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22 novembre 2011 2 22 /11 /novembre /2011 17:41
La Chronique Agora
 

 

Paris, Mardi 22 novembre 2011


L'Allemagne risque bel et bien de sortir de l'euro
Charles Sannat

 

 

 

▪ Telle est, en tout cas, l'information du Docteur Pippa Malmgren, ancienne conseiller économique du président américain. Entre rumeurs de plus en plus insistantes et désinformation... il est difficile d'y voir clair. Simone Wapler avait essayé d'analyser une première rumeur sur le sujet.

Suite aux premières déclarations de Mario Draghi, j'ai expliqué que la sortie de l'Allemagne de la Zone était une éventualité étant donné que la seule solution serait la planche à billets... ce que refuse l'Allemagne.

"Nous attendons pour les prochains mois la mise en marche de la planche à billets. Si les attaques se poursuivent contre l'Italie, ce sera la seule solution envisageable. Jusqu'à présent les Allemands refusent totalement cette solution. Si la situation s'aggrave, ils devront accepter le recours à la planche à billets, ou... sortir de l'euro. La sortie de l'Allemagne de l'euro est le scénario le moins envisagé et pourtant à notre sens c'est celui qui a le plus de chance de se produire".

D'un point de vue purement intellectuel, la sortie de l'Allemagne de la Zone euro serait une hypothèse relativement "élégante" bien que ce soit celle dont on parle paradoxalement le moins. Et pourtant... (..)

 

Selon Docteur Pippa Malmgren, les Allemands sortiront de la monnaie unique dès que la survie de la Zone euro sera irrémédiablement compromise par exemple avec la faillite de l'Italie qui, hélas, se profile dangereusement à l'horizon. Si la Grèce était "sauvable" -- avec une dette de seulement 350 milliards d'euros --, avec l'Italie nous sommes dans un tout autre ordre de grandeur puisque la dette italienne avoisine les 2 000 milliards d'euros.

L'ensemble des pays de la Zone euro souhaite pouvoir monétiser les dettes souveraines -- à savoir faire fonctionner la "planche à billets" comme c'est le cas au Royaume-Uni, aux Etats-Unis ou encore au Japon. Des pays qui, bien que plus endettés que nous, ne sont pas inquiétés par les marchés.

▪ Or, comme je vous le disais plus haut, de cette solution, les Allemands ne veulent pas. Pour une raison simple. La dernière fois que l'Allemagne a utilisé la "planche à billets" c'était dans les années 20. Le résultat ?

Une hyperinflation tellement violente que l'Allemagne fut ruinée, ouvrant la porte à l'avènement du nazisme et à la Deuxième Guerre mondiale. En 1945, l'Allemagne est détruite, humiliée, coupée en deux, sous occupation étrangère et responsable du plus abject des génocides... Bref un bilan lourd et traumatisant qui, dans l'esprit collectif allemand, a pour cause originelle... une utilisation abusive de la "planche à billets".


Or si la BCE ne monétise pas, l'ensemble des autres pays européens court à la catastrophe et à la faillite. Une sortie de l'Allemagne de la Zone euro permettrait à l'ensemble des autres pays d'utiliser les mêmes armes monétaires que l'ensemble des autres pays comme le Japon ou les Etats-Unis. L'Allemagne garderait quant à elle le contrôle strict de sa nouvelle monnaie. Pour nos amis allemands, l'inflation est un poison.

 

Ce qui est sûr c'est que l'Italie sonne l'heure de vérité pour l'Europe et la Zone euro.

 

Retrouvez-nous en ligne sur :
http://www.publications-agora.fr
http://www.la-chronique-agora.com

 

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DÉBAT À BRUXELLES LE 24 NOVEMBRE :

« SORTIR DE L’EURO... POUR S’EN SORTIR ? »

Grand débat organisé par Attac-Bruxelles sur le thème :

« SORTIR DE L’EURO... POUR S’EN SORTIR ? »

Avec Jacques NIKONOFF

Porte-parole du Mouvement politique d’éducation populaire (M’PEP), ancien président d’Attac-France

Autour de son livre « Sortons de l’euro ! Restituer au peuple la souveraineté monétaire »

 

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22 novembre 2011 2 22 /11 /novembre /2011 17:32

Décembre 2011 : soixantième anniversaire de la mise en service de la première centrale nucléaire. Quel bilan ?

Voir les articles d'Indépendance des Chercheurs :

 

http://www.econologie.com/photo/carte_centrale_nucleaire_france.jpg

 

http://www.econologie.com/photo/carte_centrale_nucleaire_france.jpg

 

 

http://science21.blogs.courrierinternational.com/archive/2011/11/21/iode-131-communiques-de-la-criirad-ii.html

Iode 131 : communiqués de la CRIIRAD (II)

Le 21 novembre, le site de la Commission de Recherche et d'Information Indépendantes sur la Radioactivité (CRIIRAD) a diffusé un nouveau communiqué sur la contamination d'Iode 131 dans l'atmosphère récemment détectée dans plusieurs pays européens. L'Agence Internationale de l'Energie Atomique (IAEA) a fait savoir que la source de l'émission radioactive a été selon toute vraisemblance Institute of Isotopes Ltd. à Budapest. Au vu des chiffres accessibles, la CRIIRAD souligne qu'il s'agit d'un rejet d'Iode 131 « susceptible de conduire à des doses inacceptables pour la population locale » et demande que des mesures soient prises d'urgence. A ce sujet, Metro France écrit « Radioactivité : la Criirad demande une expertise du site hongrois », alors qu'une dépêche Romandie News / AFP signale « Rejets d'iode: la Criirad veut une expertise sur la contamination du site hongrois » et Votre Santé alerte : « il y a urgence à vérifier le degré de contamination dans l'environnement du site Hongrois et à prendre localement des mesures de radioprotection ». Comme déjà signalé dans notre article « Iode 131 : communiqués de la CRIIRAD (I) », la CRIIRAD avait également mis l'accent sur le caractère inquiétant du retard dans l'identification de la source de cette fuite radioactive et réclamé des mesures dans le sens de la transparence. Le 21 novembre également, France Soir rapporte « Areva : Besson dément toute suppressions de postes », démentant des informations d'après lesquelles « Areva s'apprête à supprimer au moins 2.700 emplois, dont plus d'un millier en France », (France Info d'après l'AFP). Pour l'actuel ministre responsable de l'Energie, il s'agirait de « maintenir le leadership de la France dans le domaine de l'énergie nucléaire ». Mais est-ce vraiment le seul aspect du problème ? A-t-on si facilement oublié la catastrophe de Fukushima ? Précisément, ce même 21 novembre, Libération répercute une inquiétante dépêche AFP avec le titre « Les évacués de Fukushima toujours pas dédommagés, formalités infernales », et La Tribune diffuse un article intitulé « Les victimes de Fukushima attendent toujours leurs indemnités ». En France, Sortir du Nucléaire et SUD-RAIL s'inquiètent d'un nouveau transport de déchets nucléaires prévu pour cette semaine et qui leur apparaît notamment « sans assurance réelle ».

[la suite, sur le lien http://science21.blogs.courrierinternational.com/archive/2011/11/21/iode-131-communiques-de-la-criirad-ii.html ]


et pour rappel :

 


http://science21.blogs.courrierinternational.com/archive/2011/11/16/iode-131-communiques-de-la-criirad-i.html

Iode 131 : communiqués de la CRIIRAD (I)

Le 16 novembre, une dépêche Romandie News/AFP se fait écho de la préoccupation exprimée le même jour à juste titre par la Commission de Recherche et d'Information Indépendantes sur la Radioactivité (CRIIRAD) devant le fait que l'origine de la contamination d'Iode 131 détectée depuis quelques semaines dans plusieurs pays européens (République Tchèque, Pologne, Allemagne, Hongrie, Autriche, Slovaquie...) reste toujours inconnue. Suite au communiqué de presse de l'Agence Internationale de l'Energie Atomique (IAEA), l'Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire (IRSN) français a confirmé la présence dans l'air, en France, de traces d’iode 131 que l'IRSN considère « imputables à des rejets radioactifs venant d’un pays étranger ». De son côté, un blog de Médiapart écrit « Iode 131 en Europe : l'AIEA cherche propriétaire désespérément ». Sciences et Avenir relève « Iode 131 en Europe : origine toujours inconnue ». Un article d'AgoraVox interroge « Pollution à l’iode radioactif en Europe : Accident à la centrale de Krško ? », des pollutions au Césium 134 et au Césium 137 ayant aussi été observées la centrale nucléaire de Krško en Slovènie. Ce que Cent Papiers a également souligné dans un article intitulé « Iode 131, césium 134 et césium 137 à la centrale de Krško (Slovénie) ». Le 16 novembre également, Enviro2B commente : « Radioactivité – Contamination "très faible" mais "opaque" en France », et rappelle notamment la pétition « pour une transparence totale sur la radioactivité de l’air que nous respirons» lancée par la CRIIRAD. Cette pétition demande la levée du secret sur les résultats des laboratoires qui, dans le monde entier, surveillent au quotidien la radioactivité de l'air à la recherche d'indices d'une possible violation du Traité d’Interdiction Complète des Essais Nucléaires (TICEN). Il paraît évident que la situation qui s'est créée à l'échelle planétaire depuis l'accident de Fukushima exige la plus grande transparence de la part des institutions.

 [la suite, sur le lien http://science21.blogs.courrierinternational.com/archive/2011/11/16/iode-131-communiques-de-la-criirad-i.html ]


Pour ne plus recevoir nos messages, prière d'adresser un courrier électronique avec le titre "désabonnement" ou "désinscription" à l'adresse indep_chercheurs@yahoo.fr

Cordialement

Le Collectif Indépendance des Chercheurs
http://science21.blogs.courrierinternational.com/
http://www.mediapart.fr/club/blog/Scientia

 

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Radioactive cesium blankets 8% of Japan's land area

http://ajw.asahi.com/article/0311disaster/fukushima/AJ201111210014

 

 

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22 novembre 2011 2 22 /11 /novembre /2011 17:15
LES MAÎTRES DU MONDE Stratégies pour un contrôle global de la société
     Idéologie

 

 

Les Maîtres du Monde ont en commun des valeurs et des principes fondamentaux qui sont le ciment de leur unité, et leur dénominateur commun. L'adhésion à ces principes est obligatoire pour être admis dans le cercle des Maîtres du Monde et de leurs organisations les plus centrales: Groupe de Bilderberg, Skull & Bones, ou Illuminati. Ces principes étaient ceux des Nazis comme ils sont ceux de leurs héritiers: les idéologues du nouvel ordre mondial.
 

Les principes-clé des Maîtres du Monde

1 - La fin justifie les moyens

2 - Le fort doit dominer le faible. Le fort est fait pour être un prédateur, et le faible une proie.

3 - L'élimination des faibles est conforme au principe de la sélection naturelle (cf. Darwin)

4 - La vie de tous les individus n'a pas la même valeur. Ceux qui ont une valeur négative peuvent être éliminés, dans l'intérêt supérieur de l'ensemble.

5 - Le peuple est par nature ignorant et stupide.

6 - Le monde doit être gouverné par une élite éclairée.


