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6 avril 2013 6 06 /04 /avril /2013 02:01

 

 

Voilà comment le système crée des partis autoritaires 

5388134_8037978.jpgCertains se demandent comment un phénomène comme celui d'Aube dorée a pu prendre une telle ampleur. On peut avancer quantité d'explications, parmi lesquelles la télévision ou la crasse inculture inhérente à l'indigence de ses programmes. Ou bien la pauvreté et l'intolérance que peut provoquer le repli sur soi. Ou encore la guerre entre les pauvres, fruit d'une société individualiste dans laquelle les repères ont volé en éclats. À moins que ce ne soit tout simplement les effets de la crise qui iraient de pair avec un ras-le-bol grandissant devant les phénomènes migratoires... eux-mêmes produits d'une société en crise. Tant de choses peuvent être mises en avant. 

Et si le système avait créé délibérément Aube dorée... D'aucuns trouveront que cette explication s'inscrit dans le droit fil des théories complotistes. Mais comment expliquer alors l'idiotie des politiciens européens qui se livrent à des diatribes ouvertement xénophobes ? En Suisse, par exemple, la campagne électorale se concentre sur la propagande contre les immigrés, et les 8.000 travailleurs frontaliers italiens sont accusés ni plus ni moins de prendre le pain des autochtones dans la campagne « siamo in mutande » (nous sommes en slip, NDLR) de l'UDC (union démocratique du centre), dont le nom cache décidément mal sa véritable nature. En effet, ce parti a littéralement inondé le pays d'affiches appelant au rapatriement immédiat de tous les étrangers. La ligue des Tessinois, deuxième parti du Tessin, n'était pas en reste puisqu'il a prêté main forte à cette campagne. 

Plus grave encore : le discours sur l'immigration du Premier ministre David Cameron, qui a provoqué récemment un tollé. Le sujet était la protection sociale, et Cameron a annoncé que les immigrés ne recevraient plus aucune aide au-delà de six mois de chômage. L'opportunité d'une telle mesure, au moment où les coupes claires dans les budgets sociaux ont mécaniquement un impact financier, répond à la logique même des politiques d'austérité dont l'Union européenne se fait le héraut, mais pourquoi donc insuffler sournoisement l'idée que l'étranger est responsable, au moins en partie, de l'appauvrissement général et qu'il doit être perçu en tant que tel ? Une étude publiée sur le site du réseau d'alerte sur les inégalités montre pourtant que « la place de l'immigration dans le débat politique ne s'explique par son impact économique objectif, mais par les mécanismes de repli sur soi identitaire des communautés nationales ou professionnelles menacées par une crise économique ». Enfin, « l'instrumentalisation de ces affects par le personnel politique en renforce la dynamique excluante ». 

Mais quelles conclusions en tireront les citoyens moins au fait des calculs politiques de leurs dirigeants et informés comme il convient par des media en mal de sensationnel ? Que le mot étranger rime avec ennemi, et qu'à partir de là, l'adhésion à des théories xénophobes voire ouvertement racistes de partis comme Aube dorée est somme toute naturelle. Les politiciens sont-ils donc irresponsables au point de ne s'apercevoir de rien ? On peut sérieusement en douter. Ce n'est pas un hasard, d'ailleurs, si on voit fleurir un peu partout, dans l'Europe des droits de l'homme, des lois contre les immigrés. Et on nous présente en parallèle, toutes tendances politiques confondues, les réformes comme des mesures nécessaires pour sortir de la crise. Mieux encore, on nous assure que tout est fait pour apporter un meilleur service aux usagers... Naturellement, les pouvoirs en place, qui sont censés représenter une alternative au « tout capitaliste », expliquent que leurs orientations, bien qu'impopulaires, sont dues à la crise mondiale. La pensée dominante aboutit, lentement mais sûrement, à anesthésier l'esprit critique. Et c'est ainsi qu'un peuple peut, sans même s'en rendre compte, devenir réceptif à toute pensée extrémiste. 

Dans ces conditions, peut-on écarter toute possibilité de glisser vers un régime autoritaire ? Certes non ! Alors, suis-je un complotiste si je vous demande à qui profite le crime ?
Jeudi 4 avril 2013

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5 avril 2013 5 05 /04 /avril /2013 02:38

 

 

http://www.lexpress.fr/actualite/

Hollande promet des sanctions contre l'antisémitisme sur les réseaux sociaux

 

 

En alimentant le terrorisme

sous l'égide de Tel-Aviv,

la France des Sarkozy-Hollande-Fabius

joue avec le feu et va droit dans le mur.

  Par Chantal Dupille (eva R-sistons)

 

 

 

 

Par sa politique folle, totalement contre-productive et meurtrière, et dénoncée par les agents de la DGSE eux-mêmes, la France met en danger la sécurité des Français. Voilà les conséquences d'une politique totalement dictée par Israël et à son service.

 

Hollande, hypocritement, jure lutter contre le terrorisme, et en réalité il l'alimente par ses décisions insensées en matière de politique étrangère, particulièrement en armant les pires terroristes de la planète. La Syrie, avec son service de Renseignement très performant, a toujours aidé notre pays à lutter contre le terrorisme, et elle est attaquée par ceux qui bénéficiaient jusqu'ici de ses informations. La France est d'autant plus menacée, que les éléments les plus extrémistes et fanatiques du Qatar, d'Arabie Saoudite, des pays du Golfe, se répandent dans le monde et ciblent l'hexagone.

 

Notre politique va totalement à l'encontre de nos intérêts. En choisissant le camp des terroristes les plus fondamentalistes,  les plus obscurantistes,  la France des Sarkozy-Hollande-Fabius détruit la Syrie, un Etat paisible, tolérant, moderne, où toutes les communautés (juive, chrétienne, alaouite, sunnite, chiite, druze, kurde, etc) cohabitaient harmonieusement. Tout cela pour satisfaire les exigences messianiques des Talmudistes au pouvoir à Tel-Aviv, et représentés par le CRIF dans notre pays.

 

La France dirigée par des sayanim est menacée par le terrorisme radical qu'elle entretient, elle contribue à alimenter le fanatisme international et dans ses frontières par ses amitiés particulières (Qatar, par ex, qui dévore une partie du territoire en jouissant de privilèges scandaleux § 1) et ses choix douteux et meurtriers, elle piétine ses idéaux républicains et sa réputation dans le monde, et au final, elle va droit dans le mur... Sans un sursaut recommandé par nos agents de la DGSE, elle compromet son avenir.

 

Les Médias constituent aujourd'hui le premier pouvoir, et leur soumission aux intérêts des mondialistes va non seulement à l'encontre des buts de la profession, mais elle met gravement en danger la vie des Français et des peuples. Seule une prise de conscience de tous les citoyens, assortie d'une réaction à la hauteur des enjeux (comme des manifestations permanentes devant les Rédactions pour exiger une information digne de ce nom au lieu d'une propagande de guerre) pourra redresser une situation hélas bien compromise. 

 

Mais tant que les Français n'auront pas compris que leur pays est depuis la présidence Sarkozy colonisé, occupé, dirigé, dénaturé par des agents de Tel-Aviv (les fameux sayanim), tout ce qu'ils entreprendront pour se libérer restera lettre morte.

 

Et cette libération doit se faire à tous les échelons : Au niveau du Quai d'Orsay, en le peuplant à nouveau d'éléments indépendants, gaulliens ; au niveau de la Défense, en mettant nos Militaires face à leur devoir de résistance à l'intolérable ; au niveau des Services de Sécurité, en redonnant une parole efficace, écoutée, à ceux qui songent d'abord à l'intérêt de la France ; dans le cadre des Médias, en rappelant aux journalistes leur devoir d'information, etc.

 

Notre pays ne peut plus accepter d'être orchestré et gangrené par une bande de néo-conservateurs messianiques, appuyés sur une idéologie insensée, le Talmud ("Un peuple élu, une race supérieure, le devoir de domination, l'élimination ou l'asservissement des goys" § 2), il doit retrouver son indépendance, sa souveraineté. Pour sa survie.

 

Ou se résigner au pire. Il l'aura, assurément. Dans tous les domaines !

 

Eva R-sistons

 

http://sos-crise.over-blog.com

 

Talmud; haine et Racisme. Voilà ce que les antisionistes propagent pour dénoncer les juifs

 

 

§ 1 .Comment la France est-elle devenue le paradis fiscal du Qatar ...

actupost.fr/france-paradis-qatar


§ 2 Le Talmud est le vrai bréviaire de l'intolérance, de la haine et du racisme

 

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http://archives-fr.novopress.info/58273

 

 

Quand la France se brûle les doigts dans le brasier syrien

Enquête sur les nouvelles filières terroristes en Syrie et en Europe

Comment sortir du bourbier syrien ? C’est la question qui tracasse, deux ans après le déclenchement de la crise syrienne, non seulement les décideurs politiques en Occident, mais aussi les services de sécurité de renseignement européens et américains qui sont aujourd’hui dans le noir total.
4 avril 2013

À l’euphorie des premiers mois, quand tous les décideurs occidentaux, sans doute aveuglés par certains analystes trop pressés d’en finir avec le chef d’État syrien et ne connaissant rien à l’exception syrienne, ont succédé le doute et la confusion.

La question qui se pose aujourd’hui à ces stratèges en herbe, auto-intoxiqués par les précédents tunisien, libyen, yéménite et égyptien, n’est plus de savoir quand le régime de Bachar al-Assad va tomber, mais comment sortir indemne de ce bourbier.

 

Car entre-temps, les services de renseignement, particulièrement ceux en charge de la lutte anti-terroriste, avaient tiré la sonnette d’alarme et s’étaient opposés, parfois ouvertement, à la politique myope et suicidaire que certains néoconservateurs occidentaux attardés voulaient appliquer à la Syrie, avec le soutien médiatique et financier des monarchies du Golfe, de la Jordanie, de la Turquie.


