Attention, images très dures ! (eva)
Le spectacle de la lutte contre l'antisémitisme est la façade derrière laquelle le sionisme cache sa volonté de puissance. Il espère ainsi que personne n'osera contester sa prise de pouvoir ou son coup d'État sous peine de se faire traîter d'« antisémite ». On voit bien là que c'est le sionisme qui est le vrai terroriste !
Bonjour à toutes et à tous,
Histoire de dénoncer le spectacle de terrorisme islamiste et antisémite que le pouvoir a mis en scène, il est bon de lire quelques articles qui, bien qu'anciens et datés, sont pleinement d'actualité.
Car il est indispensable de bien comprendre que l'antisémitisme est le meilleur allié du sionisme, que c'est la raison pour laquelle le sionisme manipule l'antisémitisme, et qu'ainsi, c'est le sionisme qui est antisémite !
Il est par conséquent légitime de se poser la question : « Et si les attentats antisémites qui viennent d'avoir lieu en France avaient été commis ou commandités par le Mossad ou par des dirigeants sionistes ? »
En effet, souvenons-nous du faux antisémitisme du RER D ; souvenons-nous du Rabbin Fari, qui s'était poignardé lui-même pour accuser les Arabes ; souvenons-nous d'Alex Moïse, le chef du parti sioniste de France, qui a été condamné pour s'être envoyé à lui-même des lettres antisémites !
do
8 octobre 2012
http://mai68.org
L'ANTISÉMITISME EST LE MEILLEUR ALLIÉ DU SIONISME :
LE SIONISME MANIPULE L'ANTISÉMITISME :
http://www.mai68.org/journal/N64/1avril2002.htm
C'EST LE SIONISME QUI EST ANTISÉMITE :
http://www.mai68.org/journal/N65/9avril2002.htm
Le Hamas est manipulé par israël :
http://mai68.org/spip/spip.php?article4502
Al-Qaïda est une branche secrète de la CIA :
http://mai68.org/spip/spip.php?article1419
(Ses militants de base ne le savent bien sûr pas, mais l'islamisme est LE faux ennemi de l'impérialisme américain destiné à récupérer chez les Arabo-musulmans tout ce qui est vraiment contestataire. Al-Qaïda est la branche armée du faux ennemi de l'impérialisme américain.)
AQMI - Al-Qaïda au Maghreb appartient aux services secrets français (vidéos) :
http://mai68.org/spip/spip.php?article1372
Et si les attentats antisémites qui viennent d'avoir lieu en France avaient été commis ou commandités par le Mossad ?
Il faut savoir aussi que les sionistes se font les agents zélés du pouvoir et de l'impérialisme, et qu'ils ont parfois réussi à infiltrer certains milieux anarchistes :
http://mai68.org/spip/spip.php?article319
Le spectacle de la lutte contre l'antisémitisme est une façade derrière laquelle François Hollande cache sa volonté de promouvoir la domination sioniste.
François Hollande collabo du sionisme :
http://mai68.org/spip/spip.php?article4373
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Ou encore :
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Entendre la voix de Martin Buber:
Source des diapositives :
http://www.ism-france.org/news/images/Histoire_Israel.pps
Rudolf Bkouche et le CRIF…
Lire aussi :
« Le CRIF sait qu’il joue sur un amalgame qui fonctionne bien en Europe et particulièrement en France : toute critique d’Israël est un acte antisémite ». Rudolf Bkouche, membre de l’Union Juive Française pour la Paix, dénonce la prétention du CRIF de représenter l’ensemble des Juifs de France lorsqu’il promeut le sionisme et le refus d’une paix négociée. |
Lire :
Par Rudolf Bkouche
"Israël est devenu le refuge de tous les survivants du judaïsme européen. Mais c'est un étrange refuge. Il me semble parfois y voir comme une impasse ou un piège"
Isaac Deutscher
http://www.ujfp.org/modules/news/article.p
Fondamentalement, trois traits majeurs permettent de caractériser le sionisme politique : c’est une idéologie intégriste, raciste et colonialiste. Ces trois caractéristiques sont indiscutablement présentes dans la pensée et la pratique du sionisme politique (..)
Synthétiquement, l’intégrisme pourrait être défini comme l’utilisation de la religion ou plutôt son détournement à des fins politiques.
Les sionistes n’ont aucun souci de la vérité historique : si les mythes bibliques contribuent à justifier leur colonialisme, il leur reconnaîtront une valeur supra-légale. De ce flirt intéressé avec la religion juive, le sionisme politique puisera la légitimité de son entreprise coloniale et séduira tous les Juifs du monde dont l’attachement sincère à leur foi les porte à être moins regardants sur les intentions réelles du sionisme.
Le racisme que recèle le sionisme tient au fait qu’Israël repose sur un postulat de base : la dichotomie entre Juif et non-Juif. L’Etat d’Israël est un Etat juif et par suite les non-Juifs, quand bien même ils sont attachés à la Palestine depuis des millénaires, sont perçus au mieux comme des citoyens de seconde zone. Il faudra pour le législateur israélien recourir à des critères qui n’ont rien à envier aux lois de Nuremberg pour définir les Juifs ayant le droit de citoyenneté automatique en Israël. L’apartheid israélien.