 

Le nouvel esclavage, vu par les Maîtres du Monde

extrait de "1984" de George Orwell


"Nous ne cherchons pas le pouvoir en vue de nos propres fins, mais pour le bien de la majorité tel que nous le définissons. Les hommes, ces créatures frêles et lâches, ne peuvent endurer la liberté ni faire face à la vérité. Ils doivent être dirigés par ceux qui sont plus forts qu'eux. L'espèce humaine a le choix entre la liberté et le bonheur, or le bonheur vaut mieux.

Le bien des autres ne nous intéresse pas, nous ne recherchons que le pouvoir, le pur pouvoir. Les nazis et les communistes se rapprochent beaucoup de nous par leurs méthodes, mais ils n'eurent jamais le courage de reconnaître leurs propres motifs. Ils prétendaient s'être emparés du pouvoir pour une période limitée; passé le point critique, il y aurait un paradis où les hommes seraient libres et égaux. Nous ne sommes pas ainsi, nous savons que jamais personne ne s'empare du pouvoir avec l'intention d'y renoncer. On n'établit pas une dictature pour sauvegarder une révolution. On fait une révolution pour établir une dictature. La persécution a pour objet la persécution. La torture a pour objet la torture. Le pouvoir a pour objet le pouvoir.

L'esclavage c'est la liberté. Seul, libre, l'être humain est toujours vaincu. Mais s'il renonce à son identité, s'il se soumet entièrement et totalement, il se fond dans le pouvoir collectif, il est alors tout-puissant et immortel.

Ce pouvoir est aussi le pouvoir sur d'autres êtres humains, sur les corps mais surtout sur les esprits. Le pouvoir sur la matière n'est pas important, notre maîtrise de la matière est déjà absolue. Ce qui importe c'est de commander à l'esprit. La réalité est à l'intérieur du crâne... Le réel pouvoir, le pouvoir pour lequel nous devons lutter jour et nuit, est le pouvoir non sur les choses, mais sur les hommes. Comment assure-t-on le pouvoir sur un autre? En le faisant souffrir. L'obéissance ne suffit pas. Comment, s'il ne souffre pas, peut-on être certain qu'il obéit, non à sa volonté, mais à la nôtre?


 

Le pouvoir est d'infliger des souffrances et des humiliations. Le pouvoir est de déchirer l'esprit humain en morceaux que l'on rassemble ensuite sous de nouvelles formes que l'on a choisies. Commencez-vous à voir quel sorte de monde nous créons? Un monde de crainte, de trahison, de tourment. Un monde d'écraseurs et d'écrasés, un monde qui au fur et à mesure qu'il s'affinera deviendra plus impitoyable. Le progrès dans notre monde sera le progrès vers plus de souffrance. Notre civilisation est fondée sur la haine; il n'y aura pas d'autres émotions que la crainte, la rage, le triomphe et l'humiliation. Nous détruirons tout le reste.

Nous avons coupé les liens entre l'enfant et les parents, entre l'homme et l'homme, entre l'homme et la femme. Mais plus tard, il n'y aura ni femme ni ami. Les enfants seront à leur naissance enlevés aux mères, comme on enlève leurs oeufs aux poules. La procréation sera une formalité annuelle, comme le renouvellement de la carte d'alimentation. Il n'y aura plus de loyauté que pour le pouvoir. Tous les plaisirs de l'émulation seront détruits remplacés par l'ivresse toujours croissante du pouvoir, qui s'affinera de plus en plus. Il y aura à chaque instant, le frisson de la victoire, la sensation de piétiner un ennemi impuissant... Autant qu'un monde de triomphe ce sera un monde de terreur... Nous commanderons à la vie à tous ses niveaux.

Vous imaginez qu'il y a quelque chose qui s'appelle la nature humaine qui sera outragée par ce que nous faisons et se retournera contre nous. Mais nous créons la nature humaine. L'homme est infiniment malléable.

Tel est le monde que nous préparons. Un monde où les victoires succèderont aux victoires et les triomphes aux triomphes, un monde d'éternelle pression, toujours renouvelée, sur la fibre de la puissance. Vous commencez à réaliser ce que sera ce monde. À la fin vous ferez plus que le comprendre, vous l'accepterez, vous l'accueillerez avec joie, vous en demanderez votre part en idolâtrant vos propres bourreaux."

http://www.syti.net/IdeologieMdM.html

 

http://www.lepost.fr/article/2009/06/03/1561916_les-maitres-du-monde-strategies-pour-un-controle-global-de-la-societe.html

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22 novembre 2011 2 22 /11 /novembre /2011 16:59
Et si l'actuel président ...

Décidait de déclarer forfait ...

Pour éviter la honte d'une défaite électorale plus qu'annoncée par les sondages et parfaitement justifiée par les piètres résultats obtenus durant un quinquennat plus que décevant pour tous les français et particulièrement pour ses électeurs trahis par les félonies électorales et de l'échec total de ses engagements annoncés.

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Les chiffres de popularité du prédident

Et si donc le chef de l'état décidait finalement de ne pas prendre le risque de se représenter en 2012 et préserver ainsi son incontrôlable et prétentieux ego narcissique d'un revers trop douloureux qu'il serait absolument incapable de supporter.

Pour ne pas devoir être contraint de sortir le pays de l'impasse …

Il aurait aussi tout intérêt à faire cette sortie minable et grandiloquente pour ne pas devoir être contraint de sortir le pays de l'impasse sociale et économique dans lequel il l'a acculé en multipliant les erreurs de décisions dans tous les domaines de la gestion de l'état et les absolues incompétences récurrentes de tout son odieux gouvernement et de sa majorité de voyous pendant ces pathétiques cinq années de pouvoir ubuesque.

Cette alternative anticipée lui permettrait enfin de ne pas être accusé d'un échec futur dont il est pourtant la cause en ne prenant pas la responsabilité de redresser une situation devenue plus que catastrophique ce qui ne lui serait pas pardonné durant un second mandat si évidemment il n'y parvenait pas.

D'innombrables articles sur ce sujet 

Ce dont personne en fait a part lui ne doute ce qui est peut être bien la le plus dramatique aspect de sa triste personnalité présidentielle si l’on exclu le populisme vulgaire et le racisme racoleur ou bien les favoritismes cyniques et les magouilles en tous genres sans oublier les mensonges éhontés et les promesses non tenues évidemment.

Ses conseillers privés et ses employeurs institutionnels, ces maîtres du monde dont il est le valet servile devraient arriver a le convaincre de ce choix tellement maintenant ils craignent que n'empire davantage la situation et qu'en conséquence ils ne perdent définitivement cette fois le contrôle du pays.

En lui recommandant de faire valoir par exemple son devoir de jeune père devant les français, en le persuadant de bien vouloir reprendre la tète d'un parti dorénavant en déliquescence ou bien encore en lui suggérant de se consacrer a une carrière européenne plus conforme a ce qu’il imagine être sa dimension politique afin de justifier sa lâche décision d'une manière potentiellement plus honorable.



Une personnalité narcissique plus incohérente qu'efficace …



Un autre dictateur avant lui dans son bunker avait préféré le suicide au déshonneur, cette hypothèse est donc plausible puisque ce qui caractérise les mégalomanes prétentieux est la préférence pour leur sur moi a toute autre logique ce qui s'est avéré vérifiable durant cinq années qui n'ont été que prétextes a valoriser par une démagogie sans vergogne une personnalité narcissique plus incohérente qu'efficace.

Dans cette perspective il abandonnerait aussi les rênes délabrées de la nation a un de ses concurrents qu'il déteste forcément d'oser avoir l'insolence de s'opposer a lui et ainsi se repaître dans l'opposition des difficultés prévisibles de son successeur, ce qui ne serait pas pour lui déplaire, les charognard ne se réjouissent ils pas toujours des blessures de leurs proies surtout si ils les ont provoquées.

C'est toute la donne de la future élection qui serait bouleversée par ce dernier coup d'éclat de l'élu par erreur et ce ne serait vraiment pas plus mal puisque peu importe finalement qui prendra sa place, tout autre serait préférable en tant que président a celui que l'histoire ne retiendra pas tellement sa pitoyable insignifiance d'homme d'état a été a peine digne d'un feuilleton télévisé au rabais qu'on oublie immédiatement après l'avoir regardé pendant une insomnie.

Un bilan annoncé
 

Le cauchemar des inconséquences de son mandat par contre sera lui bien plus difficile a faire disparaître dans le pénible quotidien des citoyens et évidemment a moyen terme le nom du minuscule agité de l'Élysée lui sera inévitablement associé.

Le peuple se rappellera de celui par qui le mauvais rêve est apparu pendant qu'aucun manuel de politique n'en fera la moindre référence, c'est le prix qu'on a payer tous les traîtres a la république depuis le début des civilisations et celui ci n'y échappera certainement pas.

Pour que la nation retrouve une dignité …



Finalement ce qui compte est que le décérébré petit Tony Montana de la politique française et ses lieutenants incapables soient remplacés au plus vite pour que le nation retrouve une dignité et une place qu’elle a hélas perdue sur l’échiquier politique national et international au cours des cinq années de pouvoir de ces grotesques mafieux.

Une liste des prétendants

Reste a savoir maintenant qui l'emportera d'un candidat d’une droite éclatée et revancharde, d’un centre flou et impersonnel ou d’une gauche inconsistante et désunie pour que le défi de rendre confiance aux citoyens en leurs élus soit relevé par le futur dirigeant français.

Puisque les extrêmes sont logiquement et définitivement écartés…

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Sa cote de popularité remonte, grâce aux médias collabos et menteurs ! Ainsi la guerre impérialiste génocidaire de Libye est présentée comme un succès, de même que le sommet du G20, alors que Merckel et Sarkozy se sont entendus sur le dos des populations et au profit des banksters - et de l'Allemagne ! eva R-sistons
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Tous ensemble, perdons !

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22 novembre 2011 2 22 /11 /novembre /2011 16:31

 

http://medias.lepost.fr/ill/2009/06/03/h-20-1561905-1244012894.jpg

http://medias.lepost.fr/ill/2009/06/03/h-20-1561905-1244012894.jpg

 

Coucou Eva,

j'ai produit une petite vidéo cynique mais hélas probable à propos des plans abominables que préparent en ce moment les monstres qui nous gouvernent, 

les images sont volontairement aussi terriblement négatives que la bande son est a l'inverse superbement positive,  pour tenter de choquer et de mobiliser les consciences de ceux qui la verront,  le générique de fin désigne les responsables de ce futur potentiel, j'espère qu'elle ne sera pas prémonitoire ...
elle est sur ma chaîne youtube :
Sinon et en attendant,
il fait un temps radieux ici en cette fin d'automne,
je te souhaite tous les bonheurs du monde,
et merci pour tout ce que tu fais,
bisous, Aspeta

 

 

 

http://aspeta.blogspot.com/

 

 

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22 novembre 2011 2 22 /11 /novembre /2011 00:47
Un article de Sami Kleib
Syrie : La vérité sur les visées inquiétantes du Qatar et des puissances occidentales

lundi 21 novembre 2011, par Comité Valmy


Homs / Les services compétents à Homs ont appréhendé 58 personnes armées dans la région centrale du pays et saisi de grandes quantités d’armes et de munitions. Agence SANA.


