Dans l’affaire DSK sur laquelle le numéro 232 de LIESI revient et décortique, il y a souvent référence à la banque des Rockefeller : la JPMorgan, ainsi qu’à la guerre monétaire qui se joue actuellement et dont la Grèce est l’épicentre.
Il est donc important de donner maintenant une suite à cet article, publié il y a quelques semaines : 1 Le scénario de la Première Guerre mondiale est en train de se reproduire – Quand les grandes puissances provoquent des guerres pour éviter la faillite.
2 De 1914 à 2011… un point commun : JP Morgan est toujours à l’oeuvre
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En choisissant de favoriser la Morgan Bank, la Haute finance anglo-hollandaise permettait au groupe Rockefeller de s’assurer la pleine domination des Etats-Unis à travers le contrôle des conseils d’administration des futures multinationales, les principaux pourvoyeurs de fonds des deux partis politiques américains !
D’aucuns rétorqueront que la puissance des Rockefeller aux Etats-Unis était déjà affirmée avec John D. Rockefeller Senior (1839-1937) [1] – le patriarche incorruptible et fondateur de la Standard Oil, fondement du pouvoir de la dynastie. C’est vrai, mais l’adhésion au plan mondialiste exécuté par la dynastie des Rothschild, en Europe, n’est survenue qu’avec la personne de John D. Rockefeller, Junior (1874-1960). Il hérita de la fortune de son père en 1915 et c’est lui qui s’imposera pendant la première moitié du XX° siècle comme le leader incontesté de la dynastie Rockefeller. D’une nature timide, il prendra en 1920 Raymond B. Fosdick (1883-1972) comme « conseiller stratège ». Cet individu pressera Junior d’embrasser la doctrine internationale libérale du Président Wilson dont il était l’un des soutiens majeurs. Wilson lui proposera divers postes dans son administration, dont celle de président de la Commission on Training Camp Activities, à la fois dans les départements de la Navy et de la Défense. II accompagna Wilson à la conférence de paix de Paris de 1919 comme conseiller civil. A cette époque, il entretint également de proches relations avec l’énigmatique conseiller du Président, le colonel House. L’unique objectif qu’il poursuivait était de réaliser la vision de Wilson d’un « Nouvel Ordre Mondial ».
Bien des années plus tard, en 1970, Gary Allen déclarait dans son livre « The Rockefeller File » (Le dossier Rockefeller) : « L’objectif majeur des Rockefeller aujourd’hui est la création d’un Nouvel Ordre Mondial – un gouvernement unique contrôlant l’ensemble de l’humanité ».
Mais revenons donc en 1919, à la Conférence pour la Paix de Versailles où l’on vit apparaître, comme par enchantement, toute l’élite des sociétés occultes chapeautées par la puissante dynastie des Rothschild ! Il y avait Alfred Milner, la Maison d’Edward Mandel et Bernard Baruch, les patrons de la Table Ronde d’Angleterre et des Etats-Unis. Ce ne sont pas les politiciens qui décidèrent de la « paix », mais bien ces personnages ! Ils choisirent d’imposer des paiements de réparation impossibles à l’Allemagne, s’assurant ainsi de l’inévitable effondrement de la République de Weimar d’après-guerre, d’un effondrement économique capable de créer les circonstances pouvant amener un personnage comme Hitler au pouvoir. Et que se passe t-il aujourd’hui où les politiciens européens agissent comme s’ils avaient pour ORDRE de couler la Grèce ?
Ce fut à Paris, à l’Hôtel Majestic, que ces membres des sociétés secrètes les plus puissantes se réunirent pour lancer le processus de mise en place organique du « plan ». Immédiatement, ils imposèrent les assises destinées à la création d’un Etat juif en Palestine… en vue de réaliser la troisième étape du plan Pike.
Le Président américain Woodrow Wilson fut « conseillé » à Versailles par le Colonel House et Bernard Baruch, deux des clones et chefs de la Table Ronde aux Etats-Unis ; le Premier ministre britannique Lloyd George fut « conseillé » par Alfred Milner, employé de Rothschild et chef de la Table Ronde ; Georges Clémenceau, représentant l’autorité française, fut « conseillé » par son ministre de l’Intérieur, Georges Mandel, dont le vrai nom est… Jéroboam Rothschild.
Alors, selon vous, qui prenait les décisions ?
Dans la délégation américaine on trouve les frères Dulles : John Foster Dulles devint Secrétaire d’Etat des Etats-Unis, et Allen Dulles, sera le premier directeur de la CIA après la Seconde Guerre mondiale. Quelques années plus tard, alors qu’ils seront les employés de la banque Khun, Loe & Co, ils financeront le parti nazi sans le moindre scrupule. Plus tard, ils seront impliqués dans l’assassinat de John F. Kennedy : Allen Dulles appartiendra à la Commission Warren, chargée de l’enquête sur ce crime d’état.
La délégation américaine à Versailles fut représentée par Paul Warburg, de chez Kuhn & Loeb, tandis que la délégation allemande incluait son frère, Max Warburg, le futur banquier d’Hitler !
L’hôte de tous ces personnages, éminences très influentes durant la conférence de « Paix », n’était autre que le Baron Edmond de Rothschild, la force principale insistant sur la création d’un Etat juif en Israël…
Il y aura 39 ans dans trois mois, sous le règne du Président Georges Pompidou, dans un entretien accordé à la revue « Entreprise » (ancêtre de la revue l’ »Expansion ») et publié en page 62 à 65 du n°775 de cette revue en date du 18 juillet 1970, Edmond de Rothschild, aujourd’hui décédé, quatre ans avant qu’il ne fonde la section européenne de l’aujourd’hui célèbre « Commission Trilatérale », créée aux Etats-unis par David Rockefeller et Zbignew Brzezinsky, et quatre mois avant le décès brutal et inopiné (rupture d’anévrisme) du Général de Gaulle à Colombey, déclarait déjà (en haut de la seconde colonne de la page 64 de cet entretien :
Nous y sommes…
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http://liesidotorg.wordpress.com/2011/06/16/3-de-la-fin-de-la-premiere-guerre-mondiale-a-la-faillite-des-etats/
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