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22 septembre 2009 2 22 /09 /septembre /2009 12:06
http://www.santeglobale.info/tal/components/com_virtuemart/shop_image/product/0bdc81ff750d49eb811c576526158c51.jpghttp://www.fluscam.com/Affidavit.html

Vaccinations génocide

Où l'on re-entend parler de Lary Silverstein  ce nom vous dit quelque chose ? Il était le bailleur du WTC, il avait -pour la petite histoire- touché 2 fois la prime d'assurance pour les 2 tours du WTC, ayant pu prouver qu'il s'agissait de 2 attentats distincts; Il a fait tomber (par démolition contrôlée) ce même 9 sept. la tour WTC7 (env. 50 étages). La vidéo où il dit avoir organisé ceci est encore visible sur Youtube.

http://www.youtube.com/watch?v=EtPC0W4HII8&NR=1&feature=fvwp

COMMUNIQUÉ DE PRESSE NEWS RELEASE 

(Traduction "à la louche")  



AVERTISSEMENT : le Cartel de Médicament la Création Exposée, la Libération, le fait d'Injecter, le fait d'Infecter et le fait de Dépeupler la Planète avec les Virus de Grippe de Cochon de H1N1 Pandémiques et les VaccinsWARNING:


Drug Cartel Exposed Creating, Releasing, Injecting, Infecting, and Depopulating Planet with Pandemic H1N1 Swine Flu Viruses and Vaccines


Los Angeles, le Monde de CA-de principaux investigateurs d'industrie du médicament ont dévoilé des documents étourdissants prouvant un anneau de médicament international, opérant de New York, est derrière l'effroi de grippe de cochon H1N1 et les préparations de vaccination.


Los Angeles, CA— World leading drug-industry investigators have uncovered stunning documents proving an international drug ring, operating from New York City, is behind the H1N1 swine flu fright and vaccination preparations.


Dr Leonard G. Horowitz, le principal expert de santé des consommateurs de l'Amérique et Sherri Kane, un journaliste d'investigation, ont libéré la preuve consternante dans les affidavits juridiques que les chefs d'une biotechnologie globale privée "la confiance" sont derrière tout que vous entendiez jamais de la grippe pandémique, en incluant son origine et avez allégué la prévention via la vaccination. Leurs documents, étant envoyés par les avocats à la Police judiciaire fédérale aujourd'hui, l'évidence les industriels vigoureux faisant marcher un anneau de crime dans "l'Association pour New York” sont derrière la création de la pandémie, les persuasions de média, les préparations de vaccination et le fonctionnaire de santé les promotions vues partout des supermarchés aux cliniques de santé.


Dr. Leonard G. Horowitz, America’s leading consumer health expert, and Sherri Kane, an investigative journalist, have released shocking proof in legal affidavits that leaders of a private global biotechnology “trust” are behind everything you ever heard about pandemic flu, including its origin and alleged prevention via vaccination. Their documents, being sent through attorneys to the FBI today, evidence powerful industrialists operating a crime ring within “Partnership for New York City” are behind the pandemic’s creation, media persuasions, vaccination preparations, and health official promotions seen everywhere from supermarkets to health clinics.

 


“La confiance de David Rockefeller, qui retient plusieurs partenaires vigoureux sur Wall Street, en incluant des Moghols de média Rupert Murdock, Morton Zuckerman, Thomas Glocer et un ancien Président du Conseil d'administration de la Banque de Réserve fédérale de New York, Jerry Speyer,” est impliquée dans l'avancement du génocide global,” Dr Horowitz a écrit aux directeurs de Police judiciaire fédérale, par une équipe d'avocats rassemblés pour arrêter les vaccins de grippe de cochon d'être donné.

 

“David Rockefeller’s trust, that engages several powerful partners on Wall Street, including media moguls Rupert Murdock, Morton Zuckerman, Thomas Glocer, and former Chairman of the Board of Directors of the Federal Reserve Bank of New York, Jerry Speyer,” are implicated in advancing global genocide,” Dr. Horowitz wrote to FBI directors, through a team of attorneys assembled to stop the swine flu vaccines from being given.


“Cette 'association' contrôle la recherche de biotechnologie et le développement globalement. Le commerce de santé est aussi contrôlé mondialement pratiquement entièrement par cette confiance qui fait de l'exercice près du contrôle complet sur les média traditionnels pour promouvoir/faire de la propagande ses produits et services pour le crime organisé du cartel de médicament. Cette confiance, essentiellement, fait ou casse des marchés curatifs médicaux et naturels, essentiellement par les compagnies de médias et la propagande qu'elle brandit pour l'ingénierie sociale et le bâtiment du marché,” a écrit Dr Horowitz.


“This ‘partnership’ controls biotechnology research and development globally. Health commerce internationally is also controlled virtually entirely by this trust that exercises near complete control over mainstream media to promote/propagandize its products and services for the drug cartel's organized crime. This trust, in essence, makes or breaks medical and natural healing markets, primarily through the mass media companies and propaganda it wields for social engineering and market building,” Dr. Horowitz wrote.


Parmi les révélations les plus étourdissantes de Horowitz-Kane la recherche sont ceux qui relient Larry Silverstein  of Silverstein Properties, Inc. et les 9-11 attaques des terroristes, au cartel de médicament géopolitique, économique et les activités de réduction démographiques. M. Silverstein, le locataire à bail du Centre de Commerce International qui a autorisé pour avoir le bâtiment 7 "tiré", en voulant dire fait exploser, est un suspect en chef dans la "9-11 vérité” l'enquête. Silverstein est actuellement le propriétaire et le
co-partenaire dans la confiance de biotechnologie fondée par David Rockefeller et impliqué par ces nouvelles découvertes.

 

Among the most stunning revelations from the Horowitz-Kane research are those linking Larry Silverstein of Silverstein Properties, Inc., and the 9-11 terrorist attacks, to the drug cartel’s geopolitical, economic, and population reduction activities. Mr. Silverstein, leaser of the World Trade Center who authorized to have building 7 “pulled,” meaning detonated, is a chief suspect in the “9-11 truth” investigation. Silverstein is currently landlord and co-partner in the biotechnology trust founded by David Rockefeller and implicated by these new discoveries.


Si ces gens peuvent échapper au meurtre de plus de 3 000 personnes dans 8 secondes sur 9-11, ils sont complètement capables d'assassiner des millions, même des milliards, des gens dans le monde entier cette saison de grippe,” a fait des remarques Dr Horowitz. “Je prie ces révélations sauveront des millions de vies et aideront des activistes à demander à Président Barack Obama à demander des investigations légitimes dans ces atrocités génocides.


“If these people can get away with killing more than 3,000 people in 8 seconds on 9-11, they are completely capable of murdering millions, even billions, of people worldwide this flu season,” Dr. Horowitz commented. “I pray these revelations will save millions of lives and help activists call upon President Barack Obama to demand legitimate inquiries into these genocidal atrocities.