Ce qui se passe en Syrie n’a rien à voir, ni avec la défense des droits de l’homme, ni avec ce qu’en rapportent les médias traditionnels depuis huit mois. Comme le montre très bien l’article de Sami Kleib, journaliste arabe fort bien informé, les manoeuvres contre la Syrie s’inscrivent dans le cadre d’une déstabilisation régionale préméditée et fait partie d’un plan visant à démanteler la Syrie, le Liban, et l’Iran.

19 novembre 2011

Est-il nécessaire de préciser que ces trois États qualifiés hypocritement d’« axe chiite » sont en réalité le seul « axe de résistance régionale » aux visées hégémoniques américano-sionistes dont les bras armés sont l’OTAN qui frappe sans discernement, le Qatar qui achète les consciences, et les opposants irresponsables d’un Conseil National Syrien ? Ces derniers, acquis à la cause des ennemis de leur patrie, ne sont-ils pas prêts à engranger les bénéfices de leur sédition financée par l’étranger ? Comment les considérer autrement alors qu’ils usent de prétextes fallacieux et appellent toutes sortes d’interventions étrangères pour la soi-disant protection des populations civiles syriennes qu’ils ont eux-mêmes placées dans l’œil du cyclone ? Il est attristant de constater que notre Ministre des Affaires Étrangères, Alain Juppé, après leur avoir accordé une poignée de main généreuse, persiste à les soutenir tout en sachant qui ils sont. Non Monsieur Juppé, vous faites erreur, non seulement ces opposants syriens de l’extérieur portent atteinte aux intérêts de leur patrie, mais ils mettent aussi en péril nos propres intérêts dans la région.

(Mouna Alno-Nakhal)


Syrie : La vérité sur les visées inquiétantes du Qatar et des puissances occidentales

Par Sami Kleib

Un diplomate arabe au Caire a rapporté que lors de la réception de la délégation de la Ligue Arabe à Damas le 26 Octobre dernier, le Président Syrien Bachar el-Assad aurait accusé le Premier Ministre du Qatar, le Sheikh Hamad bin Jaber Al Thani, d’être l’exécuteur de « diktats américains » et lui aurait dit : « Moi, je protège mon peuple avec l’aide de mon armée, mais toi tu protèges le tien par les bases américaines implantées sur ton sol… Si vous venez ici en tant que délégation de la Ligue Arabe, vous êtes les bienvenus. En revanche, si vous êtes les délégués des Américains, il vaudrait mieux que nous cessions toute discussion ».

Dans cette ambiance tendue, le responsable Qatari aurait répondu : « Si j’étais un Américain, je garderais le silence ». Ce à quoi Bachar el-Assad aurait rétorqué : « Tu es un Qatari, mais tu exécutes les diktats américains ». Le Sheikh Hamad n’aurait rien trouvé à dire. Par la suite, l’ambiance s’est apaisée, et la rencontre s’est soldée par le « Plan Arabe » de règlement de la crise syrienne.

En réalité, la Syrie avait pressenti dès le début que le Qatar jouait un rôle « suspect », selon l’expression d’un responsable syrien. La Syrie a cherché à le contourner en acceptant l’ « Initiative Arabe » malgré le fait que certains Articles de cette Initiative constituent une « violation de la souveraineté syrienne ». En effet, il est à remarquer que malgré le refus exprimé publiquement contre cette Initiative par Youssef Ahmad, ambassadeur syrien au Caire, Damas a ouvert ses portes à la délégation de la Ligue Arabe et a même accepté que le Sheikh Hamad en soit le chef.

Au cours de cette même réception, le ministre syrien des Affaires Etrangères Walid Mouallem aurait « lutté » pour amender certains articles de ce texte, mais le responsable Qatari persistait à faire croire à ses hôtes qu’il ne pouvait accepter aucun amendement concernant le retrait total de l’armée, qu’il refusait toute utilisation du terme « terrorisme », et a même failli récuser l’évocation de bandes armées dans les villes.

Et ce diplomate cairote de poursuivre que la première rencontre entre la délégation de la Ligue Arabe et El-Assad a été ponctuée de scènes hilarantes qui ont fait rire aux éclats le Président et ses invités, comme celle du secrétaire général adjoint de la Ligue Ahmed Bin Houli lisant son texte devant son auditoire, qui se fait rabrouer par le Sheikh Hamad criant : « Ce n’est pas cette Initiative que nous voulons entendre, c’est l’autre ! ». Bin Houli a eu beau chercher le deuxième texte dans ses poches, il ne l’a jamais trouvé !

C’est ainsi que plusieurs textes ont dû être discutés pour finalement adopter celui d’une Initiative appelant au retrait de « toutes les troupes armées des villes » ; ce qui signifie que les membres de la délégation ont fini par reconnaître l’existence de troupes armées autres que celles de l’armée régulière. Dès lors, il a été décidé, par accord tacite, que la première séance de dialogue entre des représentants des autorités syriennes et de l’opposition se tiendrait au siège de la Ligue Arabe au Caire.

Les Syriens ont reconnu que malgré le « piège qui leur était tendu », ils se devaient de prendre en considération leur relation solide avec Moscou. C’est la raison pour laquelle ils ont accepté des exigences que Damas n’aurait jamais approuvées en d’autres circonstances. Les dirigeants syriens, se devaient d’envoyer un message clair à Moscou lui signifiant qu’ils étaient ouverts au dialogue et à toutes les initiatives venant des États arabes, garantie suffisante pour renforcer la position russe devant le Conseil de Sécurité, pour que la Russie puisse continuer à se démarquer des positions intransigeantes américaines, françaises et européennes, et de leurs tentatives en faveur d’une intervention étrangère internationale.

Ceci dit, l’article concernant le « retrait de l’Armée syrienne » était considéré comme le plus dangereux par les autorités syriennes. En effet, comment pouvait-on envisager de retirer l’armée de régions désormais devenues le théâtre d’une guerre civile comme à Homs ? Pour le Sheikh Hamad : « Il est impératif de retirer l’armée et de cesser de tuer les manifestants ! ». Ce à quoi El-Assad a répondu : « L’armée ne tue pas des manifestants, elle poursuit plutôt des terroristes armés. Si jamais tu avais une solution pour en finir avec ces derniers, elle serait bienvenue ! ».

Depuis cette rencontre, les Syriens ont eu la confirmation que le Qatar poursuivait ses attaques contre la Syrie. Elles avaient commencé sur la chaîne qatarie Al-Jazeera, puis elles se sont poursuivies par des manipulations de la part d’opposants et de Frères Musulmans, pour finir par une étroite collaboration avec les dirigeants des capitales occidentales. Ceci est devenu très clair lorsque, par exemple, le ministre soudanais, sous pression du ministre qatari, en est arrivé à déclarer en présence du Président syrien : « Négocier avec les Occidentaux est le moyen le plus sûr pour sortir de cette crise », ce qui a fait dire à l’un des participants : « Vos négociations avec les Occidentaux ont abouti à la partition du Soudan, et à un Sud-Soudan où flottent désormais les drapeaux israéliens ! ».

Toujours selon ce même diplomate cairote, Damas s’est rendu compte que le Secrétaire Général de la Ligue était lui-même soumis aux pressions qataries. Ainsi, lorsque Nabil Arabi s’est adressé au Président syrien pour préciser « Arrêt des violences de toutes les parties », le regard de mise en garde et d’avertissement du Sheikh Hamad a bien failli le faire reculer. Il a fallu que Walid Mouallem l’interpelle par un « Est-ce possible que tu recules si vite !? », pour qu’il se ravise et confirme sa propre proposition.

Suite à cet accord et durant les dix jours qui ont suivi la publication du « Plan Arabe » [le 2 novembre 2011] Walid Mouallem n’a cessé d’adresser des missives à la Ligue Arabe pour l’informer de la mise en application effective de ses différentes directives : retrait de l’Armée de plusieurs régions et son remplacement par des policiers et des agents de la Sécurité Interne, visas d’entrée pour des journalistes arabes et occidentaux, libération d’un groupe de détenus, annonce d’une amnistie générale pour ceux qui rendent les armes et qui n’ont pas commis d’assassinats.

Ce faisant, la direction syrienne a cru pouvoir calmer le jeu mais est restée très vigilante face aux manœuvres des Qataris. Pendant ce temps, certains partis de l’opposition, et particulièrement son Organe de Coordination, ont bien reçu ces signaux et ont transmis en retour des suggestions positives en faveur du dialogue et d’une participation future au pouvoir. Moscou, informée de la situation, s’est révélée favorable à la démarche syrienne et a tenu à encourager l’Initiative Arabe. En effet, il a été rapporté que Moscou avait adressé un courrier à la Ligue Arabe lui conseillant de ne pas se hâter à prendre des dispositions intempestives contre la direction syrienne, mais plutôt à encourager le Président syrien dans sa volonté de réformer et d’aller de l’avant.

 

PRESSIONS AMÉRICAINES ET POSITION ARABE

 

Quelque chose s’est passé au cours de ces 10 jours. Personne ne s’attendait à ce que la Ligue Arabe prenne aussi précipitamment une telle mesure de suspension de la Syrie de toutes ses instances [le 12 Novembre]. Les opposants appartenant à l’Organe de Coordination n’ont rien vu venir lorsqu’ils sont allés à la rencontre de Nabil Arabi au Caire [3 Novembre]. En revanche, la direction syrienne s’attendait à « quelque chose de négatif » depuis que le ministre saoudien des Affaires Etrangères, Séoud el-Fayçal, avait rejoint la réunion du Comité ministériel de la Ligue Arabe. Des sources syriennes bien informées ont déclaré que, dans les dernières minutes avant la prise de cette mesure, les États Unis avaient exercé d’énormes pressions pour que la Ligue Arabe hausse le ton contre la Syrie, précédé en cela par le ministre des Affaires Étrangères français, Alain Juppé, qui a déclaré « L’Initiative Arabe est morte ! », sans oublier qu’entretemps Washington déconseillait aux personnes armées de se rendre aux autorités.

Pour les Syriens, cette sanction, quoique inattendue, n’avait rien de surprenant en elle-même. En revanche, ils admettent avoir été surpris qu’elle survienne avant même que n’expire le délai de 15 jours accordé à la direction syrienne pour mettre en œuvre le Plan Arabe, et tout aussi surpris par l’invitation incongrue de l’opposant Burhan Ghalioun à la table des Ministres des Affaires Étrangères de la Ligue Arabe dans les salons de l’hôtel Four Seasons.

La conspiration n’était désormais plus un secret pour quiconque ! De là, leur certitude d’une ingérence américaine de la dernière heure. Ce qui se traduit dans les déclarations d’un responsable qui connaît parfaitement les arcanes de cette Ligue : « Nous savons comment sont conçues les décisions de la Ligue Arabe et comment certains de nos frères se plient malheureusement devant les diktats américains, comme nous savons que le Qatar joue le rôle le plus malfaisant en ce domaine ».

 

COMMENT LA SYRIE A-T-ELLE ÉTÉ SUSPENDUE DES INSTANCES DE LA LIGUE ARABE ?

