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7 janvier 2013 1 07 /01 /janvier /2013 14:18
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Quand la France socialiste expulse des vieilles dames
7.01.2013, 15:38, heure de Moscou
       

телевидение телевизор старик дом престарелых пенсионер

 
Photo : RIA Novosti

C’est une nouvelle incroyable qui fait le tour des journaux français, une vieille dame de 94 ans domiciliée dans une maison de retraite dans le département des Hauts-de-Seine a été expulsée pour cause d’impayés. Histoire d’une France sociale qui tourne le dos à ses anciens.

L’expulsion de cette pensionnaire d’une maison de retraite, à Chaville petite bourgade de 18 000 habitants du département 92 est en train de provoquer un véritable raz-de-marée médiatique. L’histoire commence lorsque les deux fils de cette dame âgée décident son installation due à son âge avancée dans une maison de retraite en 2011. Rapidement ils cessent toutefois de payer les mensualités et la facture s’allonge considérablement jusqu’à compter quelque 40 000 euros.

La direction malgré de nombreuses relances téléphoniques et d’innombrables courriers auprès des deux fils de la pensionnaire n’obtient rien. Elle affirme ne pas avoir pu joindre les deux hommes pour les obliger à payer et déclare également qu’ils ont des revenus confortables. Portée devant la justice, cette dernière condamne les deux hommes à payer les arriérés mais les deux hommes restent silencieux. De guerre lasse, la maison de retraite décide spontanément la rupture du contrat et signifie à sa progéniture que la vieille dame sera expulsée et renvoyée chez l’un d’eux à Brou en Eure-et-Loir…

Jusque-là il s’agissait d’une énième histoire concernant l’abandon parfois quasi-total de personnes âgées jugées encombrantes et inutiles, vues comme des fardeaux indésirables et gênants. En Russie, la vision la plus négative de la société française concerne justement « l’abandon » massif des personnes âgées dans ces maisons de retraite, assimilées à des prisons en attente de la mort. La société moderne est passée par là. Il est loin le temps où les anciens finissaient leur vie au sein de leur famille, auprès d’un fils ou d’une fille. Les personnes âgées bien sûr ne vivaient pas aussi longtemps, du moins en moyenne que de nos jours, mais c’est surtout l’expansion radicale et rapide de l’individualisme et de l’égoïsme qui a changé les choses dans l’Hexagone.

L’incroyable de l’histoire de cette vieille dame est qu’elle ait pu être éconduite de cette maison de santé, placée dans un taxi avec ses affaires, et manu militari conduite chez l’un de ses fils… mais voilà, l’homme avait semble-t-il déménagé, il n’y avait personne pour l’accueillir et en désespoir de cause le chauffeur de taxi ne sachant que faire de cette encombrante cliente la dépose aux urgences de l’hôpital de Châteaudun… où la vénérable dame a passé son weekend. Complètement illégale, l’expulsion est vite dénoncée par les membres du personnel du centre hospitalier de Châteaudun, et arrive aux oreilles des journalistes de L’Echo Républicain.

Rappelé à l’ordre sur le caractère illégal d’expulsion durant la trêve hivernale y compris dans les établissements de santé dont les maisons de retraite, la maison de retraite est mise au pilori. L’hôpital de Châteaudun s’apprêterait à faire un signalement à la Gendarmerie Nationale ce qui devrait donner lieu à des poursuites judiciaires. Affolée, la direction de la maison de retraite s’est empressée de reconnaître son erreur puis d’annoncer la réintégration de la vieille dame dans sa chambre… C’est donc à tous les niveaux de la société que le système aura failli. Au-delà du fait divers, cette incroyable histoire démontre à quel point les liens sociaux et familiaux sont aujourd’hui distendus en France.

Des deux fils, en passant par le personnel de la maison de retraite, sa direction, son directeur et même le taxi, aucune personne n’a réalisé l’ignominie de l’acte qui était en train de se commettre sous leurs yeux. Sans parler des deux « chérubins » probablement également à la retraite, les personnes ayant décidé son expulsion en plein mois de janvier n’ont même pas fait la relation avec leurs propres parents. Dans une France qui vieillit, les personnes âgées semblent de plus en plus méprisées, souvenons-nous de la tragédie de la canicule de 2003 où plusieurs milliers d’entre eux avaient péri dans l’indifférence générale. Cet incident médiatique met en exergue la pauvreté des lois françaises en la matière et l’urgence d’actions éducatrices envers les plus jeunes.

Car plus le temps passe, plus les jeunes générations vivent séparées des anciens, ceux qui pourtant ont fait qu’ils se trouvent sur cette terre, ceux qui ont combattu pour que nous vivions libres, ceux qui ont souffert et travaillé pour que ceux-là vivent dans l’opulence. Séparées des plus jeunes, les personnes âgées dont les problèmes sanitaires et médicaux sont montrés comme insurmontables pour une famille normale, sont désormais placés dans ces maisons qui sont selon les situations plus ou moins bonnes, ou plus ou moins mauvaises… Le coût important de ce système englouti parfois des héritages entiers, maisons, terrains, économies, retraites, ce sont des sommes considérables que les familles doivent engager.

Ceci explique les capitulations et les fuites de certaines familles, quand nous n’assistons pas au pillage comme ce fut le cas dans ma propre famille, des maisons « abandonnées » des vieillards placés dans ces « asiles ». Absents, il est alors facile de les dépouiller de choses qui n’entrent pas dans les successions notariées faute de vigilance de la part des anciens affaiblis ou de n’avoir pas ne serait-ce qu’imaginer une telle et horrible éventualité. Ces « vols » sont le quotidien de millions de familles françaises dans l’indifférence totale. Avant même que la mort les emportent, ils se retrouvent dépouillés d’objets sentimentaux, meubles de famille, petits objets de valeurs, souvenirs… dont certains atterrissent directement sur les étalages des brocantes, une passion franco-française.

Depuis plusieurs décennies, les problèmes du 3ème et du 4ème âge ne cessent de grandir. Malgré des améliorations notoires notamment de confort de ces maisons et du nombre de places disponibles, les moyens mis en face des personnes âgés restent insuffisants et dérisoires dans certains cas. Car le travail au cœur de la société, pour faire que les anciens ne soient pas des reliques abandonnées dans un coin, dans les limbes de l’oubli reste entièrement à faire. La France le pays des Droits de l’Homme ne s’attache plus à promouvoir l’amour de ceux qui l’ont faite, ceux auxquels les Français doivent pourtant leur reconnaissance éternelle… ceux qu’ils appelèrent autrefois Papa ou Maman, Mamie ou Papi… Leur cause n’était dans aucun programme politique des élections de 2012 y compris celui de François Hollande.

 

http://french.ruvr.ru/2013_01_07/Quand-la-France-socialiste-expulse-des-vieilles-dames/

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6 janvier 2013 7 06 /01 /janvier /2013 03:20

Affaire Janett Seemann : Entre terreur d’Etat et propagande - RRR - 1° Janvier 2013

http://www.pedopolis.com/blog/do/tag/janett-seemann/

janett-seemann-70-jours.jpgLe point sur les dernières nouvelles

Au passage du nouvel an, la situation est loin de s’arranger pour Janett Seemann. L’enquêtrice indépendante avait présenté une demande de libération le 13 décembre 2012, laquelle fut rejetée le 19 décembre par le juge d’instruction Gérard Flamant.


Janett Seemann passe donc  les fêtes de fin d’années dans sa cellule. Elle fit savoir, lors d’une courte conversation téléphonique avec son frère Christian, que son moral flanchait. Et on l’imagine sans peine…


Car, au comble du machiavélisme, le jour où l’activiste pour les Droits de l’Enfant apprenait le rejet de sa demande de libération, elle apprenait devoir se soumettre à une expertise psychiatrique ! Il lui fut précisé que celle-ci interviendrait avant la fin février. Et cette précision n’est pas innocente, s’agissant d’un sous-entendu qui confirme cette « condamnation d’office » à quatre mois de « détention provisoire » à l’encontre de Janett Seemann.

