortir de Gaza.

Tout Palestinien qui a eu la chance, pour une raison quelconque, généralement un problème médical, d’obtenir une autorisation de sortie de Gaza auprès de l’Autorité Palestinienne et donc, par conséquent, des Israéliens et des Egyptiens, se voit octroyer une durée limitée à son séjour en Egypte ou à l’étranger.
Mais s’il tente de revenir à Gaza au-delà de cette période après avoir été bloqué des jours ou des semaines en Egypte en raison de la fermeture de la frontière, il devra s’acquitter d’une taxe « de retard » auprès des autorités égyptiennes, somme qui s’ajoute aux 90 EGP (11,5€) que chacun doit verser pour entrer en Palestine.

Je dirais que pour revenir dans Gaza, il vaut mieux être membre du Fatah et se coordonner avec le représentant de l’Autorité Palestinienne à Al Arish, évidemment toujours contre une certaine somme d’argent.

Pour mieux piéger les Palestiniens, les autorités égyptiennes ne fournissent aucune information sur la marche à suivre pour l’entrée dans Gaza et n’annoncent les dates d’ouvertures de la frontière que quelques jours avant.

En effet, selon un accord signé entre le Hamas et l’Egypte, la frontière doit être ouverte 2 jours par mois, ce qui est d’ailleurs une ignominie car lorsque la frontière est ouverte, des milliers de gens s’entassent à la Porte de Rafah et l’entrée dans Gaza se fait dans la pagaille la plus complète.

Pour parer aux débordements, les autorités égyptiennes déploient ces jours-là des centaines de policiers antiémeutes qui n’hésitent pas à frapper et interdisent l’accès aux véhicules à moins de 500 mètres de la frontière.
Là encore, les Palestiniens sont rackettés. Afin de pouvoir transporter leurs lourdes valises jusqu’à la frontière, ils doivent même payer aux Bédouins la location d’une charrette à un prix exorbitant.

D’ailleurs ces jours-là, tout augmente : même la location d’un taxi pour venir d’Al Arish qui peut passer de 30 EGP (4€) à près de 300 EGP (40€).

Si un Palestinien loue un véhicule égyptien pour entrer dans Gaza les marchandises qu’il a achetées en Egypte, il doit payer 125 EGP (16€) par personne aux autorités égyptiennes gérant le Passage de Rafah.

Je n’ai pas parlé, bien entendu, des prix des séjours dans les hôtels d’Al Arish où tout le monde a été obligé de séjourner en attendant l’ouverture de la frontière, ce qui bénéficie à l’industrie hôtelière locale.

Pendant mon séjour dans le camp que nous avons installé à la Porte de Rafah, en protestation contre le siège, j’ai même assisté à un évènement très étrange : les plus gros importateurs et industriels du Sinaï déjeunaient à la cafétéria de la porte de Rafah après une réunion très importante à l’intérieur du Passage de Rafah. Quelques heures plus tôt, j’y avais également vu entrer le convoi des Forces Armées américaines.
Que s’y est-il passé ? Quel accord y a été conclu ? Je n’ai pas pu obtenir de réponses à mes questions mais j’ai eu droit à l’hospitalité égyptienne et j’ai été invitée à participer à leur repas.

En deux mots, je dirais que dans le nord du Sinaï, tout le monde profite du blocus et pas seulement les gros chefs d’entreprises qui sont à la tête de l’industrie des tunnels.

Un autre sujet tout aussi scandaleux, c’est le problème de ceux qui utilisent le blocus de Gaza pour se faire une notoriété et se font accueillir comme des héros par les habitants de Gaza lorsqu’ils réussissent à briser temporairement le blocus.
Dès leur passage, la frontière se referme de façon hermétique et cela incite les Gazaouis à accepter leur enfermement.

J’aimerais juste ajouter que les Palestiniens de Gaza n’ont pas besoin de charité mais ils ont besoin de liberté.
Ils n’ont pas besoin de héros car ce sont eux les héros !


A tous ceux qui sont curieux de comprendre comment le blocus fonctionne, de voir à quel point les autorités égyptiennes, américaines, arabes et européennes sont complices d’Israël dans le maintien de ce blocus criminel et illégal, une violation flagrante des droits de l’Homme, de voir comment les autorités égyptiennes maltraitent et rackettent les Palestiniens, nous vous invitons à venir passer quelque temps à la frontière de Rafah.

Nous invitons, également, les Européens à demander au Conseil de l’Union Européenne d’annuler immédiatement la Mission de l’EUBAM-Rafah dont le mandat a été prolongé jusqu’au 24 Novembre 2009. Cette mission est toujours basée à Ashkelon en Israël. Elle ne fait absolument rien pour aider les Palestiniens bloqués en Egypte et permet de donner une excuse à l’Egypte dans ce crime contre l’humanité.

Nous invitons les activistes américains à maintenir la pression sur leur gouvernement et à leur demander des comptes sur ce que font les Forces Armées américaines en Egypte et plus particulièrement à la Porte de Rafah.

Enfin, nous devons tous continuer à faire pression sur nos gouvernements respectifs pour que les droits de l’homme et la Charte des Nations-Unies soient respectés par Israël (même si cela est un peu cause perdue !) et par l’Egypte (peut-être aussi !) et que le blocus de Gaza soit ENFIN levé !

http://panier-de-crabes.over-blog.com/article-34322036.html


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29 juillet 2009 3 29 /07 /juillet /2009 04:55
Mardi 28 juillet 2009
... le CEL à 0,75% et le LEP à 1,75% à partir du
1er août 2009 (journal officiel)

Paris, 28 juillet 2009 - aujourd'hui à 10h43

L’arrêté relatif à la rémunération des fonds reçus par les établissements de crédit a été publié ce jour au Journal Officiel. Il fixe les taux d’intérêt des livrets de l’épargne réglementée applicables à compter du 1er août 2009.

Comme Christine Lagarde, ministre de l’économie, l’avait annoncé le 16 juillet, le taux du Livret A est diminué à 1,25% à compter du mois prochain.

La stricte application de la formule de calcul des taux de l’épargne réglementée aurait conduit à abaisser le taux du livret A à 0,25%. C’est la troisième fois, cette année, que la formule n’est pas respectée.

Christian Noyer, gouverneur de la Banque de France, a proposé cette baisse de taux limitée du Livret A en raison de circonstances exceptionnelles, afin de ne pas perturber les circuits de collecte de l'épargne, et de ne pas risquer de créer des inquiétudes chez les épargnants.

Au mois de juin, le glissement annuel de l’indice des prix à la consommation hors tabac est négatif à -0,50% et le taux du marché monétaire est à 0,70% au jour le jour, et, à 1,23% à trois mois.