 

Le Sheikh Al Hamad a convoqué une réunion du Comité des Ministres de la Ligue Arabe dont le ministre saoudien Séoud el-Fayçal, dans les salons de l’hôtel cairote cité plus haut. Il avait préparé un projet de résolution en 6 articles :

1. Suspendre la Syrie de toutes les instances.

2. Demander à l’Armée syrienne de ne pas intervenir dans des opérations d’assassinats.

3. Inviter l’opposition à une réunion au siège de la Ligue Arabe dans les 3 jours.

4. Inviter les organisations internationales à se rendre en Syrie.

5. Rappeler tous les Ambassadeurs des pays de la Ligue Arabe basés en Syrie.

6. Inviter le Conseil des Ministres des Affaires Étrangères à se réunir avec l’opposition unifiée.

L’Égypte et l’Algérie ont exprimé leur opposition, le Sultanat d’Oman a exprimé son mécontentement, le Liban a déclaré un refus catégorique. Il faut dire que le délégué algérien a essayé de faire capoter le projet. Une altercation a eu lieu entre lui et le Sheikh Hamad. Le premier aurait déclaré : « Le Qatar est le fer de lance de tous les problèmes que rencontre la nation arabe » ; le second lui aurait répondu : « Votre tour viendra ! ».

 

RÉCIT DE L’AFFRONTEMENT SYRO-QATARI AU CAIRE

 

Suite à cette réunion, s’est tenue une séance fermée inaugurée par le Secrétaire Général de la Ligue Arabe qui a présenté son projet et a exprimé toutes sortes de récriminations à l’encontre de la Syrie depuis le 13 juillet 2011 jusqu’à la rencontre à Damas avec El- Assad le 26 Octobre 2011. Il s’est plaint de ne pas avoir pu joindre Walid Mouallem malgré plusieurs courriers et messages adressés à son secrétariat et a même déclaré : « Nous n’avons malheureusement pas réussi à former une délégation qui serait arrivée au bon moment pour enquêter sur ce qui se passe réellement sur le terrain. Elle aurait pu être composée de personnalités appartenant à des organisations internationales, comme le Conseil des Droits de l’Homme ou autre… ».

S’adressant au Sheikh Hamad, le délégué syrien a immédiatement répondu : « C’est dans cette même salle que tu t’étais élevé contre l’idée selon laquelle il existait une intention manifeste de conduire la Syrie vers le chaos. Tu avais même ajouté que c’était pure imagination. J’avais souhaité qu’il en soit ainsi. Mais aujourd’hui, après lecture de ce papier…il est très clair que vous avez non seulement saboté votre plan mais vous avez fait en sorte qu’il soit mort-né. Vous êtes tellement pressés d’arriver à vos fins que vous n’avez même pas pris le temps de constituer une délégation pour enquêter… ceci parce que vous ne voulez pas connaître ce qui se passe en vérité ».

Après avoir précisé que la décision de suspendre la Syrie était illégale et pourquoi elle l’était, le ministre syrien a ajouté : « Faites attention à ne pas laisser attiser le feu, car ce ne serait profitable à personne. Faites attention à ne pas accorder votre indéfectible soutien à des complots scandaleux contre la Syrie, à des provocations tendancieuses, à des campagnes médiatiques féroces et sans limites, à des interventions étrangères appelant ostensiblement à la chute du régime… Dès notre première réunion, nous avions senti que vous cherchiez à suspendre notre adhésion à la Ligue Arabe. Nous espérions nous tromper. Vous venez de nous donner la preuve irréfutable que nous avions vu juste. Le 2ème article de ce projet constitue un dangereux préalable à une intervention étrangère dans les affaires internes d’un État membre de la Ligue… ce qui sape les fondements de la paix et de la stabilité dans la région ».

A son tour le délégué irakien a exprimé ses réserves quant au 2ème article disant : « Je pense que pour certains, il pourrait constituer prétexte à intervention étrangère, ce qui compliquerait la donne, non seulement pour la Syrie mais aussi pour des pays voisins tel que l’Irak. De plus, selon la charte de la Ligue la suspension ou le gel d’un État membre sont censés être prononcés à l’unanimité. Enfin, puisque nous disposons d’une Initiative Arabe sur laquelle nous nous sommes tous mis d’accord, y compris la Syrie, pourquoi ne pas la soumettre pour adoption à des organismes internationaux tels que le Conseil de Sécurité ou le Conseil des Droits de l’Homme ? »

[…. À ce moment, il y a eu un très court débat sur la légitimité ou non de la suspension de la Syrie entre un Nabil Arabi, indécis, et les délégués algérien et syrien (non retranscrit ici)].

Le Sheikh Hamad a brusquement mis fin à la séance sans permettre à la délégation algérienne d’exprimer son point de vue en se contentant de déclarer que les délégations libanaise et yéménite s’étaient prononcées contre le projet, mais que la délégation irakienne s’était abstenue. Ceci a provoqué l’indignation du délégué syrien qui lui a répondu en ces termes : « Tout ceci est le résultat de tes multiples conspirations qui ignorent les lois et les chartes. Tu es l’instigateur en chef de toutes ces trahisons et de toutes ces opérations destructrices, non seulement en Syrie mais dans tous les États Arabes. Avec le Secrétaire Général vous commettez un crime envers la Syrie et envers toutes les nations arabes. Vous êtes des agents exécuteurs d’agendas occidentaux. Un jour, les peuples du monde arabe vous demanderont des comptes et vous devrez répondre de vos crimes ».

 

OÙ VA LA SYRIE ? VERS UNE INTERVENTION INTERNATIONALE ?

 

La grande majorité des Syriens craint que cette manœuvre de la Ligue Arabe ne soit le préambule du pire. D’une part, Damas a bien compris que certains pays arabes, et le Qatar en particulier, œuvrent pour une internationalisation de la crise pour arriver à légitimer une intervention étrangère ; d’autre part, elle est persuadée qu’une intervention militaire est impossible. Par la voix de son Ministre des Affaires Etrangères elle a officiellement refusé la décision de sa suspension par la Ligue… Elle soupçonne que la Turquie cherche à agiter les eaux dormantes, que le Qatar va continuer à travailler à l’escalade des violences et aussi, que les États Unis et la France vont continuer à acculer la Syrie et tenter d’exploiter à nouveau la carte onusienne et son Conseil de Sécurité en exerçant toutes les pressions possibles sur la Russie et la Chine.

Malgré tout cela, Damas persiste à user d’un langage diplomatique serein. Dans les prochains jours elle pourrait adopter des positions qui démontreraient qu’elle ne se considère pas en état de faiblesse… Les Syriens savent qu’ils ne manquent pas d’atouts. Les mesures de sécurité se sont révélées efficaces. Homs est sauvée avec le minimum de pertes possibles et les bandes armées, qui y sévissaient, sont en passe d’être neutralisées…« Nous resterons calmes et sereins, et prochainement nous adresserons les signaux qui témoigneront de la force du peuple syrien et de sa solidarité militaire et politique ». La Russie n’a pas cédé, des millions de Syriens continuent à manifester dans toutes les régions du pays adressant au monde entier le message très clair de leur assentiment à leur président et de leur refus catégorique de toute intervention étrangère, et les opposants patriotes ont opté pour le dialogue.

Malheureusement, les manigances perdurent et la désinformation partisane des médias arabes et internationaux prêche toujours. En ce moment même, ces États, et particulièrement le Qatar, tentent de fabriquer « une opposition unifiée » pour arriver à la faire reconnaître, et réussir, par ce subterfuge, à déclarer l’illégitimité du Président syrien comme un fait établi.

Certains pensent que la crise syrienne ira vers encore plus de complications ; d’autres avancent qu’elle touche à sa fin. Quoiqu’il en soit, cette année américaine pré-électorale promet de nombreuses surprises, d’autant plus que le prochain retrait des forces américaines de l’Irak est susceptible d’ajouter d’énormes pressions sur l’Iran, la Syrie, et le Hezbollah. Le Qatar et d’autres États arabes ont, jusqu’ici, réussi à priver la Syrie du soutien des pays frères. Il n’empêche que des liens solides demeurent intacts entre Bachar el-Assad et certains leaders, y compris le nouveau leader saoudien, le Prince Naëf Ibn Abdel Aziz…

Est-ce là un autre message destiné à Sheikh Hamad considéré par les Syriens comme « le plus remarquable des instigateurs et comploteurs », lequel continue à affirmer que « El-Assad est proche de sa fin » ?

Sami Kleib

14 /11/2011


Sami Kleib, journaliste libanais de nationalité française, est diplômé en Communication, Philosophie du Langage et du Discours Politique. Il a été Directeur du Bureau du journal AS-Safir libanais, à Paris, et Rédacteur en chef du Journal de RMC-Moyen Orient. Responsable de l’émission « Visite spéciale » sur Al-Jazeera, il a démissionné en protestation contre la nouvelle orientation politique de cette chaîne.

Traduit de l’arabe par Mme Mouna Alno-Nakhal, le 18 novembre 2011

Sources :

http://www.assafir.com/Article.aspx ?EditionID=2002&ChannelID=47411&ArticleID=1261

et

http://www.silviacattori.net/article2381.html

 

 Un article de Sami Kleib - Syrie : La vérité sur les visées inquiétantes du Qatar et des puissances occidentales

http://www.comite-valmy.org/spip.php?article2038

 

 

Rappel :

 

COMMUNIQUÉ DE PRESSE - Comité Valmy - 17 novembre 2011

Pour contribuer à rétablir la vérité sur la situation dans ce pays,
LE PRÉSIDENT DU COMITE VALMY EN SYRIE AVEC UN GROUPE DE JOURNALISTES

lundi 21 novembre 2011, par Comité Valmy

Depuis près d’une semaine, Claude Beaulieu, Président du Comité Valmy, est présent en Syrie où il accompagne le premier groupe de journalistes auxquels le gouvernement syrien a donné la possibilité de venir voir, sur place, la réalité de la situation dans ce pays. Ce voyage est organisé à l’initiative du Centre catholique, des Chrétiens de la Méditerranée, et tout particulièrement grâce au dynamisme de Mère Agnès-Mariam de la Croix, Higoumène du Monastère Saint Jacques l’Intercis à Qâra, en Syrie.

L’objectif de cette initiative, qui répond à un réel besoin d’information honnête, est de contribuer à faire connaître la vérité sur ce qui se passe en Syrie.

Ce voyage est l’occasion d’observer sur place la réalité de la situation et de faire de nombreuses rencontres avec des acteurs et des témoins du combat que mène le peuple syrien contre l’asservissement et pour la survie de la nation. Le premier moment fort que Claude Beaulieu nous a indiqué téléphoniquement concerne la visite du Patriarche Cyrille de Moscou au Partiarcat d’Antioche et sa réception à la Cathédrale de la Dormition à Damas, à laquelle il a assisté. Cette visite, certainement organisée avec l’accord du gouvernement russe, dépasse donc la seule solidarité des chrétiens russes envers les chrétiens d’Orient et présente un caractère géopolitique particulièrement positif.

Aujourd’hui, Claude Beaulieu, depuis la Syrie, apporte un premier témoignage à propos de ce qu’il a constaté sur place. Le texte ci-dessous est réalisé à partir d’une conversation téléphonique.