C’était d’ailleurs la seule information que les parents de Janett Seemann, s’enquérant fin octobre du sort de leur fille auprès de leur consulat, reçurent en réponse.

 

Lire la suite: http://smrrr.wordpress.com/2013/01/01/affaire-janett-seemann-entre-terreur-detat-et-propagande/

 

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30 décembre 2012 7 30 /12 /décembre /2012 16:24
Syrie. Incroyable barbarie des amis de François Hollande : Un chrétien décapité…..

(Tous les jours, des Chrétiens d'Orient, bien intégrés dans le pays du "dictateur" Bachar-el-Assad et même partageant le pouvoir, sont aujourd'hui traités ainsi dans la Syrie "libérée", "démocratisée", par les amis fanatiques des sayanims Hollande-Fabius. C'est ça le changement ? Même politique du temps des sayanims Sarkozy-Kouchner. En France, les néoconservateurs au service des intérêts américains et israéliens sont au pouvoir ! Note de Chantal Dupille. NB :  Je rappelle que la France, aujourd'hui, soutient, arme, forme, finance les djihadistes en Syrie pour chasser le patriote Bachar-el-Assad refusant de partir afin de maintenir l'unité du pays seule garante du pluralisme et de la laïcité. Je rappelle aussi que le "dictateur" Bachar-el-Assad demande des Elections en Syrie et qu'il ne partira que s'il est désavoué par son peuple) 


Publié le 30 décembre 2012

CHRETIENS D'ORIENT

CHRETIENS D’ORIENT


…Parce que chrétien !


Diantre !

L’incroyable barbarie des amis de François Hollande se poursuit sans relâche et personne en Occident, hormis ce médias australien, n’est prêt à révéler les atrocités de ces barbares d’Allah qui profanent la mémoire du prophète, violent les règles élémentaires de l’Islam. Cette affaire se passe de commentaire. En Syrie désormais, les villages chrétiens sont envahis par des terroristes qui les chassent de leurs maisons, les hommes toujours enlevés pour l’exigence d’une rançon… etc. Est-ce ça la révolution, la démocratie qu’ils réclameraient ? Que nenni.

  

Andrei Arbashe est un jeune homme, chrétien, qui venait de se marier et dont l femme attend un heureux évènement: la naissance de leur premier enfant. Hélas, il est tombé aux mains des soi disant rebelles syriens, des terroristes de multiples nationalités qui n’ont rien à voir avec la Syrie. Comme le rapporte le journal australien The Australian News (article payant), les terroristes n’ont pas seulement décapité le jeune homme parce qu’il était chrétien mais, ils ont donné sa dépouille aux chiens, le privant de sépulture.

 

A l’allure où vont les choses, ceux qui organisent le génocide des chrétiens en Syrie, la France, l’Angleterre, les Etats-Unis, le Qatar, l’Arabie saoudite, méritent un Nuremberg bis. Trop c’est trop. On leur tend la main, ils disent non. Leur envie réside à la destruction pure et simple de la Syrie. Mais, pour quel but ??? Où sont donc les journalistes ? Comment peuvent-t-ils rester silencieux face à ceux qui refusent la paix et qu’ils continuent de soutenir ?


«Ils l’ont décapité, coupé en morceaux et nourri les chiens avec sa dépouille», a déclaré Agnès-Mariam de la Croix, mère supérieure du couvent de Saint-Jacques-le-Mutilé entre Damas et Homs.

 

http://allainjules.com/2012/12/30/scoop-syrie-incroyable-barbarie-des-amis-de-francois-hollande-un-chretien-decapitee/

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25 décembre 2012 2 25 /12 /décembre /2012 21:36

Si vous voulez en savoir plus sur le probable bobard

de la tuerie du Connecticut,

voyez ce que je viens de publier à l'instant

sur mon blog officiel.

 

eva R-sistons 

 

http://www.revolutionpersonnelle.com/wp-content/uploads/2010/07/theater.jpg

http://www.revolutionpersonnelle.com/wp-content/uploads/2010/07/theater.jpg

 

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Sur ce blog, vous pourrez aussi lire entre autres :

 

petit-prince.jpg

 

Paroles chocs... pour monde complètement fou ! (Chantal Dupille)

 

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25 décembre 2012 2 25 /12 /décembre /2012 13:48

 

 

 

http://allainjules.com/2011/10/07/libye-la-contre-attaque-de-me-marcel-ceccaldi/


Libye, Syrie…

La France, agent de la CIA et du Qatar

Vidéo Maître Marcel Ceccald

 

Durée : 40min 45sec | Postée : Il y a 1 mois | Chaîne : Contre-enquête interdite

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Avocat de la Jamarihiya arabe libyenne, de la famille Kadhafi, de ministres libyens — dont l'ex-Premier ministre al-Baghdadi al-Mahmoudi — et de plusieurs chefs d'état africains, grand connaisseur des géopolitiques officielle et secrète du continent africain, Maitre Marcel Ceccaldi livre son analyse sur les conflits libyen et syrien, le rôle des USA dans la montée du fondamentalisme musulman, la politique de suivi de la France, et l'importance du Qatar, "pays faiseur de guerre".

 

http://www.prorussia.tv/Libye-Syrie-la-France-agent-de-la-CIA-et-du-Qatar-%E2%80%94-Maitre-Marcel-Ceccaldi_v74.html

 

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25 décembre 2012 2 25 /12 /décembre /2012 13:46

 

Massacre de Sandy Hook : la version officielle part en sucette

Traduction : SOTT


Peluches déposées au mémorial des enfants victimes du massacre de Sandy Hook
Le massacre de 20 enfants et de 7 adultes à l'école primaire de Sandy Hook vendredi dernier est le dernier en date d'une longue liste d'atroces tueries de masse commises aux États-Unis. Aujourd'hui, quatre jours plus tard, une version officielle expliquant le déroulement des événements a plus ou moins été arrêtée. Le récit familier du « tireur solitaire » a une fois de plus relancé la question brûlante du contrôle des armes à feu, et la population est encore une fois laissée dans l'ignorance du pourquoi - pourquoi des gens se mettent soudainement à péter les plombs et à cibler les membres les plus vulnérables de la société.

Toutefois, à y regarder de plus près, nombre de ces tueries de masse cachent quelque chose. Très souvent, les premiers comptes-rendus présentent des informations en contradiction directe avec les fondements-clés de l'analyse « officielle » finale des événements. Certes, il est normal que les comptes-rendus de la première heure soient empreints de confusion, mais certains des récits initiaux contredisent tellement la version du tireur solitaire que je vais les compiler ici, puis je tenterai de replacer cette tragédie dans un contexte plus objectif. Dimanche soir, dans son discours prononcé lors de la Veillée de prière pour Sandy Hook, à Newtown (Connecticut), le président Obama a cité ce passage de la Bible :
Nos regards ne sont pas fixés sur les choses qui se voient, mais sur celles qui ne se voient pas : car les choses qui se voient sont pour un temps, mais celles qui ne se voient pas sont éternelles.

~ 2 Corinthiens 4:18
La communauté traumatisée de Newtown mérite de connaître les faits tels qu'ils sont, sans déformation. Tous ceux qui ont été touchés par cet événement brutal méritent de savoir ce qui s'est vraiment passé. Alors fixons nos regards sur les choses qui ne se voient pas.