Les taux des livrets à compter du 1er août 2009

Le Livret A, le Livret Bleu, le Livret de développement durable passe de 1,75% à 1,25%.

Le Livret d’épargne populaire (LEP) baisse de 2,25% à 1,75%.

Le Compte épargne logement (CEL) est ramené de 1,25% à 0,75%.

Le Livret épargne entreprise (LEE) passe de 1,25% à 0,75%.

Le taux du Plan épargne logement (PEL) reste inchangé à 2,50%.

 

http://www.cbanque.com/actu/11178/le-livret-a-a-1,25-le-cel-a-0,75-et-le-lep-a-1,75-a-partir-du-1er-aout-2009

http://panier-de-crabes.over-blog.com/article-34321673.html


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29 juillet 2009 3 29 /07 /juillet /2009 04:49
Mardi 28 juillet 2009
Reuters
Une famille expulsée de son domicile dans la ville de Waco, au Texas. Photo : Reuters

Conséquence de la récession qui dure depuis plusieurs mois : le déficit cumulé de 48 des 50 États américains s'élève à 166 milliards de dollars. Et les prévisions pour l'année 2010 ne sont pas optimistes.

Washington. De notre correspondant.

Deux ans tout juste après le début de la crise des crédits immobiliers à risque (subprimes) aux États-Unis, et dix mois après l'effondrement d'une partie du système financier, la plupart des États américains sont aujourd'hui au bord de la banqueroute.

Le déficit cumulé de 48 d'entre eux, sur les 50 que comptent les États-Unis, s'élève à quelque 166 milliards de dollars (environ 118 milliards d'euros). Et les prévisions pour l'exercice budgétaire 2009-2010 ne sont guère optimistes.

C'est l'une des conséquences de la récession dans laquelle le pays s'est enfoncé depuis plusieurs mois, et de la chute des recettes fiscales, de près de 12 % en moyenne sur les trois premiers mois de l'année. Or, selon la Constitution américaine, tous ces États, à l'exception de celui du Vermont, ne sont pas autorisés à présenter un bilan déficitaire.

Dans l'Illinois (nord), pour faire face à un déficit budgétaire qui pourrait atteindre plus de 11 milliards de dollars, le gouverneur démocrate, Pat Quinn, a décidé d'augmenter les impôts des contribuables de 50 %. Mais c'était sans compter sur le refus catégorique d'une grande majorité d'élus au Sénat local, qui s'opposent à l'adoption d'une telle mesure.

Dans l'Indiana voisin, afin de limiter au maximum les hausses d'impôts, les autorités envisagent la mise au chômage technique temporaire de quelque 30 000 fonctionnaires, et donc d'amputer leurs revenus.

D'autres États ont fait le choix de tailler dans les dépenses, notamment en matière d'éducation, de santé ou encore d'aide sociale.

Un véritable cauchemar, si l'on ajoute à cela l'explosion du budget fédéral. Fin juin, au neuvième mois de l'exercice 2008-2009, le déficit a dépassé la barre des 1 000 milliards de dollars (715 milliards d'euros), et devrait atteindre la somme vertigineuse de 1 800 milliards de dollars à la fin de l'exercice. Soit quatre fois plus que l'année précédente, pour atteindre 13 % du Produit intérieur brut (PIB).

Des chiffres qui n'entament en rien la confiance du secrétaire américain au Trésor. Hier à Paris, Tim Geithner a défendu le plan de relance de l'administration Obama, qui devrait à terme « rétablir la croissance ».
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29 juillet 2009 3 29 /07 /juillet /2009 04:29



Grippe porcine : les prochaines campagnes de vaccinations sont-elles dangereuses ?

Posted by admin on juil 28th, 2009 and filed under International. You can follow any responses to this entry through the RSS 2.0. You can skip to the end and leave a response. Pinging is currently not allowed.

La traduction, étant une création intellectuelle, jouit de la protection juridique reconnue aux œuvres de l’esprit.

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Stephen Lendman aborde l´histoire secrète de certains vaccins dangereux et explique comment le gouvernement envisage d´imposer une certaine forme de vaccination obligatoire, probablement dans les écoles publiques (un motif supplémentaire de les abandonner tôt ou tard).

« Le vaccin expérimental contre le charbon contenait du scalène qui serait la cause de certaines maladies auto-immunes dévastatrices et du décès de certains vétérans de la Guerre du Golfe. Désormais, le scalène entrera pratiquement dans la composition de tous les vaccins à venir. « Les vaccins et les médicaments, comme le Tamiflu, mettent en danger la santé de l´homme, mais ils sont largement profitables au fabricants de médicaments. »

En réalité, il attire l´attention sur quatre lois: le Project BioShield Act de 2004, le Public Readiness and Emergency Preparedness (PREP) Act (la loi sur l’état de préparation du public et préparation aux situations d´urgence), la Pandemic and All-Hazards Preparedness Act et la Model State Emergency Health Powers Act (MSEHPA).

Toutes les lois accordant ensemble une immunité aux fabricants de vaccins et aux entreprises pharmaceutiques en cas de responsabilité civiles délictuelle. De même elles accordent de vastes pouvoirs à l´Etat fédéral en cas de situations d´urgence, y compris les pouvoirs de mise en quarantaine et de vaccinations obligatoires.

Lendman explique que ces lois sont « formulées de telles sortes que la protection adéquate des citoyens n´est pas assurée contre le mauvais usage des énormes pouvoirs qu´elles accordent dans les situations d´urgence. Elles soulèvent de nombreux problèmes liés aux libertés civiles. Elles vont au-delà du bioterrorisme en raison de la large définition de « situation d´urgence en matière de santé qui est peut-être tout ce qu´une autorité locale ou nationale déclare pour tout motif sans preuve convaincante. »

Effets secondaires des vaccins administrés aux soldats lors de la guerre du Golfe: « Avant le déploiement des troupes dans le golfe persique en 1990-91 (et par la suite jusqu´à nos jours), tous les soldats des Etats-Unis recevaient une série de vaccins contre les maladies infectieuses, les mêmes que l´on administrait à tous les citoyens américains en partance pour cette région.

A leur arrivée, 150.000 ont également reçu des doses du vaccin contre le charbon et 8000 ont reçu le vaccin appelé anatoxine botulinique malgré les inquiétudes suscitées par rapport aux effets à long terme sur la santé.