 

1) Le scandale de la propagande guerrière véhiculée par les médias occidentaux

A écouter les médias occidentaux, l’armée et la police syrienne seraient devenues des hordes sanguinaires qui massacreraient le peuple. La réalité ridiculise ce grossier mensonge, dont le seul but est de justifier une invasion guerrière.

Sur le terrain, nous constatons que les meurtres et les attentats, mensongèrement attribués par les médias français aux forces syriennes, sont en réalité le seul fait de groupes armés étrangers ou de salafistes syriens extrêmement minoritaires, qui tirent sur la foule et sur les militaires pour créer le chaos et pour fabriquer des images trompeuses, à destination des médias complices des va-t-en-guerre occidentaux.

Les policiers et les militaires syriens doivent à la fois déjouer ces pièges, protéger les populations et mettre hors d’état de nuire ces criminels fauteurs de guerre.

Cette mission est d’autant plus difficile que les groupes en question sont soutenus, armés et financés par les USA et l’Union européenne, comme l’a avoué leur chef, Khaddam. [1]

 

2) La force de l’union nationale syrienne contre l’éventualité d’une agression occidentale

Il ne se passe pas un jour sans manifestations de masse [2], au cours desquelles les Syriens se retrouvent dans les rues pour exprimer leur volonté unitaire patriotique et pour soutenir le gouvernement légitime.

Cette vigueur à défendre la souveraineté de la nation syrienne transcende les clivages politiques et confessionnels ; elle soude le peuple, fermement décidé à résoudre par lui-même ses difficultés en restant maître de son destin et en respectant la légalité.

Malgré les crimes et les exactions commis par les terroristes, la manipulation visant à exacerber les clivages confessionnels échoue : dans une clairvoyance exemplaire, le peuple syrien se rassemble et démontre encore une fois l’invincibilité et la cohérence de l’attachement à la souveraineté populaire, de la laïcité et de la prééminence du Droit.

Les opposants syriens préfèrent majoritairement éviter à leur pays une intervention étrangère plutôt que rallier le Conseil national syrien, dans lequel ne se regroupent en définitive que des aventuriers instrumentalisés par les ennemis de la Syrie et des extrémistes salafistes qui envisagent de transformer le pays en place forte d’Al Qaïda.


Dans ces conditions, le Président du Comité Valmy appelle les Français à la plus grande vigilance sur les informations et reportages diffusés par les médias français, déjà coupables d’avoir travesti la réalité pour rendre possible les agressions sur la Côte d’Ivoire et la Libye.

Il souhaite, sans illusion, que la diplomatie française prenne conscience que son asservissement aux Etats-Unis - qui construisent une manipulation de plus pour justifier une agression guerrière de plus - n’est pas une erreur, mais une faute.

De par l’Histoire, la France a une responsabilité particulière envers les peuples syriens et libanais. Tout gouvernement qui l’oublierait ne serait pas un authentique gouvernement français mais un pitoyable exécutant états-unien.

Que la faute libyenne ne soit pas répétée en Syrie !

Mise en ligne CV le 17 novemmbre 2011

Texte amendé

Notes

[1] -Interview de Khaddam sur Israeli TV

[2] -Syrie :les manifestations que personne ne veut voir

 

COMMUNIQUÉ DE PRESSE - Comité Valmy - 17 novembre 2011 - http://www.comite-valmy.org/spip.php?article2037

 


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21 novembre 2011 1 21 /11 /novembre /2011 17:48
Par le peuple, pour le peuple


 
tendances politiques 
Quel chef de parti osera proclamer "Il faut rendre réellement le pouvoir au peuple, à tous, relancer une vraie démocratie !" ?
Une vraie démocratie est celle où chacun sait que ce qui a été décidé, l'est pour la bonne cause : il le sait pour avoir participé aux discussions qui ont précédé la décision, et il sait que cette décision reflète l'opinion de la majorité éclairée par la discussion justement.
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A droite, la question ne se pose pas : tout fonctionne par des rapports de force, où l'argent est roi, que dis-je, empereur. C'est lui que courtisent maints financiers qui le font fructifier, comme ils disent (en fait ils l'inventent au fur et à mesure), maints politiciens qui en ont besoin pour agrandir leur influence, maints personnages influents dont il facilite la tâche en les aidant à abuser du bon vouloir de subordonnés grâce à des promesses aussi mirifiques que vaines. Le $Y$T€M fonctionne sur des relations entre inégaux, par définition. Quelques happy few discutent entre eux, se partagent les plus hautes prébendes, les plus hauts postes, des plus ronflants aux plus délicatement possesseurs de pouvoir, selon les tempéraments.
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Ce ramassis de Hauts Requins distille, selon le bon adage diviser pour régner, des divisions entre des corps de métiers, entre des "couleurs de peau", entre des faciès, des "origines", des "religions", et en rabâchant ses venins il réussit effectivement à dresser les uns contre les autres des gens qui auraient tout pour s'entendre, s'entendre contre lui naturellement. Comme c'est lui qui possède ce qu'on appelle pudiquement les moyens d'information, alors que ce ne sont que des outils de propagande, il a tout loisir pour remettre constamment au premier plan violence, immigration, "différences", langages, rites (toujours ceux des mêmes). Il procède internationalement, ce qui lui donne une force terrible.

La gauche est sensée rendre la main à tous : qu'en est-il réellement ?

Le PS n'est qu'un tentacule du libéralisme, tenant maladroitement une rose défraîchie. Sans vraiment l'exprimer de façon claire, il laisse les journalistes de Cour le présenter comme LA gauche, alors que ses positions ne reflètent que faiblement une préoccupation pour les humains, et pour l'avenir de tous. Cela rappelle une vieille gravure de la fin du XVIIIe, juste avant la révolution : le Tiers État est un homme pliant sous les poids d'un sac représentant les impôts royaux, pendant qu'un seigneur enrubanné s'appuie de tout son poids sur le sac, alors que le clergé sensé apporter ses bienfaits ne le fait que du bout d'un doigt. Le PS est ce faux représentant du peuple sensé lui redonner sa place, alors qu'il n'en est rien.
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hemispheres
Le Front de gauche est focalisé sur un homme, qui a su à temps (pour lui) se dégager du PS pour exprimer ses critiques sans beaucoup innover. Son parti, le Parti de Gauche, dont on sait peu de choses, n'existe que par lui, même si on peut penser que les gens de la base sont des socialistes convaincus, sans doute des transfuges d'un PS qui les a tout de même trop déçus. Il promeut cependant une alternative au productivisme, des solutions écologiques, une nouvelle donne économique tournant le dos à l'union européenne, ce truc imposé par des parlementaires inféodés au $Y$T€M ou simplement peu désireux de s'y opposer.
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Le Parti de Gauche s'appuie sur un PCF qui a très mal su prendre en compte les nouvelles conditions, écologiques, économiques et sociales d'un monde qui a bien mal tourné. C'est un appui solide, aux ancrages locaux très forts, mais tournant en rond, et encore englué dans les supposés bienfaits du nucléaire. Quant aux autres composantes de ce front de Gauche, elles sont inaudibles malheureusement. A ce propos, reprenons ce qu'en dit Wikipedia actuellement.
Pour l'heure, ses composantes nationales pour l'élection présidentielle de 2012 sont :
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Que reste-t-il ? Le NPA n'a pas su tirer de son sigle nouveau un redépart, et malgré les bonnes volontés son message est assez inexistant, faute de moyens, et faute d'une unité de vues qui disperse ses forces déjà faibles. Son représentant le plus en vue s'est précisément retiré au second plan pour éviter une trop grande mise en vedette, au dépens du parti lui-même et de ses valeurs. De ce fait, le message et les vraies préoccupations du mouvement peinent à passer la rampe.
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Lutte Ouvrière porte désormais fort mal son nom, puisqu'il y a sans doute plus de chômeurs, officiels ou pas, que d'ouvriers au travail dans notre pays. Le plus souvent, même parmi ceux qui ont un emploi, celui-ci est un temps partiel dans le tertiaire, "hôtesse de caisse" ou manutentionnaire. Le grand temps des soulèvements massifs d'hommes en bleu de chauffe a bien disparu, donc le message tombe assez à plat.
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Quant à la frange Gluckstein-Shivardi, du POI, elle s'est retirée de la compétition, ce qui lui enlève toute possibilité de temps de parole.
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Les anarchistes, pour leur part, et par définition, n'existent pas en tant que parti constitué alors que leur façon de penser peut constituer une solution vraiment différente pour l'avenir (pensons en particulier à Élysée Reclus, anarchiste et écologiste à la fois). Mais l'anarchie bien comprise n'est pas forcément la solution la plus facile à appliquer sur la durée. Elle demande un effort de tous, chose pas toujours bien acceptée aujourd'hui sur le long terme. En particulier, elle conçoit un avenir sans chefs, ce qui pour certains est bien entendu inconcevable, sans argent, autre incongruité, un avenir où la priorité est de penser global pour agir local.
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Disons-le crûment : face à la droite pour laquelle la seule richesse est l'argent, et qui l'a accaparé bien entendu, la gauche représente le pari sur l'humain bien ancré sur cette terre qui est sa mère. C'est une très grande richesse, cependant combien l'ont oublié ! (même à gauche). L'avenir s'annonce difficile, faute de structures, bien que les mouvements des Indignés, sans chefs, sans raccordements aux partis et syndicats traditionnels qui pourraient tenter de récupérer à leur compte ces mouvements, puissent constituer un début de piste.

Quant aux élections qui arrivent à grands pas, elles consacreront dans leur résultat prévisible le complet échec du "démocratisme électif". Ceux que les partis soumettent aux votes ne sont que des noms qu'eux-mêmes auront préalablement sélectionnés en fonction de l'allégeance obligatoire à leurs diktats, eux-mêmes fruits de pressions "amicales" des lobbies. Voter est un droit chèrement gagné, dont les politiciens ont retiré tout sens en ne permettant que d'approuver leur choix.
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Ajoutons aussi que les primaires au PS ont été un beau piège, dans lequel pas loin de trois millions de citoyens sont tombés. Par leur afflux, ils ont déjà donné une force terrible à un nom, et au parti qu'il est sensé représenter maintenant. Ah, elle est belle, la démocratie !
http://bab007-babelouest.blogspot.com/
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  • Hier samedi, en fin d'après-midi, Silvio Berlusconi est allé enfin déposer sa démission devant le président de la République, Monsieur G...
  • La rigueur est en route. Le gouvernement vient de passer un nouveau plan d'urgence pour sauver les finances, et financer les nuits d'...
  • mercredi 5 octobre 2011 Que ce soit sous la forme d'un zébu, d'un homo sapiens sapiens ou d'un orang-outang, toute créature qui vit par...
  • L'Histoire se répète-t-elle ? Les conflits du monde semblent toujours être le terrain de jeu de "hauts" personnages qui envoient au cass...
  • On rit, on rit ! Car bien entendu, on le voit encore avec le nucléaire : Sarkozy ou Hollande, sous des stratégies différentes c'est le mêm...

 

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21 novembre 2011 1 21 /11 /novembre /2011 17:11

 

Le futur super-État européen que l'Allemagne envisage de faire gober au reste de l’Europe.

