Les écoles publiques américaines interdisent aux élèves d’apporter leurs repas de la maison, et les obligent à consommer la nourriture des cafétérias
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Mardi, 12 avril, 2011, par: Ethan A. Huff, staff writer
(NaturalNews) La responsabilité individuelle et la liberté personnelle deviennent une chose du passé dans les écoles publiques de la nation, un contrôle strict sur ce que les élèves peuvent et ne peuvent pas manger – ou apporter à l’école pour manger – augmente à des niveaux proches de la dictature. Le Chicago Tribune rapporte que pour les six dernières années, la Little Village Academy de l’ouest de Chicago a interdit aux élèves d’apporter leurs propres repas de la maison, une mesure dont beaucoup disent qu’elle subvertit l’autorité parentale et viole les droits des élèves.
La principale Elsa Carmona a adopté en premier cette mesure sur la nourriture après avoir observé que certains de ses élèves buvaient des sodas et mangeaient des chips pour leur déjeuner, au lieu d’un repas bien équilibré. En exigeant que les élèves mangent le déjeuner à l’école et en améliorant la qualité de la nourriture servie, elle espère améliorer la santé de ses élèves.
Bien qu’ils semblent être bien intentionnés, les efforts de Carmona ont en fait provoqué la colère de nombreux élèves qui disent qu’ils préfèrent apporter leur propre repas de chez eux. Et ironiquement, cette mesure a eu l’effet contraire, dans certains cas, amenant les élèves de ne pas manger du tout, ce qui est encore pire pour leur santé.
Les élèves qui ont des allergies alimentaires ou d’autres problèmes de santé qui exigent d’eux qu’ils mangent autre chose que ce qui est servi à la cafétéria peuvent être exemptés. La plupart des élèves, cependant, finissent toujours par être obligés de manger ce qui est servi. Et beaucoup d’élèves qui n’ont pas de problèmes de santé particuliers, mais qui préfèrent un repas fait à la maison, se retrouvent sans autre choix en la matière.
« Il s’agit d’une violation fondamentale de la responsabilité parentale », a déclaré J. Justin Wilson, un chercheur principal au Centre for Consumer Freedom (CCF) à Washington, au Chicago Tribune. « L’école rechignerait-t-elle si le parent voulait préparer un repas plus sain? C’est la parfaite illustration de la façon dont le mandat sans souplesse du gouvernement sur la nutrition échoue encore et encore. »
L’an dernier, un groupe à but non lucratif appelé « Mission: Préparation » a accusé les cantines scolaires de représenter une menace pour la sécurité nationale parce qu’elles rendraient les enfants « trop gros pour pouvoir combattre » dans l’armée. Le groupe a appelé à une législation fédérale stricte sur la nourriture afin de contrôler ce que les enfants peuvent et ne peuvent pas manger (http://www.naturalnews.com/029226_s…). Et à la fin de l’année dernière, le conseil de l’éducation de l’état de Pennsylvanie a proposé d’interdire tous les desserts dans le fonctionnement de l’école, y compris les fêtes d’anniversaire (http://www.naturalnews.com/030365_j…).
Source: naturalnews, voir également: chicagotribune.com
http://infoguerilla.fr/?p=9184
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C’est nouveau, ça vient de sortir :
le bulletin scolaire payant (France, Sarthe) !
Insolite est un terme bien faible pour caractériser cette nouvelle histoire venue tout droit du département de la Sarthe et plus précisément de la ville de Ballon.
En effet, alors que le deuxième trimestre de l’année scolaire vient de se terminer, de nombreux parents attendent non sans impatience le livret scolaire de leur progéniture et les notes qui en découlent. Bonnes ou mauvaises notes, appréciations des professeurs, avis du conseil de classe, chaque chiffre ou mots est attendue par les parents d’élèves, qui n’attendent que cette date pour la plupart, pour se faire une idée du rendement scolaire de leurs enfants.
Une impatience que le bureau de Poste de la ville de Ballon a su exploiter avec un certain intêret en "convoquant" les parents attentifs pour leur remettre en main propre le précieux bulletin.
Une information relayée aujourd’hui par le quotidien Le Maine Libre qui n’a pas manqué d’attirer à la fois l’incrédulité des parents et leur empressement.
En effet, le collège René Cassin de la ville, n’ayant pas utilisé sa boîte postale pour l’expédition, a permis à la Poste du village de tirer un profit non négligeable quand à l’expédition des notes des élèves. "Oui", l’établissement scolaire ayant commis un impair administratif, a permis à la Poste d’envoyer aux parents un avis de lettre "taxé" pour que ces derniers viennent retirer leur pli.
1€48 de taxe à l’arrivée pour les parents, afin que ces derniers puissent s’approprier les notes de leur petites têtes blondes. Une taxe imposée par le service postal, qui ainsi a pu, et c’est une première, vendre aux parents les bulletins scolaires de leurs enfants.
Jadis, les bulletins scolaires étaient donnés aux enfants afin que ceux ci les remettent à leur parents. Pourtant certains bulletins disparaissaient entre la remise en main propre et le destinataire final. Aujourd’hui pour éviter toute perte étrange, ces derniers sont envoyés mais la Poste semble vouloir pour le coup en faire profit. Alors, que faire ?
LePost.fr
http://www.actubenin.com/2011/?C-est-nouveau-ca-vient-de-sortir