Cet apartheid mis en place par les sionistes dès 1948 correspond à la vision sioniste de la société ; à leurs yeux, les Palestiniens sont des intrus en Israël et, s’ils sont tolérés c’est moyennant une discrimination juridique, économique et sociale que les observateurs les plus objectifs reconnaissent volontiers.
Dans la manière sioniste de traiter les Palestiniens affleure le mépris racial : femmes, enfants et vieillards sont abattus sans discernement comme s’il s’agissait de sous-hommes dont la vie ne pèse pas devant les intérêts du grand Israël. Le confinement dans des ghettos, les punitions collectives, le traitement humiliant réservé aux travailleurs palestiniens sont les illustrations d’un racisme au quotidien que les sionistes pratiquent sans vergogne.
Qu’est-ce que le sionisme, sinon une aventure colonialiste qui a réussi ? Rampante au début du 20ème siècle, la colonisation s’accélère avec la création de l’Etat d’Israël. Lors de la déclaration Balfour, les immigrants juifs occupent 2,5 e la terre palestinienne ; aujourd’hui 93 e celle-ci est sous leur contrôle.
Toute entreprise coloniale se fonde sur la violence : les sionistes se dotent dès les années 30 d’organisations terroristes telles l’Irgoun et Stern dont le but est de semer la peur chez les Arabes : Deir Yassin occupe le haut d’une liste de crimes qui ne cesse de s’allonger depuis 1948.
Le colonialisme est l’essence même du sionisme : non contents d’avoir spolié un peuple pour les remplacer par des Allemands, des Russes, des Polonais, des Éthiopiens etc, ils poursuivent une politique d’implantation dans les territoires occupés depuis 1967. Le sionisme est la parfaite illustration de l’esprit colon qui considère que sa supériorité intrinsèque légitime l’asservissement des autres.
L’antisémitisme européen, longtemps purement littéraire, allait prendre avec le nazisme une tournure tragique ; la persécution des Juifs culmine avec les camps de concentration. Quand l’Europe se réveille de cette folie criminelle, elle n’a qu’un souci : réparer sa faute même au prix d’une nouvelle injustice. Vis-à-vis des Palestiniens, pour paraphraser le mot célèbre de Talleyrand, ce fut “ plus qu’un crime, une faute ”.
C’est peu dire que “ la Shoah ” est une aubaine pour les sionistes : ils tiennent désormais l’argument-massue de leur politique : un Etat s’impose pour leur peuple martyrisé. Le calvaire des Juifs d’Europe est exploité jusqu’à la dernière corde : films, documentaires, conférences, manifestations diverses se succèdent pour maintenir en éveil la mauvaise conscience européenne.
La souffrance aurait suscité la compassion pour la souffrance des autres ; les sionistes ont réussi ce tour de force de la convertir en volonté d’oppression ; seule une idéologie insane et corrompue pouvait parvenir à un si lamentable résultat. Force est de considérer que les sionistes sont indignes de l’héritage de la “ Shoah ”.
Le bilan des sionistes est consternant : Arabes et Juifs s’entretuent depuis plus de cinquante ans, plus d’un millénaire de coexistence et de complicité culturelle entre ces deux peuples sémites sont anéantis.
Ceux qui s’éreintent à justifier le sionisme en l’expliquant à “ nos potes ” perdent leur temps ; les potes ouvrent la télé tous les jours et se rendent compte que le sionisme est une idéologie abjecte qui, en plein 21ème siècle, nous inflige le spectacle désolant du racisme et du colonialisme ; tant qu’Israël se réclamera du sionisme, elle sera, pour reprendre une expression à la mode, le parfait exemple de l’Etat-voyou.
Israël est un régime d’apartheid ; il ne tombera probablement pas sous le poids de la force mais sous celui de l’opprobre international comme ce fut le cas de l’Afrique du Sud. (..)
*Shoah : L’Holocauste en hébreu.
Sources : Lien vers http://www.realites.com.tn/index1.php?mag=1&cat=/5ECONOMIE/1Congrès de la C.O.E.C&art=6693&a=detail1>
A visage découvert.
Par le Docteur Ali MANJOUR.
Dix jours après le début de l’attaque américano-britannique contre l’Irak (le 20 -3 -2003), le Comité des affaires publiques israélo-américain (l’AIPAC : American Israël Public Affaires Commitee) a tenu son 44ème Congrès politique à l’Hôtel Hilton de Washington. Hasard bien significatif lorsqu’on sait que les débats ont concerné aussi bien la guerre contre l’Irak que le remodelage du Proche-Orient selon les vœux des extrémistes sionistes en Israël et…outre Atlantique.