Un « geek » de 20 ans du nom d'Adam Lanza est censé avoir pété un câble tôt dans la matinée du vendredi 14 avril, tué sa mère Nancy Lanza, s'être emparé de ses armes et de ses munitions, être monté dans la voiture de sa mère, avoir traversé la ville jusqu'à son ancienne école, l'école primaire de Sandy Hook, et avoir abattu 27 personnes qui se trouvaient dans deux classes et dans un couloir attenant. Il aurait ensuite retourné l'arme contre lui.

C'est le scénario que la plupart des gens retiendront, mais est-ce vraiment ainsi que les choses se sont passées ?

Tous les enfants victimes étaient des élèves de CP âgés de 6 et 7 ans. S'il y a le moindre « point positif » à cet événement, c'est que tout a été terminé en quelques minutes. La police, selon les rapports, est intervenue sur les lieux « instantanément », et la fusillade avait déjà pris fin lorsqu'elle est arrivée. Parmi les instituteurs et le personnel administratif, on cite comme victime la directrice de l'école, Dawn Hochsprung, 47 ans. C'est là que nous tombons sur le premier « os » :
The Newtown Bee
14 décembre 2012

La directrice de l'école de Sandy Hook, Dawn Hochsprung, a déclaré à The Bee qu'un homme masqué était entré dans l'école armé d'un fusil et avait commencé à tirer « sans s'arrêter » - elle n'a même pas pu compter le nombre de tirs.

© The Newtown Bee
Comment la directrice aurait-elle pu survivre pour décrire ce qui s'est passé à la presse locale, étant donné que c'est elle qui a été tuée en premier ? En passant, l'article du Newton Bee a été dépublié hier. Certes, une explication plausible est qu'un reporter a confondu une autre institutrice avec la directrice.

On nous a d'abord dit que deux armes de poing - un Glock et un Sig Sauer - avaient été découvertes près du corps du tireur mort, et qu'une troisième arme, un fusil d'assaut de calibre .223, avait également été découvert plus tard « dans le coffre d'une voiture » garée sur le parking de l'école. Toutes les armes auraient été achetées et enregistrées légalement au nom de Nancy Lanza. La voiture a plus tard été identifiée comme une Honda noire, également enregistrée au nom de Nancy Lanza. Depuis, d'autres armes ont été ajoutées à l'histoire, mais nous y reviendrons.

En plus des déclarations de « représentants de l'ordre anonymes » aux médias, selon lesquelles Adam Lanza avait été élève dans cette école, on nous dit également que sa mère enseignait là-bas, qu'elle a été retrouvée morte, et que sont fils s'était d'abord dirigé vers la salle de classe dans laquelle elle faisait cours. Mais lorsqu'il est apparu que le personnel enseignant de l'école n'avait jamais entendu parler de la moindre Nancy Lanza, il a été suggéré qu'elle était remplaçante, et que donc, son nom ne figurait peut-être pas sur la liste du personnel.

Mais ces allégations non plus n'ont pas fait long feu, parce qu'on sait maintenant que ni Nancy ni son fils n'ont jamais eu le moindre lien avec l'école. Adam Lanza avait d'ailleurs reçu une instruction à domicile. Depuis, on nous dépeint Nancy Lanza comme une « survivaliste » amatrice d'armes à feu qui enseignait le tir à ses fils et qui « faisait des stocks de provisions » parce qu'elle « craignait un effondrement économique ».
Daily Mail, UK
16 décembre 2012

La nuit dernière, il a également été découvert que Nancy était membre du mouvement des Doomsday Preppers [les preppers de l'Apocalypse - NdT], qui croit que les gens devraient se préparer pour la fin du monde.

Son ex belle-sœur, Marsha, a déclaré que [Nancy] avait transformé sa maison « en forteresse ». Elle ajoute : « Nancy avait une philosophie survivaliste, c'est pour ça qu'elle stockait des armes. Pour se défendre.

Elle stockait de la nourriture. Elle a grandi dans une ferme du New Hampshire. Elle s'y connaissait en armes. On parlait des preppers et de se préparer à l'effondrement économique. »
Il n'est pas difficile de voir que les efforts des médias pour insinuer que Nancy Lanza est d'une certaine façon responsable de ce massacre parce que c'était une mère irresponsable ont aussi pour but d'énerver les nombreux propriétaires d'armes à feu du pays, en particulier l'extrême-droite, qui voit là un complot de la part du gouvernement, complot dont le but est de « leur reprendre leurs armes ». J'y reviendrai un peu plus loin, mais pour l'instant, je voudrais juste faire remarquer que tous les membres de la famille Lanza semblaient mener des vies de membres de la classe moyenne plus ou moins normales. Oui, les parents étaient divorcés, mais apparemment, c'était un divorce à l'amiable, et le père comme la mère plaçaient les besoins de leurs enfants en premier (de toute manière, de nos jours, le divorce aux États-Unis est très « classe moyenne »)

Malgré les allégations de « proches de la famille » selon lesquelles Adam Lanza était un « gosse profondément perturbé », ce dernier, comme tant d'autres prétendus « tireurs solitaires » avant lui, ne correspond pas au profil d'un maniaque meurtrier de masse. Son frère, Ryan Lanza, 24 ans, a dit qu'il n'avait pas vu son frère depuis 2010. Ce fait remet en question l'affirmation de Ryan selon laquelle son petit frère aurait eu sur lui la carte d'identité de Ryan lors de la fusillade. Même si on est en droit de se poser cette question : pourquoi prendre le soin d'emporter une pièce d'identité avec soi après s'être échiné à endosser un gilet pare-balles, un masque et une tenue de camouflage noir pour se livrer à un massacre ?

Les transmissions radio d'urgence révèlent plusieurs observations intéressantes émises par les premiers intervenants sur les lieux, et complètement ignorées par les médias officiels. Remarquez que la version intégrale dure plus de deux heures, donc la version abrégée dont je vais citer des extraits présente une séquence d'événements qui ne sont pas en temps réels. Dans cette version écourtée, à 1:38', les intervenants rapportent entendre encore des coups de feu, même si la fusillade était censée être déjà terminée lorsque la police est arrivée. Dans le prochain compte-rendu, à 2:35', on entend que la fusillade est terminée et que l'école a été « bouclée ». À 3:23', la police relaie le récit d'une institutrice selon lequel elle a vu deux ombres passer en courant devant le gymnase. [Pas « deux tireurs », comme nous l'avons précédemment rapporté sur SOTT.net]. Ensuite, on entend dire un autre officier de police présent sur les lieux : « Hé, on les tient, ils s'avancent vers moi !... [inaudible]... Ils avancent dans l'allée très lentement ! » À 5:40', le même officier dit qu'il les a « épinglés face contre terre », ce qui, vraisemblablement, veut dire qu'il les a appréhendés et qu'ils sont allongés sur le sol ; ensuite un autre officier dit « attention, nous avons un deuxième [inaudible]... »

Plus tard, à 19:10', un officier qui a l'air essoufflé comme après une course-poursuite, a l'air de dire (d'après moi) « ces types », puis (et là, pas de doute) : « de multiples armes, dont des longs fusils et un fusil de chasse ». Si ces armes ont été découvertes dès le départ, pourquoi ne sont-elles pas mentionnées dans les premiers communiqués de presse, qui ont déclaré que trois armes à feu avaient été découvertes - les pistolets Glock et Sig Sauer et le fusil d'assaut Bushmaster AR-15 susmentionnés ? Des indices encore plus contradictoires - voire délibérément placés sur les lieux - ont encore été rajoutés par les « représentants des forces de l'ordre » lorsqu'ils ont publié une séquence vidéo montrant une arme longue en train d'être extraite du coffre d'une voiture. Regardez attentivement, et vous verrez qu'il s'agit d'un fusil de chasse, pas d'un fusil d'assaut. En outre, cette « découverte » a été fait plus tard dans la journée (il faisait nuit dehors), tandis que selon les premiers rapports, le fusil Bushmaster aurait été découvert dans le coffre d'une voiture beaucoup plus tôt dans la journée.