« D´habitude, de multiples vaccins sont administrés au personnel militaire. L´Institut de la Médecine (IOM) de l´Académie Nationale des Sciences, institution politisée, a réalisé une étude sur leurs effets secondaires, mais il n´a pu prouver l´existence ou la non existence d´effets secondaires à long terme. Toutefois, plusieurs études indépendantes réalisées sur les vétérans de la guerre du Golfe ont prouvé l´existence d´un lien entre les multiples vaccins administrés aux soldats et les problèmes de santé survenus plus tard. »

« Gary Matsumoto est un journaliste d´investigation basé à New York qui s´est vu décerné un prix. Son livre intitulé « Vaccin A : L´expérience secrète du gouvernement qui tue nos soldats, et les GI ne sont que les premières victimes » entre en désaccord avec les résultats de l´IOM et les démentis du Pentagone concernant l´existence d´un syndrome de la guerre du Golfe.

« Au cours d´une enquête réalisée sur les vaccinations mystérieuses, il a découvert que les médecins et les scientifiques en service dans l´armée américaine conduisaient des expériences médicales secrètes sur les citoyens américains en violation du Code de Nuremberg et de l´éthique fondamentale de la médecine. »

« Selon Matsumoto, le Pentagone viole ces instruments ainsi que d´autres normes, trahissant ainsi les troupes et le devoir fondamental des dirigeants civiles et militaires de les protéger. » Depuis au moins 1987, l´évolution de la guerre biologique a pris le pas sur le bien-être des dizaines de milliers de GI, utilisés comme des cobayes humains pour l´inoculation des vaccins contre le charbon non certifiés et contenant du scalène, un adjuvant fait à base d´huile (censé renforcer l´immunité) dont on sait depuis des dizaines d´années qu´il provoque de grave maladies auto-immunes chez les animaux de laboratoire. Pourtant, il est administré involontairement sans que ses effets dangereux sur la santé de l´homme soient révélés. Matsumoto a écrit:

« d´autres recherches réalisées montrent que le scalène est le constituant du vaccin contre le charbon qui a causé des maladies auto-immunes meurtrières et la mort de nombre de vétérans originaires des Etats-Unis, du Royaume-Uni et d´Australie qui ont participé à la guerre du Golfe. Malgré ces résultats, le scalène continue d´être utilisé de nos jours pour la production de nouveaux vaccins dans les laboratoires Il y a un lien bien établi entre les maladies provoquées par le scalène chez les animaux et celles observées chez les hommes vaccinés par ce produit : polyarthrite rhumatoïde, sclérose multiple et lupus érythémateux. »

« Matsumoto explique que le réel problème que pose l´utilisation du scalène n´est pas qu´elle imite une molécule qu´elle trouve dans l´organisme ; c´est la même molécule. Ainsi, ce que les chercheurs américains ont conçu comme étant un vaccin de rappel (ou celui qui est actuellement mis au point dans les laboratoires) était une autre « nano bombe » qui distille une maladie chronique, imprévisible et débilitante. Lorsque le NIH a réfuté ces arguments en affirmant que le scalène serait sans risque parce qu´il est tiré de l´organisme même, c´est justement le contraire qui était vrai. Bien sûr, c´est encore les cas aujourd’hui. « La présence naturelle du scalène dans l´organisme en a fait l´une des molécules les plus dangereuses jamais injectées à l´homme. » et il est étrange et criminel de l´injecter à l´homme.

« Le système immunitaire le considère et le reconnaît comme une molécule d´huile provenant de l´organisme. Le scalène n´est pas qu’une une molécule que l´on trouve sur le genou ou le coude, mais il se trouve dans tout le système nerveux et dans le cerveau. » Lorsqu´il est injecté dans le corps, le système immunitaire le voit comme un ennemi à éliminer et le combat. Manger et digérer le scalène ne constitue pas un problème. Mais, s´il est introduit dans le corps par injection, il pousse le système immunitaire à l´attaquer. Il se produit alors des réactions croisées autodestructrices contre la même molécule dans le milieu où cela arrive naturellement dans l´organisme, et où il est déterminant pour la santé du système nerveux. » Une fois que l´autodestruction commence, elle ne s´arrête plus étant donné que le corps continue à fabriquer les molécules que le système immunitaire est formé pour attaquer et détruire.

Source: OpedNews



http://www.spreadthetruth.fr/wordpress27/?p=2173


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Grippe porcine: les Américains se préparent
à une vaccination de masse

Posted by admin on juil 27th, 2009 and filed under International, Santé, Environnement, Technologie. You can follow any responses to this entry through the RSS 2.0. You can skip to the end and leave a response. Pinging is currently not allowed.

La vaste campagne de vaccination contre la grippe porcine prévue à l’automne aux Etats-Unis devrait être bien acceptée par la population, même si elle est préparée dans l’urgence, estiment les experts.

“C’est le plus gros effort jamais entrepris en matière de vaccins dans le monde”, assure le professeur Robin Robinson, directeur du bureau fédéral de coordination de la réponse à la pandémie (BARDA).

“Le nombre de personnes que nous espérons vacciner avant la résurgence attendue du virus A(H1N1) cet hiver est sans précédent dans ce pays”, a indiqué à l’AFP le professeur Michael Osterholm, directeur du Centre de recherche des maladies infectieuses (CIDRAP) de l’Université du Minnesota (nord).

Les Etats-Unis ont sollicité des milliers de volontaires pour commencer des essais cliniques afin d’avoir des résultats dans deux mois. Washington prévoit une campagne de vaccination ciblée à l’automne.

“Nous ne savons pas encore combien de personnes nous voulons vacciner, tout dépendra du nombre de vaccins disponibles (…) mais cela sera de l’ordre de plusieurs centaines de millions”, a précisé le Dr Osterholm. Les Etats-Unis comptent 300 millions d’habitants.

“Tout sera fait pour encourager les gens à se faire vacciner, c’est important. Le virus circule encore”, ajoute Gretchen Michael, porte-parole du BARDA.

“Nous prévoyons, vu la situation actuelle dans l’hémisphère sud, que le virus va recommencer à circuler à une fréquence similaire, surtout lorsque les enfants rentreront à l’école”, a-t-elle ajouté. “Nous espérons que les gens se feront vacciner dès que l’immunisation sera disponible”, insiste-t-elle, précisant que la vaccination se ferait sur la base du volontariat.

Les enfants et les jeunes sont plus vulnérables à la grippe porcine qui a déjà fait 263 morts aux Etats-Unis, soit le bilan le plus lourd au monde, pour plus de 40.000 cas. La grippe saisonnière tue 36.000 personnes en moyenne chaque année dans ce pays.