Étant donné la nature sans précédent et l'urgence de ces conclusions, Dr Horowitz a posté son affidavit pour la révision publique sur FLUscam.com, en priant d'autre activiste étendra les renseignements pour inciter des gouvernements dans le monde entier à cesser des préparations de vaccination de masse pour éviter de devenir des accessoires au crime de génocide.


Given the unprecedented nature and urgency of these findings, Dr. Horowitz has posted his affidavit for public review on FLUscam.com, praying other activist will spread the information in order to prompt governments worldwide to cease mass vaccination preparations to avoid becoming accessories to the crime of genocide.


- Fin -


-End-



Notez aux Journalistes
: Pour les interviews avec les investigateurs Horowitz et Kane, contactez s'il vous plaît Volent le Potier à 949-715-2217, ou l'e-mail :
info@healthyworldorganization.org. Le ROULEAU DE PAPIER EN BAS POUR LIRE L'AFFIDAVIT.



Groupe d'Édition de TétraèdreTetrahedron Publishing Group

Les Communications de Science de Santé pour les Gens Autour du mondeHealth Science Communications for People Around the World

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21 septembre 2009 1 21 /09 /septembre /2009 01:56


Pure folie ou signe de défense, il suffit de taper dans google Jane Burgermeister pour voir en première position le site hoaxbuster qui se disqualifie totalement sur un sujet pourtant très documenté, et le fait régulièrement remonter sans prendre position. Est-ce au dessus de leurs ressources, en trois clics de voir qu'existent site régulièrement mis à jour et vidéos régulièrement renouvelées sur dailymotion ? Ainsi de celle-ci, déjà postée, et que vient confirmer cet article de 20 minutes qui nous informe qu'en dépit de la méfiance des médecins à l'endroit du vaccin la ministre veut vacciner toute la population. Quand on repense aux propos tenus par le Docteur Girard...on ne peut que se dire "oui, vraiment, de mieux en mieux"...ou de pire en pire, tant le non respect de la parole de plus compétent est manifeste. Pour mémoire, il y a impunité des labo en cas de problème depuis 2007, du fait de l'article L3110-3 du Code de la Santé Publique.

Vidéos

http://www.les-attentats-du-11-septembre-vus-par-une-conspirationniste.com/article-36318894.html



Grippe H1N1: Roselyne Bachelot se veut rassurante sur les vaccins

Grippe A (H1N1): Le ministère de la santé refuse de confirmer la liste des populations à vacciner en prioritéCréé le 20.09.09

Il n'y aura pas suffisamment de vaccins contre la grippe A (H1N1) dans les prochains mois.
Il n'y aura pas suffisamment de vaccins contre la grippe A (H1N1) dans les prochains mois./F. LENOIR / REUTERS

SANTE - La ministre planche sur une vaccination totale de la population...

Deux comportements contradictoires. Alors que les médecins semblent confiants face à la pandémie de grippe H1N1 (voir encadré), la ministre de la Santé Roselyne Bachelot accélère la campagne de vaccination en France.

«Je veux protéger mes concitoyens face à une menace sérieuse. Donc je proposerai au Premier ministre et au président de la République une stratégie vaccinale qui sera appuyée sur les avis du Haut conseil de la santé publique, a-t-elle expliqué dimanche devant Le grand jury RTL/Le Figaro/LCI. Nous sommes en train de nous préparer à vacciner l'ensemble de la population, à travers des centres de vaccination, selon les ordres de priorités qui ont été fixés en toute sécurité». 

Calendrier

«Les premières AMM (délivrance d'autorisation de mise sur le marché) pourraient avoir lieu début octobre», a-t-elle ajouté en faisant cependant état de d'«incertitudes» notamment sur le «rendement du vaccin» et la possibilité d'avoir «un peu moins de vaccin au début». Fin août, la directrice de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), Margaret Chan, soulignant que les labos ne pouvaient produire suffisamment de vaccins pour l'ensamble de la population mondiale.

Surles 103.000 cas de grippe observés en une semaine en France métropolitaine, d'après le bulletin épidémiologique publié mercredi, «on estime que près de 80% sont dus à la grippe H1N1 (pandémique) qui devient le premier virus qui circule de la grippe. D'autant que dans notre pays, l'épidémie de grippe saisonnière n'a pas commencé», a souligne Roselyne Bachelot.

Et de rassurer sur la qualité des vaccins: «Nous ne vaccinerons qu'avec des vaccins qui auront subi tous les tests, qui auront subi la procédure d'AMM, d'autorisation de mise sur le marché. Nous avons évidemment des vaccins parfaitement testés pour leur efficacité et pour leur innocuité».

Avec agence
Seul un médecin libéral sur 2 veut se faire vacciner

Selon un sondage à paraître lundi par le Quotidien du médecin, seuls 10% des médecins interrogés se disent inquiets devant l’épidémie. Cette confiance se retrouve dans la volonté de se soumettre, ou non, à la vaccination. Seul un médecin libéral sur deux se dit prêt à se faire vacciner malgré le risque de contamination pris en soignant un patient. Sur les 255 médecins généralistes interrogés pour ce sondage, qui a également sollicité 147 spécialistes, 36% avaient déjà eu à soigner un ou plusieurs patients atteints de cette grippe.

 

Source



http://www.20minutes.fr/article/345315/France-Grippe-A-H1N1-Le-ministere-de-la-sante-refuse-de-confirmer-la-liste-des-populations-a-vacciner-en-priorite.php


Commentaire :


Moi aussi, comme kighafarz29, je suis très en colère car on a fait disparaître un post que j'ai envoyé hier sur l'article:" grippe A(H1N1) : le ministère de la santé refuse de confirmer la lite des populations à vacciner en priorité " ou je faisais part de mes inquiétudes concernant la vaccination des femmes enceintes. Comme je pense qu'il est important de réfléchir à ce problème de santé publique, je vous recopie le message "disparu", si l'on veut bien encore me laisser ma liberté d'expression :
Je suis effarée de voir et d'entendre à tout va dans les médias que l'on va vacciner les femmes enceintes...Une première !...La grossesse a toujours été une contre-indication majeure à la vaccination car potentiellement dangereuse pour l'enfant. Comment expliquer que l'on conseille aux femmes enceintes de demandre l'avis de leur médecin traitant avant d'avaler le moindre comprimé et que là, on soit prêt à les vacciner (et à vacciner par la même occasion l'enfant qu'elles portent)? On va donc injecter à des foetus un virus (qui même atténué reste un virus) ainsi que le cocktail de métaux lourds (aluminium, mercure...)et autres "sympathiques" substances présentes dans. tout vaccin. Que vont devenir ces enfants ? ( s'ils naissent...car il risque d'y avoir plus de fausses couches...) C'est très inquiétant, pour ne pas dire criminel !


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20 septembre 2009 7 20 /09 /septembre /2009 12:51
                                                   


Même certains reportages passant sur les TVs officielles
maintenant, commencent à le dire:

Dangers confirmés du vaccin H1N1,
et gros profits à la clef!


Vidéo spéciale à l'attention de toutes les femmes enceintes...

A toutes les mères, à tous les pères:


Protégez vos enfants d'un poison bien pire

que la grippe elle-même!