Devant un parterre composé des plus éminents décideurs de la politique américaine, Colin Powell, Condolezza Rice, John Bolson, William Burns…et les sénateurs et membres du Congrès les plus influents tel Tom Lantos (Sénateur démocrate de Californie) et Tom Delay (président du groupe parlementaire républicain à la Chambre) à qui – et pour l’occasion – le prix “ Amis d’Israël ” a été décerné et à la suite de cela il a été félicité par ses amis présents : Ariel Sharon, Benjamin Netanyahu, Elliot Abrams, Paul Wolfowitz et Rudolph Giuciani, tous Juifs sionistes.
Les débats ont été ouverts par l’évangéliste Gary Bauer : “ Dieu a donné la terre au peuple juif, nul, ni l’ONU, ni l’Union Européenne, ni la Russie ni quelque Quartet ou Trio que ce soit ne peut décider pour cette terre qui ne leur appartient pas ”. Et de continuer : “ Il est obscène que l’Administration Bush exige des efforts supplémentaires du peuple d’Israël pour obtenir la paix ”(2).
Drôle d’ouverture des débats annonçant la couleur du Congrès et traçant la lignée politique à suivre dans un pays qui ne cesse de donner des leçons aux autres par la dénonciation systématique de l’intrusion du religieux dans les décisions politiques —surtout celles se rapportant aux relations internationales—, phénomène ne pouvant qu’aboutir à l’enraidissement et à l’ankylose de ces derniers.
Emboîtant le pas au fondamentaliste Gary Bauer, le ministre israélien des Affaires étrangères, Sylvan Shalom, a, d‘abord souligné dans son allocution la communauté de vue entre Tel Aviv et Washington en regrettant qu’Israël ne siège pas au Conseil de Sécurité “ pour soutenir fermement la guerre contre l’Irak. Ensuite, et dans le but de rappeler l’héritage religieux commun – aux Chrétiens et aux Juifs –, il a cité le prophète Jérémie en assimilant le bombardement de Bagdad au châtiment de Dieu contre Babylone (3).
Comme tout congrès de ce genre, la mobilisation doit être impeccable. Ainsi, à l’extérieur de la salle, l’association “ Debout pour Israël ” (Stand for Israël) a organisé une manifestation regroupant des Pasteurs protestants à titre de soutenir à l’AIPAC. D’autres associations (telle que “ Chrétiens sionistes ”) composées essentiellement des Baptistes du Sud ainsi que des cadres de l’Eglise de l’Unification du Révérend Moon, ont apporté leur soutien à la manifestation politico-religieuse.
Quant au récipiendaire du prix “ Amis d’Israël ”, Tom Delay, personnalité la plus influente au congrès, il a appuyé la thèse fondamentaliste en rappelant que “ la Bible, lorsqu’elle parle d’Israël, désigne l’Etat d’Israël et que, dès lors, le soutien personnel à cet Etat est un acte de foi qui ne souffre aucun compromis (4).
L’organisation de cette assemblée était cette fois si empreinte de marque religieuse qu’une bénédiction a été donnée par la figure représentative de la droite religieuse, l’Attorney general (Ministre de la Justice) John Ashroft, avec à ses côtés le rabbin Yechiel Eckstein et le mentor des fondamentalistes protestants Jerry Fallwell.
En se basant sur une lecture littérale de la Bible, héritage commun aux Juifs et aux Chrétiens, les participants n’ont pas manqué de faire état d’une communion certaine dans un même acte de foi. Dans une même religiosité.
Quoi de plus clair pour répondre à tous ceux qui croient que le sionisme – c’est-à-dire la colonisation de peuplement de la Palestine et la domination du monde musulman – n’est pas uniquement d’essence juive. Nier le sionisme chrétien, tant sur le plan religieux que politique, relève de la malhonnêteté intellectuelle ou de l’ignorance totale de la question. Comme le souligne parfaitement Thom Saint Pierre : “ La plupart des Chrétiens sionistes estiment qu’à la bataille d’Armagedon, les Juifs devront reconnaître Jésus comme Christ ou être précipités aux enfers. De leur côté, les Juifs sionistes considèrent que cette divergence de vue ne s’exprimera qu’à la fin des temps et que pour le moment, tout soutien pour Israël est bon à prendre. Les stratèges du “ clash des civilisations ” se satisfont pleinement de cette fusion intellectuelle pourvu que se constitue une alliance contre le Monde musulman (5).
L’arrivée de G.W. Bush au pouvoir, grâce à la coalition des Néo-conservateurs avec les fondamentalistes chrétiens, a scellé davantage les liens entre les Juifs sionistes et les Chrétiens sionistes. Depuis, ces derniers, se sentant forts du soutien présidentiel, n’ont cessé d’agir à visage découvert avec combien d’arrogance et de provocation à l’encontre du monde musulman.
SUITE DEUXIEME PARTIE Lien vers http://sionisme.populus.ch/rub/3>
Sources : Lien vers http://www.realites.com.tn/index1.php?mag=1&cat=/10025555550000550000000IRAK/1La résistance du peuple&art=9833&a=detail1>
Publié le8 Septembre 2012