Tous les experts sont mobilisés pour mettre au point cette campagne en un temps record. Les essais “seront conduits sur une période très courte, dans une course contre une possible résurgence du virus à l’automne”, a reconnu le directeur de l’Institut national des maladies infectieuses (NIAID), Anthony Fauci.

“Les techniciens travaillent jour et nuit dans les laboratoires. Nous ne voulons brûler aucune étape et bien faire les choses, afin que soit livré aux Américains un vaccin aux normes”, a commenté William Schaffner, professeur en maladies infectieuses à l’Université Vanderbilt (Tennessee, sud) interrogé par la radio publique NPR.

Une réunion d’urgence des experts sanitaires américains le 29 juillet doit mettre en place ce plan et choisir les groupes prioritaires de la population.

“Il ne s’agit pas de déterminer s’il existe un problème avec le vaccin mais de déterminer son dosage”, explique le Dr Osterholm, notant que le processus de fabrication n’est pas différent de celui des vaccins anti-grippe qui existent depuis des décennies. Cela dépendra aussi du nombre de doses disponibles, ajoute-t-il.

Le fiasco, en 1976 aux Etats-Unis, d’une vaste campagne de vaccination n’a pas été oublié.

Après l’irruption sur une base militaire d’un virus de grippe porcine, qu’on craignait similaire à celui de la grippe espagnole meurtrière de 1918, quelque 40 millions d’Américains avaient reçu dans la hâte un nouveau vaccin.

Le virus ne s’était en fait jamais propagé mais un demi-millier de personnes ont contracté le syndrome Guillain-Barre, une inflammation rare du système nerveux provoquée par le vaccin. 25 patients en sont morts.

Source: Agence France Presse via Romandie.com

 

http://www.spreadthetruth.fr/wordpress27/?p=2164#comment-1351

 

 

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29 juillet 2009 3 29 /07 /juillet /2009 04:01


 
http://laplote.over-blog.fr (le blog du caricaturiste Laplote à visiter)
Dessin réalisé par Laplote pour les lecteurs de R-sistons, à ma demande. Eva

Posted by admin on juil 28th, 2009 and filed under International. You can follow any responses to this entry through the RSS 2.0. You can skip to the end and leave a response. Pinging is currently not allowed.

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L´avantage que procure cette nouvelle information, c´est qu´on peut finalement comprendre notre société. « Trop chaude, trop plate, trop peuplée », Thomas L. Friedman finira par découvrir sur quelle planète vit George W. Bush. Bush a perdu la guerre contre le terrorisme en Irak, mais il est en train de gagner la guerre contre l´environnement.
Pour l´instant, il est interessant d´examiner les efforts fournis par l´écrivain Andrew Hitchcock, auteur de « l´Histoire de la Maison des Rothschild » :


« Les Rothschild dominent le monde depuis très longtemps, leurs tentacules touchent notre vie quotidienne dans bien des aspects; elles sont la main invisible qui met en mouvement tous les cataclysmes sociaux de notre histoire. »


Les Révolutions françaises et américaine, la guerre de Sécession, les guerres mondiales, la révolution industrielle, la Réserve Fédérale et notre société de consommation. Les principes des Rothschild reposent sur « un caractère totalement impitoyable » et, comme le souligne Frederic Morton dans la préface du livre« The Rothschild’s », « Pendant les cent cinquante derniers années, l´histoire la Maison des Rothschild a été jusqu´à un degré ahurissant, en coulisse, l´histoire de l´Europe Occidentale… L´énorme succès des Rothschild reposait sur leur détermination à accomplir leur devoir. »

L´histoire qui suit est celle qui a été écartée, à dessein, des manuels d´histoire. En examinant les recherches historiques effectuées par Tocqueville, Chartier et Hitchcock, l´on s´aperçoit qu´elles appuient la thèse, a priori simple, selon laquelle la Maison des Rothschild, cherchant à saccager la planète, a orchestré les révolutions française et américaine dans le but de créer une classe moyenne (les consommateurs).

Notre dernier Président Bush, ayant des liens avec l´empire financier mondial de la Maison des Rothschild, exprimait véritablement le fond de sa pensée, lorsqu´Il a déclaré «Adieu, au plus grand pollueur du monde (à l´époque). » après avoir rejeté les objectifs fixés par le sommet mondial du G8 de juillet 2008 sur les changements climatiques.

« Les événements ne se produisent tout seuls. Ils sont provoqués. »
Au début du 20e siècle, les historiens (tels que Charles Beard) ont souligné que l´industrialisation et l´urbanisation constituaient, selon eux, les forces dominantes de l´histoire. Celles-ci ont été déclenchées par l´industrie textile et la révolution industrielle. [2] Avant le milieu du 20e siècle, l´attention fut portée sur le concept plus large de « modernisation », qui incluait l´industrialisation, l´urbanisation, les changements psychologiques et les changements relatifs aux systèmes de valeurs. Selon Eric Hobsbawm, la “modernisation” (consumérisme) est « probablement l´événement le plus important de l´histoire humaine. »

Le consumérisme a besoin de la Classe Moyenne

Si vous viviez au 18e siècle, où trouveriez-vous des hommes pour consommer les ressources de la planète ?

Réponse : 95 à 97 pourcent dans la population de la société féodale. Le “Tiers-état” disposaient des consommateurs potentiels, mais ils avaient besoin d´être « éclairés » par une philosophie et un mouvement basés sur le respect de la dignité humaine, le souci de bien-être de l´homme et la création des conditions favorables à la justice sociale.

Dès lors, les hommes ont commencé à penser que les pouvoirs des rois n´étaient pas consacrés par un droit divin et Maximilien Robespierre lança la Révolution Française. Pour ce faire, l´ordre lui fut donné sous la forme d´un livre par un agent de Rothschild, Adam Weishaupt, et son associé, Xavier Zwack. Au début de la Révolution, les Rois, Monarques et despotes présentés dans nos livres d´histoire disposaient d´un pouvoir absolu; le mouvement des droits humains a remplacé des siècles de tyrannie et d´oppression des hommes ordinaires à la fin de la révolution.

Est-ce possible?

Les révisionnistes tentent encore, de nos jours, d´expliquer pourquoi les despotes décrits dans nos livres d´histoire n´ont eu recours à la Guillotine pour réprimer un tel mouvement hérétique.

Roger Chartier écrit dans « Les origines culturelles de la Révolution Française » que la croyance populaire selon laquelle le Siècle des lumières a été la cause de la Révolution est une erreur du type post hoc ergo propter hoc, signifiant « à la suite de cela, donc à cause de cela »

Ainsi, Chartier et les autres historiens affirment que c´est bien la Revolution française qui a été à l´origine du Siècle des lumières.
La Déclaration des Droits de l´Homme est souvent considérée comme un document exprimant la quintessence de la Philosophie des Lumières. Mais cette déclaration exigeait un ordre social méritocratique, et non égalitaire. L´égalité était la notion la plus remarquablement absente de ce document.