Attention!: Mercure poison dans les vaccins!


Et notamment dans le vaccin anti-grippe H1N1!

 

Un médecin conscient le dit clairement:


"Je ne pourrai jamais conseiller à une femme enceinte

un vaccin qui contienne du mercure!!!"

0

Or le vaccin anti H1N1, qui contient du mercure,

est précisément destiné, en premier lieu,

aux ... femmes enceintes!!!


Allez voir quelques autres vidéos sur les vaccins en général,

et vous comprendrez vite...

comme, du reste, tout un chacun qui s'en donne la peine

peut facilement le comprendre...

0

VIDEO



Curieusement, les vaccinateurs, pour justifier leur folie,
invoquent, pour une fois, le célèbre "principe de précaution"!

 Il leur reste juste à appliquer ce fameux principe de précaution ...
au vaccin lui-même!!!!

Mêmes les infirmières (pas folles, les guêpes!),
trop souvent aveuglément soumises
au système médical,
dont elles sont l'un des rouages officiels,
enfin, se rebellent:

63 % des infirmières refusent le vaccin
pour elles-mêmes!

Pas évident dans ces conditions,
de convaincre, en conscience, leurs patients
que le vaccin soit une bonne chose pour eux
!

Pour que la proportion des refuseurs du vaccin
soit plus grande que la proportion des moutons soumis,
intensifions l'information autour de nous
!!!
0
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20 septembre 2009 7 20 /09 /septembre /2009 09:11

Mondialisation.ca


Des milliers de jeunes filles ont subi des effets indésirables attribués à la vaccination controversée contre le cancer du col de l'utérus que le gouvernement a fait adopter.

 

Des rapports médicaux montrent que des filles de 12 et 13 ans ont eu des convulsions, de la fièvre et des paralysies après la vaccination, qui est désormais administrée dans les écoles dans le cadre des mesures visant à empêcher les femmes de développer le cancer.

 

Selon un rapport spécial établi par les organismes de contrôle de l’innocuité des médicaments, d'autres jeunes filles ont souffert de nausées, de faiblesse musculaire, de vertiges et d’une vision floue.

 

Un groupe de soutien affirme avoir reçu des douzaines d'appels de parents qui pensent que leur fille a subi des préjudices dus au vaccin.

 

Les parents d'une adolescente vaccinée l'automne dernier pensent que c'est à l'origine d’attaques répétées qui l'ont laissée avec des lésions cérébrales et une psychose.

 

Le programme de vaccination des adolescentes est controversé car il les protège contre le virus du papillome humain transmis sexuellement qui provoque 70 pour cent des tumeurs du col de l'utérus.

 

Quand le gouvernement a fait adopter le programme de vaccination Cervarix l'an dernier, certains militants l’ont surnommé la « piqûre de promiscuité sexuelle. »

 

Les militants et les familles disent que les nouveaux chiffres montrent que la vaccination n’aurait pas dû être introduite par l’intermédiaire d’un programme de masse.

 

Plus d'un million de jeunes filles ont déjà eu la piqûre, qui est proposée à toutes à leur entrée dans l'adolescence.

 

La piqûre sera également administrée aux filles plus âgées jusqu’à 2011, de sorte que le programme devrait s’étendre à toutes les adolescentes de moins de 18 ans.

 

Les ministres disent qu'en définitive ce plan permettra de sauver 700 vies par an, pendant que les experts en sécurité sanitaire maintiennent que le nombre de réactions suspectes est compensé par les avantages de la piqûre.

 

Dans les 2.000 réactions suspectes enregistrées par la Regulatory Agency (MHRA), l’organisme de surveillance des médicaments et des produits de soins de santé, la plupart étaient anodines, avec des dizaines d’enregistrements de jeunes filles affectées d’éruptions cutanées, de douleurs dans le bras, et d’allergies.

 

Mais le rapport préparé par le MHRA plus tôt ce mois-ci révèle aussi des cas d’adolescentes qui, peu après avoir reçu la piqûre, souffraient de convulsions, de révulsion des yeux, de spasmes musculaires, d’attaques et d’hyperventilation.

 

L'analyse établie ce mois-ci par la MHRA a trouvé que 2107 patientes ont signalé une sorte de réaction indésirable attribuée au Cervarix. Plusieurs ont des réactions multiples. 4.602 effets secondaires attribués au Cervarix ont été enregistrés au total.

 

Jackie Fletcher, la fondatrice de Jabs, un groupe de soutien aux familles dont les enfants sont tombés malades après la vaccination, a dit avoir reçu des douzaines d'appels de parents qui pensaient que leur fille avait été lésée par le vaccin contre le cancer du col utérin. Elle a déclaré :

Nous avons parlé à des parents dont les filles ont eu des convulsions, des paralysies, des troubles de la vision, des maux de tête graves et des pertes de sensibilité dans certaines parties du corps.

 

Les médecins essaieront de persuader les parents que ces problèmes sont dans l’imagination de leur enfant, ou qu’ils n'ont rien à voir avec le vaccin, mais nous pensons qu'il n’y a pas assez de preuves montrant l’innocuité du Cervarix.

 

Les experts en sécurité sanitaire maintiennent que les avantages du vaccin l'emportent sur les risques. [1]

 

Ils disent que beaucoup de patientes qui ont souffert d’un effet « indésirable » à la piqûre depuis avril 2008, y compris certaines qui ont participé aux tests du vaccin ou l’ont acheté en privé, n'ont subi que des effets secondaires de courte durée provenant du processus de l'injection et non pas du résultat du vaccin.

 

Le rapport du régulateur dit qu’il n'y a aucun indice suggérant que « des cas isolés d'autres conditions médicales » aient été effectivement induites par le vaccin, et ne sont pas simplement une coïncidence.

 

Les institutions caritatives pour le cancer ont exhorté les parents à continuer à autoriser leurs filles à se faire vacciner, affirmant que les chiffres étaient bien dans les limites de ce que l’on attendrait d’un programme à grande échelle, et que la plupart des effets secondaires sont mineurs.

 

Robert Music, le directeur de Jo's Trust, l’institution caritative pour le cancer du col cervical, a déclaré :

Je peux comprendre pourquoi les parents se sentent circonspects, mais ce programme pourrait réduire de 70 pour cent des cancers du col de l'utérus.

 

Nous devons continuer à examiner les indices, mais nous incitons vraiment les parents à s'assurer que leurs filles se fassent vacciner.

 

Stacey Jones est l'une de celles qui pensent avoir subi des effets secondaires du vaccin. Elle avait 17 ans au moment de sa première injection de Cervarix.

 

Ses parents, Julie et John Kerry, de Bilston dans le West Midlands, ont remarqué qu'elle devenait de plus en plus émotive dans les semaines suivant les deux premières piqûres, mais qu'ils craignaient que leur insouciante jeune fille ait finalement succombé à des sautes d’humeur d’adolescente.

 

Dans les quatre jours suivant la troisième injection, en mars de cette année, Stacey a souffert d’une crise d'épilepsie suivie de 17 autres dans la semaine suivante.