Ce constat désabusé a été dressé récemment par un diplomate français, cité en off par le quotidien Le Monde (édition du dimanche 31 mars - lundi 1er avril 2013) à propos de la politique en zigzag poursuivie par François Hollande au sujet de la Syrie depuis son accession à la présidence… Pour ce diplomate, c’est « l’incertitude », voire «  la confusion qui règne au sommet de l’État sur cette question. » Il commentait ainsi le renoncement de la France à armer l’opposition syrienne après avoir réclamé à cor et à cri la levée de l’embargo européen sur les livraisons d’armes à la Syrie, régime et opposition confondus, embargo instauré, faut-il le rappeler par Paris et Londres.


Les Européens, conduits par la France et le Royaume-Uni, avaient également entraîné les autres membres de l’Union européenne à imposer un train de sanctions économiques, financières et diplomatiques contre, disent-ils, le régime syrien, mais qui, en réalité, touchait de plein fouet les catégories les plus fragiles de la société. C’est la même logique meurtrière qui avait conduit ces mêmes pays à imposer un embargo meurtrier contre l’Irak en 1991 causant la mort d’un million et demi d’Irakiens.


Parmi ces sanctions notons celles qui visent personnellement non seulement toute la nomenklatura politique et économique du régime, mais aussi les chefs du renseignement anti-terroriste, ceux-là même avec qui ils avaient tissé, dans le passé, les meilleures relations dans la lutte commune contre les groupes terroristes et les réseaux mafieux. En visant les chefs du renseignement syrien extérieur chargé de traquer la nébuleuse d’Al-Qaïda et des réseaux dormants dhjiadistes, non seulement en Syrie, mais aussi en Europe et dans le Maghreb, la France s’est tiré une balle dans les pieds.


Le diplomate en question cité par Le Monde a reconnu cette faute à demi-mot : «  Depuis que nous avons fermé l’ambassade à Damas, avoue-t-il, notre appréhension des réalités du terrain a beaucoup diminué. Plus personne ne peut assurer que ce qu’il dit est fondé. Les trois principaux acteurs de notre diplomatie - la défense, les affaires étrangères et la présidence - n’ont pas de vision commune. De là vient l’impression de flottement. »


Nombreux sont ceux qui dans la communauté du renseignement français, qui ont une certaine idée de la politique étrangère de la France, avaient vertement critiqué l’aveuglement des politiciens français, d’abord sous Sarkozy et aujourd’hui sous Hollande. Beaucoup, surtout parmi les anciens directeurs du renseignement, s’étaient exprimé publiquement comme c’est le cas d’Yves Bonnet ou d’Alain Chouet. D’autres, encore en fonction, partagent parfaitement la position de leurs aînés, mais ne se prononcent pas publiquement, droit de réserve oblige. Cela n’a pas empêché l’indocile juge anti-terroriste français Marc Trevidic de se soulever contre le cynisme des responsables occidentaux.


Dans un entretien avec le JDD [1], il reconnaît que « la situation est trop confuse en Syrie. En plus, l’Occident est contre le régime en place (…) Le souci, et c’est ce que l’on voit actuellement en Syrie, est que ces élans spontanés [des dhjiadistes étrangers], sans réseau, sont tôt ou tard pris en charge par des groupes proches d’Al-Qaïda. Le terrorisme est une notion malléable, très liée à la géopolitique, aux alliances. Ces situations sont confuses, compliquées, voire hypocrites : quand ces gens-là nous servent, on ferme les yeux. Ça ne veut pas dire qu’ils ne sont pas dangereux, mais qu’ils sont dans le bon camp. Pour l’instant ».


Ce sont sans doute les positions de ces personnalités pragmatiques, bien informées et courageuses, qui font passer l’intérêt de l’État avant les intérêts des différents lobbies médiatiques et politiciens, qui ont pesé dans le flottement de la politique française et empêché la fuite en avant suicidaire de cette politique. Ce n’est pas encore gagné, mais le dernier revirement rocambolesque de François Hollande sur la livraison des armes sophistiquées aux groupes armés syriens est un pas dans la bonne direction.


Il y a quelques mois, le site français www.afrique-asie.fr a publié un article bien informé, intitulé : «  Quand la communauté du renseignement se rebelle contre la stratégie suicidaire de la France en Syrie » [2] consacré aux relations sécuritaires entre la France et la Syrie où il affirme que ces relations sont aujourd’hui « au point mort ». Le même article soulignait déjà « le mécontentement des hauts gradés de la DGSE à propos de la politique menée par leur pays à l’égard de la Syrie. Une politique qui leur a coûté cher en matière de collaboration antiterroriste ».


Or devant la montée en puissance du péril terroriste, particulièrement après l’engagement militaire de la France dans le Sahel, et la prolifération des groupes dhjiadistes en Libye et en Tunisie, mais aussi en Europe, certains anciens agents des services français, sans doute avec l’accord de leur hiérarchie, avaient tenté de renouer le fil de la collaboration antiterroriste entre les deux pays. Selon plusieurs sites et médias arabes, Paris aurait même demandé à la Jordanie d’intercéder en sa faveur auprès de Damas pour que cette coopération reprenne d’une façon informelle. Cette demande est intervenue après que les services syriens avaient déjoué une tentative d’assassinat contre le chef de l’État syrien, commanditée par les services secrets français et turcs.


L’agence de presse Asia News [3], reprise par de très nombreux médias de la région, était le premier média en ligne à avoir relaté en détail cet attentat manqué. En Turquie, les médias de l’opposition avaient largement commenté la nouvelle, évoquant un scandale et sommant le Premier ministre islamiste Erdogan à s’expliquer. Les médias français ont gardé jusqu’ici un black-out total sur cette affaire d’État. D’autant plus que cette révélation intervenait peu après le refus de Damas de répondre favorablement à la demande française, par Jordaniens interposés, de reprendre la coopération sécuritaire.


Le refus syrien à l’offre française de coopération est compréhensif. Il s’explique sans doute par les incontestables succès que les services anti-terroristes de Damas venaient d’enregistrer sur le terrain. Ils avaient en effet donné un coup de pied dans la fourmilière dhjiadiste qui s’est conclu par une série de coups de filets contre les réseaux terroristes proches d’Al-Qaïda, qui projetaient de perpétrer des dizaines d’attentats spectaculaires, dont des attentats à la voiture piégée. À l’issue de ces coups de filet, ils avaient recueilli de précieuses informations sur les cellules dormantes, non seulement en Syrie, mais également en Jordanie. Sitôt transmises à leurs collègues jordaniens, ces informations leur ont permis de déjouer une série d’attentats similaires dans le royaume hachémite.


On comprend mieux pourquoi la Jordanie avait soudainement fermé hermétiquement ses frontières avec la Syrie et avait interdit aux groupes dhjiadistes de les franchir. On a même assisté depuis à un revirement spectaculaire du Roi Abdallah II qui a réalisé qu’après la chute programmée du régime syrien par l’action conjuguée des Frères musulmans et des groupes salafistes radicaux, il serait le second sur la liste. D’où sa colère soudaine contre le nouveau « croissant sunnite » dirigé par la Turquie, l’Égypte et le Qatar, trois pays piliers de la Confrérie des Frères musulmans. Venant d’un roi proche des services britanniques, américains et israéliens, et qui avait le premier parlé d’un « croissant chiite », il y a quelques années, le retournement, il faut le reconnaître, est colossal ! Ce changement d’un roi girouette est plus dû à un réflexe d’auto-défense tactique qu’à un véritable tournant stratégique.


C’est cette nouvelle donne qui a sans doute refroidi l’ardeur anti-syrienne des Jordaniens, et qui a poussé certaines sources proches des services secrets de Sa Majesté hachémite, à se confier, en off à l’agence arabophone en ligne asianewslb.com. « Nous avons soumis aux Syriens tous les dossiers concernant les enquêtes sur les cellules terroristes qui projetaient de commettre des attentats à la voiture piégée, affirme cette source sécuritaire jordanienne. Ces enquêtes ont mis en évidence que toutes ces cellules terroristes actives ou dormantes qui opèrent en Syrie et en Jordanie, voire en France sont dirigées par un commandement central décloisonné représenté par un personnage central dit “le facilitateur”. C’est lui qui dirige les cellules sur le terrain sans que les membres de ces cellules le connaissent. Or ce personnage clé est tombé entre les mains des services syriens qui ont pu remonter, aveux et documents à l’appui, toute la filière dont toutes les actions s’étendent de la Syrie jusqu’en Europe en passant par la Jordanie et le Liban. »


Toujours selon les confidences recueillies par Asia News, « grâce aux renseignements fournis par Damas, nous avons pu identifier des individus qui étaient en contact avec le facilitateur. C’est après cette arrestation que les services français ont voulu renouer les contacts avec Damas qui a refusé net. Et pour cause : l’officier supérieur en charge de cette affaire n’est d’autre que le colonel Hafez Makhlouf qui fait partie d’un groupe d’officiers syriens dont les noms figurent sur les listes des sanctions française et européenne. »


Pour rappel, l’enquête, publiée par le site www.afrique-asie.fr, ci haut mentionnée faisait état du mécontentement des hauts gradés de la DGSE à propos de la politique menée par leur pays à l’égard de la Syrie. Une politique qui leur a coûté cher en matière de collaboration antiterroriste. « Les syriens, écrit cette enquête, ont sauvé la vie de centaines de citoyens français grâce à leur collaboration avec leurs homologues français et occidentaux en matière de lutte antiterroriste et de lutte contre le crime organisé (notamment la mafia des contrefaçons des médicaments). »


La politique insensée, résolument anti-syrienne, entreprise par l’ancien président Nicolas Sakozy et poursuivie avec hargne et dogmatisme par son successeur socialiste François Hollande, notamment en matière de soutien à une opposition disparate et conduite sur le terrain par des groupes terroristes, dont le seul objectif est le renversement du régime séculier du Baas et son remplacement par un « émirat wahhabite » ou un régime islamiste, a poussé Damas, soulignent des hauts gradés de la communauté du renseignement français, « à geler toute coopération avec nos services, au grand dam de la sécurité de nos citoyens. »


Le même article rappelait encore les lettres de remerciement rédigées et envoyées par les officiers français à leurs homologues syriens pour avoir aidé au démantèlement de nombreux réseaux mafieux et/ou terroristes et à déjouer de nombreuses tentatives d’attentats. En plus de son soutien aux terroristes en Syrie, l’ingratitude de Paris l’a mené à la mise sur liste noire européenne de la plupart de ces officiers dont l’un des plus connus, le colonel Hafez Makhlouf, dont le nom, avant de figurer sur la liste noire, trônait à l’entête des lettres de remerciement et de gratitude adressées par ses homologues français.