Les révisionnistes rejettent systématiquement l´interprétation marxiste, mais, sans la perspective du 20e siècle sur les dommages environnementaux, ils ne proposent aucune théorie systémique pour expliquer les événements survenus à la fin du 18e siècle en France.

L´écocide (ou acte de destruction d’un écosystème, notamment par l’exploitation excessive de celui-ci dans le but de subvenir à d’autres processus ou systèmes) constituait une part cruciale et nécessaire du plan de Rothschild visant à instaurer un Nouvel Ordre Mondial.

Liberté, Egalité, Fraternité


Si la France a connu un soulèvement au cours de l´été 1789, ce n´était pas à cause de l´ordre politique, social ou intellectuel, mais bien à cause de la nourriture. Le pays traversait une situation de famine provoquée par la présence de conditions météorologiques anormales.

L´homme ordinaire éprouvait des difficultés à développer son talent naturel et à réaliser son potentiel, tout simplement parce qu´il avait faim.

« La Révolution Française apparaît comme l´obscurité de la nuit à ceux qui la regardent en dehors de son contexte; seule la période qui l´a précédée permet de comprendre cet événement. » Tout l´édifice social de l´Ancien Régime en France s´est effondré d´un seul coup. Ces événements sont survenus dans un contexte marqué par l´un des pires épisodes du phénomène El Niño, observés au cours du millénaire. Il faut en tenir compte lorsqu´on examine cette histoire.”, (de Tocqueville 1952, p. 249)

Il convient d´examiner également la date du 11 septembre 1814. [4]
La montée de l´humanisme et l´accentuation des injustices sociales, au 18e siècle, n´ont pas constitué le mélange qui a fait sauter la monarchie française. C´est plutôt la Maison des Rothschild et les conditions météorologiques qui ont changé le cours de l´histoire.
Ruiné par sept ans de guerre, l´Etat français, qui était sur le point de tomber en faillite, n´avait pas les moyens d´offrir une aide alimentaire à la population. Par conséquent, c´est la famine qui pousse le peuple à organiser de violentes manifestations : celles qui ont débouché sur la Révolution française.

Naturellement, nombre de despotes ont exigé une inquisition et attribué aux paysans la responsabilité de l´un des pires épisodes du phénomène El Niño de l´histoire.

En 1795, lorsque le peuple s´est soulevé contre une disposition de la Convention nationale, Napoléon a simplement mitraillé les insurgés mettant ainsi fin au soulèvement.

Pourquoi la Maison de Rothschild a-t-elle permis le succès de la révolution ?

Réponse : Au 18e siècle, la noblesse et le clergé de la société féodale ne comptaient pas assez de consommateurs pour affaiblir la planète.

L´empire financier mondial de La Maison des Rothschild

L´énorme accumulation de richesse, les ressources naturelles et financières de la Maison des Rothschild sont légendaires.

« Et il n´y avait de nouvelle plus précieuse que l´issue (prédéterminée) de la bataille de Waterloo… »

Considérée comme le tournant de l´histoire, l´exploitation de la Bataille de Waterloo a permis à la famille Rothschild d´avoir un contrôle financier total sur l´Europe, et bientôt sur le monde entier. L´Angleterre a crée alors une nouvelle Banque d´Angleterre dont la direction est confiée à Nathan Mayer Rothschild.

Certaines informations recueillies auprès d´une source de la fin des années 1800, époque où la planète jouissait encore d´un équilibre environnemental, « l´on estimait que la Maison de Rothschild avait la mainmise sur presque la moitié des richesses du monde. »

Il s´agit de la richesse réelle : matières premières, marchandises, cuivre, minerai de fer, pétrole, plomb, argent et or.


Quelle en est la valeur à nos jours?


Presque la moitié de la richesse fiduciaire équivalant à 500 trillions de dollars de la monnaie fiduciaire ont été créés ex-nihilo pour financer notre société de consommation.


Qu´est-il advenu de ces richesses réelles aujourd´hui ?


Epuisées, consommés par la classe moyenne pour que les anciens membres du Tiers-États (serfs et esclaves) puissent avoir des maisons, des voitures, des autocaravanes, des Téléviseurs et DVD, ces biens qu´on peut s´offrir et que nous considérons comme acquis mènent la planète tout droit à l´Ecocide.

L´une des idées les plus absurdes véhiculées par les livres d´histoires et les écrits d´experts en économie consiste à dire que les banquiers internationaux (les escrocs et les bandits de l´histoire) imprimaient, on ne sait comment, des billets de monopoly qu´ils accumulaient pour devenir plus riches.

La richesse des escrocs et des bandits, et non pas la votre ou la mienne, a fini par être « coupée, extraite et emportée ». Ainsi, les Américains pouvaient s´offrir à prix réduit ces choses qui polluent actuellement la planète.

Au cours des 100 dernières années, ces escrocs sont parvenus à créer une distorsion de la structure des prix relatifs ; à provoquer une mauvaise répartition du travail et du capital dans toute l´économie ; à rationaliser les nouvelles interventions de l´Etat par rapport à « l´instabilité » du marché ; à manipuler les tendances et les profits du commerce international, ce qui a conduit à la Révolution Industrielle, à la Grande Dépression, à la stagflation des années 1970, à la société en ligne et aux bulles du marché immobilier…dont les conséquences sont l´extraordinaire prospérité de la classe moyenne….les 5000 trillions de billets de monopoly de la Maison des Rothschild.

Woodroz Wilson a-t-il « ruiné son pays » en signant, en 1913, la Federal Reserve Act et en rendant la classe moyenne extraordinairement prospère dans la nation la plus puissante au monde ?

Oui, car cette prospérité extraordinaire représentait des dégâts écologiques sans précédent infligés à la planète.
Le capitalisme n´a jamais eu aucun sens si ce n´est par l´objectif d´Ecocide.

L´idéal et le principe de l´économie du marché qu´est le Capitalisme n´ont jamais été concrétisés.

Ce qui est appelé capitalisme est en fait un système formé, tordu et dénaturé de relation de marché de plus en plus limitées ainsi que des processus de marché handicapés et réprimés par les contrôles et les réglementations étatiques. Mais tout ce système est recouvert par les idéologies du mercantilisme du 18e siècle, le socialisme du 19e siècle et l´Etat providence du 20e siècle.