 

Elle est maintenant diagnostiquée avec une lésion cérébrale, due à une inflammation du cerveau, et est traitée dans une unité de réadaptation du Service national de santé de Birmingham, ce qui l’aide pour les tâches ordinaires comme faire un sandwich.

 

Ses crises sont minimisées par cinq types de médicaments, mais sa mémoire est trop endommagée. [2]

 

La famille n’a pas donné d’explication concernant la façon dont les lésions sont survenues. Mme Jones, 44 ans, a déclaré :

Elle était si belle, une fille insouciante, maintenant ce n'est plus qu'une coquille vide.

 

Quand nous allons la voir, elle ne peut pas se rappeler ce qu'elle vient juste de manger pour le thé. L'impact sur elle, et nous tous a été absolument dévastateur. Je crois qu'elle a servi de cobaye.

 

Un porte-parole de GlaxoSmithKline, qui fabrique le Cervarix, a déclaré que le vaccin a dû subir des tests rigoureux, plus de 70.000 doses ayant été utilisées dans les essais avant que l’autorisation soit accordée [3]. Il a déclaré :

 

L’organisme de sécurité sanitaire britannique a passé en revue tous les effets indésirables pertinents signalés avec le Cervarix et il n'y a aucun indice suggérant que ce vaccin entraîne des effets secondaires à de longue durée.

 

Les symptômes que cette jeune fille a connu sont évidemment affligeants et il est compréhensible qu’elle et ses parents veuillent découvrir la cause.

 

 

Original : www.telegraph.co.uk/health/healthnews/6178045/Two-thousand-schoolgirls-suffer-suspected-ill-effects-from-cervical-cancer-vaccine.html

Publié le 12 septembre 2009.

Traduction : Pétrus Lombard

 

Notes du traducteur

 

[1] Même si ce vaccin avait vraiment un effet contre le PVH, ce qui reste à prouver, vacciner des fillettes est complètement fou : « L’un des principaux chercheurs sur le Gardasil a aussi fait une révélation cette semaine. Il a dit sur CBS News qu’aucune donnée ne montre que le vaccin reste encore efficace au-delà de cinq ans. » Voir :

www.mondialisation.ca/index.php?context=va&aid=15194

 

[2] Autrement dit, elle est devenue accro à Big Pharma.

 

[3] Il faudrait que les autorités sanitaires expliquent dans quel but elles homologuent les vaccins. En effet, il est absolument impossible de conclure qu’un vaccin joue le rôle qu’on lui prête, surtout dans la durée restreinte des essais. En plus, les statistiques ne sont pas tenues (ou sont cachées au public) précisément pour que l’on ne découvre pas l’inutilité et la dangerosité des vaccins. Le test d’homologation est une imposture qui permet de s’assurer que le vaccin ne tue pas sur-le-champ.

http://panier-de-crabes.over-blog.com/article-36166786.html




liste complète
En cas de crise sanitaire grave, la vaccination peut être exigée
En cas de crise sanitaire grave, la vaccination peut être exigée Article L3110-3 Modifié par Loi n°2007-248 du 26 février 2007 - art. 1 JORF 27 février 2007 Transféré par Loi n°2007-294 du 5 mars 2007 - art. 1 JORF 6 mars 2007 en vigueur le 29 août 2007   Merci à Razzara d’avoir retrouvé cet article de loi. (Réaction ce jour à 14h51 à l’article du 16 Septembre : Vaccin H1N1 : La circulaire Bachelot Hortefaux.)   J’en étais resté au projet de loi qui avait été discuté au Sénat.   Ce qui
[…]



Manipulation de chiffres de la grippe !!

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19 septembre 2009 6 19 /09 /septembre /2009 10:46

http://www.agoravox.fr/local/cache-vignettes/L283xH426/V-d0a7f.jpg
Samedi 19 septembre 2009
En sous-traitant la pharmacovigilance aux firmes pharmaceutiques, la Commission européenne, et ceux qui la laissent faire, poussent les firmes au crime.

Les effets indésirables des médicaments sont dérangeants.

Ils dérangent évidemment les patients, qui attendent un traitement raisonnablement efficace et sans danger disproportionné. Et qui, au lieu de cela, se retrouvent souvent victimes d'effets collatéraux, parfois sans aucun bénéfice. Jusqu'à en mourir.

Ils dérangent les professionnels de santé, qui comptent souvent sur les médicaments pour assurer l'efficacité de leur action. Et qui se retrouvent confrontés à des dégâts qu'ils n'ont dans certains cas pas su éviter, voire qu'ils ont provoqués.

Ils dérangent les firmes pharmaceutiques, dont la santé économique est menacée par la mévente de leurs médicaments.

Ils dérangent les assureurs maladie, qui doivent prendre en charge des dépenses qu'ils n'ont pas su ou pu éviter.

Et ils dérangent les pouvoirs publics, qui ont pour mission d'assurer le bien-être et la sécurité sanitaire de la population.

De sorte qu'on parle finalement peu des effets indésirables des médicaments. Le sujet n'est pas valorisé par la formation professionnelle des soignants, ni initiale ni continue. La discipline Pharmacovigilance n'est pas valorisée dans le cursus universitaire ni hospitalier. Ses concepts et ses techniques sont méconnus. La notification des observations n'est pas vraiment encouragée.

Face à ce problème de société profond, la Commission européenne propose une directive et un règlement nouveaux.

Mais avec l'intention de déranger le moins possible. En dépensant le moins possible de deniers publics. En oubliant les causes du problème. Quitte à aggraver largement les dégâts, et à mépriser l'intérêt général à long terme. Car la Commission propose froidement de confier le problème à ceux qui ont le plus directement intérêt à l'enterrer : les firmes pharmaceutiques.

Les firmes sont déjà chargées d'évaluer elles-mêmes, avant mise sur le marché, les médicaments qui doivent assurer leur fortune, au risque de cacher des informations cruciales. Au lieu de réduire ce conflit d'intérêts, la Commission propose de charger aussi les firmes de l'évaluation après mise sur le marché.

Au lieu de renforcer le réseau existant de centres de pharmacovigilance indépendants, la Commission propose de le court-circuiter.

Au lieu d'améliorer l'information des patients et des soignants, la Commission propose l'anesthésie générale en donnant aux firmes la mainmise sur toutes les données sensibles.

En sous-traitant la pharmacovigilance aux firmes pharmaceutiques, la Commission européenne, et ceux qui la laissent faire, poussent les firmes au crime.

©Prescrire 1er septembre 2009
Rev Prescrire 2009 ; 29 (311) : 641.


http://infos.vaccins.over-blog.com/article-36249401.html
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17 septembre 2009 4 17 /09 /septembre /2009 07:56




Savez-vous que l’
on ne meurt pas de maladie, mais de peur et d’épuisement. La peur des microbes et de la maladie assomme l’individu et les vaccins l’achèvent.

Réfléchissez bien avant de vous faire Vacciner en vous posant la question : Qui est le propriétaire de votre corps,  vous ou le gouvernement ? Et, à qui profite le crime ?

