Les tragiques attaques terroristes en Norvège présentent les signes narratifs de la provocation fausse-bannière. Il est rapporté que, bien que les médias mondiaux essaient de focaliser sur Anders Behring Breivik comme l'assassin solitaire dans la pure tradition de Lee Harvey Oswald, plusieurs témoins oculaires sont d'accord pour dire qu'il y avait un second tireur en activité dans le massacre du camp d'été d'Utoeya près d'Oslo. Il a été porté à l'attention du public qu'une unité spéciale de la police s'est livrée à un exercice de terrain de détonation de bombes près de l'opéra d'Oslo dans le centre ville en 2010, exactement de la même façon que ce qui s'est passé plusieurs centaines de mètres plus loin vendredi dernier. De plus amples recherches montrent que des agences de renseignement américaines ont procédé à un vaste programme de recrutement d'officiers de police norvégiens en retraite avec le but avoué de surveiller l'intérieur du pays. Ce programme connu sous le nom de SIMAS, Unité de Détection et de Surveillance, a fourni une occasion parfaite pour la pénétration et la subversion de la police norvégienne par l'OTAN.
Il y a également un motif pour ces attaques: comme partie intégrante de sa tentative d'organiser une politique étrangère indépendante, incluant la reconnaissance diplomatique imminente d'un état palestinien comme volonté de rapprochement avec le monde arabe, la Norvège emmenait en fait les plus petits états de l'OTAN vers l'abandon de la coalition agressive impérialiste qui bombarde actuellement la Libye. La Norvège avait établi dans son agenda d'arrêter les bombardements et toutes autres formes de sorties contre les forces de Kadhafi au plus tard au 1er Août.
Finalement, l'opération de propagande de la CIA connue sous le nom de Wikileaks a déjà fourni un cas tout ficelé pré-fabriqué pour l'incompétence et la malfaisance de l'actuel gouvernement norvégien, qui autorise toutes ces choses, ceci dans une série de documents réels ou fabriqués, qui documentent la soi-disant négligence de ce gouvernement concernant les affaires de menaces du terrorisme, tout ceci étant vu sous l'angle des membres officiels du département d'état américain.
"Plusieurs" témoins oculaires parlent de deux tireurs sur l'île
Comme nous l'avons noté précédemment, les médias mondiaux et ceux de l'école anglo-américaine se sont immédiatement concentrés sur Breivik, l'archétype de l'assassin solitaire sortant du moule de Lee Harvey Oswald, Sirhan Sirhan et tant d'autres. Le problème pour les créateurs de mythes terroristes est que, dans la plupart des cas, il y a certains indices évidents et crédibles portant à croire que ces individus n'ont pas pu agir seuls. Parmi les plus récents de ces assassins solitaires, Breivik pourrait être comparé avec le commandant Nidal Hasan qui perpétra le massacre de Fort Hood en Novembre 2009 au Texas. Hasan est accusé d'avoir tué sept personnes. On avait déjà considéré comme remarquable que Hasan ait pu tuer tant de militaires armés sur la base. Mais des rapports du début suggéraient qu'il y avait un ou deux autres tireurs en plus d'Hasan. Comme cela arrive souvent, ces tireurs supplémentaires furent très vite éludés du narratif hégémonique des médias. [1]
Dans le cas norvégien, la preuve que Breivik n'était pas seul pour commettre ce massacre incroyable, est claire et convaincante. Ce qui suit sont des extraits d'un reportage publié par le journal d'Oslo VG:
"Plusieurs jeunes qui étaient sur la scène du massacre à Utoeya ont dit à VG qu'ils étaient convaincus qu'il devait y avoir plus d'un auteur des faits. Marius Helander Roset pense la même chose: - Je suis sûr qu'il y avait des tirs provenant de deux différents endroits sur l'île et au même moment a t'il dit.
Témoins: Il y avait deux tireurs
La police pense que Anders Behring Breivik [32] est l'auteur du massacre qui était déguisé en policier et l'a inculpé de deux attaques terroristes. Des jeunes gens interviewés par VG décrivent un second auteur, qui ne portait pas d'uniforme de la police. La personne qui les suivait alentours mesurait 180 centimètres, avait des cheveux noirs épais et une apparence nordique. Il avait un pistolet dans la main et un fusil sur son dos, je pense qu'il y avait deux personnes qui tiraient a déclaré Alexander Stavdal [23]...
A la conférence de presse Samedi matin, la police a déclaré qu'il pouvait y avoir plusieurs auteurs et a insisté que l'enquête se poursuivait." [2]