Le Pr Ebeling, professeur d´économie au Ludwig von Mises Institute de Hillsdale College, comprenant que quelque chose ne tournait pas rond, a écrit : « Le développement pervers et l´évolution du capitalisme historique, les institutions véritablement nécessaire à une économie de marché libre ont été sapés, soit ils n´ont pas été concrétisés. »

Peu importe si nous avions écouté Keynes, Friedman ou Mises; ou d´ailleurs n´importe lequel des économistes sortis de l´ Austrian School of Economics financés par Rothschild, le consumérisme n´a jamais eu aucun sens en économie, dans les sciences environnementales ou pour le sens commun.

Même les consommateurs les plus consciencieux consomment et épuisent les ressources de la planète.


Révolution


Les Révolutions américaine et française ont fait de 97% de la population des consommateurs. Grâce à ces escrocs qui se cachent derrière la Réserve Fédérale, ils pouvaient désormais s´offrir leurs propres châteaux, équipés de mobiliers et de garage deux voitures pour leurs dispositifs de pollution : l´automobile.

Permettez-moi de répéter, depuis 1910 la Maison des Rothschild et les Rockfeller ont converti leur richesse réelle équivalant à 600 trillions de monnaie fiduciaire qu´ils ont imprimés afin que les anciens membres du Tiers-États (serfs et esclaves) puissent avoir maisons, voitures, autocaravanes, Téléviseurs et DVD, ces biens qui mènent la planète tout droit à l´Ecocide.

La seule chose qui soit plus stupide, c´est lorsqu´un pauvre habitant de la République populaire de la Chine prête pour environ 4000 dollars à chacun des citoyens des (riches) Etats-Unis d´Amérique. La philanthropie de Rockefeller ne se limitait pas à la distribution des pièces de dix cents.


Source: Market Oracle


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29 juillet 2009 3 29 /07 /juillet /2009 03:46

 



Le Nouvel Observateur: Les Illuminati
contrôlent-ils la planète ?

Posted by admin on juil 24th, 2009 and filed under MONDIALISME, Nouvel Ordre Mondial. You can follow any responses to this entry through the RSS 2.0. You can skip to the end and leave a response. Pinging is currently not allowed.

Source: Le Nouvel Observateur


C’est LE complot qui permet de mettre en cohérence tous les autres, de l’assassinat de Kennedy au 11 Septembre, en passant par la Révolution française et les extra-terrestres de Roswell. Les Illuminati, mystérieuse société secrète, agiraient dans l’ombre pour prendre le contrôle de la planète - c’est peut-être déjà le cas - afin d’instaurer un “Nouvel ordre mondial”.

Qui sont-ils ? L’élite de la franc-maçonnerie ? Les détenteurs d’un savoir occulte ? Un lobby militaro-financier ? Pour certains, les Illuminati incarnent l’intervention du diable sur terre: ils seraient les alliés de l’Antéchrist. A moins que le nom Illuminati ne désigne un super-lobby tentaculaire, dont l’identité véritable est tenue secrète, et qui tirerait les ficelles dans les coulisses de la politique et de la finance.


Les Illuminati ont vraiment existé…


Nous sommes en Allemagne, au XVIIIe siècle. Alors que la franc-maçonnerie se répand en Europe, une société secrète apparaît en Bavière, fondée en 1776 par Adam Weishaupt, un ancien jésuite : c’est l’Ordre Illuminati.

Les Illuminati de Bavière (”Illuminés”, ou “ceux qui savent”) ne sont guère nombreux. Mais ils infiltrent quelques loges franc-maçonnes allemandes. Quels sont leurs buts ? Difficile à dire. Les Illuminati se réclament des Lumières, ils sont matérialistes et anticléricaux.

En 1784, l’électeur de Bavière Charles Théodore de Bavière décide de dissoudre toutes les sociétés secrètes. Considérés comme des criminels, contraints à l’exil, les Illuminati auraient complètement disparu avant 1789.

Mais en est-on bien sûr ? Et ne seraient-ils pas apparus des siècles plus tôt ?


Satan ou Wall Street


L’Ordre Illuminati aurait survécu… comme il le fait depuis des millénaires ! Car le groupe serait détenteur d’un savoir ésotérique qui remonterait aux antiques Sumer et Babylone, il y a 5.000 ans. Leur influence aurait perduré à travers les âges, infiltrant l’Eglise romaine, les Templiers, les Rose-Croix puis les francs-maçons.

A moins que ces racines historiques ne relèvent que d’un folklore, d’un nuage de fumée destiné à cacher leur véritable identité: celle d’une caste dont le but ultime serait la maitrise du monde, détruisant gouvernements et religions pour l’instauration d’un “Nouvel ordre mondial”.

Traversant l’Atlantique, ils se seraient notamment implantés au sein des élites d’un pays neuf: les Etats-Unis.


La preuve par le billet de 1 dollar


Aussi surprenant que cela puisse paraître, la puissance des Illuminati serait exhibée bien en évidence : sur le billet vert. Le roi dollar incarnerait ainsi l’avènement de leur empire. C’est après l’élection en 1933 du président américain Franklin D. Roosevelt - un franc-maçon - que le billet de 1 dollar adopte son aspect actuel :

Dans la partie gauche du billet figure une bien étrange pyramide égyptienne, coupée en deux. A la base de cette pyramide est inscrit le nombre MDCCLXXVI, soit 1776. C’est l’année de la fondation des Etats-Unis. Mais aussi celle de l’ordre des Illuminati de Bavière…

- Au sommet, “l’œil irradiant dans toutes les directions” représente “l’œil qui espionne tout”.

- Sous la pyramide, l’expression latine Novus Ordo Seclorum “explique la nature de l’entreprise : la signification serait ‘un Nouvel ordre social’ ou une ‘nouvelle donne’”, soit un “New Deal”. Annuit Coeptis signifierait: “Notre entreprise [la conspiration] a été couronnée de succès”. (source: “Pawns in the Game”, Des Espions sur l’échiquier, William Guy carr, 1958).

Et de nombreux autres codes seraient cachés dans le billet vert.

Sauf que… le dessin ornant le billet de 1 dollar est le même que sur le Grand sceaux des Etats-Unis, utilisé dès 1782, soit six ans seulement après la création des Illuminati de Bavière. Et Novus Ordo Seclorum ne se traduit pas par “nouvel ordre mondial” mais par “nouvel ordre pour les siècles”, une expression qu’il faut entendre en gardant à l’esprit les valeurs de la Déclaration d’indépendance. Annuit Coeptis (qu’on traduit par quelque chose ou qu’un (qu’on traduit par quelque chose ou qu’un “approuve ce qui est commencé”) place l’Amérique -la nouvelle “Terre promise”-sous la protection de Dieu.