Bassam Tayyarah, le journaliste libanais résidant à Paris partage, dans son site arabophone d’information en ligne http://www.akhbarboom.com/, la même analyse que celle des milieux du renseignement français. « Si vous avez aimé Claude Guéant (ancien ministre de l’Intérieur sous Sarkozy), vous allez adorer Manuel Valls (l’actuel détenteur du poste) », écrit-il. Il fait ainsi référence à la politique, en matière de lutte antiterroriste, de l’actuel ministre de l’Intérieur qui emboîte le pas à son prédécesseur de droite. Pour tous les deux, la lutte antiterroriste représente « une priorité absolue ». Particulièrement depuis le début de la guerre contre le Mali, et les menaces proférées par les islamistes contre ceux qu’ils qualifient de « nouveaux croisés français. »


Claude Guéant entretenait d’excellentes relations avec les services de renseignements du Moyen-Orient, quand il n’était encore que l’homme d’ombre de Sarkozy, avant même de devenir son ministre de l’Intérieur. L’une de ses relations, et pas des moindres, était les services de sécurité syriens réputés comme les meilleurs d’après un proche de Guéant.


La France a beaucoup profité de sa collaboration sécuritaire avec la Syrie, dont l’aide était précieuse dans des opérations telles que le démantèlement de réseaux terroristes ou la mise en échec d’attentats contre des intérêts français ou même contre le métro parisien. Toujours selon Tayyarah, les services de renseignement syriens tenaient leurs homologues français au courant des mouvements des dhjiadistes français qui traversaient ses frontières pour rejoindre l’Irak.


Celle collaboration syrienne était tellement appréciée qu’elle a contribué, à l’époque, à la volonté d’ouverture de Sarkozy envers Damas. Mais les choses ont changé depuis deux ans, c’est-à-dire depuis le début de la « révolution » syrienne car la France a choisi d’être le fer de lance dans le soutien de l’opposition armée ce qui a logiquement conduit à la rupture de tous les ponts entre les deux pays. Le bureau annexe de la sécurité et de la lutte antiterroriste, qui coordonnait la collaboration, a été transféré de Damas à Amman.


Face à la montée des périls terroristes, une source proche des services français se montre pourtant optimiste. « Il ne faut pas perdre espoir, confie-t-elle, car c’est maintenant de l’intérêt des deux parties d’arrêter la casse et de renouer avec la coopération sécuritaire bilatérale, à condition toutefois que Paris se fasse à l’idée que la guerre secrète qu’elle mène contre Damas ne mène nulle part et qu’elle est perdue d’avance. » En attendant cet hypothétique retour à la raison et au pragmatisme, le régime syrien ne baisse pas les bras et continue à mener une traque implacable contre les réseaux terroristes et dhjiadistes alimentés de l’extérieur.


Selon un observateur libanais cité par le site bien informé Arabi Press, « Damas sait pertinemment qu’un nombre non négligeable de forces spéciales françaises entraînent l’armée syrienne libre. La France leur facilite l’approvisionnement en armes au marché noir. Les services syriens sont parfaitement au courant de la présence militaire française, britannique et américaine qui opère à travers les frontières avec le Liban, la Jordanie et la Turquie. Cette présence n’est pas encore de nature combattante. Elle se situe encore au stade de l’entraînement, de la gestion des centres de commandement arrière et la fourniture d’armes et de matériels de communication. Sans parler de son rôle dans la surveillance des groupes dhjiadistes et des armes qu’ils peuvent se procurer ».


Ce sont sans doute ces agents français qui opèrent à ces frontières de la Syrie qui avaient alerté le chef de l’État et l’avaient convaincu de renoncer à fournir des armes sophistiquées à l’opposition.


Est-ce le début d’une révision de la politique offensive française dramatique vis-à-vis de la Syrie ? Dans ce cas, la France aura de nouveau besoin de la coopération sécuritaire avec Damas en vue d’arrêter le flux ininterrompu de dhjiadistes étrangers et l’arrêt des financements à ces filières provenant des pays du Golfe. On n’en est pas encore là. Mais le spectre du retour vers l’Europe des dhjiadistes qui ont combattu (et combattent toujours) en Syrie, fait trembler ces capitales et pousse Paris à un retournement spectaculaire, dont elle est coutumière.


Henri Sylvain

 


[1] http://www.lejdd.fr/Societe/Justice/Actualite/Le-juge-antiterroriste-Marc-Trevidic-La-France-ennemi-bien-identifie-584526

[2] http://afrique-asie.fr/menu/moyen-orient/4596-quand-la-communaute-du-renseignement-se-rebelle-contre-la-strategie-suicidaire-de-la-france-en-syrie.html

[3] http://www.asianewslb.com/vdcbszbf.rhb09pukur.html

 


Enquête sur les nouvelles filières terroristes en Syrie et en Europe

 

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Sur ce site,

 

 

Un vétéran de l’armée US, à l’agonie, dénonce la guerre “illégale”, en Irak
3 avril 2013 | Le vétéran de la guerre d’Irak, Tomas Young, actuellement, ... ....en soins palliatifs, dans sa ville de Kansas City, au Missouri, a écrit une « dernière lettre » dévastatrice, publiée, sur Truthdig.com, à l’attention de l’ex-Président George W.Bush et du vice-Président, Dick Cheney.

 

Une fatwa autorise le viol des femmes Alaouites en Syrie
2 avril 2013 | Un Cheikh jordanien, Yasser al Ajlouni, qui soutient la lutte armée menée par les combattants du front al Nousra et de l’ASL, prononce ici une fatwa autorisant ces derniers à violer les femmes Alaouites en Syrie.

Tel Aviv très impliquée dans la déstabilisation de Damas
31 mars 2013 | .

 

La campagne BDS : boycott d’Israël ou boycott de la résistance palestinienne ?
31 mars 2013 | En 2005, 172 organisations palestiniennes lancent, parallèlement aux autres modes de résistance, un appel à un boycott généralisé d’Israël pour dénoncer la politique coloniale et raciste de l’Etat juif d’Israël.

 

 

Actualité 


  • 5 avril 2013, par Comité Valmy
    Leçons de la crise chypriote
    Par Jacques Sapir
    31 mars 2013
    Il est temps désormais de tirer les leçons de la crise chypriote. Cette dernière a été importante non pas du fait de la taille du pays – Chypre ne représente que 0,2% du PIB de la zone Euro – mais en raison des mesures prises et de leurs conséquences. Elles prouvent que Chypre, aussi petit qu’elles soit, a ébranlé dans ses profondeurs la zone Euro.
    La crise de l’Euro est passée dans une phase qualitativement supérieure.
    Tout d’abord, (...)

  • 5 avril 2013, par Comité Valmy
    L’erreur fatale de l’anesthésiste :
    Le malade chypriote se réveille avant la fin de l’opération
    La semaine dernière, le gouvernement chypriote a nommé une commission d’enquête chargés de déterminer les responsabilités pénales dans la crise et de relever d’éventuels délits d’initiés ou favoritismes. Le nouveau président M. Anastasiades a du déclarer ceci : "Je veux insister sur le fait que lors de la cérémonie de prestation de serment demain (mardi) pour ces trois juges, ils vont recevoir (...)

 

 

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29 mars 2013 5 29 /03 /mars /2013 18:34

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Par Camille Loty malebranche

Le but ultime et suprême de toute géostratégie dans un contexte néocolonialiste où nulle puissance prédatrice ou conquérante ne peut dire que tel territoire souverain lui appartient de manière formelle et légale selon  les prescrits du droit international, est de créer des États fantômes nouveaux, voués à toutes les volitions des puissances qui les portent à l’existence.


 

En appuyant l’avènement d’un premier ministre intérimaire de la coalition nationale syrienne, Ghassan Hitto, les puissances occidentales viennent de montrer leur décision de tout faire pour établir leur domination sinon sur tout le territoire, à tout le moins sur une partie du territoire syrien que probablement l’Asl (armée syrienne libre) au service des desiderata occidentaux se chargera de déterminer par une prochaine scission du territoire du pays. Quand on sait que G. Hitto est un islamiste, cadre jusqu’à sa nomination d’une compagnie de téléphonie étasunienne au texas, l’on ne peut ne pas saisir le jeu malsain de la politique occidentale vis-à-vis de l’islamisme; une politique de cloaque anatomique par où tout passe, c’est comme le rostre de certains crinoïdes paléolithiques où la bouche et l’anus passent pratiquement par le même canal, confondus dans leur fonction d’absorption et d’excrétion selon les besoins. Et pire ici, le même produit est déclaré comestible et toxique selon les cas. On sait également que même certains membres de l’opposition se sont abstenus devant une telle ingérence étasunienne, un si criant asservissement par l’étranger de l’autorité censée les représenter.  L’on comprend alors que le refus de tout dialogue avec Assad de la coalition gouvernementale dirigée par Hitto, relève de la mission de ce dernier envelrs ses maîtres occidentaux qui l’ont investi en cette occurrence pour précisément empêcher toute entente entre les parties syriennes. Car il ne s’agit pas seulement de a tête d’Assad et de ses proches, très sots qui s’y fieraient, mais de positionnement géostratégique des usa et de leurs alliés.