En plus des deux suspects « épinglés » devant l'école et mentionnés ci-dessus, un autre tireur présumé a été appréhendé après une course-poursuite, cette fois dans les bois près de l'école :


Il est évident que la police poursuit quelqu'un, et qu'elle semble appréhender cette personne dans les bois qui jouxtent l'école - un fait confirmé par plusieurs témoins oculaires :


Le suspect en fuite, en tenue de camouflage, portant un gilet pare-balles et 4 armes, a aujourd'hui disparu des couvertures médiatiques. Qui était cet individu, et comment savait-il ce qu'on lui reprochait lorsqu'il a crié « Ce n'est pas moi » ? [« I didn't do it », soit littéralement : « je ne l'ai pas fait »  - NdT]

Élément des plus surprenants, le nom de ce suspect arrêté dans les bois a été révélé dans une dépêche de l'Associated Press : Ryan Lanza, 24 ans. La dépêche originelle a depuis longtemps disparu, bien évidemment, mais vous la verrez mentionnée ici. Cela, en dépit du fait que Ryan avait déjà été présenté comme le suspect décédé à l'intérieur de l'école et étendu à côté de deux armes de poing.

Ryan Lanza se trouvait en réalité à son travail, à Hoboken, dans le New Jersey, le matin où son nom et sa photo ont commencé à circuler dans les médias. Ainsi, la plupart de la journée du vendredi, le « tireur solitaire » a été désigné comme étant « Ryan Lanza, dont la mort a été confirmée ». En même temps, on nous racontait que la petite amie de Ryan, ainsi qu'un de ses colocataires, étaient portés disparus à Hoboken, New Jersey.

Il ne s'agit donc pas d'une simple erreur d'identité, comme cela a été affirmé par la suite lorsqu'on a suggéré qu'Adam portait sur lui une pièce d'identité appartenant à son frère. Ce n'est pas UN Lanza, mais les DEUX frères Lanza que les « représentants de l'ordre » ont placés sur les lieux de la fusillade. Il se pourrait bien que les réflexes rapides de Ryan - il a quitté son lieu de travail et est monté dans un bus direction son appartement, tout en clamant son innocence sur sa page Facebook - lui aient sauvé la vie.

Maintenant, souvenez-vous que toute cette confusion résultait du scénario suivant : celui où un type pénètre tout seul dans une école et abat des enfants avant de se suicider d'une balle, tout ça en trois minutes. Il aurait donc dû être assez facile d'identifier rapidement et concrètement les détails et la scène d'un tel crime.

Il apparaît de plus en pus que les Lanza ont été piégés à l'avance de manière à leur faire porter le chapeau. Bien avant que le moindre suspect ne soit nommé, et même au moment où on nous racontait que Nancy Lanza figurait parmi les victimes de l'école, on nous apprenait que la police était en train d'enquêter sur un meurtre commis à... Hoboken, New Jersey, où un corps avait été découvert au domicile de... Ryan Lanza ! Une version plus ancienne et « confirmée » des événements mentionne RYAN, et non Adam, comme étant celui s'étant rendu à Hoboken ce matin-là pour assassiner son père avant de se rendre à l'école de Newtown, Connecticut. D'autres versions mentionnent que SOIT Ryan SOIT Adam s'est rendu aux domiciles respectifs de ses parents et les a tués avant de se rendre à l'école.

La version arrêtée aujourd'hui est celle où le plus jeune frère tue sa mère à Newtown et se rend ensuite à l'école. Qu'en est-il du reste ? Devons-nous le mettre sur le compte de « l'enthousiasme » de journalistes qui s'en donnaient à cœur joie vendredi dernier tandis que les médias cherchaient à nous rapporter les nouvelles « sur le vif » ? La confusion et le « téléphone arabe » jouent certainement un rôle au début de tout événement médiatique, mais cela me fait penser à ces présentateurs télé qui, suivant scrupuleusement leurs prompteurs, mentionnaient le nom d'Oussama Ben Laden quelques minutes après l'impact du premier avion le 11/9, et je me dis « Attendez une minute ! » Tous ces communiqués trompeurs ont bien dû avoir été diffusés par une ou plusieurs personnes qui ont « confirmé » à l'Associated Press et aux autres organes de presse que le père de Ryan avait été tué [ce dernier n'était même pas au courant de la fusillade à l'école avant que des journalistes ne se pointent devant sa porte], ou que la petite amie de Ryan avait été portée disparue à Hoboken, ou encore que Ryan ou Adam avaient été appréhendés dans les bois environnants, menottés et embarqués en criant « CE N'EST PAS MOI ! » aux parents rassemblés là. Ce ne sont pas de simples « petits détails » qui peuvent être confondus avec d'autres détails, ce sont des récits détaillés. Donc, comment, ou pourquoi des journalistes peuvent-ils nous sortir de tels détails ? Pour moi, cela ressemble à une série de scénarios alternatifs qui auraient pu faire partie de la version officielle si les faits sur le terrain s'étaient avérés différents.

Regardez cet extrait de la conférence de presse donnée par le Lieutenant Paul Vance, de la Police d'État, le lendemain de la fusillade. Sa réponse est aussi bizarre que révélatrice. Lorsqu'on lui demande si Nancy Lanza a un quelconque lien avec l'école, il répond, sur la défensive, mentionnant quelque chose qui est sans rapport avec la question mais qui, en même temps, est probablement l'élément qui met le plus à mal la version officielle : l'arrestation d'un deuxième tireur dans les bois :


Depuis, la plupart des communiqués initiaux des médias officiels ont été réécrits afin de correspondre aux « nouveaux » faits révélés par les « représentants des forces de l'ordre ». Voilà un exemple tiré de Business Insider. Les extraits suivants sont les paragraphes introductifs du « même article », d'abord tirés de la version originelle, ensuite de la version révisée parue par la suite :
La massacre [...] aurait été commis avec un fusil d'assaut de calibre .233, un pistolet Glock et un pistolet Sig Sauer.

Le fusil d'assaut Bushmaster a été découvert dans le coffre de la voiture du tireur. Les pistolets Sig Sauer et Glock sont les seules armes à avoir été utilisées lors de la fusillade, selon CBS. Maintenant, on peut se demander quel type de chargeur permettrait à un tireur de tirer « 100 » balles en si peu de temps.
En effet, je me posais la même question. Comment deux pistolets peuvent-ils faire autant de dégâts ? Le communiqué a été mis à jour comme suit :
Le massacre du Connecticut qui a coûté la vie à au moins 26 personnes aurait été commis avec un fusil d'assaut .223, un pistolet Glock et un pistolet Sig Sauer, selon NBC :

Le tireur utilisait un pistolet Sig Sauer et un Glock, selon CNN. Selon des détails qui ont émergé ultérieurement, l'arme principale était le fusil d'assaut Bushmaster.

Mais au final, peu importe quel type d'arme le tireur a utilisé. L'essentiel est que c'était probablement un semi-automatique muni d'un chargeur possédant suffisamment de balles pour tirer « 100 fois » en l'espace de quelques minutes, comme le rapporte USA Today aujourd'hui.
Certains ne se soucient peut-être pas de ce qui s'est véritablement passé, mais le rôle d'un journaliste n'est-il pas de tenter de le découvrir ?