Le propre des symboles est de laisser une large place à l’interprétation. En cherchant bien, on découvre ainsi que les différents billets américains auraient annoncé les attentats du 11 Septembre.

L’essayiste Edward Griffin affirme pour sa part que
la Banque fédérale américaine (la Fed) a été fondée par un cartel de banques privées contrôlées par les plus puissants milliardaires, et qu’elle sert donc leurs intérêts particuliers. Des milliardaires qui, bien sûr, feraient partie des Illuminati. A la vérité,
la Fed est fondée sur l’articulation de banques régionales. Ses gouverneurs sont nommés par le président américain, aprèsconfirmation devant le Sénat.


Skull and Bones, la face visible des Illuminati ?


Derrière les dollars, il y a les hommes, et les arguments conspirationnistes deviennent plus inquiétants. Quel est par exemple le point commun entre George W. Bush le républicain et son ancien adversaire démocrate John Kerry ? Ils sont tous les deux membres de Skull and Bones (littéralement: “le crâne et les os”), une société secrète de l’université de Yale. Fondée en 1830, cette confrérie étend son influence notamment à la CIA, au département de la Défense et au département d’Etat. Réseau d’entraide pour booster une carrière? Ou bien pacte unissant les familles les plus puissantes de l’establishment ? Des auteurs conspirationnistes affirment que les Skull and Bones dirigent en sous main le Council on Foreign Relations (CFR, Conseil des relations étrangères), dont les 4.300 membres à vie influencent eux-mêmes la politique étrangère des Etats-Unis.


L’avertissement d’Eisenhower


Le complot a aussi ses adversaires. Le 17 janvier 1961, le président Eisenhower, au moment de quitter le pouvoir, prononça un discours mettant en garde le pays contre le pouvoir du lobby militaro-industriel :

‘”Nous devons nous méfier d’une influence non justifiée, qu’elle soit voulue ou non, par le complexe militaro-industriel. Le risque d’un accroissement funeste des abus de pouvoir existe et persistera. Ne laissons jamais le poids de ce complexe mettre en danger nos libertés ou notre démocratie.”

VIDEO

Pour les conspirationnistes, les inquiétudes d’Eisenhower annoncent l’assassinat du président Kennedy, deux années plus tard.


Le “Nouvel ordre mondial” s’installe


6 mars 1991. La Guerre froide est finie. “Nous avons face à nous l’opportunité de fonder pour nous et les générations futures, un nouvel ordre mondial un monde fondé sur le règle de la loi”, déclare George Bush père.

Bush fait-il référence au “Nouvel ordre mondial” des Illuminati ? Veut-il, au nom des droits de l’Homme, étendre au monde entier la domination des Etats-Unis - et de ceux qui contrôlent le pays ? Depuis la fin de la Guerre froide, la mondialisation de l’économie et la multiplication des institutions internationales alimentent les théories du complot. De la Banque mondiale à l’OMC, des Nations unies à l’Union européenne, des instances jugés non démocratiques seraient à l’œuvre pour abattre la souveraineté des nations et concentrer les pouvoirs dans les mains d’un petit nombre.


VIDEO

Car outre Skull and Bones, plusieurs groupes, dont l’existence est avérée, alimentent les soupçons de complot:

- Le groupe Bilderberg rassemble chaque année, depuis 1954, 130 personnalités du monde des affaires, des médias et de la politique. Ce qui est dit lors de ces réunions reste confidentiel. Et les médias en parlent très peu.

- La Commission trilatérale, fondée en 1973, fonctionne sur le même principe de confidentialité et recrute au sein de la Triade (Etats-Unis, Union européenne, Japon). Ce club fait l’objet de controverses. Il est accusé d’orienter l’économie du monde.

La guerre en Irak enfin, est présentée comme une preuve de l’existence d’un complot. L’administration Bush et les services américains de renseignements ont prétendu que le régime de Saddam Hussein était lié à Al Qaïda et qu’il détenait des armes de destruction massive. Si le président des Etats-Unis a menti cette fois-ci, pourquoi ne l’aurait-il pas fait à d’autres occasions ?

Dès lors, la surveillance sur internet, la vidéosurveillance dans la rue, les passeports biométriques, les recherches sur le génome, les nanotechnologies… seraient autant de moyens pour les Illuminati de parvenir à un contrôle sans cesse plus étroit sur la population, dont les médias seraient les complices.

http://www.spreadthetruth.fr/wordpress27/?p=2085

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29 juillet 2009 3 29 /07 /juillet /2009 03:30



USA: Michael Savage prédit un "événement comparable à l”incendie du Reichstag"

Posted by admin on juil 28th, 2009 and filed under International. You can follow any responses to this entry through the RSS 2.0. You can skip to the end and leave a response. Pinging is currently not allowed.

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Le 4 mars 2009, Michael Savage prétendait exposer les machinations dictatoriales de l´ administration Obama dans son émission diffusée, sur le plan national, par plusieurs stations radio. « En ce moment, nous subissons la dictature d´un gang, » a déclaré Weiner. « C´est un gang dirigé par Obama. »


Dans un clip audio de huit minutes diffusé au cours de cette émission, Michael Savage nous présente un exposé incohérent sur Obama, sur le prétendu chef de gang, Rahm Emmanuel et sur les Démocrates qui formeraient un groupe de personnes rusées que Weiner a précédemment comme des Nazis ou des partisans de Nazis.


En effet, le mouvement d´Obama manifeste des tendances classiques fascistes, mais il ne s´agit de tendances Nazi ou proche des Nazi, comme le prétend Michael Savage . Il est vraiment difficile de croire que Michael Savage , homme extrêmement intelligent, soit incapable de dire la différence.


Les références répétées de Michael Savage aux Nazis sont destinées à nos souvenirs les images -profondément enracinées dans notre paysage culturel et, à les placer dans un faux contexte d´extrême gauche polarisée et peu naturel. Ce n´est pas une erreur si Michael Savage donne les attributs du nazisme au soi-disant côté gauche du paradigme tout en ignorant les attributs fascistes visibles de l´autre côté du spectre ( afin de compenser cette prise de position, il affirme qu´il s´est fermement opposé à l´administration Bush même si cette opposition concerne la « guerre arrangée contre le terrorisme » et les affirmations permanentes de Michael Savage soulignant que les néoconservateurs ne sont pas allés assez loin dans leur effort de lutte contre un “islamofascisme” non existent, (c´est-à-dire de tuer un grand nombre de musulmans et d´Arabes).