Lorsqu’il échouent à vampiriser les pays qu’ils visent à transformer en domaine de leur hégémonie ou qu’ils éprouvent le besoin de territoires nouveaux plus adaptés à leur politique impérialiste, les prédateurs d’États, disloquent et divisent les États retors à leur domination, en leur enlevant des parts territoriales pour créer d’autres États satellites limitrophes afin d’affaiblir leur cible et de s’assurer une présence militaire rendue légale par la force des choses. L’histoire témoigne de cas précis de création d’États par des hégémonistes néocolonialistes assurant leur intérêt stratégique en coupant des territoires pour se positionner sur de nouveaux pays dont deux nous viennent à la mémoire: le Koweït, le Panama…


Les nouvelles récentes de la crise syrienne nous replacent donc devant un cas de figure classique en géostratégie où priment l’émiettement de territoires, le forgeage d’États fantômes pour s’implanter dans des régions stratégiques, ici cette partie spécifique du Proche–Orient qu’est la Syrie, espace de dispute paroxystique de la suprématie entre l’occident et le tandem sino-russe. Rien n’est trop énorme aux yeux des hégémonistes ni le lourd tribut politico-économique d’effritement institutionnel pour les peuples visés, ni le massacre de populations civiles ni la pulvérisation de pays entiers à l’heure de redéfinition des nouveaux pôles au vingtéunième siècle que nous pouvons d’ores et déjà qualifier celui de la multipolarité et des luttes de pôles hégémoniques.

 

 

intellection.over-blog.com

CAMILLE LOTY MALEBRANCHE

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26 mars 2013 2 26 /03 /mars /2013 01:59

 

Conflits et guerres actuelles
La France serait derrière les troubles en Centrafrique


René Kimbassa
Lundi 25 Mars 2013


La France serait derrière les troubles en Centrafrique

« Salut Steve ! Tu sais que je suis un officiel centrafricain mais je préfère garder l’anonymat. Je sais que vous vous dites que Bozizé mérite certainement ce qui lui arrive et cela est vrai. Mais, ce ne sont pas les rebelles de la Seleka qui ont renversé le pouvoir. Ce sont plutôt les combattants tchadiens venus dans le cadre des accords signés à Libreville. Ils sont rentrés dans la capitale à 8h et Bozizé aurait été atteint lors des combats. L’ambassadeur de France a été le premier à arriver à l’hôtel Idjer Bangui qui est la base du nouveau pouvoir. La France a offert notre pays à Idriss Deby (le président Tchadien) en contrepartie de son engagement au Mali. Celui qui doit prendre le pouvoir s’appelle Djotidja et était vice premier ministre chargé de la défense dans le gouvernement d’union suite aux accords de Libreville en janvier. Toutes les maisons et sociétés ont été pillées sauf celles des français. La déclaration de prise de pouvoir sera faite à 20h (j’ai reçu le sms hier à 17h Utc). Le premier ministre sortant devrait être reconduit. L’enjeu, c’est le partage du pétrole du bloc A découvert à la frontière avec le Tchad, convoité par les français et les tchadiens mais promis aux chinois par Bozizé. Les rebelles sont venus par la même route du nord que Bozizé il y a 10 ans aidé par la France et le Tchad. Les populations sont désabusées en regardant ces gens jouer avec leur avenir. La connexion internet est mauvaise mais je t’envoie 10 photos exclusives par mail (malheureusement, je n’en recevrai que 4 en définitive) »

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[http://rene.kimbassa.over-blog.com/article-la-france-serait-derrere-les-trouble-en-centreafrique-116517374.html]urlblank:http://rene.kimbassa.over-blog.com/article-la-france-serait-derrere-les-trouble-en-centreafrique-116517374.html

 

http://www.alterinfo.net/La-France-serait-derriere-les-troubles-en-Centrafrique_a88303.html

 

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25 mars 2013 1 25 /03 /mars /2013 02:01

 

 


 

 

 

 

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22 mars 2013 5 22 /03 /mars /2013 23:11

 

 

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Le vrai visage de la démocratie occidentale

La destruction de la Syrie moderne, de communion des civilisations

Admirable vidéo de 3 mn


 

valmy
       
La Vague Bleue de Damas
        vidéo de la Coordination pour la Souveraineté de la Syrie et Contre l’Ingérence
...
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21 mars 2013 4 21 /03 /mars /2013 23:01

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Source : RT

 

americans-train-syrian-rebels.siDes instructeurs étrangers formeraient des rebelles syriens à la guerre moderne en Jordanie selon des rapports européens. D’après les sources, ces rebelles seraient formés pour faire office de forces de sécurité après le départ d’Assad mais l’entraînement au combat qu’ils suivent ne correspond pas à cet objectif.

Au cours des 3 derniers mois, environ 200 hommes ont été entraînés dans 2 camps, l’un à l’est et l’autre au sud de la Jordanie, selon Der Spiegel. L’entraînement militaire porte sur la manipulation d’armes anti-tanks, selon le magazine qui cite ce qu’il dit être des participants et des organisateurs. Il ajoute qu’il est prévu d’entraîner un total de 1 200 combattants de l’Armée Syrienne Libre (les forces d’opposition au régime du président Bashar Assad).

Le rapport précise que certains Etasuniens portaient des uniformes de l’armée, mais il ne dit pas s’ils travaillaient pour des firmes privées ou s’ils représentaient l’armée étasunienne.

En octobre dernier, le Pentagone a confirmé qu’un petit groupe de forces spéciales étasuniennes et de conseillers militaires avait passé l’été en Jordanie pour préparer la riposte des soldats du pays au cas où la Syrie utiliserait des armes chimiques. D’après ce qu’on sait, des groupes de rebelles ont aussi suivi cet entraînement.

Comme l’a rapporté vendredi dernier le journal anglais The Guardian, les Etats-Unis ne sont pas les seuls à fournir de l’entraînement. La Grande Bretagne et la France ont aussi envoyé des instructeurs en Jordanie pour former les rebelles syriens.

Les ministres étasuniens, anglais et français n’ont pas encore commenté l’information selon laquelle l’Armée Syrienne Libre était entraînée en Jordanie, mais cet entraînement n’entrerait pas en contradiction avec les plans étasuniens de fournir une aide directe non létale à l’opposition syrienne ni avec l’interprétation anglaise de l’embargo sur les armes imposé à la Syrie.

« Une telle assistance technique peut inclure des aides, des conseils et des formations sur la manière de maintenir la sécurité dans des zones dont le régime a perdu le contrôle en coordonnant les autorités civiles et militaires, sur la manière de protéger les civils et de minimiser les risques pour eux et sur la manière de maintenir la sécurité en période de transition, » a dit le ministre des affaires étrangères anglais William Hague au parlement anglais mercredi dernier.

Selon la source de Der Spiegel à Bruxelles, le texte de l’embargo européen sur la fourniture d’armes à la Syrie adopté au début de mars est « délibérément flou. »

« En ce qui concerne l’assistance technique ce qu’elle signifie en pratique dépend de qui la demande. Les Anglais et les Français, par exemple, se sont avancés beaucoup plus que les autres. En principe, l’assistance a pour but de protéger les civils mais on a vu en Libye que cela pouvait être interprété de différentes manières, » a dit la source.

En Libye l’ingérence occidentale dans les affaires du pays a commencé par l’établissement d’une zone d’exclusion aérienne ostensiblement pour protéger les civils victimes de la guerre civile et s’est terminée par l’envoi de troupes alliées pour aider les rebelles à prendre d’assaut la capitale Tripoli pour en chasser l’homme fort du pays, le colonel Mouammar Kadhafi. Le leader a finalement été brutalement assassiné par des miliciens sans aucune enquête criminelle ni décision de justice.

Aujourd’hui la Libye est un territoire qui n’a plus qu’un pouvoir central de façade incapable de contrôler la violence qui oppose des groupes de rebelles armés et de Bédouins locaux.

Les services secrets jordaniens participent aussi à l’entraînement des rebelles syriens et leur travail est de repérer les islamistes radicaux (Salafistes) pour les exclure de l’entraînement de pointe donné par les étrangers. Les instructeurs étrangers leur préfèrent d’ailleurs les anciens officiers de l’armée syrienne régulière.

« Les Etasuniens ont maintenant plus confiance en nous que dans les Turcs, parce que la seule préoccupation des Turcs est d’obtenir davantage de marge de manœuvre dans leur lutte contre les Kurdes, » a expliqué un Jordanien bien informé de Amman au Guardian.

A ce qu’on sait, les Etasuniens sont déçus par les résultats de l’aide qu’ils ont apportée à l’opposition syrienne par l’intermédiaire de la Turquie, parce que Ankara n’a pas empêché ou a délibérément laissé les extrémistes islamistes contrôler les activités rebelles sur le front syrien du nord.

D’autres sponsors des rebelles bien connus comme l’Arabie Saoudite et le Barhein envoient aussi de l’aide aux rebelles syriens à travers la Jordanie.

A la fin de février, le secrétaire d’état, John Kerry, a annoncé que les Etats-Unis fourniraient à l’opposition syrienne une aide d’une valeur de 60 millions de dollars qui comprendrait des véhicules blindés, des équipements militaires non létaux et de l’assistance technique.