Dans cet article d'Associated Press/Newsday publié le samedi 15 décembre, on peut lire que « Seul le fusil d'assaut a été utilisé pour abattre les victimes », une déclaration étayée par le Dr H. Wayne Carver II, le médecin légiste en chef de l'État du Connecticut. Sur les 7 autopsies qu'il a pratiquées personnellement sur les victimes de Sandy Hook, toutes présentaient « chacune de trois à onze blessures ». Il a également dit que le « tireur » avait utilisé un fusil de style militaire conçu pour se recharger rapidement, et que si le « tireur » avait pu le recharger aussi vite, c'est parce qu'il avait « scotché deux chargeurs ensemble. » Même avant ces déclarations du médecin légiste en chef de l'État, il avait été annoncé que des étuis de balle tirées depuis le (fusil) calibre .233 avaient été retrouvés à l'intérieur de l'école.

Ainsi, les blessures de toutes les victimes ont été causées par un fusil d'assaut, à savoir « le fusil », celui qui d'après les premiers rapports a été retrouvé dans le coffre d'une voiture sur le parking ! Ce n'est tout bonnement pas crédible.


Les trois armes qu'Adam Lanza a soi-disant amenées avec lui à l'école. Le fusil d'assaut est resté dans le coffre de la voiture, Lanza ne disposait donc plus que des deux armes de poing pour tirer « des centaines de balles »... de calibre .233, qui appartenaient au fusil d'assaut… resté dans le coffre de la voiture.
Rappelez-vous que seul « le fusil » a été utilisé pour abattre toutes les victimes. Si c'est uniquement ce fusil qui a été utilisé, et si l'on tente de faire coller cette allégation à la version officielle (décidément fluide) des événements, alors le tireur solitaire présumé aurait dû quitter l'école, placer le fusil dans le coffre de sa voiture, retourner dans l'école et se suicider d'une balle. Personne n'a mentionné une manœuvre de ce genre de la part du tireur ou des tireurs. Toutefois, nous avons comme indices 1) les transmissions radio des services d'urgence, dans lesquelles nous entendons que deux hommes ont été appréhendés et « épinglés face contre terre » ET 2) une séquence vidéo live montrant ce qui semble être l'arrestation d'un TROISIÈME homme dans les bois.

On peut voire que les autorités sont vraiment coincées, parce qu'elles doivent faire coller tous les faits avec le conte habituel du « tireur solitaire ». Pour cela, il ne peut y avoir qu'UN SEUL fusil d'assaut et une paire d'armes de poing. Le problème est qu'elles ont déjà déclaré avoir trouvé cet unique fusil d'assaut Bushmaster dans le coffre d'une voiture sur le parking de l'école, et donc, les tout premiers comptes-rendus de la police mentionnant la découverte d'une cache d'armes longues à l'intérieur de l'école ne peut plus coller à la version du tireur solitaire, en particulier si l'on tient compte du fait que désormais, les autorités nous disent que le tireur avait commencé à ouvrir le feu au moment où il pénétrait dans l'école.

Le « chétif » Adam Lanza, 20 ans, aurait-il pu, tel Rambo, prendre l'école d'assaut avec de « multiples armes, dont des longs fusils et un fusil de chasse » ? Une seule personne a été blessée. Toutes les autres victimes sont mortes. Comment Adam Lanza aurait-il pu faire preuve d'une précision aussi mortelle en un laps de temps aussi court ?


Des hommes armés en tenue identique... leur boulot est de tuer les « terroristes » pour nous protéger, ce qu'ils font en nous terrorisant tous.
Les comptes-rendus initiaux placent le début de la fusillade dans les bureaux du personnel administratif de l'école, où une personne, apparemment la directrice, aurait eu une altercation avec le(s) tireur(s). On le sait parce quelqu'un a apparemment activé l'interphone de l'école, alertant le personnel enseignant sur les exclamations bruyantes et le raffut dans le bureau de la directrice, et sauvant ainsi probablement davantage de vies - les instituteurs cachant alors les enfants dans des placards.

Une courageuse institutrice, Kaitlin Roig, a regroupé plusieurs enfants dans des toilettes et a verrouillé la porte. Son témoignage à ABC News est intéressant, car elle raconte que lorsque la police est arrivée et lui a demandé d'ouvrir la porte, elle a refusé, ajoutant que « si c'étaient vraiment des flics, ils sauraient où trouver les clés pour ouvrir la porte. » En outre, elle leur a demandé de faire glisser leurs badges sous la porte.

Certes, c'est généralement la bonne chose à faire lors de toute interaction avec la police, en particulier aux États-Unis. Mais avoir la présence d'esprit d'agir ça dans des circonstances aussi traumatisantes suggère fortement qu'à ce stade, Mlle Roig en était arrivée à la conclusion logique que plusieurs tireurs étaient impliqués, et que soit ils se faisaient passer pour des officiers de police, soit on pouvait les confondre en tous points avec des commandos d'élites de la police - à cause de leur tenue, ou de leur comportement lorsqu'ils ont pénétré dans le bâtiment. Cela me rappelle aussi à quel point la marge de manœuvre était étroite pour commettre la fusillade. Il semble que la fusillade avait à peine pris fin lorsque les hommes ont frappé à la porte de ces toilettes et ont dit à Mlle Roig qu'ils étaient de la police.

Il existe également des récits contradictoires sur la façon dont les tireurs sont entrés dans le bâtiment. On nous a d'abord dit qu'ils étaient entrés par la porte d'entrée principale et s'étaient directement rendus dans les bureaux du personnel administratif/de la directrice. Mais l'école primaire de Sandy Hook possède un système de sécurité équipé d'une caméra vidéo, ce qui permet au personnel de filtrer les visiteurs. Un « tireur masqué en tenue de commando noire » éveillerait plutôt des soupçons, non ?

Une autre possible anomalie est qu'une page Facebook semble avoir été créée en mémoire de Victoria Soto, l'une des institutrices tuées à l'école... quatre jours avant la fusillade.

Au sujet du prétendu lien entre le « scandale du LIBOR » et cette fusillade ainsi que celle d'Aurora, il n'y a pour l'instant aucune preuve étayant l'allégation selon laquelle le père de Lanza ou celui de Holmes s'apprêtaient à témoigner devant qui que ce soit concernant quoi que ce soit, donc pour l'instant, ce n'est qu'une rumeur de plus. J'ai tendance à penser qu'on répand ces bruits pour donner l'impression d'un lien direct qui peut facilement être réfuté, comme un faux argument. Le lien évident et direct que tout le monde devrait voir est que les comptes-rendus de ces événements par le gouvernement US relèvent du tour de passe-passe. Le lien flagrant entre ces deux fusillades, la fusillade du temple Sikh et la fusillade de Fort Hood est que des témoins oculaires ont mentionné plusieurs tireurs, mais que selon la version officielle, ces tueries ont toutes été commises par un « tireur isolé ». En toute logique, cela nous indique que les véritables auteurs sont couvert au moyen de versions fictives sur ce qui s'est réellement passé, parce que si la vérité venait à se savoir, on verrait qu'une certaine partie du gouvernement US est impliqué.

Wade Michael Page, le « tireur solitaire » de la fusillade du temple Sikh, dans le Wisconsin, en août dernier, était un spécialiste des opérations psychologiques de l'US army, un militaire maintes fois décoré, selon le Pentagone. Mais quid des trois autres tireurs aperçus par des témoins ? Le fait que Wade était un (ancien ?) spécialiste des psy-ops de l'armée ne peut être une coïncidence. Cette pensée m'a traversé l'esprit plus d'une fois après la fusillade du Connecticut. Certains ont suggéré qu'il s'agissait d'un « false flag », ou que Lanza était une sorte de Manchurian Candidate.