En fait, il existe une légère différence entre les factions néoconservatrices et néolibérales (faute d´une terminologie adéquate), en dépit du fait que l´establishment politique et les grands groupes de presse ont tout intérêt à exagérer les moindres différences et à les transformer en divisions idéologiques d´importance (par exemple, la politique partisane entre Républicains et Démocrates qui se concentre essentiellement sur les questions sociales, et ne constitue aucune menace pour les accords politiques majeurs concoctés par l´élite dirigeante).


Michael Savage prédit, 28 secondes après le début de son exposé, un et événement « sera«événement comparable à l´Incendie du Reichstag » aux Etats-Unis. Cet évènement sera provoqué par le gouvernement qui en imputera la responsabilité aux éléments subversifs afin de favoriser l´émergence d´une dictature pure et dure dans ce pays. »


Selon Michael Savage , cet événement est désormais possible sous l´administration des Démocrates et des présumés nazis qui entourent Obama. Mais il ne fait aucun cas des huit dernières années de l´administration Bush qui a préparé le terrain pour un “événement comparable à l´Incendie du Reichstag » débouchant sur une dictature à grande échelle. L´administration Bush l´a fait essentiellement à travers une série de décrets présidentiels et d´arguments juridiques visant à invalider de larges segments de la Constitution et de la Déclaration des Droits.

Les mesures d´abrogations de la Constitution prises progressivement par Bush n´étaient pas une aberration. Elles faisaient partie d´un plan savamment orchestré pour supprimer les droits des américains et jeter les bases d´une dictature qui se concrétisera sous le règne imaginaire de Barack Obama n´est, en fait, qu´un prête-nom quoique Michael Savage conteste cette vision parce qu´il pressent Obama comme un pendant d´Hitler.


Michael Savage est un agent spécialisé de la désinformation. Sa tâche est de diaboliser l´administration Obama en la présentant comme une force révolutionnaire crypto-marxiste (le marxisme et le nazisme sont interchangeable pour Michael Savage ) qui s´est emparée des rênes du gouvernement et qui mettra en œuvre une dictature brutale. Ce faisant, Michael Savage détourne ses auditeurs des origines réelles des puissances qui tiennent les rênes du gouvernement en place aux Etats-Unis : l´élite bancaire internationale et leurs serviteurs du Conseil des Relations Etrangères, de la Commission Trilatérale et le groupe Bilderberg. La tâche de Michael Savage est de détourner les responsabilités de cette dictature à venir vers le côté gauche du faux échiquier politique de droite /de gauche.

Michael Savage ne nomme, dans sa diatribe, pas les “ éléments subversifs” auxquels l´on doit imputer la responsabilité de l´opération false flag qu´il prédit. (En réalité, il a volé cette prédiction à Alex Jones et autres. Ce ne sont pas les Démocrates, les Républicains ou Rush Limbaugh (considéré comme une épine dans le camp Obama) qui ressentiront directement le coup asséné en réaction à cet ” événement comparable à l´Incendie du Reichstag », mais ceux qui s´opposent aux véritables tyrans qui règnent à Wall Street et sur le système bancaire en Europe.
Les camps de concentration FEMA ne sont pas faits pour les individus de l´espèce de Michael Savage et de son auditoire désorienté parce qu´il ne constituent pas une menace pour l´establishment.


Source:
InfoWars


http://www.spreadthetruth.fr/wordpress27/?p=2180

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29 juillet 2009 3 29 /07 /juillet /2009 03:12



Loi Martiale/ Grippe A : passage au niveau 6 d’alerte “probable” en septembre

Posted by admin on juil 28th, 2009 and filed under International. You can follow any responses to this entry through the RSS 2.0. You can skip to the end and leave a response. Pinging is currently not allowed.

La ministre de la Santé Roselyne Bachelot a indiqué mardi qu’il était “probable” que la France passe au niveau 6 de son plan de lutte contre la pandémie grippale en septembre, précisant que “rien n’est encore certain”.

“Il est probable que nous passerions au niveau 6 au niveau de la rentrée scolaire du mois de septembre, mais rien n’est encore certain puisqu’il nous faut regarder avec beaucoup de soin comment la grippe évolue”, a déclaré la ministre sur France Inter.

Le niveau 6 du plan français de prévention et de lutte pandémie grippale, niveau d’alerte maximal, propose tout un catalogue de mesures parfois drastiques, comme la fermeture des écoles, sans pour autant qu’elle entrent en vigueur systématiquement.

“Pour l’instant nous avons une circulation qui commence à être active sur le territoire, mais avec des cas très limités qui justifient que pour l’instant nous nous maintenions au niveau 5A”, a-t-elle souligné. “Mais il est très probable que le début de l’automne verra une circulation beaucoup plus active du virus”, a-t-elle ajouté.

Mme Bachelot a par ailleurs indiqué que la vaccination contre le nouveau virus A(H1N1) “sera pris en charge par les systèmes de solidarité nationale”. “Il faut que chacun puisse se faire vacciner”, a-t-elle dit.“Nous avons 94 millions de doses qui sont achetées ferme, nous avons calculé qu’à peu près les trois quarts de nos compatriotes souhaiteraient se faire vacciner, puisque nous ne sommes pas dans une stratégie de vaccination obligatoire pour l’instant”, a également déclaré la ministre.

“Nous aurons à déployer une logistique particulière très probablement dans des centres de vaccination”, a-t-elle précisé.

“Nous sommes en train de fixer les lieux, les personnels, nous ne restons pas évidemment les bras ballants sur cette affaire”, a souligné la ministre. “Beaucoup de centres peuvent être mobilisés, des dispensaires, des mairies, des centres de santé, des cabinets médicaux qui pourraient être désignés”, a-t-elle indiqué.

Source: Agence France Presse via Romandie.com

http://www.spreadthetruth.fr/wordpress27/?p=2186


Commentaires:

"puisque nous ne sommes pas dans une stratégie de vaccination obligatoire pour l’instant”
—> Dans le langage politique, ça sous entend clairement que plus tard ça va le devenir obligatoire…

La rentrée va être chaude, entre la grippe A qui passe en niveau 6, l’éffondrement de la bourse annoncé, les faillites des entreprises qui n’ont pas suporté la crise et le chomage qui devrait repartir, on va bouffer en septembre…. Profitons de ce calme estival, avant la tempête.


Comment peut on préparer des vaccins alors qu’on connait si mal ce virus, l’arnaque est énorme et pourtant, personne ne VOIT


Les gens font faire la queue pour recevoir leur petit vaccin empoisonné…non mais on rêve ou quoi?!

Comment éviter le vaccin aux enfants, s’il devient obligatoire

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