The Guardian a rapporté qu’un petit nombre de forces spéciales anglaises étaient déjà en Jordanie prêtes à agir si l’Occident décidait d’intervenir en Syrie directement. En attendant leur ordre de mission, ils forment les rebelles aux tactiques de la guerre moderne.

La source jordanienne du journal souligne que les entraînements en cours sont de moyenne envergure.

Mais Der Spiegel rapporte que le programme a pour but d’entraîner jusqu’à 10 000 combattants de l’Armée Syrienne Libre pour former quelques 12 unités de combat. The Guardian avait déjà annoncé que ce nombre serait nécessaire pour restaurer l’ordre en Syrie après le départ du président Bashar Assad.

The Guardian affirme que les alliés anti-Assad sont en train de former des forces de police pour maintenir l’ordre en Syrie après la départ d’Assad et non pas d’essayer de renverser la situation militaire, mais en réalité la formation à la manipulation des armes anti-tanks qu’ils reçoivent ne cadre pas avec cet objectif.

Une source jordanienne anonyme a aussi exprimé l’espoir que cette force puisse aider la Jordanie si la situation avec les réfugiés syriens s’aggravait et que des centaines de réfugiés supplémentaires accouraient dans le pays.

Cela pourrait facilement se produire si les services publics de la ville syrienne méridionale de Daraa cessaient de fonctionner. Un million de réfugiés pourraient alors chercher refuge en Jordanie.

Selon les rapports, la Jordanie a déjà accueilli plus de 320 000 réfugiés syriens.

Depuis le début du conflit en Syrie, il y a plus de deux ans, environ 70 000 personnes ont été tuées dans les deux camps, selon les militants syriens. Plus d’un million de gens se sont enfuis dans les pays voisins et sont devenus des réfugiés.

Pour consulter l’original : suivre ce lien.

Traduction: Dominique Muselet

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21 mars 2013 4 21 /03 /mars /2013 00:49

 

 

18 mars 2013

Sur les pratiques pédophiles et satanistes de la famille royale anglaise

John+Allen+with+children+in+his+careLe réseau pédophile d’élite en Angleterre n’est hélas pas un mythe. Dans les années 80, on a entendu parler d’un réseau pédophile installé par le MI6 au Kincora Boys Home, à Belfast. Peu après, ce sont les orphelinats du Pays de Galles qui ont fait parler d’eux. ¨Puis ceux de Londres, d‘Ecosse, et finalement c’est Jimmy Savile qui est tombé. Aujourd’hui, les grandes manœuvres continuent afin d’étouffer le plus gros du scandale : l’implication de la famille royale dans ce réseau pédophile. On va donc parler de satanisme, de pédocrminalité, et d'une sombre affaire de cérémonie qui a mal tourné dans le sud de la France.

 

En 2012, un certain Chris Jones affirme que ses deux frères, Adrian et Leander, ont été assassinés parce qu’ils s’apprêtaient à exposer le réseau pédophile d’élite, et notamment Margaret Thatcher. Chris Jones a expliqué qu’encore enfant, il a été forcé à des relations sexuelles avec un juge de la Haute Cour, ou encore par un flic.

Jones dénonçait aussi John Allen, qui gérait un orphelinat dans le Nord du pays de Galles, où nombre de scandales ont été révélés récemment. Adrian Johns avait été pensionnaire à Bryn Alyn, et en 1992 il avait menacé John Allen de le balancer s’il ne lui payait pas une compensation financière[1]. Il a été tué le 17 avril 1992 dans l’incendie criminel de sa maison.

En 1995, Chris et Leander ont témoigné contre Allen lors d’un procès. Peu après, Leander est mort d’une overdose.

Allen a été condamné à 6 ans de prison en 1995 pour des agressions commises entre 1972 et 1983. Puis, lors de l’enquête Waterhouse sur les viols commis dans les orphelinats du Pays de Galles, il a de nouveau été inquiété en 2003 mais a finalement échappé à 36 chefs d’accusation pour des abus dans les homes dont il était responsable.

Il était arrivé dans le business des orphelinats au milieu des années 60, après avoir commencé dans l’hôtellerie, et en 1969 il a ouvert la Bryn Alyn Community residential schools, une chaîne d’orphelinats et de foyers pour enfants. Le premier home a fonctionné avec 11 personnes non formées à s’occuper d’enfants.

Former-Minister-Says-Thatcher-Aide-Was-Paedophile-Who-Preyed-On-Boys-Home-And-Hague-Should-Have-Known-02A un moment, Allen gérait une cinquantaine d’orphelinats dans le Nord du Pays de Galles et ailleurs, comme Londres et Brighton, et environ 500 enfants y seraient passés.

Le business était très rentable puisque dans les années 80, l’Etat versait 15.000£ par an pour un enfant placé [2]. Au milieu des années 80, le chiffre d’affaires était d’environ 2,8 millions de livres par an pour un bénéfice de 80 à 90.000£, mais Allen touchait en 1988 pas moins de 204.800 £ par an, possédant un yacht et diverses propriétés, notamment sur la Côte d’Azur. Où il possédait une villa revendue en urgence à 200.000£.

En 1992, Allen a perdu ses agréments et les écoles ont fermé en 1997, suite à une gestion calamiteuse et à des dettes importantes.

172 personnes avaient déclaré avoir été victimes dans les orphelinats d’Allen. Evidemment, certains (28 ont été finalement retenus) ont aussi dénoncé Allen comme étant un pédophile. Leander Jones était l’une de ses victimes. Il est devenu prostitué à Londres juste après avoir quitté le home. A 17 ans, il s’est ensuite rendu à Amsterdam. Il a témoigné lors de la procédure contre Allen, mais il est mort d’une overdose avant le début du procès, en février 1995. Comme par hasard, Allen a disparu de la circulation entre les déclarations de Leander et son décès, pour revenir comme une fleur nier en bloc à son procès.

Finalement, on n’a retenu contre Allen que des agressions sexuelles, pas de viols malgré les nombreux témoignages concordants.

Déjà en 1982, Allen avait été entendu par des flics au sujet d’abus commis sur des enfants dans ses homes, mais cela n’a rien donné. Déjà à l’époque, une victime avait dit qu’Allen lui donnait de l’argent pour qu’il se taise. Logiquement, on peut se demander si les difficultés économiques d’Allen n’étaient pas directement liées aux chantages de ses victimes.

Le rapport Lost in care considérait quant à lui que les abus commis par Allen étaient extensifs et répétés. Il estime qu’Allen entraînait un comportement pédophile du personnel des homes. Des enfants étaient envoyés dans des orgies, prostitués dans des hôtels, menacés. Certaines victimes étaient violées par les éducateurs, par les responsables des orphelinats, mais aussi par les amis de ceux-ci. Evidemment, aucun signalement ni aucune plainte n’a abouti dès que des pédophiles puissants, flics ou magistrats étaient impliqués.

 

2013-02-23_021424 - Copie (2)Les réseaux pédo – FM

Derrière toute cette histoire, l’ombre de la Franc Maçonnerie planait. Même si comme toujours, on n’a officiellement rien trouvé, nombre de protagonistes essentiels de l’enquête étaient FM. A tel point que des victimes ont demandé au tribunal qu’on dresse une liste des magistrats, flics et autres intervenants appartenant à la franc-maçonnerie. Pourquoi ? Parce qu’on craignait un étouffement dans les règles, ce qui a d’ailleurs été le cas. Il faut dire qu’avec un Gerard Elias, membre de la loge Dinas Llandaff à Cardiff, juge à la haute cour qui dirigeait le tribunal, il pouvait difficilement en être autrement. Quant au chef de la police du nord du pays de Galles à l’époque des abus, Lord Kenyon, il était Grand Maître provincial[3] et a été pris plus d’une fois à protéger ses camarades.

Les enfants étaient envoyés dans des hôtels ou des villas pour y être violés par des pédophiles ayant un pouvoir d’achat certain.

On sait aussi que divers pédophiles, comme un certain Gary Cooke, alias Reginald Cooke, avaient leurs entrées dans les homes d’Allen. Ledit Cooke, qui avait quitté l’armée en 1974, introduisait ensuite les enfants auprès d’autres pédophiles. Un autre pédophile qui avait ses entrées chez Allen, Graham Stephens, avait même emmené un jeune au Danemark fin 1972.

On a aussi l’affaire du massacre de Dunblane en mars 1996, où un « tueur fou » et pédophile notoire est entré dans une école pour massacrer 16 gamins et leur institutrice avant de se suicider, a été armé grâce à un permis d’armes signé par un franc maçon devenu ensuite le secrétaire général de l’OTAN, Lord Robertson.

C’est d’ailleurs un franc maçon, Lord Burton, grand maître local, qui a dénoncé les protections incroyables dans cette histoire et a qualifié l’enquête de « cover-up », de couverture. Burton dénonçait surtout l’appartenance de Lord Cullen, le haut magistrat qui a mené une pseudo enquête sur ledit massacre, à la Speculative Society, liée à la FM, et dont certains membres violaient des enfants de l’école Queen Victoria (pour les enfants de militaires, présidée par le Duc d’Edimbourg c’est-à-dire le prince Philip), école où le tueur fou a justement trainé à une époque. Il n’empêche, Cullen a été nommé baron en 2003, probablement en récompense pour avoir protégé ses camarades.

Et ceci n’est qu’une infirme partie des scandales pédophiles étouffés au Royaume Uni.

L’affaire Elm Guest house, ce bordel pour pédophiles puissants installé au cœur de Londres, en est un autre. Pourquoi ces étouffements systématiques ? Parce que des noms de députés, de juges, de ministres, de premiers ministres, et même la famille royale sont cités par diverses victimes.

On va parler de la famille royale anglaise, mais là on va manquer de sources écrites, évidemment.