Dans le journal américain "Vaccine" du 5 avril 2006, un article nous apprend que dans la province canadienne de l’Ontario, en 1990, le nombre de cas de grippe avait augmenté d’environ 60 % après le début d’une campagne de vaccination !

Réveillez-vous avant qu’il ne soit trop tard ! Lisez, imprimez, diffusez sans aucune modération les documents joints au présent mail. N’hésitez pas à saisir le Procureur de la République de votre ville (modèle de plainte ci-joint).

Quant à vous Messieurs les policiers, gendarmes, militaires, souvenez-vous que le tribunal de Nuremberg a dit que : Nul n’était tenu à obéir à un ordre inhumain !

Pensez à ce qu’à dit Gandhi : « un individu conscient et debout est bien plus dangereux pour le pouvoir en place que 10.000 individus endormis et inconscients. » 

Même Zbigniew Brzezinski, le conseiller d'Obama, adepte des coups les plus tordus, suspecté d'être un Illuminati, est aujourd’hui troublé :

« Un éveil politique global des masses est un challenge, il serait un obstacle pour la construction du N.O.M. (Nouvel Ordre Mondial) »

La vérité est que je suis immortelle et toute-puissante. Je n’ai besoin ni de vaccins, ni de médecins, ni de gouvernement. La vaccination obligatoire est un cadeau qui me force à prendre la décision de sortir de la peur, de la maladie et de la mort, une fois pour toute. Ghis (auteure du livre La Mafia médicale)

Vaccin H1N1 : NO PASARAN

Christian Basano

basacode.blogspot.com

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16 septembre 2009 3 16 /09 /septembre /2009 02:45
Mercredi 16 septembre 2009
- Par L' Aviseur - Publié dans : "Elites" & Bobos - Ecrire un commentaire
Le système éducatif français est aujourd’hui en situation de déclin accéléré. Le phénomène a été maintes fois décrit et analysé. Rappelons-en rapidement les symptômes :
» Un niveau de formation initiale (maîtrise de la lecture, de l’écriture, des opérations mathématiques élémentaires) inférieur à celui qui existait il y a 20 ou 40 ans. Aujourd’hui, 15 % des élèves entrent en classe de 6e sans savoir lire ou écrire et 25 % (en sus des 15 %) « n’ont pas le niveau » : l’échec est déjà programmé pour 40 % des élèves dès l’entrée en 6e.» Une ghettoïsation croissante. Il y a toujours eu des « bons » et des « mauvais » établissements mais l’écart entre eux ne cesse de croître, aggravant un peu plus la fracture entre classes sociales.»


Une dévalorisation des diplômes. Quand le pouvoir politique fixe l’objectif, certes louable, d’amener 80 % d’une tranche d’âge au bac sans, dans le même temps, investir (en professeurs, locaux, etc.) pour atteindre cet objectif, le seul moyen pour masquer l’échec est alors de baisser le niveau du diplôme.


Comme on a drogué le consommateur au crédit pour lui faire oublier que son pouvoir d’achat dégringolait, on a drogué élèves et parents d’élèves au diplôme (bidon) pour leur faire oublier qu’il ne débouchait plus sur un job digne de ce nom et ne permettait plus aucune ascension sociale : l’ascenseur social n’est pas en panne, il a tout simplement disparu.» Un corps professoral dévalorisé. Mal payés, peu considérés socialement, soumis à des pressions contradictoires entre hiérarchie et parents d’élèves, à des conflits de conscience entre éthique et obéissance aux ordres et instructions de leur administration, les enseignants sont à la dérive, conscients que le « système » mène leurs élèves à l’échec tout en essayant, à titre individuel et contre vents et marées, d’en sauver le plus grand nombre.»


Un enseignement supérieur où l’écart de niveau et la différenciation sociale s’accroissent inexorablement entre étudiant(e)s des filières « nobles » (prépas, grandes écoles, sciences po, ENA, médecine…) et les autres (filières universitaires en sciences humaines, BTS…).
Pourquoi ? Comment en sommes-nous arrivés là ? Quels phénomènes se sont combinés pour générer une telle dégringolade ?


Un premier élément est, selon nous, à la source de cette évolution : la tendance naturelle de tout corps social, y compris et surtout l’élite, à s’auto-reproduire. Lorsque des nouveaux entrants font leur entrée au sein des classes dirigeantes, ils acquièrent bien vite le réflexe qui consiste à fermer la porte, à verrouiller le système pour que seule la voie héréditaire permette le renouvellement.


La dernière fois que les cartes ont été rebattues, c’est à la Libération et dans les 20 ou 30 années qui ont suivies, à la fois pour des raisons politiques (collaboration d’une partie des classes dirigeantes de la Troisième République avec l’occupant, d’où nécessité de renouvellement) et économiques (la forte croissance économique des Trente Glorieuses a ouvert des possibilités d’ascension sociale).


Depuis les années 1970-1980, quelle que soit la majorité au pouvoir, le mouvement d’ossification a repris et les élèves de l’enseignement public en ont été les premières victimes : la nouvelle classe dirigeante, ayant assuré la perpétuation de son espèce via un réseau de « bonnes » écoles qui lui étaient de facto réservées, a laissé partie à vau-l’eau l’école de la République qui l’avait pourtant éduquée.


Un second élément explique cette dégénérescence : la taille et la complexité croissantes de ce système éducatif. Plus un système (entreprise, État ou tout type de groupement humain) est complexe, plus il consomme d’énergie (moyens humains et financiers) pour s’auto-entretenir, aux dépens de son objectif ou de sa finalité. C’est exactement le cas de l’Éducation nationale : sa complexité croissante nécessite de plus en plus de ressources pour « simplement » fonctionner. Les compétences sont mobilisées pour résoudre les « problèmes » internes du système (organisation, coordination, statuts, etc.), au détriment de sa mission qui est d’assurer un enseignement de qualité.


Pour toutes ces raisons, il serait puéril et simplificateur de condamner, selon ses préférences politiques, le ministre (incapable), les enseignants (laxistes), les élèves (fainéants) ou les parents d’élèves (irresponsables).


Alors, quelle(s) solution(s) face à un tel gâchis ? Nous ne prétendons pas apporter en quelques lignes la réponse face à une telle complexité mais pouvons néanmoins suggérer quelques pistes :


"Toute solution globale, ayant pour objectif de réformer l’ensemble du système, est vouée à l’échec. Comme l’ex-URSS et tous les systèmes complexes en déclin, l’Éducation nationale n’est plus globalement réformable. Croire le contraire relève de l’affirmation idéologique sans fondement sérieux, de la naïveté… ou du cynisme, si l’on souhaite que rien ne change.» Le recrutement et la formation des professeurs sont le premier maillon, le socle de toute réforme, avec un objectif qualitatif et non quantitatif. Attirer les meilleur(e)s, faire en sorte qu’une carrière professorale soit plus attractive qu’une carrière dans le privé, est une condition indispensable si l’on souhaite donner un deuxième souffle à l’école publique. L’exercice est évidemment extrêmement difficile car il bouleverse le sacro-saint principe selon lequel il n’y a pas de mauvais profs.