 

00000000000000000000-copie-1.jpg Beaucoup de gens sont devenus perplexes par les propos de la Chancelière allemande Angela Merkel quand elle a récemment déclaré que la solution ultime à la crise financière en Europe "signifierait plus d'Europe, mais pas moins non plus". Eh bien, maintenant nous le découvrons. Une fuite d’un mémo interne du gouvernement allemand intitulé «L'avenir de l'UE: la politique d'intégration, améliorations nécessaires pour la création d'une Union de stabilité» propose en fait la création d'un "Fonds monétaire européen", qui aurait le pouvoir de gérer les économies des états européens en difficulté. Cette «union de la stabilité" serait rapidement suivie par la création d'une véritable «union politique». Essentiellement, ce mémo divulgué propose la création d'un «super-État européen» qui sera ingurgité par les autres états européens qu'ils le veuillent ou non. La souveraineté nationale serait du passé et les bureaucrates européens géreraient tout. Bien sûr, ce ne sera jamais accepté par la population européenne jusqu’à ce qu’elle ressente la douleur amère de l'effondrement financier à venir, mais nous commençons à voir qu'il y a déjà un plan clair que les allemands veulent exécuter après la crise à venir.


Beaucoup de personnes imaginent juste qu'un effondrement financier massif en Europe et des accidents de l’Euro signifierait la fin de l'euro et potentiellement l'éclatement de l'Union européenne. Mais ce n'est pas du tout ce que les Allemands ont prévu.

 
Un article publié dans le Telegraph donne des détails sur les fuites du mémo interne gouvernemental allemand mentionné ci-dessus. Il est vraiment surprenant de voir qu'une part entière de "l’union politique" européenne est en cours de discussion aux plus hauts niveaux du gouvernement allemand ....

  Le mémorandum de six pages, du ministère des Affaires étrangères allemand, soutient que les locomotives économiques de l'Europe devraient être en mesure d'intervenir sur la manière de diriger les pays de l'eurozone assiégés.

Le programme confidentiel expose que le dispositif allemand va s'attaquer à la crise des dettes de la zone Euro en créant une « union de stabilité » qui sera « tout de suite suivie par des mesures vers une union politique ».

Cela provoquera des peurs que les plans allemands de la crise de l’euro pourraient résulter en un super-état européen avec des programmes de dépenses et taxes mis en place à Bruxelles.

  Pouvez-vous imaginer à quoi ressemblerait l'Europe avec un tel plan ?

La souveraineté nationale serait du passé.

Un autre article du Télégraph dit que le mémorandum divulgué propose qu’un Fonds monétaire européen soit immédiatement mis en place, celui-ci aurait le pouvoir de s’emparer et de gérer les économies des pays européens qui s'endettent trop. Mais, conformément à la note de service, ce serait juste une étape intermédiaire vers une « union politique » complète.

  Le papier du ministère des Affaires étrangères allemand de six pages présente des plans pour la création d'un Fonds Monétaire européen avec un transfert de souveraineté loin des États membres.

Le fonds aura le pouvoir de mettre les pays en difficulté en redressement judiciaire et de diriger leurs économies. Encore plus controversé, le document intitulé « l'avenir de l'UE : les améliorations de politique d'intégration voulues pour la création d'une Union de Stabilité », déclare que le changement du traité sera la première étape “vers laquelle l'UE se transformera en une union politique”. “La discussion sur le changement vers une union politique doit commencer dès que le chemin vers l'union de stabilité est tracé,” conclut le document.

La crise en Europe empirant, les Allemands sont devenus plus agressifs dans leur influence. À ce stade, la chancelière allemande Angela Merkel est la politicienne la plus importante en Europe, et elle a pris les devants en répondant à cette crise financière.

Comme je l’ai écrit précédemment, il y a eu des rumeurs persistantes disant que le président français Nicolas Sarkozy et la chancelière allemande Angela Merkel auraient « secrètement comploté » pour créer un euro « nouveau » qui changerait fondamentalement la façon dont l'Europe serait gérée.

Par exemple, le texte suivant est tiré d'un article qui est récemment sorti dans le Telegraph....

La France élabore des plans visant à créer une organisation séparatiste des pays de la zone euro avec son propre traité, son Parlement et son quartier général – un geste qui pourrait saper considérablement l'Union européenne existante.

Ce même article a également parlé des buts que la France et l'Allemagne ont l'espoir d’atteindre grâce à tout cela :

On comprend que la France et l'Allemagne veuillent renforcer l'union entre les pays de l’euro zone avec de nouvelles taxes et des mesures juridiques pour arrêter l'emprunt des nations et les dépenses excessives à l'avenir.

Bien entendu, il est important de noter qu'il n'y a pas moyen que les peuples d'Europe acceptent tout cela maintenant.

 

Mais qu’en sera-t-il après la douleur qu’engendrera un effondrement financier massif pendant un certain temps? Changeront-ils d’avis ?

Il est clair que le statu quo ne va pas durer très longtemps. Quelque chose doit changer. Malheureusement, l’Allemagne et la France semblent déterminées à pousser le reste de l'Europe dans la direction de la création d'un super-État européen.


Si vous souhaitez avoir une très bonne idée de ce qui se passe en Europe actuellement, regardez juste cette vidéo d'un récent discours de Nigel Farage au Parlement européen le 16 novembre 2011. Faites moi confiance, prenez quelques minutes pour la regarder. (lien sur le BBB)


Mais avant que les changements structurels fondamentaux n’aient lieu en Europe, nous allons d'abord assister à un effondrement financier complètement paralysant. Chaque jour qui passe, il y a de plus en plus de signes que les choses s’effilochent rapidement.

 

Voici quelques-uns des nouveaux éléments remarquables qui se sont passés en Europe la semaine dernière....

* En Italie, il y a eu de violents affrontements entre les manifestants et la police après que Mario Monti ait dévoilé son programme d'austérité. 
* Tout comme ce qui s'est passé lors de la mise en oeuvre du plan d'austérité en Grèce, il semble que l'Italie ait la tête en bas, sur le chemin d’une récession majeure. Les commandes industrielles en Italie pour le mois de Septembre ont baissé de 8,5 %. C'est vraiment, vraiment une mauvaise nouvelle.
* Le FESF a déjà été contraint d'acheter une énorme quantité de ses propres obligations. Cela signifie essentiellement que le FESF n’est déjà qu’une mauvaise plaisanterie.

* Des dizaines de grandes banques de toute l'Europe ont été dégradées au cours des dernières semaines. Même les banques allemandes sont dégradées maintenant. L'autre jour, Moody's a abaissé les notes de 10 grandes banques allemandes.
Un nombre croissant de personnes qui travaillent dans le monde financier commence à vraiment flipper sur tout ce qui se passe.
Ce qui suit est ce que Mark Mobius, chef du bureau des marchés émergents au Templeton Asset Management, a dit récemment ....

''Une autre crise financière nous guette au tournant, parce que nous n'avons rien résoludes causes de la crise précédente."

Willem Buiter, économiste en chef de Citigroup, estime que si rien n'est fait rapidement, il y aura un effondrement du système financier en Europe dans des délais très courts ....

 

"Le temps est compté et je pense qu’il ne nous reste peut-être que quelques mois - Il pourrait se passer quelques semaines, ou peut être quelques jours - avant qu'il n'y ait le risque matériel d'un défaut fondamentalement inutile d’un pays comme l'Espagne ou l'Italie, ce qui serait une catastrophe financière qui entraînerait les systèmes bancaires à la fois européen et américain. Alors il faut agir dès maintenant. »

Ann Barnhardt de Barnhardt Capital Management a effectivement fermé son entreprise parce qu'elle ne pouvait plus garantir que l'argent investi par ses clients dans les contrats et les marchés à terme était en sécurité. Ci-dessous des extraits de la lettre qu'elle a récemment rendue public. En d’autres temps, je ne posterais pas de si longs extraits, mais là, je crois que c’est justifié. Ce qu'a écrit Barnhardt devrait être une sonnette d’alarme pour nous tous. C’est réconfortant (et un peu effrayant) d’avoir une évaluation honnête de la corruption dans le monde financier de la part de quelqu'un qui a bien profité de la vie dans ce monde. Voici comment elle commence sa lettre....

C'est avec regret et une inébranlable certitude morale que j'annonce que Barnhardt Capital Management a cessé ses activités. Après six ans d'exploitation en tant quecourtier indépendant et avant cela huit ans comme employée d'un courtier, je me suisretrouvée ce matin, pour la première fois depuis l’âge de 20 ans, à regarder les contrats à terme et les options markets s’ouvrir non pas en tant que participante, mais comme simple spectatrice.

La raison de ma décision de décrocher est extrêmement simple : Je ne peux plus raconter à mes clients que leurs fonds et leurs positions sont en sécurité sur les marchés à terme et sur les options – parce qu'ils ne le sont pas. Et c’est valable non seulement pour mes clients, mais aussi pour tous les contrats à terme et les options de comptes aux États-Unis. L'ensemble du système a été totalement détruit par l'effondrement de MFGlobal (MFG voir wiki). Compte tenu de cette triste réalité, je ne pouvais pas, en toute bonne conscience, franchir l’étape de plus en tant que courtier en marchandise, en sollicitant des échanges que je savais être dangereux ou en sollicitant des fonds d’intérêts que je savais être en danger.

 

Comment l'effondrement de MFG a-t-il détruit le système ? Barnhardt l’explique :

Les marchés à terme sont très fortement endettées et ont donc besoin d'une base exceptionnellement solide pour fonctionner. Cette base a été la ségrégation du sacro-saint fonds de clientèle du capital ferme de compensation, avec un soutien financier d'urgence supplémentaire fourni par les échanges eux-mêmes. Jusqu'à il y a quelques semaines, cette base existait et avait parfaitement fonctionné. Les entreprises allaient et venaient, avec certaines implosions spectaculaires. Même s'il y avait une faillite d'entreprise, les fonds de la clientèle étaient intacts et les échanges pouvaient intervenir pour tout étayer et conserver 100 % des liquidités des clients – même si leur entreprise de compensation s'était effondrée et avait été rapidement remplacée par une autre entreprise au sein du système.

   

Tout a changé il y a quelques semainesUne entreprise, dirigée par un copain du régime Obama, a volé tout l'argent non-margé détenu par les clients de son entreprise. Ne faisons pas d’enrobage mielleux, ne noyons pas le poisson avec des termes "complexes" et "abstraits" à deux balles et n’utilisons pas un jargon hyper-technique. Jon Corzine a VOLÉ l’argent de la clientèle de MFG. Connaissant Jon Corzine et connaissant le désordre abject et le mépris pour l'humanité du régime marxiste d’Obama et de ses copains, ce n'est pas vraiment une surprise. Ce qui fut une surprise c’est la réaction des échanges et des régulateurs. Leur réaction a été de prendre une mauvaise situation et de l’aggraver considérablement. Plus exactement, ils ont gelé les comptes des clients PENDANT QUE LES MARCHÉS ONT CONTINUÉ À FAIRE DU COMMERCE, en leurrefusant la permission de liquider. C'est incompréhensible. Le précédent d’une exposition au risque qui a été fixé est totalement intolérable et a détruit le paradigme de l'industrieentière. Aucune personne informée ne peut continuer à s'engager sur ces marchés, et aucune personne ayant une éthique ne peut continuer à faire du courtage ou à faciliter unengagement pour des clients dans ce qui est devenu aujourd'hui un immense jeu deroulette russe.