 

La famille royale anglaise,  une coterie nazie ?

article-2287402-186EB70B000005DC-76_634x941On ne va pas s’éterniser longtemps sur cet aspect des choses aujourd’hui très bien documenté, n’en déplaise à certains propagandistes de l’Histoire officielle.

On sait que les liens de la famille royale anglaise avec les nazis ont été très étroits, et le sont probablement encore, si l’on en juge par le déguisement arboré récemment par le prince Harry.

 

Prince Phillip

Dans la famille royale aussi, on découvre quelques nazis. Comme le Prince Charles Edward, un duc de Saxe Cobourg Gotha et petit fils préféré de la reine Victoria[4], qui est passé pour un traitre en Angleterre durant la première guerre mondiale et a rejoint le parti nazi dès sa création. En 1936, Hitler l’a envoyé en Angleterre pour devenir le président de l’Anglo German Friendship Society afin de développer les relations entre les deux pays, et il ‘la aussi nommé comme président de la Croix Rouge Allemande.

On a aussi Edouard VIII, qui a carrément donné à Hitler les plans de défense de la France avant le début de la deuxième guerre. Charles Edward s’est rapproché de lui par le biais de son association, mais pas de chance Edouard VIII a du abdiquer juste avant la guerre.

Quant à Philip, ses quatre sœurs sont mariées à des princes allemands aux sympathies nazies. L’un d’eux était Colonel dans la SS, attaché au service personnel d’Himmler. La mère d’Elisabeth II s’était d’ailleurs opposée au mariage de sa fille avec ce prince allemand.

Tout cela est prouvé par les archives et les recherches des historiens, mais il ne faut pas oublier que ce fut un grand tabou durant 60 ans. Philip n’a commencé à parler de ses connexions nazies que quand le feu a été allumé, pour mieux noyer le poisson.

C’est l’oncle de Philip, George van Battenberg, frère de Louis Montbatten, qui fut son représentant légal.

 

Lord Mountbatten : il est considéré comme le mentor du prince Charles, après avoir été celui du prince Philip. Amiral de la navy, il était aux premières loges pour organiser le trafic de drogue entre l’Asie du sud est et l’Europe. Mountbatten était le frère de la reine de Suède, l’oncle du prince Philip, et les deux portent comme vrai nom celui de Battenberg, anglicisé en Mountbatten.

Mountbatten, tout comme Edward Heath, a été relié à l’affaire du Kincora Boys Home, un orphelinat où il est avéré que le MI5 a élaboré un réseau pédophile destiné à compromettre diverses personnalités. Des enfants du Kincora Boys Home étaient emmenés dans un château au milieu de l’Irlande, qui appartenait à la famille du fondateur du Hellfire Club, un groupuscule élitiste fondé fin XVIII e.

tumblr_m8tkjeFmtM1rnseozo1_500 copieLes orphelinats du pays de Galles servaient également au MI5 pour filmer des diplomates étrangers dans des positions plus que compromettantes.

On sait aussi que c’est Mountbatten qui a permis à Savile d’être le premier civil à être décoré du « béret vert », une distinction militaire, dès 1966.

On prête souvent une relation homosexuelle à Mountbatten et Edward VIII, qui étaient cousins.

Il est mort en 1979 dans l’explosion de son bateau qui a été attribuée à l’IRA parce qu’est pratique, mais plusieurs théories circulent notamment vers la piste des services secrets. Accessoirement, il était avec un garçon de 14 ans, Nicholas Knatchbull, sur le bateau au moment de l’explosion.

 

Porphyrie

La porphyrie (du grec porphyra qui signifie violet) est une maladie du sang très répandue dans les familles royales européennes et chez les tsars russes, où la consanguinité est quasiment la règle. On nous explique que cette maladie, qui se présente sous différentes formes, a entraîné le mythe de Dracula car les personnes atteintes de porphyrie sont obligées de régénérer leur sang, soit par dialyse, soit en en buvant.

On peut ajouter qu’à force de se défoncer à la coke synthétique du matin au soir, le sang de certaines personnes est tellement pourri qu’ils doivent boire du sang neuf dès le matin au petit déjeuner[5]. Ca peut paraître incroyable, mais c’est vrai.

Le débat fait rage et les familles royales, notamment celle d’Angleterre, nient absolument être victimes de cette maladie, comme on le soupçonne chez leurs ancêtres Georges III et Mary Stuart. Charlotte, petite fille de la Reine Victoria, avait aussi la porphyrie, de même que sa mère Vicky ou le cousin de la reine Elisabeth, William de Gloucester.

C’est certainement un hasard si le prince Charles a déclaré en octobre 2011 qu’il était un descendant de Dracula par sa grand-mère, la reine Marie.

Sauf que Dracula n’est pas un mythe, pas plus que le fait de boire du sang ou de se protéger de la lumière du jour. Et quel est le sang le plus recherché ? Celui des enfants Blancs, évidemment.

 

La famille royale, une clique pédophile

Lady-Gaga-tres-hot-face-a-la-reineLa famille royale anglaise est surtout, comme tous les dirigeants des pays développés et probablement des autres pays aussi, est vérolée jusqu’à la moelle par ses comportements pédocriminels.

Pourquoi ? Parce que comme tous nos dirigeants, la famille royale anglaise est sataniste.
A ce titre, elle est forcément pédophile. On pourrait ajouter que la reine d’Angleterre comme ses descendants sont cocaïnés jusqu’aux yeux, et consomment plusieurs kilos de cocaine pure chaque mois.

On sait par exemple que deux anciens premiers ministres, Harold Wilson et Edward Heath, pratiquaient les sacrifices d’enfants, qui sont incontournables pour un bon sataniste bien taré. Heath, qui appréciait beaucoup les virées à Jersey,  aurait ainsi tué plusieurs enfants. On le retrouve aussi du côté de Belfast, au Kicora Boys Home, directement lié au groupuscule satanique le Hellfire Club, et aussi du côté d'Elm Guest house.

En 2008, c’est un majordome de Buckingham Palace et ancien marine, Paul Kidd, qui s’est fait coincer pour des viols commis sur des mineurs durant 30 ans, alors qu’il travaillait pour la famille royale. Bien sûr, aucun lien n’a été fait entre le réseau pédophile mis en place par Kidd et la famille royale. Une de ses victimes a expliqué que quand il avait 14 ans, Kidd l’a invité à prendre le thé en compagnie de la reine à la fin des années 70.

En 1999, une enquête internationale appelée operation Ore a mené à des arrestations aux Pays Bas et en Angleterre notamment, où les flics ont pu établir des liens entre des pédophiles du Labour présents au gouvernement et du trafic d’enfants dans un but de prostitution en Belgique et au Portugal[6]. Blair a eu tellement chaud aux fesses qu’il a imposé aux médias de ne citer aucun nom[7].

Quant à Savile, il ne fait désormais plus aucun doute qu’il s’adonnait à des cérémonies satanistes.

On sait qu’il fournissait des enfants au gouvernement, notamment à Jersey où un témoin l’a vu faire monter un enfant sur le yacht d’Edward Heath, alors 1er ministre.

Ce n’est pas pour rien que le député Tom Watson a demandé une enquête sérieuse au sujet d’ « un réseau pédophile puissant lié au Parlement et à Downing Street »

 

5540116Plusieurs éléments corroborent ce penchant de la famille royale, notamment :

 > Jimmy Savile : la star de la BBC était le fournisseur d’enfants pour les cercles fermés de la famille royale et du gouvernement. Il avait accès à de nombreux orphelinats (comme celui de Jersey par exemple), mais aussi à des pensionnats de jeunes filles, à des hôpitaux psychiatriques (dont il avait toutes les clés et où il était même hébergé[8]), et pouvait se fournir en enfants n’importe où et n’importe quand.

Savile, qui cumule aujourd’hui plus de 450 plaintes, a été introduit auprès du Prince Charles par Lord Mountbatten au début des années 70, soit une dizaine d’années après les premières plaintes d’abus sexuels contre Savile (en 1964).

Ensuite, Savile est carrément devenu un proche conseiller de Charles, donnant son avis sur la nomination d’un assistant, ou même sur l’organisation de son mariage. Au palais, Savile se comportait normalement, c’est-à-dire comme un camionneur en rut.

Certains considèrent aussi que l’émission débile de Savile, « Jim’ll fix it » (1975 – 1994), n’avait pour but que de faciliter l’accès du prédateur aux enfants.

Ajoutons qu’en plus d’être pédophile, Savile se livrait à des pratiques nécrophiles[9] ainsi qu’à des pratiques satanistes, ce qui est décrit dans plusieurs témoignages de victimes. Ce n’est probablement pas pour rien que le corps d’une jeune femme a été retrouvé juste devant chez lui le matin du 5 février 1977. D’ailleurs, les liens d’amitié de Savile avec le tueur en série Peter Sutcliffe qui a avoué le meurtre, et leur proximité géographique avant que Sutcliffe ne soit envoyé dans l’un des hôpitaux du circuit de Savile, posent aussi question, Broadmoor.

Le neveu de Savile, Guy Mardsen, a expliquéil y a quelques mois comment son oncle l’emmenait dans des partouzes avec des types puissants, et comment il lui demandait de trouver d’autres enfants plus jeunes pour amuser la clique.

royal family cocaine> L’affaire des enfants volés dans un orphelinat indien du Canada. J’ai déjà abordé cette affaire dans un article consacré au génocide des indiens du Canada, notamment en envoyant leurs enfants dans des orphelinats tenus par l’Eglise, de véritables mouroirs dans lesquels opéraient des réseaux pédophiles. Pour résumer, trois survivants de ces orphelinats ont déclaré avoir été témoins de l’enlèvement d’une dizaine d’enfants par la Reine d’Angleterre. Lors d’une visite royale dans l’un de ces orphelinats à Kamloops, en Colombie Britannique en octobre 1964, on a présenté les enfants à la reine et au prince Philip qui l’accompagnait. Le premier de ces témoins est mort rapidement après avoir parlé, et le dernier survivant, William Combes, est mort en février 2011 avant d’avoir pu témoigner au procès qui a valu une condamnation à 25 ans de prison pour le pape et la reine d’Angleterre, notamment (mais on va y revenir plus bas). Au passage, le décès de Combes ressemble beaucoup à un assassinat, d’après certains comme Kevin Annett qui a enquêté sur le sujet.