Comme l’eût dit Monsieur de la Palisse, introduire du qualitatif implique de juger effectivement de la qualité du travail des enseignants, de récompenser les meilleurs et de licencier les plus mauvais. Mission quasi-impossible…» Toute réforme passera donc par la mise en place de structures parallèles, quasiment « dissidentes », qui sauront faire de cette marginalité un défi à relever, tout en étant averties et conscientes du (fort) risque d’échec existant.» Le sommet n’étant plus capable d’impulser le changement, c’est de la base que devra venir l’initiative, c’est-à-dire des parents d’élèves et des professeurs. Nombre de professeurs sont en effet prisonniers du schéma de guerre de tranchées qui les oppose à leur administration : revendications de salaire, statut et conditions de travail contre volonté de limiter les dépenses (dernier épisode en date : l’annonce de la suppression des IUFM)…
Il faut sortir de ce blocage et des professeurs et parents d’élèves, conscients de la dégradation de l’école publique et victimes collatérales de cette situation qui mène leur progéniture à l’échec, sont assurément prêts à prendre l’initiative.» Enfin, dans le mode d’apprentissage, il faudra sortir du traditionnel cours magistral 100 % présentiel pour imaginer d’autres formes d’acquisition des connaissances : enfants et adolescents passent plus de temps une console de jeux entre les mains qu’à écouter leurs professeurs, sans parler de l’intérêt porté à la première activité ! Ce que l’on appelle aujourd’hui le ludo-éducatif devra donc prendre une part plus importante dans la formation. On ne reviendra pas à l’école de Jules Ferry et l’énergie déployée pour ressusciter les schémas culturels du passé l’est en pure perte : ce n’est pas le bon combat.


L’alternative à ces esquisses de propositions, c’est de prolonger la situation actuelle : un projet de réforme mal ficelé tous les deux ans, échouant trois fois sur quatre face à une mobilisation des enseignants et des élèves, et un ministre que l’on remplace.


Le bateau continuera alors – lentement – à couler et les symptômes décrits au début de ce billet à s’aggraver. Jusqu’où ? Seule la trouille fera réagir l’élite et les classes dirigeantes. Elles ont aujourd’hui la trouille de partager le pouvoir, elles pourraient avoir demain la trouille face à des masses non éduquées qui réclament, très brutalement, un partage du gâteau.

http://www.toutsaufsarkozy.com/cc/article02/EkVkkyZVuEVlmOxnRD.shtml

LA PHOTO
inv inv inv
 
Notes :
Le "Bidonnage Sarkozy" à Caligny épinglé par la RTBF (video)


A l’ UMP la mise en scène, on connait . Après Luc Chatel à Intermarché, avec ses figurantes UMP, nouveau casting, à l’usine Faurécia , dans l’orne à Caligny, pour la venue de Sarkozy .

C’est la RTBF, déjà à l’initiative en 2007, Sarkozy ivre au G8, qui nous en fait la démonstration . Après que le périmètre de l’usine eut été bouclé, pour empécher toute manifestation, ce sont des salariés, fgurants volontaires, venus d’autres usines, qui vont servir de plastron et assurer la claque à Sarkozy .


http://www.marcfievet.com/article-35810608.html



http://www.youtube.com/watch?v=QfU1WWlU2GA&eurl=http://bellaciao.org/fr/spip.php?article90744&feature=player_embedded
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16 septembre 2009 3 16 /09 /septembre /2009 01:21



Barack Obama, otage du lobby juif ?
Iran-Israël : Les enjeux sous jacents de la confrontation (deuxième partie)

 

Mais la récente promotion d’un inconditionnel d’Israël au poste de conseiller spécial du président pour la «Région Centrale» (Afghanistan Palestine) pourrait remettre en question ce savant échafaudage diplomatique dans la mesure où le nouveau promu, Dennis Ross, l’un des dirigeants du Washington Institute for Near East Policy (WINEP), un think tank satellite de l’AIPAC, passe pour être un ultra faucon proche du néo conservateur Paul Wolfowitz, l’un des artisans de l’invasion de l’Irak sous l’administration de George Bush.

Dennis Ross est tout à la fois l’auteur du discours de M. Obama devant l’AIPAC au lendemain de sa confirmation comme candidat démocrate à la compétition présidentielle et l‘un des co-auteurs d’un rapport prônant la manière forte à l’égard de l’Iran (2). Sa désignation pourrait être interprétée comme la marque de la gratitude présidentielle à l’égard d’un collaborateur efficace dans la collecte de voix juives durant la campagne électorale.

Sa propulsion, toutefois, à un poste de responsabilité sur un secteur qui sous tend les points chauds de l’arc de crise allant d’Israël Palestine au Pakistan en passant par l’Afghanistan, l’Iran, l’Irak, la Syrie, le Liban, dans le prolongement de la nomination d’un ancien réserviste de l’armée israélienne, Rahm Emmanuel, au poste stratégique de secrétaire général de la Maison Blanche, et la démission, sous la pression de ce même lobby, de Charles W. Freeman, ancien ambassadeur américain en Arabie saoudite (1989-1992) de son poste de président du National Intelligence Council, tendrait à accréditer l’idée d‘un président américain otage du lobby juif. Le lymphatisme américain devant l‘accélération de la colonisation israélienne de Jérusalem et de la Cisjordanie, de même que le mutisme d’Obama face à la destruction de Gaza, en janvier 2009, donnent une consistance complémentaire à cette hypothèse.

Sauf à y voir le souci du nouveau président américain de calmer les appréhensions concernant ses origines ethnico religieuses, un métis de père kenyan de confession musulmane, la concentration sans précédent de personnalités pro israéliennes au sein du noyau dur de la présidence Obama pose dans toute son acuité, en tout état de cause, volens nolens, qu’on le veuille ou non, bon gré mal gré, la question de la marge de manoeuvre dont dispose le président américain dans la définition de sa propre politique en direction du Moyen-orient.

L’approche occidentale pourrait se heurter aussi à la nouvelle configuration régionale résultant de la convergence entre L’Iran, la Syrie et la Turquie sur le problème Kurde, leur détonateur commun, à l’effet de renforcer leur coopération interrégionale pour maintenir une parité diplomatique face à l’axe israélo américain et son prolongement egypto-saoudien. L’Iran, la Syrie et la Turquie, qui disposent de fortes minorités kurdes, sont hostiles à l’idée que le Kurdistan irakien fasse office de plateforme américaine de déstabilisation régionale. La nomination de l’universitaire kurde Mohammad Reza Rahimi Ghorve’ei, professeur de Droit à  l’Université Azad-  Téhéran et ancien gouverneur du Kurdistan iranien, au poste de vice premier ministre du gouvernement de Mahmoud Ahmadinejad, traduit cette préoccupation.