 

Encore plus effrayant, Barnhardt dit que l'effondrement de MFG n'est que "la partie émergée de l'iceberg" et que d’autres effondrements comme celui-là sont sur le point d'arriver....

Au cours de la semaine dernière, j'ai appris que MFG n'est certainement qu'une petite partie visible de l'iceberg. Il y a une exposition massive de toute l'industrie aux créances souveraines européennes douteuses. Alors que d'autres entreprises peuvent ne pas êtreaussi fortement impliquées dans l’effet de levier par rapport à ce que Corzine l’a été avecMFG, et on pense maintenant que l’effet de levier de MFG peut avoir été supérieur à 100:1,- elles sont toujours, de façon suicidaire, impliquées dans l’effet de levier et devront probablement massivement faire appel à des garanties dans les prochains jours et semaines alors que l'Europe s'effondre inévitablement. Maintenant, je soupçonne que la raison pour laquelle le Chicago Mercantile Exchange n’est pas immédiatement intervenu pour étayer l'implosion de MFG était parce qu'il savait et sait que s'il avait soutenu MFG, il devrait aussi soutenir toutes les autres sociétés du système alors que les faillites ont commencé en cascade – et il n’y a tout simplement pas beaucoup d'argent dans l'ensemble du système. En bref, le problème est un problème systémique, pas simplement isolé à une seule entreprise.


Alors que dit Barnhardt sur ce que nous devrions tous faire ? Elle recommande en fait que tout le monde abandonne complètement les marchés à terme et les options....

Et donc, nous arrivons au point crucial très désagréable de la question. Les marchés à terme et les options ne sont plus viables. C'est ma recommandation à tous les clients de se retirer de tous les marchés dès que possible afin qu'ils aient les meilleures chances de se protéger et de protéger leurs capitaux propres. Le système ne fonctionne plus avec intégrité et est suicidaire. La primauté du droit est inexistante, et est remplacée par le copinage politique impie et criminel.

N'oubliez pas, il y a quelques semaines, je vous ai averti qu'une crise massive des dérivés arrivait. Toute personne qui joue avec les dérivés à ce stade joue avec le feu. Barnhardt affirme qu'elle ne rouvrira pas son entreprise tant que Barack Obama ne sera pas démis de ses fonctions et tant que des réformes fondamentales du système financier ne seront pas mises en place …

Enfin, je ne vais, en aucune circonstance, envisager de réformer et de ré-ouvrir BarnhardtCapital Management, ou de réitérer une entreprise de courtage, tant que Barack Obama ne sera pas retiré du Bureau et que le gouvernement des États-Unis n’aura pas été suffisamment réformé et repeuplé afin de recouvrer ma confiance totale et complète dans le gouvernement, dans son adhérence et sa mise en place de la règle de loi et dans sacompétente et juste surveillance de la régulation des marchés des matières premières qu’il pourrait réformer. Aussi longtemps que le gouvernement reste criminel, il ne servirait à rien du tout d’essayer de reconstruire l'industrie des contrats à terme ou ma société, parce que dans un environnement sans loi, le même vol et la même fraude recommenceraient tout simplement et les criminels seraient impunis, protégés par l'oligarchie criminelle.

 

Nous sommes au bord d'une crise financière qui pourrait être tout aussi mauvaise (voire pire) que la crise financière de 2008.
Actuellement, 2012 s'annonce comme une année très, très mauvaise.
Comme je l'ai écrit auparavant, lorsque les dirigeants européens ont proposé que les porteurs privés d'obligations grecs devraient accepter une coupe de 50 %", ils ont massivement sapé la confiance dans le système financier européen.

Maintenant la panique et la peur sont dans l'air et il est peu probable que les marchés financiers se calmeront bientôt.

 

Déjà, il y a des premiers signes d'une espèce de crise du crédit massive qui a presque provoqué "la fin du monde" dans les marchés financiers en 2008.

Par exemple, un article de CNBC qui a été posté vendredi dit que le flux des crédits en Europe s'assèche sérieusement ....

Peur vendredi sur l'exposition des banques européennes aux marchés risqués de la dette publique et les dirigeants de banque harcelés, les prêts non garantis entre banquess’évaporant et le coût des prêts garantis augmentant.

Et comme le dit un récent article posté sur Zéro Hedge, un évènement semblable commence à se profiler aux États-Unis....

Le marché de financement du dollar est maintenant à des niveaux jamais vus depuisl'effondrement de Lehman et il est effectivement gelé. Seulement cette fois c’est bien pirequ’avant, les cadres de la banque centrale mondiale ont implicitement supposé être un soutien de la cascade de liquidité mondiale. Adieu le filet tacite tendu par les autorités monétaireset la liquidité est maintenant verouillée plus que jamais dans l'histoire des marchés de capitaux.

 

Alors, que devrions-nous faire?
Nous devrions prendre des mesures et être préparés à ce qui arrive.

Malheureusement, un nombre croissant d'américains semble plutôt « baisser les bras ». Selon un récent Sondage Gallup, la consommation d'alcool aux États-Unis a atteint un nouveau record depuis 25 ans. Plus d'un américain sur 10 âgé de plus de 12 ans a une prescription d’antidépresseurs, et la plupart des familles américaines passe des heures interminables à regarder la télévision dans une tentative d’échapper à la douleur et à la frustration permanente.

Nous espérons qu'en travaillant ensemble, il est possible d'aider plus d'américains (et plus d’européens aussi) à se réveiller, à sortir de leurs canapés et à agir de façon positive.

Le temps est compté et la crise économique s'aggrave rapidement.

Nous n'avons pas de temps à perdre.

 Source: The conomic collapse. 

Traduction : Helios, Bistro Bar Blog

  http://www.wikistrike.com/article-le-futur-super-etat-europeen-que-l-allemagne-envisage-de-faire-gober-au-reste-de-l-europe-89424617.html

 

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L'Allemagne veut imposer des travailleurs forcés du IIIe Reich

 C'est une décision "moralement indéfendable", a clamé dimanche le ministre des finances belges, commentant la décision allemande d'imposer les anciens travailleurs forcés sous le nazisme résidant en Belgique.


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© KEYSTONE | Le ministre belge des Finances, Didier Reynders a exprimé son choc dimanche face à la décision allemande.
 Le ministre belge des Finances, Didier Reynders, a annoncé dimanche qu’il allait interpeller les autorités allemandes à propos de leur décision "moralement indéfendable" de réclamer des impôts aux anciens travailleurs forcés sous le nazisme résidant en Belgique.

"Il est choquant que des personnes comme celles-là se voient réclamer des paiements" des autorités allemandes, a estimé dimanche M. Reynders, cité par l’agence Belga. C’est "moralement indéfendable", a-t-il ajouté.

La presse belge s’est faite l’écho ce week-end de plusieurs dizaines de plaintes adressées à l’administration belge par d’anciens travailleurs forcés. Ces derniers s’étonnaient d’avoir reçu ces dernières semaines une lettre du fisc allemand leur réclamant de payer des impôts à titre rétroactif - plusieurs centaines d’euros parfois - sur leur pension perçue depuis 2005.

Aucune confirmation de cette démarche n’a pu être obtenue dimanche auprès du gouvernement allemand. Des milliers de Belges ont fait partie des quelque 13 millions de personnes contraintes au travail forcé sous le nazisme.

Longtemps oubliés, les survivants avaient finalement obtenu ces dernières années une indemnisation de l’Etat allemand. Créée en 2000, la fondation "Souvenir, responsabilité et avenir" (EVZ) à Berlin était chargée par les pouvoirs publics allemands de dédommager les victimes du travail forcé, une tâche qu’elle a achevée en 2007: 4,4 milliards d’euros ont été versés au total à 1,66 million de personnes dans presque 100 pays.

 Source: 24heures.ch

http://www.wikistrike.com/article-l-allemagne-veut-imposer-des-travailleurs-forces-du-iiie-reich-89422234.html

 


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21 novembre 2011 1 21 /11 /novembre /2011 15:50

http://regardsurlarealite.r.e.pic.centerblog.net/bhl2.jpg

Les galons de BHL

 

Sur la proposition de Serge Dassault, l'essayiste et philosophe Bernard-Henri Lévy (également chroniqueur au Point) devient colonel-citoyen de l'Armée de l'air. Il rejoint ainsi - entre autres - Michel Drucker et Michel Sardou sur la liste des officiers de réserve haut gradés de l'aviation. S'il ne prend pas le Quai d'Orsay, il pourra briguer la Défense.

 

http://www.lepoint.fr/les-galons-de-bhl-08-09-2011-1374282_19.php


 

Et les Médias aux ordres tendent la gamelle à ce propagandiste qui ne raconte que des mensonges ! C'est à vomir, les Médias comme leur chou-chou va-t-en-guerre !  (note d'eva)

 

 

Rappel,

le livre "les intellectuels faussaires",

de Pascal Boniface

 

Un livre qui dévoile les « serial-menteurs» français , dont Bernard-Henri Levy

 
Avec « Les intellectuels faussaires : le triomphe médiatique des experts en mensonge », Pascal Boniface signe l’un de ses plus brillants ouvrages. Y sont dressés, avec toute la rigueur scientifique qu’on connait du directeur de l’Institut des Relations Internationales et Stratégiques (IRIS), les portraits au vitriol de quelques « serial-menteurs. »

 

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http://www.partiantisioniste.com/images/stories/images/les_intellectuels_faussaires_01.jpg

http://www.partiantisioniste.com/images/stories/images/les_intellectuels_faussaires_01.jpg

 

 

 

Libye : BHL s’est engagé "en tant que juif"

http://gaelle.hautetfort.com/archiv…


Le philosophe Bernard-Henri Lévy a déclaré aujourd’hui que "c’est en tant que juif" qu’il avait "participé à l’aventure politique en Libye", lors de la première Convention nationale organisé par le Conseil représentation des organisations juives de France (Crif). "J’ai porté en étendard ma fidélité à mon nom et ma fidélité au sionisme et à Israël", a-t-il déclaré.


Le Crif tenait à Paris sa première convention nationale, intitulée "Demain les Juifs de France", à laquelle participaient de nombreux intellectuels, politologues, sociologues, chercheurs. Près de 900 personnes ont ainsi assisté à des débats, très ouverts, souvent animés, sur les défis communautaires, les nouveaux visages de l’antisémitisme, ou les nouveaux défis pour les juifs de France.


Bernard-Henri Lévy, invité à s’exprimer sur ce thème a déclaré : "C’est en tant que juif que j’ai participé à cette aventure politique, que j’ai contribué à définir des fronts militants, que j’ai contribué à élaborer pour mon pays et pour un autre pays une stratégie et des tactiques". "Je ne l’aurais pas fait si je n’avais pas été juif", a poursuivi le philosophe. "Ce que je vous dis là, je l’ai dit à Tripoli, à Benghazi, devant des foules arabes, je l’ai dit lors d’une allocution prononcée le 13 avril dernier sur la grand place de Benghazi devant 30.000 jeunes combattants représentatifs de toutes les tribus de Libye", a-t-il ajouté.


