Que reste-t-il, en matière de droits et devoirs de journalistes, des exaltants Etats généraux de la presse écrite lancés le 2 octobre 2008 par le Président de la République et clos par le même le 23 janvier 2009 ?
Le SNJ s’en doutait, il en a maintenant la certitude. Les patrons de presse n’ont que faire de la déontologie. Ils ne promettent d’en discuter que lorsqu’il y a de l’argent à la clé… avant de revenir sur leurs engagements une fois cet argent versé.
[Article complet : acrimed.org](Article référencé sur le site "Les mots ont un sens")
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