L’école était tenue par l’Eglise catholique, et les enfants y étaient systématiquement torturés, certains étaient même tués, comme c’était le cas dans une bonne partie de ces « residential schools ». Le jour de la visite royale, certains enfants ont eu le privilège de pique niquer avec la reine et Philip, ainsi que quelques prêtres. Combes, qui avait 12 ans à l’époque, se souvient : « Je me rappelle que c’était bizarre parce qu’on a tous du baiser les pieds de la reine, qui avec des chaussures blanches à lacets ». Après un moment, la reine a quitté le pique nique avec dix enfants de l’école, sept garçons et trois filles âgés de 6 à 14 ans, « et ces enfants ne sont jamais revenus », dit encore le témoin dans sa déposition officielle le 3 février 2010, « on n’a plus jamais entendu parler d’eux et on ne les a jamais revus, même quand nous étions plus âgés ».

> La condamnation récente de la Reine d’Angleterre (de même que du pape) par un tribunal canadien pour crimes contre l’humanité. On parle du massacre des indiens du Canada, envoyés dans des orphelinats tenus par l’Eglise qui étaient transformés en véritables bordels. On estime avoir totalement perdu la trace de 50.000 enfants, en plus de ceux dont on sait qu’ils y sont morts. Ce verdict est intervenu le 25 février 2013 après un mois de délibération par plus de trente jurés qui ont examiné 150 cas d’abus sexuels et maltraitances dans ces orphelinats. Benoît 16 a été condamné à 25 ans de prison, mais comme il a démissionné pile au bon moment et qu’il est vieux, il pourrait passer entre les mailles du filet. La reine d’Angleterre va-t-elle aussi démissionner, comme la Reine Beatrix qui vient de le faire, ou le roi des Belges Albert II qui a lui aussi le feu aux fesses avec des dossiers de pédocriminalité et s’apprête à faire de même ? Ces condamnations (ils ont tous pris 25 ans et encore ce n’est pas cher payé) sont le fruit d’une centaine d’années de combat des indiens du Canada pour faire reconnaitre le massacre dont ils ont été victimes. La parole s’est libérée récemment, au cours des années 90, et des centaines de personnes se sont mobilisées pour accumuler des preuves de ces ignominies sans nom.

eye wide shut1> L’affaire château templier en 2001. Là, je vais me démarquer d’un certain David Ike, qui parle aussi des pratiques satanistes de la famille royale, mais ajoute qu’il s’agit de reptiliens. David Ike ne sert qu’à envoyer les gens sur de fausses pistes. L'affaire est très grave, et a été couverte principalement dans le but de faire chanter les coupables.

En 2001 dans le sud de la France, très probablement dans les Alpes Maritimes, et très probablement entre la mi mai et la mi août, la France a connu une affaire qui a fait jaser dans les services secrets, mais que le bon peuple ignore totalement, hélas. Chaque année, une grande cérémonie satanique est organisée dans un château templier près de Cagnes sur Mer, par et pour la famille royale anglaise. Le gratin sataniste anglais se doit d’y être présent, y compris de nombreux membres du MI5 et du MI6 surtout. Le programme, c’est des orgies, des tortures, des meurtres d’enfants et d’adultes en quantité. Pour cela, il faut de nombreuses proies, qui étaient enfermée dans les sous-sols, où avaient également lieu les rituels. Précisons que tout le monde est complètement défoncé, voire à moitié hypnotisé, et que des jeux de rôle mélangeaient encore les choses davantage.

Le truc, c’est qu’en 2001, de nombreuses victimes se sont échappées[10]. Ce qui a entrainé une véritable panique dans la campagne environnante et l’intervention de la gendarmerie française. Celle-ci a ensuite a fait venir l’armée anglaise, afin d’exfiltrer des membres de la famille royale, au moins William et Philip, en les cachant avec des sacs de pommes de terre qui les couvraient jusqu’à la taille [11]. De cette manière, ni les flics français ni les militaires anglais présents ne savaient qui avait été sorti discrètement du château et mis à l’arrière d’un van.

110425e-image-dut-4417Tout aurait été pour le mieux si des services étrangers n’avaient pas mis la main sur des vidéos réalisées lors des rituels dans le château. La CIA, le Mossad, ont ainsi leurs exemplaires, et il semble que des copies soient en vente un peu partout dans le monde.

Apparemment, plusieurs satanistes anglais sont sous le coup de chantages qui leur coûtent très cher depuis cette affaire.

Pourquoi ne bon peuple n'a-t-il pas le droit de savoir que cela est arrivé, et pourquoi ne peut-on pas en connaître les conséquences, notamment au niveau géopolitique? Car, il semble que 12 ans après, on en subit encore les conséquences. Enfin, il est clair que ça continue, puisque l'impunité règne et que les satanistes cocaïnés dirigent le monde. Question: combien d'enfants -et d'adultes, surtout des femmes- sont-ils massacrés lors des délires de cette bande de tarés? Et jusqu'à quand cela doit-il durer?

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Il y a encore deux ans, il m'aurait semblé parfaitement incongru de parler de satanisme. Pour moi, les satanistes étaient des dingues isolés, aux rituels aussi ridicules qu'inoffensifs. Lourde erreur.
J'ai d'abord du admettre que les pratiques satanistes ou assimilées sont courantes en France, et qu'elles s'accompagnent de viols collectifs d'enfants et souvent de meurtres. On ne retrouve pas toujours le folklore sataniste complet, les robes, les chandelles etc., mais les viols et les meurtres sont systématiques.
J'ai ensuite du admettre, parce que des témoins en parlent, que les satanistes se sont infliltrés partout: politique, justice, médias, services sociaux, entreprises. Notamment parce qu'ils ont eu la bonne idée de s'infiltrer dans des groupuscules tels que la franc maçonnerie et diverses sectes.
On reviendra évidemment sur ce sujet dans les semaines à venir.


[1] De fait, Allen a expliqué au procès qu’il avait versé entre 7 et 8.000£ à Leander et Adrian.

[2] Les enfants les plus difficiles rapportant davantage, Allen en prenait bien au-delà des capacités d’accueil de ses homes. Idem pour les placements en urgence. Selon la même logique financière (qu’on retrouve évidemment en France avec toutes ces associations privées qui se gavent sur le dos des enfants tout en conseillant aux tribunaux… de placer les enfants), les enfants restaient la plupart du temps entre deux et trois années dans les homes d’Allen.

[3] Son fils Thomas a même été voir un pédophile emprisonné dans cette affaire pour lui demander de ne pas balancer le réseau et qu’il interviendrait pour lui auprès de son père. Il était pédophile (ce que les flics savaient parfaitement, pourtant sa victime préférée n’a pas été protégée bien au contraire) et est mort du SIDA en 1993.

[4] C’est la reine Victoria qui a décidé d’envoyer son petit fils en Allemagne et qu’il deviendrait duc de Saxe Cobourg Gotha, la principauté allemande d’où venait son mari le prince Albert. A 16 ans il est devenu Carl Eduard, possédant 13 châteaux en Allemagne et en Autriche etc. Il s’est marié avec une fille du Kaiser et a combattu l’Angleterre durant la première guerre, si bien qu’il a perdu tous ses titres anglais en 1918.

[5] La prise de certaines drogues telles que la cocaïne, dont raffole toute la famille royale anglaise, peut déclencher une porphyrie latente ou empirer la maladie.

[6] Des enfants de la Casa Pia, cet orphelinat portugais qui servait à fournir des partouzes pédophiles en enfants, étaient embrigadés dans ce réseau.

[7] Ce qui a permis à l’un de ses assistants, Philip Lyon, de ne pas être inquiété avant 2003, quand il s’est fait pincer pour avoir téléchargé des images pédophiles. 

[8] Savile avait son appartement à l’hôpital Stoke Mandeville et aussi à Broadmoor, pour lequel il avait lancé une collecte de fonds. Il se rendait seul à la morgue de l’hôpital, ce qui laisse désormais songeur. Il avait aussi toutes les clés de Broadmoor (hôpital psychiatrique), où plusieurs viols ont été commis.

[9] Ce qui était d’autant plus facile pour lui qu’il avait accès aux morgues des hôpitaux précités, notamment.

[10] A ce stade, je en sais pas si c’est l’une des victimes qui est parvenue à faire sortir les autres, ou si c’est un service étranger qui leur a permis de sortir, mais je penche pour la deuxième solution.

[11] Il paraît qu’on a appelé cette opération l’opération SPUDNIKS, du nom d’une marque de chips.

 

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20 mars 2013 3 20 /03 /mars /2013 15:29

 

 

PRINTEMPS ARABE. Algérie: Déstabiliser l’Algérie par un «Printemps» via la Tunisie?