ALTERINFO - 21/11/11

Vive la guerre sioniste des Sarko et BHL (vidéo marrante 1’51’’) :

http://mai68.org/spip/spip.php?article2513

 

 Source : http://mai68.org/spip/spip.php?article3466

 

BHL assassine la vérité et vend du mensonge

Boïcott de son bouquin de merde

 

http://panier-de-crabes.over-blog.com/article-libye-bhl-s-est-engage-en-tant-que-juif-89426678.html

 

 

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La vérité si je mens : BHL nous dit pourquoi il a fait bombarder la Libye..
« C’est en tant que juif que j’ai participé à cette aventure politique, que j’ai contribué à définir des fronts militants, que j’ai contribué à élaborer pour mon pays et un autre pays une stratégie et des tactiques. »
Cette déclaration (pour une fois) bouleversante d’authenticité a été faite le 20 novembre à Paris par Bernard-Henri Lévy à propos de la Libye devant la « convention nationale » du Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF). « Mon pays » et « l’autre pays » ne désignent pas Israël et les Etats-Unis, comme on serait très tenté de le croire, mais la France de Sarkozy et la Libye. La Libye que BHL s’est suffisamment vanté d’avoir fait bombarder sur un simple coup de fil à Sarkozy, et par-dessus le crâne chauve et le cerveau atlantiste d’Alain Juppé.
Donc, qu’on se le dise, si BHL a déchaîné, tel le dieu de l’Ancien Testament, la foudre de l’OTAN sur les Libyens, attisant la guerre civile et installant au pouvoir des radicaux islamistes, c’est pour des raisons communautaires : « Je ne l’aurais pas fait si je n’avais pas été juif ». Décidément, avec BHL, les fantasmes antisémites seraient tentés de prendre corps, et sans doute l’homme fait-il plus de mal à la cause qu’il prétend défendre que toutes les exactions et injustices passées, présentes et à venir du gouvernement Netanayahou.
A ce sujet, on doit reconnaître au personnage, si détestable ou méprisable soit-il, d’incarner un archétype – ou une caricature – commode à appréhender, et à décrédibiliser : histrion médiatique, plagiaire littéraire, faussaire historique, fauteur de guerre, plus américain – ou new-yorkais – que pas mal d’Américains, plus sioniste que nombre d’Israéliens, arrogant, valet des puissances d’argent et des puissances géopolitiques – allez, on s’arrête là – BHL est un ennemi de rêve, presque trop évident. Et c’est une bénédiction – d’un genre certes particulier – que ce monsieur ait pris – ou tenté de prendre – sous son aile l’opposition syrienne exilée, la transformant illico en piétaille américano-sioniste ou, pire, en phénomène mondain : cf la malheureuse Lama Atassi posant à côté de Jane Birkin sur le site « Pure People« . S’il n’avait que des ennemis de ce genre, le président Bachar pourrait dormir tranquille, même en journée.
De Lawrence d’Arabie à Michel Audiard
A la liste des qualités de l’individu, il faut quand même ajouter celle de mythomane : devant le CRIF, Bernard-Henri Lévy, saisi peut-être par une sorte d’ivresse des cimes, a osé dire : « Ce que je vous dis là, je l’ai dit à Tripoli, à Bengazi, devant des foules arabes, je l’ai dit lors d’une allocution prononcée le 13 avril dernier sur la grand-place de Benghazi devant 30 000 jeunes combattants représentatifs de toutes les tribus de Libye ». Ben voyons ! BHL faisant de la retape pour Israël devant un public à très forte coloration islamiste, au milieu de leaders fondamentalistes admirateurs d’Oussama ben Laden, c’est l’évidence même ! (mais peut-être l’interprète a-t-il eu, à ce moment, des « difficultés » de traduction…) Quand on songe que même Sarkozy, lors de sa parade express à Tripoli, a fait tenir cet histrion à distance des micros, des caméras et de lui-même, sa garde rapprochée le refoulant à deux reprises et sans ménagement ! Au fait, le regretté Michel Audiard avait, en d’autres temps, fait dire à un de ses personnages : « Ca ose tout les cons, c’est même à ça qu’on les reconnaît ! »
Naturellement, ce qui a valu pour la Libye vaut toujours pour la Syrie, du point de vue « BHLien ». Avis aux amateurs de l’opposition syrienne : pour un BHL, un Arabe sera toujours un figurant. Ou, pour reprendre une formulation de Lénine, un « idiot utile« .
Imposture dans l’imposture, en quelque sorte, la « convention » du CRIF portait entre autres, sur les « défis communautaires » : on peut dire à cet égard que BHL est un défi à lui tout seul!
 
Un philosophe combattant s'expose à bien des dangers. Au fait, il ne s'est pas trouvé un seul islamiste libyen pour entarter BHL... ?
Un philosophe combattant s'expose à bien des dangers. Au fait, il ne s'est pas trouvé un seul islamiste libyen pour entarter BHL... ?
http://www.alterinfo.net/La-verite-si-je-mens-BHL-nous-dit-pourquoi-il-a-fait-bombarder-la-Libye_a66906.html
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21 novembre 2011 1 21 /11 /novembre /2011 15:42

Laissez DSK en paix ! Pour le psychiatre et addictologue Philippe Batel, il faut impérativement laisser à l'ancien favori des sondages l’espace psychique suffisant et rédempteur pour amorcer son titanesque rétablissement.

Le 29 septembre 2011, à Paris. REUTERS/Gonzalo Fuentes

- Le 29 septembre 2011, à Paris. REUTERS/Gonzalo Fuentes -

L’opinion publique a des addictions une image ambiguë, souvent exécrable. Ces troubles auto-infligés sont presque toujours perçus comme des phénomènes incompréhensibles. Ils ne répondent pas au modèle habituel d’une «maladie».

Avec les addictions, rien n’est simple. On les considère (trop souvent) comme une marque de faiblesse, un manque de volonté, un travers plus ou moins pervers, une débauche manifestement immorale. De ce fait, on refuse de les percevoir pour ce qu’elles sont avant toute chose: un grave dérèglement pathologique du comportement.

Comment expliquer que cette folie de l’addiction puisse embarquer une personne  dans une course mortifère? Il lui faut entretenir, poursuivre et répéter une conduite pourvoyeuse de dommages croissants et désastreux sur son image, sa santé, son entourage, sa carrière, son destin, sa liberté; un parcours qui engage jusqu’à sa survie.

Comment trouver une once d’empathie pour un tel sujet? Il semble ne rien entendre, enferré dans sa quête illusoire, monomaniaque et égoïste d’un plaisir qui ne vient plus et dont les dégâts collatéraux s’accumulent inexorablement, toujours plus inacceptables et intolérables de promesses déçues.

Les anorexies mentales effraient quand elles ne suscitent pas la pitié. Les «troubles obsessionnels compulsifs» (TOCs) font rire et les obèses font sourire. Les hypertendus, eux, ne font rien. Les «addictés», eux aussi malades «auto-responsables», provoquent rarement autre chose que du mépris. Pourquoi?

L'addiction sexuelle ne peut susciter la compassion

Quant à l’addiction sexuelle, c’est à l’évidence la plus méprisable et la plus déniée des maladies addictives. Elle conjugue de manière sulfureuse le plaisir universel de la chair et la déviation comportementale. Elle ne peut pas susciter la compassion. Et ceci est encore plus vrai lorsqu’elle alimente, au fil des jours et durant des mois, un interminable feuilleton; un feuilleton avec son cortège de victimes, de constructions sordides et de réseaux douteux.

Dès lors que dire quand une addiction de cette nature se révèle au grand jour chez un puissant —un homme qui, un jour, séduit deux Français sur trois et qui, le lendemain, perd leur confiance à tout jamais—?

Poser la question, c’est s’interroger sur la manière dont la presse et les médias appréhendent la destitution, la mort politique du héros économique. Hier encore c’était le sauveur potentiel de la nation. C’est aujourd’hui un pervers en slip léopard, prédateur froid ou génie lubrique.

Depuis des mois, il s’est installé sur les écrans des Guignols de l’info. Il rappelle chaque jour à Dominique Strauss-Kahn qu’il ne peut désormais plus prétendre qu’à une présidence, celle du paysage audiovisuel français de la dérision.

La tenue léopard n’est pas tout, loin s’en faut. Il y a aussi la «débauche» dénoncée en Une par tel ou tel hebdomadaire ou «l’effarante» double vie révélée par un autre. Et puis toutes ces photographies parfaitement sélectionnées diffusant l’image d’un sexagénaire désormais voûté, mal rasé avec ses yeux mi-clos soulignés de poches blafardes.

Et  il faut aussi faire avec cette pulpeuse sexologue érigée experte de l’addiction sexuelle minaudant sur les plateaux télévisuels, narrant joyeusement des blagues potaches et grivoises. On se gausse bien sûr, on s’offusque, on vilipende.

Dans un tel concert, est-il illusoire d’imaginer se faire entendre? Peut-on, simplement, rappeler que dans cette ambulance carbonisée sur laquelle on défouraille à tout va se trouve un malade? Rappeler qu’il y a là un homme qui, comme tous ceux qui souffrent du même mal, a vraisemblablement juré mille et une fois, devant lui-même, qu’il allait changer; sans jusqu’ici y parvenir.

Ne tirez pas sur l'ambulance carbonisée

Contrairement à ce que l’on peut imaginer, ces malades sont souvent des époux piteux, des pères de famille rongés de honte pour l’ignominie qu’ils infligent aux leurs; des êtres flottants bien plus terrifiés que satisfaits par leurs pulsions incontrôlables.

Pourquoi dès lors s’acharner ainsi sur l’un d’entre eux? Pourquoi se délecter à le fantasmer en queutard triomphant, fier de son tableau de chasse, arrogant de toutes ses séductions?

Il faut rappeler ici une vérité médicale indiscutable, née de l’expérience. Sortir d’une addiction requiert trois conditions concomitantes: l’envisager parce que l’on constate enfin qu’elle est devenue nécessaire; avoir une estime de soit suffisante pour s’y aventurer; disposer d’une opportune quiétude pour pouvoir réaliser cette sortie.

Sauf à vouloir participer à sa mise à mort, les médias seraient bien inspirés de foutre la paix à DSK. Il faut impérativement lui laisser l’espace psychique suffisant et rédempteur pour amorcer son titanesque rétablissement.

Ajoutons pour finir, à l’attention de ceux qui en douteraient, que la médecine n’est pas aveugle. Il ne s’agit pas ici de vouloir taire ou disculper l’immoralité ainsi que les éventuelles infractions à la loi inhérentes à une histoire qui apparaît bien glauque.

Mais il est  plus qu’urgent de réaliser que les victimes les plus constantes de cette maladie de l’addiction sont les patients qui la portent. Faute de quoi, une fin tragique du feuilleton ne serait pas à exclure.

 

Philippe Batel

 

http://www.slate.fr/tribune/46467/laissez-dsk-en-paix

http://fr.news.yahoo.com/dsk-grand-malade-laissons-soigner-082254765.html

 


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