Mais peut-être y a-t-il une explication plus simple (bien que plus scandaleuse) à tout cela ? Était-ce vraiment Adam Lanza qu'ils ont retrouvé dans l'école ? Sommes-nous vraiment certains que l'un des tireurs a été retrouvé mort dans l'école ? Ce que nous avons, à la place, ce sont des récits faisant état de deux ou trois tireurs masqués, apparemment tous revêtus des pieds à la tête d'une tenue de commando noire, et que l'État a au mieux délibérément oubliés, au pire couverts. Si l'on se fonde sur les efforts persistants mais futiles des autorités pour relier les Lanzas à cette école, sur les nombreux récits de témoins qui mentionnent deux tireurs, sur le rapport du médecin légiste de l'État du Connecticut selon lequel toutes les victimes étaient criblées de balles tirées par un fusil dont on nous demande de croire qu'il se trouvait dans le coffre d'une voiture durant toute la fusillade, sur des témoignages similaires parlant de plusieurs tireurs lors de précédents meurtres de masse au cours des dernières années, et sur les médias qui orientent le déchaînement émotionnel sur la question brûlante du contrôle des armes à feu... j'en viens à me demander si ce n'est pas le fait d'une équipe de tueurs à gage hautement entraînés.

Le massacre de Sandy Hook était-il une psy-op perpétrée par une sorte d'« escadron de la mort » dans le cadre d'une mission destinée à terroriser les gens au bénéfice du gouvernement, combiné à une opération visant à modeler les perceptions de l'événement et à canaliser les retombées émotionnelles ?

Le contrôle des armes n'est pas le problème ici. Le gouvernement US aurait depuis longtemps pris des mesures, en douce, pour limiter les fournitures d'armes, peu importe le deuxième amendement de la constitution (c'est qu'« un foutu morceau de papier », rappelez-vous), si son souci était vraiment de limiter l'accès aux armes par les civils.

Les psychopathes au pouvoir n'ont absolument aucun scrupule à recourir au terrorisme d'État, dans ce cas-ci à organiser le massacre délibéré d'enfants innocents, pour contrôler la population. Dans les faits, ce n'est guère différent de ce que le gouvernement US appelle « contre-insurrection » ou « anti-terrorisme » dans les pays étrangers, où il attaque des civils innocents pour donner l'impression que ces derniers ont été tués par des « communistes », des « insurgés » ou des « militants », l'objectif étant que le public soutienne l'illusion selon laquelle les gens du commun ont besoin d'un gouvernement fort et implacable pour les protéger des « méchants ». Lorsque les gens du commun gobent cette manipulation, le résultat, comme l'Histoire nous le démontre inlassablement, est un État policier brutal qui s'exprime à visage découvert.
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Niall Bradley

Chroniqueur à Sott.net depuis 2009, Niall contribue également au Dot Connector Magazine, la version papier de Sott.net, et été invité plusieurs fois comme commentateur sur Press.TV. Niall a écrit de nombreux articles pour Sott.net, dans lesquels il analyse les tendances géo-politiques dans le contexte des prétendus changements climatiques.

 

http://fr.sott.net/article/12122-Massacre-de-Sandy-Hook-la-version-officielle-part-en-sucette

 

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Voir vidéos et suite ici :


http://lesmoutonsenrages.fr/2012/12/23/massacre-de-sandy-hook-laffaire-de-toutes-les-polemiques/

 

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25 décembre 2012 2 25 /12 /décembre /2012 13:42

 

La Haye

 

La Haye : Les deux derniers clous dans le cercueil de la justice internationale ?
Global Research, décembre 20, 2012


En l’espace de moins de quinze jours, le Tribunal de La Haye, jugeant les crimes commis pendant les guerres d’ex-Yougoslavie, a fait preuve d’une clémence inhabituelle en acquittant cinq prévenus. Point commun : ils étaient tous accusés d’avoir commis des crimes de guerre ou des crimes contre l’humanité à l’encontre de civils serbes.


Le premier verdict, ayant acquitté le 16 novembre les généraux croates Ante Gotovina et Mladen Markač, a résulté d’un procès en appel, les deux accusés ayant été condamnés, en première instance, à – respectivement – 24 et 18 ans de prison. Gotovina, ancien de la légion étrangère, disposant de la nationalité française, avait dirigé l’Opération Tempête. En août 1995, celle-ci avait permis à la Croatie de reprendre le contrôle d’environ un quart de son territoire, la Krajina serbe, où la population avait pris les armes et fait sécession après que la république croate se soit elle-même séparée de la fédération yougoslave. Parfois qualifiée de plus grand nettoyage ethnique en Europe après la Seconde guerre mondiale, cette opération avait provoqué l’exode de quelque 220 000 Serbes et la mort de près de 2 000, en majorité des civils. La plupart des exilés ne sont jamais revenus en Croatie, où la proportion de Serbes est actuellement d’environ d’un quart de ce qu’elle était avant la guerre.


Plus de « responsabilité de commandement » pour les généraux croates


Contrairement à ce qu’il avait jugé en première instance, le Tribunal a estimé que les deux généraux n’étaient pas responsables de ces crimes – dont il n’a pas nié la réalité – car n’étant pas leurs auteurs directs. Cependant, ce Tribunal défendait jusqu’à présent le principe de « responsabilité de commandement », qui a permis la condamnation à de lourdes peines de plusieurs dizaines de dirigeants politiques et militaires serbes, arguant qu’ils étaient automatiquement responsables des crimes commis par leurs subordonnés. Malgré des déclarations sans équivoque des plus hauts responsables politiques croates de l’époque, le Tribunal a aussi estimé que les deux hommes ne participaient pas une « entreprise criminelle commune » visant à nettoyer la Croatie de sa population serbe. Enfin, il a usé d’oiseuses considérations balistiques pour estimer qu’il n’était pas prouvé que les bombardements qui ont détruit plusieurs bourgades serbes visaient particulièrement des objectifs civils, ceci alors que les autorités croates ont toujours refusé de livrer les carnets de tirs d’artillerie de l’Opération Tempête, soi-disant perdus.

S’il a suscité la surprise des juristes – car il est rare que des accusés, condamnés à de lourdes peines, soient acquittés en appel –, le verdict a également divisé les juges qui l’ont prononcé, puisque seuls trois d’entre eux s’y sont rallié. Les deux autres l’ont dénoncé en des termes peu habituels, l’Italien Pocar déclarant qu’il « contredit le sens même de la justice », que 1300 pages de preuves ont été ignorées et que ses trois collègues ont commis de « nombreuses erreurs et constructions fausses dans leur prise de décision », tandis que le dernier, le Maltais Agius, considérait que le verdict était basé sur « une approche étroite, artificielle, déficiente, confuse et problématique » menant à des « résultats incorrects ». Si le Procureur du Tribunal, le Belge Brammertz, s’est simplement dit « déçu », son prédécesseur, la médiatique Carla Del Ponte, s’est dite « stupéfaite » et « choquée » par le verdict et affirmé qu’il avait été influencé « par la politique, l’argent ou quelque chose n’ayant rien à voir avec le tribunal ».

En Serbie, où l’acquittement des deux généraux a été accueilli avec colère, dégoût ou résignation, plusieurs hommes politiques ont évoqué un jugement « politique » qui viserait à blanchir la Croatie de tout crime de guerre à quelques mois de son entrée dans l’Union européenne. De possibles pressions des Etats-Unis sont moins évoquées et on semble oublier que l’Opération Tempête a été organisée par des officiers américains « à la retraite » employés par une firme de sécurité, privée mais dépendant du Pentagone, la Military Professional Resources Inc (MPRI). Bien entendu, Washington a refusé toute coopération avec le Tribunal durant ce procès, en net contraste avec les tonnes de documents livrés à l’encontre d’accusés du camp d’en face. Ce verdict tombe donc assurément bien pour les Etats-Unis, dont le rôle actif dans les guerres des Balkans continue d’être partiellement occulté. Néanmoins, l’hypothèse d’un achat des trois juges reste la plus vraisemblable, tant leur verdict semble défier toute logique humaine et juridique.