En prévision de cette échéance, tant Israël que l’Iran ont multiplié les actes d’autorité, dans ce qui apparaît comme une démonstration de force pour le leadership régional alors que le camp arabe paraît marginalisé par sa fragmentation et que les deux pays musulmans non arabes de la zone, La Turquie pour le compte sunnite, et l’Iran pour le compte chiite, tentent de suppléer la défaillance du leadership arabe en tentant de s’imposer comme interlocuteurs incontournables du camp occidental.

L’Iran a procédé au verrouillage de son dispositif, réprimant sévèrement la contestation électorale qui a suivi la reconduction du mandat du président Mahmoud Ahmadinejad, et, en dépit des injonctions de l’ONU, a poursuivi à un rythme soutenu un programme d’enrichissement d’uranium, affirmant son objectif civil alors que les Occidentaux y redoutent sa finalité militaire.

Dans son dernier rapport, l’Agence internationale pour l’énergie atomique (AIEA) a établi que l’Iran avait accumulé 1,339 tonne d’uranium faiblement enrichi, un volume suffisant pour produire l’uranium hautement enrichi nécessaire à la fabrication d’une bombe nucléaire, assurant toutefois n’avoir “aucune preuve que l’Iran soit en train d’essayer de produire une arme nucléaire”.

L’Iran s’est assuré en outre, sur le plan militaire, d’une base de redéploiement dans le port d‘Assab, en Erythrée, à l’embouchure du golfe arabo-persique, et, s’est doté, sur le plan politique, d’un redoutable négociateur du dossier nucléaire, en la personne de M. Ali Akbar Saléhi, son ancien ambassadeur auprès de l’agence atomique de Vienne. Diplômé de physique (promotion 1977) de la prestigieuse université américaine du MIT (Massachusetts Institute of Technology), le nouveau chef de l’organisation iranienne de l’énergie atomique, est un homme d’expérience, bon connaisseur des dossiers, rompu aux méandres des négociations de la haute technologie et aux manoeuvres diplomatiques subséquentes. Sous la présidence Mohammad Khatami, il avait signé avec l’agence un protocole additif renforçant le contrôle des instances internationales sur la production iranienne.

Placé le 19 juillet 2009 à la tête de l’OIEA, Saléhi va superviser le programme nucléaire iranien, qui s’apprête à entrer dans une phase opérationnelle à Bouchehr (Sud). Le premier réacteur nucléaire du pays, construit et alimenté en combustible par la Russie, doit en effet entrer en service à la fin de l’année, tandis qu’à Natanz (Centre), 5 000 centrifugeuses ont déjà permis d’accumuler plus de 1,3 tonne d’uranium faiblement enrichi (UFE), une quantité suffisante pour alimenter en combustible d’éventuelles centrales nucléaires, dans l’hypothèse d’un passage à la production de la première bombe atomique iranienne.

Israël a, de son côté, ordonné la désarabisation des noms de 2.500 (deux mille cinq cents) villes et localités arabes d’Israël (3), prohibé la commémoration de la Nakba, la perte de la Palestine, en 1948, gommant même ce terme des ouvrages scolaires, et, accéléré la colonisation de la Cisjordanie et du secteur arabe de Jérusalem, dans le souci de rendre irréversible la situation sur le plan cadastral, sur fond d’importantes manoeuvres aéronavales.

Deux raids à long rayon d’action sur le Soudan prétextant un convoi d’armes pour le Hamas et un autre au dessus de la crête, ont eu lieu en janvier 2009, au moment de l’entrée en fonction de Barack Obama. Deux croiseurs lance-missiles israéliens de type sagger et un sous marin de type Dolphin, porteurs de charges nucléaires, ont par ailleurs traversé le canal de Suez en juillet 2009, en direction de la Mer Rouge, alors que la flotte des bombardiers israéliens effectuait un entraînement de longue portée fin juillet dans le désert du Nevada (Etats-Unis), parallèlement aux opérations de déstabilisation menées depuis la zone kurdophone d’Irak tant par les Américains que vraisemblablement par les Israéliens. Une subvention de l’ordre de vingt millions de dollars a été allouée à l’USAID (Agence des Etats ​Unis pour le développe­ment in­ter­na­tio­nal), proche de la CIA, pour «favoriser la démocratie et les Droits Humains en Iran».

Ces manoeuvres se veulent tout autant comme une démonstration de force à l’égard de l’Iran, qu’une volonté de pression sur les pays occidentaux en vue de maintenir le dossier nucléaire iranien en tête de l’ordre du jour de l’agenda diplomatique international, au détriment d’autres dossiers hautement prioritaires, tels le programme nucléaire nord-coréen autrement plus avancé que l’iranien, ou l’enlisement américain en Afghanistan ou encore la récession économique mondiale.

La croisade israélienne contre l’Iran est double: écarter une éventuelle menace iranienne et se soustraire à ses engagements internationaux concernant le règlement de la question palestinienne. Comparable par son intensité à la campagne de mobilisation contre l’Irak, cinq plus tôt, cette offensive militaro médiatique israélienne, en reléguant au second plan le règlement du conflit israélo-palestinien, viserait, d’un manière sous jacente, à acclimater l’opinion internationale au fait accompli de l’annexion de la Palestine, à l’effet de restaurer le prestige israélien terni par ses échecs répétés tant contre le Liban, en 2006, que contre l’enclave palestinienne de Gaza en 2008-2009. Tel est du moins l’une des interprétations ayant cours quant à la focalisation israélienne sur l’Iran.

L’Iran, par effet d’aubaine, a acquis une stature de puissance régionale du fait de la politique erratique des États-Unis tant en Afghanistan qu’en Irak, où ses rivaux idéologiques, les radicaux taliban sunnites et le laïc baasiste irakien Saddam Hussein ont été éliminés par leur ancien protecteur américain.

Il entend se faire reconnaître la place qu’il estime sienne dans le concert régional, qui était en fait sienne il y trente ans lorsque les Américains avaient confié au Chah d’Iran un rôle de « super gendarme » dans le Golfe en proie alors à la rébellion communiste du Dhofar (Sultanat d’Oman) et à la contestation nationaliste du « Front de Libération Nationale de la Péninsule Arabique » tant en Arabie saoudite qu’au Yémen que dans les Émirats pétroliers.

Dans cet esprit, l’Iran a réaffirme son droit inaliénable au nucléaire et proposé le 11 septembre une négociation globale avec le groupe de contact portant sur tous les aspects du contentieux qui l’oppose avec les pays occidentaux depuis trente ans, tant l’embargo qui frappe la République islamique, que les avoirs iraniens bloqués aux Etats-Unis, de l’ordre de plusieurs milliards de dollars, que le rôle régional de l’Iran, la coopération sécuritaire en Irak et en Afghanistan.

Sa démarche heurte de plein fouet l’option saoudo égyptienne, et, en frappant de caducité leur choix, pose le problème de la pertinence des choix stratégiques du groupe des états arabes situés dans la mouvance américaine. L’Égypte a dû ainsi renoncer à l’option nucléaire sous la pression de Washington en contrepartie d’une aide annuelle d’un milliard de dollars, abandonnant de fait la maîtrise de l’espace stratégique moyen-oriental à l’aviation israélienne.