Publié le 20 mars 2013

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TRIBUNE LIBRE DE DJERRAD AMAR

algerieDepuis quelques jours, des informations font état d’une officine privée américaine liée à la CIA qui s’emploie, à partir de la Tunisie, à recruter des Algériens pour en faire, après une « formation », des acteurs et animateurs d’un « Printemps arabe » projeté en Algérie. Il s’agit bien de cette vitrine de la CIA, l’ONG « Freedom House » qui se déclare aider à la défense des droits humains, les libertés et la démocratie, dans les pays en déficit dans ce domaine. Sur le site de cette ONG apparaît, en effet, une annonce intitulée « Directeur de projet – Tunisie » où l’on relève que celui-ci sera chargé de développer et mettre en œuvre des programmes visant à soutenir la démocratie et les militants des droits humains ; gérer le programme du point de vue stratégique, financier, ressource humaine,  communication, surveillance et évaluation ; entretenir des relations avec des organisations locales des droits de l’homme et leurs militants ; identifier les opportunités et élaborer, en coordination avec le directeur régional, des programmes de financement et d’organisations. Pour ce faire, « Freedom House » prend en charge les militants de première ligne qui luttent pour la « propagation de la liberté et de la démocratie dans le monde entier, dont la liberté de la presse, la liberté sur le Net ». Elle possède 13 bureaux extérieurs et 02 bureaux aux États-Unis. 

La SG du Parti des travailleurs, Louiza Hanoun n’a pas manqué, à l’occasion d’un meeting à Annaba, d’alerter à ce sujet et d’appeler à être vigilant en mettant en échec toute velléité qui mettrait en danger l’Algérie. Des journaux tunisiens en ont fait état pour la formation de 200 Algériens qui résident en Tunisie, mais certains parlent de 350 dont 150 seraient des Tunisiens qui auraient participé à la « déstabilisation de la Tunisie et de l’Égypte ». Ces « cybers-collabos » comme on les dénomme en Tunisie ont contribué à cette « révolution des jasmins » sous la vigilance de «Freedom House » qui désormais a officiellement un bureau à Tunis pour « accompagner les Tunisiens dans leur magnifique mutation démocratique ». Selon ‘‘Tunisie-secret’’ : « l’Algérie devait tomber en même temps que la Tunisie. En seulement deux mois (janvier et février 2011), il y aurait eu en Algérie près d’une vingtaine d’immolations par le feu. Selon nos informations, les studios d’Al-Jazeera étaient déjà installés à Oujda, au Maroc, dès le 23 janvier 2011 pour filmer des scènes d’insurrection jouées par des figurants marocains, à faire passer comme des scènes se déroulant réellement dans des villes algériennes. Exactement comme cela s’est passé dans le cas de Benghazi et de Tripoli » ; pour conclure ainsi : « le gouvernement usurpateur de la Troïka ne se contente pas seulement d’envoyer des centaines de djihadistes mercenaires en Syrie. Il complote aussi contre l’Algérie selon un agenda américano-qatari ».

« Freedom House », selon Wikipédia, se déclare organisation non gouvernementale qui aiderait au « développement des libertés dans le monde. La liberté n’est possible que dans un système politique démocratique où les gouvernements sont responsables devant leur propre population ; où la loi est respectée ; et où les libertés d’expression, d’association, de culte et le respect des droits des minorités et des femmes sont garantis… Nos conseils d’administration sont unanimes pour dire que la prédominance américaine dans les affaires internationales est essentielle pour la cause des droits de l’homme et de la liberté » précise-t-elle. Mais beaucoup sont unanimes, aussi, pour dire que cette organisation est une imposture ; créée pour défendre les intérêts américains et rien d’autre. Justin Raimondo (cet écrivain et libertarien américain rédacteur en chef du site web antiwar.com), peint l’organisation ainsi : « Les normes de Freedom House sont élastiques, et se plient aux ordres de la politique extérieure des États-Unis ».

En effet quand on voit ses sources de financement (gouvernement des EU, les groupes privés tel Georges Soros) et les personnalités qui ont défilé dans son conseil d’administration (tels James Woolsey, ex-directeur de la CIA ; Samuel Huntington, l’auteur du ‘Clash des civilisations’ ; Zbigniew Brzeziński ,ex-conseiller à la sécurité nationale US ; Donald Rumsfeld, ex-secrétaire à la Défense des États-Unis et Paul Wolfowitz, ex-secrétaire adjoint à la Défense US) on est en droit de douter fortement sur les objectifs « humanistes » de cette fondation ! Si l’on ajoute Zainab Al-Suwaij – cette Irakienne qui s’est rangée du côté des agresseurs contre Saddam pour ensuite fuir son pays et devenir citoyenne américaine – membre dirigeante de ‘Freedom House’ et directrice de l’AIC (l’American Islamic Congress) on comprend parfaitement la stratégie, la tactique et les buts de cette organisation et de ses semblables dans cette offensive sur la partie choisie du monde arabe à déstabiliser.

« Freedom House » est bien installée en Tunisie. Son objectif maintenant serait l’Algérie pour la mettre dans leur giron. Le programme y afférent cette fois est baptisé «nouvelle génération de militants pour la démocratie en Algérie » après avoir échoué en janvier et septembre 2011. Il serait supervisé, selon le quotidien « Alfadjr », par le ministre tunisien des droits de l’homme et cadre au mouvement Ennahdha, Samir Dilo. Le cheval de Troie serait une formation politique islamiste, dite« modérée » en Algérie.

Ces blogueurs algériens impliqués travailleraient à déterminer les restrictions sur les libertés en Algérie et à définir les besoins sociaux de la population ainsi que se documenter sur la décennie dite « noire » et les « abus de pouvoir » durant ces années. En y combinant tout cela avec les conditions socio-économiques quelque peu difficiles des régions du sud, il est facile d’ériger une stratégie et des tactiques pour déclencher une révolte contrôlée et recomposer ensuite selon les objectifs souhaités.

C’est, bien sûr, sans compter sur la vigilance et la méfiance acquise durant la colonisation et l’expérience forgée durant cette décennie de feu et de sang. La méfiance étant devenue génétique au point où il en est sorti deux expressions caractéristiques, percutantes telles « Espérer du miel du (derrière) d’une guêpe » ou « ne pas les croire même s’ils te rapportent le Paradis sur le creux de la main ». Les Algériens savent bien qu’aucun complot ne se décide et se programme s’il n’y a pas des mains supplétives à l’intérieur et à l’extérieur du pays qui le portent soit pour de l’argent, soit par cupidité, soit par vengeance ou carrément par traitrise. Ces genres existent comme partout ailleurs. Ce sont des canailles, des dégénérés, sans morale que le pouvoir, l’avidité et l’argent ont perverti jusqu’à l’avilissement. Ils savent les repérer et les réduire grâce à leur expérience dans l’adversité.

Alors, 200 blogueurs ou 2000 ce ne sera pas un terrain facile pour nos félons arabes du 21ème siècle avec leurs AlJazeera, Alarabia, France 24, BBC Arabic, fussent-ils appuyés par « Freedom House », la « NED » et sa filiale Human Rights Watch, l’«Albert Einstein Institution», la « Senior Intelligence School de Fort Holabird », toutes vitrines de la CIA ou encore par celle qui se nomme « l’opposition algérienne à l’étranger » avec ses sites et TV spécialisés dans la subversion que financent des milieux connus hostiles à l’Algérie. Les Algériens sont toutefois appelés à plus de vigilance !

DJERRAD Amar

 

 


PRINTEMPS ARABE. Algérie: Déstabiliser l’Algérie par un «Printemps» via la Tunisie?

 

Publié dans : Actualité
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18 mars 2013 1 18 /03 /mars /2013 22:19

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Source : Almanar.com

 

maduro(57)Le président par intérim du Venezuela, Nicolas Maduro, a affirmé dimanche que des responsables américains projetaient de faire assassiner le chef de l’opposition vénézuélienne pour créer le « chaos » et a appelé le président Barack Obama à bloquer ce complot supposé.

Dans un entretien à la chaîne de télévision privée Televen, M. Maduro a déclaré que deux responsables américains, Roger Noriega et Otto Reich, étaient derrière un plan secret visant à faire assassiner le leader de l’opposition Henrique Capriles.

Le complot vise selon lui à déstabiliser le Venezuela à un mois de l’élection présidentielle, à laquelle M. Capriles et lui sont candidats.

« De manière responsable, moi, président par intérim de la République du Venezuela, je le dis à Barack Obama: Roger Noriega, Otto Reich, des fonctionnaires du Pentagone et la CIA, sont derrière un projet d’assassinat du candidat de la droite vénézuélienne », a affirmé M. Maduro en référence à M. Capriles.

Selon le président par intérim, l’objectif du projet est de « faire porter la responsabilité (d’un éventuel assassinat) sur le gouvernement » et « de créer le chaos au Venezuela », où l’élection présidentielle doit se tenir le 14 avril, après la mort du président Hugo Chavez le 5 mars.

MM. Maduro et Capriles sont tous les deux candidats à cette élection.

Le gouvernement vénézuélien a l’habitude de qualifier d’ennemis M. Noriega, ancien ambassadeur des Etats-Unis auprès de l’Organisation des Etats américains (OEA), et M. Reich, sous-secrétaire d’Etat américain et ancien ambassadeur à Caracas. Il les accuse tous deux de chercher à déstabiliser le pays, qui possède les plus grandes réserves de pétrole brut de la planète.

M. Maduro, qui a accusé certains opposants d’être de mèche dans le « plan putschiste » dont il affirme l’existence, a indiqué que son gouvernement « allait garantir toute sa protection à tous les candidats présidentiels, en particulier » à M. Capriles.

Mais le leader de l’opposition, gouverneur de l’Etat de Miranda (nord), a déclaré par avance que M. Maduro serait « responsable » de toute action à son encontre.

M. Capriles, 40 ans, va tenter de conquérir la présidence du pays pour la deuxième fois, après avoir perdu l’élection d’octobre contre Hugo Chavez, qui a désigné M. Maduro, 50 ans, comme son successeur et candidat à l’élection au cas où il serait dans l’incapacité de gouverner.

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