Liquidation des témoins


Le second verdict, prononcé le 29 novembre, a acquitté Ramush Haradinaj, ancien chef de l’Armée de libération du Kosovo (UCK), ainsi que deux de ses acolytes, Idriz Balaj et Lahi Brahimaj, accusés de torture et de meurtre de civils serbes et roms au Kosovo en 1998. Il s’agissait ici d’un nouveau procès, le premier ayant déjà abouti, en 2008, à l’acquittement des deux premiers et à la condamnation à 6 ans de prison du troisième. La nouvelle procédure avait été décidée en raison des nombreuses intimidations subies par des témoins lors du premier procès ; des « intimidations » allant jusqu’à l’assassinat. Selon Vladimir Vukčević, procureur de Serbie pour les crimes de guerre, ce ne sont pas moins de 19 témoins potentiels de l’accusation, tous des Albanais du Kosovo, qui ont été tués ces dernières années. Quant aux témoins survivants, ils ont bien entendu modifié leurs déclarations ou refusé de répondre aux juges lors des audiences. De toute évidence, le Tribunal n’a pas réussi à fournir une protection adéquate aux témoins. L’an passé, un témoin protégé, vivant secrètement en Allemagne, a été retrouvé pendu dans un parc près de son domicile. En outre, le Tribunal a autorisé Haradinaj à revenir périodiquement au Kosovo, où il a pu exercer des activités politiques et – vraisemblablement – mettre au point des méthodes visant à faire taire ses accusateurs.

Dans ces conditions, comme le nouveau procès n’a permis que de causer la mort de nouveaux témoins, on n’a guère été surpris que Haradinaj soit à nouveau acquitté. A Belgrade, le porte-parole du gouvernement a déclaré que le tribunal « a légalisé la loi de la mafia au Kosovo, en particulier l’omerta ». Ce gouvernement pourrait bientôt devoir avaler une couleuvre supplémentaire en devant s’asseoir à une même table que Haradinaj, car l’ancien videur de boîte de nuit ambitionne de retrouver rapidement le poste de Premier ministre du Kosovo qu’il occupait au moment de son inculpation et de diriger les pourparlers en cours avec Belgrade. Notons cependant que le nouveau Premier ministre serbe, Ivica Dačić, a déjà rencontré trois fois à Bruxelles son homologue du Kosovo, Hashim Thaçi, accusé – notamment par un rapport du Conseil de l’Europe – d’avoir dirigé une « bande surpuissante d’entrepreneurs criminels » s’étant livrée au meurtre à des fins d’extraction d’organes de prisonniers serbes en 1999-2000.


Tribunal de la justice sélective et de l’impunité


Ainsi, alors que le Tribunal de La Haye est en train de clôturer ses travaux, pratiquement aucun responsable d’ex-Yougoslavie n’aura été condamné pour crimes contre des Serbes[1]. Parmi les 161 inculpés du Tribunal, les trois-quarts sont des Serbes, et encore davantage si l’on compte le nombre de condamnés[2]. Pourtant, plus de 40 000 tués des guerres des Balkans et plus d’un million de déplacés et réfugiés sont des Serbes des diverses république ex-yougoslaves. Toutes ces victimes demeurent non-reconnues par La Haye, qui a officialisé de son sceau les principes de justice sélective et d’impunité.

Tout ceci ne favorisera bien entendu pas les principes de réconciliation que les partisans du Tribunal n’ont cessé de brandir depuis deux décennies pour justifier les milliards de dollars qui y ont été investis. Les frustrations, la culpabilisation des uns et le sentiment d’impunité des autres, laissent la porte ouverte à d’autres crises et déchaînements de violence. En ostracisant à ce point une nation, reconnaissons cependant au Tribunal pour l’ex-Yougoslavie d’être sur la même ligne que son homologue rwandais, qui n’a condamné que des Hutu[3], et que la plus récente Cour pénale internationale, qui n’a – à ce jour – inculpé que des Africains. La mission première de ces institutions ne semble pas être le châtiment des coupables ou la défense des victimes, mais de conforter les visions manichéennes des conflits de l’histoire contemporaine suscitées par les grandes puissances et véhiculées par les médias à leur service. Dans ces conditions, la notion de « justice internationale » se révèle être une bien nocive illusion.

Georges Berghezan

N.B. : Une version raccourcie de cet article est publiée simultanément dans Le Drapeau Rouge n° 38 de décembre 2012 (dr@belgi.net).


[1] À l’exception du général Rasim Delić, commandant des forces musulmanes bosniaque pendant la guerre, condamné à 3 ans de prison, mais dont il purgea moins de la moitié à la suite de ses problèmes de santé.

[2] Selon l’actuelle ministre de la Justice de Serbie, 96,8 % des condamnés sont des Serbes. Ce chiffre semble néanmoins faire abstraction de quelques responsables croates de Bosnie condamnés pour des atrocités à l’encontre de Musulmans bosniaques durant la guerre qui a opposé les deux communautés (1992-94).

[3] A l’exception d’un Belge rallié aux extrémistes hutu.

Copyright © 2012 Global Research

 

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25 décembre 2012 2 25 /12 /décembre /2012 13:25

 

Quand la France sacrifie les cours d’Histoire au nom de la repentance et du politiquement correct

Publié le 21/12/2012

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Repentance et lois mémorielles: Pourquoi la France se déteste-t-elle ?

Pour Dimitri Casali, aucun autre pays au monde ne sacrifie autant sa propre histoire, au nom de la repentance et du politiquement correct que la France. Dans « L’histoire de France interdite » (JC Lattès), l’auteur dénonce ce sentiment bien français qui cultive la repentance et qui ne parvient pas être fier de son histoire. Extraits .


Dans L’histoire de France interdite, Dimitri Casali explique que l’Histoire est menacée par ses trois plus grands détracteurs. L’Éducation nationale tout d’abord, dans une fuite en avant multiculturaliste qui enterre avec de nouveaux programmes nos principaux héros et la chronologie naturelle, veut faire des élèves des « citoyens du monde » avant d’en faire des citoyens français aimant leur pays. Les groupes communautaires ensuite, qui instrumentalisent l’Histoire à leur profit, d’où la multiplication des lois mémorielles… Les élites intellectuelles et médiatiques enfin, qui s’érigent en ayatollah de la pensée unique.

Aussi déplore-t-il le manque de chronologie dans les manuels scolaires : en 1ère, on étudie la crise de 1929, puis la guerre de 1914. En 3ème, les attentats du 11 septembre précédent le Front populaire de 1936. Seconde surprise, des événements fondamentaux sont évacués, tel le 6 juin 1944. La discréditation de notre passé entretient cette détestation de soi qui sommeille en chaque Français.

Selon lui, il nous manque cette fierté que l’on sent chez les Américains, les Chinois, les Britanniques, les Espagnols et qui est manifeste dans leurs manuels comme dans leur admiration pour leur héritage. Plus qu’un coup de gueule, ce livre est une déclaration d’amour à l’Histoire de France.

Extraits de « L’histoire de France interdite » de Dimitri Casali (JC Lattès)

Nous sommes le seul peuple au monde (à l’exception des Allemands pour les raisons que nous connaissons tous) à cultiver la repentance à un tel niveau. Ce sentiment de culpabilité est devenu symptomatique de l’esprit français contemporain. Faudrait-il que, tous les matins en se levant, les Français se donnent dix coups de fouet pour se faire pardonner d’avoir été d’horribles esclavagistes au XVIII e siècle, des colonialistes monstrueux au XIX e et des collabos au XXe?