En porte-à-faux devant leur opinion publique dont ils redouteraient un débordement, l’Égypte et la Jordanie ont été autorisés, fin 2006, à s’engager dans la production nucléaire à usage civil sous contrôle américain, accumulant ainsi un retard technologique de cinquante ans sur leur voisin israélien. Pour ne pas être en reste, La Ligue arabe, elle-même, a engagé, en Août, à un mois de la réunion annuelle de l’Assemblée générale des Nations Unies, une offensive diplomatique visant à contraindre l’Etat hébreu à signer le traité de non prolifération nucléaire.

Un éventuel conflit paraît difficilement devoir se limiter aux deux antagonistes, à en juger par la proximité des belligérants, celle des autres protagonistes du conflit, la configuration du terrain, le déploiement militaire occidental et russe dans la zone et les risques d’embrasement généralisé qu’un tel enchevêtrement impliquerait.

Mais, curieusement, une telle hypothèse n’a toutefois jamais donné lieu à aucune proposition de dénucléarisation complète du Moyen-orient, qui constitue pourtant la forme la plus parfaite de la non prolifération réclamée par les pays occidentaux. D’ores et déjà, les Etats-Unis qui disposent de huit importantes bases dans la zone (Irak, Qatar, Bahreïn, Koweït, Oman, Djibouti, Diego Garcia et Djibouti) ont assuré Israël du soutien de «l’armée la plus puissante du monde», selon l’expression de Hillary Clinton, secrétaire d’état qui a menacé l’Iran d’étendre le bouclier anti-missile à l’ensemble des pays du Golfe, alliés de l’Amérique, en vue de neutraliser sa dissuasion balistique.

Un blocus du détroit d’Ormuz, par où transit le tiers du trafic énergétique mondial, pourrait, en perturbant fortement le ravitaillement des pays industrialisés, aggraver la récession économique mondiale et fragiliser d’autant le système politique international.


Lire la première partie
Iran-Israël : les enjeux de la confrontation

Références

1. Officier de renseignement de la marine américaine au Naval Anti-Terrorist Alert Center, Jonathan Pollard est arrêté en 1985 pour espionnage au profit d’Israël. Condamné à la prison à vie le 4 mars 1987, il est demeuré derrière les barreaux, malgré plusieurs demandes de libérations formulées par Israël. Le service de communication du Sénat américain a déclaré le 19 juin 2009 dans un communiqué  »ne pas souhaiter écourter le séjour en prison de Pollard ».  »Nous ne souhaitons pas mettre à mal les intérêts stratégiques américains en libérant Pollard », précise le communiqué des instances américaines.

2. Le rapport remis au groupe de travail présidentiel en juin 2008 est intitulé «Strengthening the Partnership: How to Deepen U.S.-Israel Cooperation on the Iranian Nuclear Challenge» (Renforcer le partenariat : comment approfondir la coopération entre les États-Unis et Israël sur le défi nucléaire iranien).

3. «Des colons israéliens incendient des centaines d’oliviers en Cisjordanie et le ministre des communications donne son accord à débaptiser le nom de 2.500 villes et localités arabes de Palestine en leur donnant un nom en hébreu» cf. «Al Qods al Arabi», journal transnational arabe édité à Londres,  21 juillet 2009.



René Naba : Ancien responsable du monde arabo-musulman au service diplomatique de l’Agence France Presse, ancien conseiller du Directeur Général de RMC/Moyen orient, chargé de l’information, est l’auteur notamment des ouvrages suivants : —« Liban: chroniques d’un pays en sursis » (Éditions du Cygne); « Aux origines de la tragédie arabe"- Editions Bachari 2006.;  "Du bougnoule au sauvageon, voyage dans l’imaginaire français"- Harmattan 2002. « Rafic Hariri, un homme d’affaires, premier ministre » (Harmattan 2000); « Guerre des ondes, guerre de religion, la bataille hertzienne dans le ciel méditerranéen » (Harmattan 1998); "De notre envoyé spécial, un correspondant sur le théâtre du monde", Editions l'Harmattan Mai 2009.


René Naba est un collaborateur régulier de Mondialisation.ca.  Articles de René Naba publiés par Mondialisation.ca

http://www.mondialisation.ca/index.php?context=va&aid=15226
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15 septembre 2009 2 15 /09 /septembre /2009 06:52





Grippe A H1N1 : La vérité cachée

Vidéo

Nous devenons incontrôlables ?

http://www.youtube.com/watch?v=zRbDQkaUMwI

Commentaire : Ceci dit, je ne me ferais pas vacciner, car ça sent trop l'embrouille. Surtout que les fabricants US de vaccins ont obtenu l'immunité juridique pour le vaccin de la grippe A. C'est à dire que toute plainte pour des effets secondaires ne sera pas recevable. Une première. Du jamais vu.



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15 septembre 2009 2 15 /09 /septembre /2009 02:25


Ils ont décidé de vacciner les enfants
dans les écoles comme du bétail
Lisez la circulaire Ministérielle du 21 Août 2009 vous serez fixés sur ce qui vous attend quand ils décideront de vacciner de force toute la population française. Vacciner ou pas ? à télécharger.
Il sera difficile d'y échapper car ce ne sont pas les médecins qui feront cet acte, pas plus que les centres hospitaliers ... attendons nous à ce que ce soit l'armée qui prenne ça en charge.
Il sera impossible de refuser que son enfant soit vacciné, même s'il est allergique ou que cela risque de le tuer, dans la mesure où des dérogations ne sont pas prévues.
En plus, la vaccination contre la grippe saisonnière sera faite en parallèle.
Le pire de tout :
- "La vaccination de tous les élèves et de toute la communauté éducative sera assurée par des équipes mobiles dans les établissements scolaires."

Signé Brice Hortefeux et Rosine Bachelot-Narquin !


Et si cela débouche sur une vraie catastrophe, comme avec l'hépatite B, ils pourront dire "nous sommes responsables, mais pas coupables".
Nous avions des ordres disaient tous les criminels de guerre au procès de Nuremberg ...

Allez lire
cet article pour savoir comment fonctionne un génocide programmé et pour comprendre que ceux qui vont injecter les vaccins aux enfants, sans le consentement des parents, sont le dernier maillon d'une chaîne de dilution des responsabilités.

Est-ce que la population va accepter ça ?
Ou seraient-ce les troubles civils annoncés justifiant le mobilisation générale des retraités de la gendarmerie et de la police ?
Cela fait 8 années que je prédis une guerre civile en France autour de 2010 ...
Si suite à cette vaccination forcenée beaucoup d'enfants venaient à mourir, je pense que cela pourrait être le détonateur attendu.

« Il faut prendre des mesures draconiennes de réduction démographique contre la volonté des populations. Réduire les taux de natalité s'est avéré impossible ou insuffisant. Il faut donc augmenter le taux de mortalité.
Comment ? Par des moyens naturels : la famine et la maladie. » Robert Mc Namara


http://onnousprendspourdescons.blogspot.com/2009/09/ils-ont-decide-de-vacciner-les-enfants.html
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