Une situation de repentir à sens unique : jamais exigé des autres cultures, des autres régimes, des autres peuples. Pourtant, toutes les civilisations ont été expansionnistes : les Arabes, les Chinois, les Perses, les Mongols, les Incas, les Aztèques. Toutes ont semé le feu, le fer et la désolation, détruisant des religions locales, massacrant des populations entières. Rappelons au passage que les conquêtes mongoles initiées par Gengis Khan (v. 1167-1227) en Asie ont provoqué la mort de quarante millions de paysans et, avec leur disparition, le retour à l’état naturel de 309 000 km 2 entre 1200 à 1380[1].


Citons ici Pierre Nora : « L’Histoire n’est qu’une longue suite de crimes contre l’humanité (…) Deux mille ans de culpabilité chrétienne relayée par les droits de l’homme se sont réinvestis, au nom de la défense des individus, dans la mise en accusation et la disqualification radicale de la France. Et l’école publique s’est engouffrée dans la brèche avec d’autant plus d’ardeur qu’à la faveur du multiculturalisme, elle a trouvé dans cette repentance et ce masochisme national une nouvelle mission[2]. »

Seuls les historiens ou intellectuels étrangers parviennent encore à nous remémorer les anciennes gloires de notre pays. Il n’y a plus un mot, dans les nouveaux programmes, de l’hégémonie politique, militaire et diplomatique de la France sur le continent européen – hégémonie qui commence en 1643, avec la victoire de Rocroi remportée par le Grand Condé, et qui s’achève en 1815 à Waterloo. Plus aucun politique ou intellectuel n’ose rappeler simplement que, pendant ces 172 ans, la France a été la grande puissance, sinon la première puissance mondiale. Comme l’ont été l’Espagne au XVIe siècle, l’Angleterre au XIXe, les États-Unis au XXe , et comme le sera la Chine au XXIe siècle. Mais de cela, on ne parle pas, l’historiographie est systématiquement sélective, elle doit être politiquement correcte, compassionnelle et teintée d’angélisme.

Assez d’hypocrisie. Refusons ce chantage mémoriel, puisé dans les souffrances du passé pour instrumentaliser l’histoire par des approximations et des analogies douteuses et dangereuses. Avec toute cette haine de soi, nous nous mentons sur nous-mêmes et nous nous fermons aux autres. Avec cette perte d’estime de soi, sans laquelle aucune grande nation ne peut exister, nous perdons toute confiance en nous. Albert Camus écrivait, en 1958 : « Il est bon qu’une nation soit assez forte de tradition et d’honneur pour trouver le courage de dénoncer ses propres erreurs. Mais elle ne doit pas oublier les raisons qu’elle peut avoir de s’estimer elle-même. Il est dangereux, en tout cas, de lui demander de s’avouer seule coupable et de la vouer à une pénitence perpétuelle. »


Jadis, le temps n’effaçait pas la trace des hommes hors du commun. Or, c’est l’inverse que nous constatons en France aujourd’hui : le temps efface désormais et irrémédiablement le souvenir de nos grands hommes.


Pourquoi, au moment où la fréquentation des musées explose, où les revues, débats radiophoniques, émissions de télévision, jeux vidéo, prouvent le succès de l’histoire de nos grands personnages, pourquoi assiste-t-on, sans rien dire, à leur suppression, voire à leur mise à l’écart ?


Notre société est de plus en plus méfiante à l’égard des grands hommes, et plus encore à l’égard de ceux qui ont prouvé leur forte personnalité, voire leur autorité. Il est certain qu’une société idéale composée de citoyens unis, moraux, éduqués, cultivés n’aurait pas besoin que soit édifiée une histoire unificatrice. Mais la société idéale n’existe pas. Les idées abstraites et les grandes thématiques choisies dans les nouveaux programmes scolaires prennent l’allure d’un enseignement rébarbatif, alors que les mêmes contenus passeraient mieux si on les transmettait à travers des exemples vivants et personnifiés, en évitant les anachronismes et la mythologie, car l’histoire bien enseignée est toujours la meilleure réponse au mythe.

La République a donc plus que jamais besoin des grands hommes, car l’Histoire est plus influente qu’on ne le croit et qu’on le veuille ou non, elle émet des jugements de valeur, institue des règles, des principes ; en un mot, elle est normative.

À l’heure de la mondialisation, nous assistons à une uniformisation de nos modes de vie, de nos histoires et de nos façons de penser. Pour nos dirigeants politiques, il est indispensable que la France s’ouvre aux autres cultures du monde et que l’enseignement de l’Histoire s’adapte aux nouvelles populations immigrées.

L’exemple de Louis XIV est édifiant. Ce n’est pas seulement le Roi-Soleil qui est réduit à la portion congrue, mais aussi l’œuvre considérable de tous les principaux acteurs de son règne : Molière, Vauban, Colbert, La Fontaine, Corneille, madame de Sévigné, La Bruyère, Bossuet, Fénelon, Lully, Le Nôtre, Hardouin Mansart… Certes, il y a déjà bien longtemps que Turenne, le Grand Condé, Jean Bart, DuguayTrouin n’existent plus, et il n’est pas nécessaire de souligner la disparition de Du Guesclin ou Bayard. Le grand Pasteur ou Victor Hugo ne sont plus étudiés en Histoire comme ce fut le cas pendant plus d’un siècle dans les écoles de la République.

 

Nos enfants vont-ils devenir amnésiques ? Tous ces grands noms qui ont participé à la culture et au rayonnement de la France à l’étranger risquent de disparaître à jamais dans les oubliettes de l’Histoire. Nous ne prônons pas, bien sûr, le retour à une lecture hagiographique, épique ou patriotique des « grands personnages ». Au contraire, il faut présenter aux élèves toute la complexité de ces hommes inscrits dans leur époque.


Dimitri Casali

[1] Selon une étude du département d’écologie de l’université de Stanford en Californie.

[2] Liberté pour l’Histoire, éditions du CNRS, 2008.

 

http://mediabenews.wordpress.com/2012/12/21/quand-la-france-sacrifie-les-cours-dhistoire-au-nom-de-la-repentance-et-du-politiquement-correct/

 

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25 décembre 2012 2 25 /12 /décembre /2012 12:57

http://www.facebook.com/notes/the-true-face-of-islam/isra%C3%ABl-un-%C3%A9tat-hors-la-loi/400952777084

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Un Etat en permanence hors la loi !

Jeudi 20 décembre 2012

Israël, c’est 85 % des condamnations de l’ONU en 2012 !  


C’est le président du CRIF lui-même qui le souligne dans un éditorial ce mercredi, qu’il titre : "ONU : un bouquet d’artifice à la fin de l’année". Eh oui, Sur les 26 résolutions passées par l’AG de l’ONU en 2012 et condamnant un pays, 22 visent directement Israël. Et au même moment la France décore deux dirigeants israéliens i
Israël a fait l’objet de condamnations multiples, concernant la poursuite de la colonisation, mais aussi le refus de placer ses installations nucléaires sous le contrôle de l’AIEA.* 
Et si l’on prend la "Une" du quotidien Haaretz ce mercredi, les choses sont claires également : 
Mais que cela n’empêche surtout pas le gouvernement français d’encourager ces violations du droit international ! 
On apprend ainsi que Jean-Claude Niddam, directeur de service au ministère israélien de la Justice depuis 34 ans, vient d’être nommé chevalier de l’ordre national du Mérite par la France, tout comme Dorit Beinish, ex-présidente de la Cour suprême d’Israël. 

Merci Hollande !! 
 
(Armes nucléaires et Israël : http://www.un.org/News/fr-press/doc... ) 
CAPJPO-EuroPalestine
 
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23 décembre 2012 7 23 /12 /décembre /2012 21:13

 

Les alimenteurs (documentaire complet)

 

Comment nous sommes nourris par la recherche du profit

de l'industrie agro-alimentaire et de la restauration rapide...

 


 http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=9i-jIu9bu54

 

 

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