Nicolas_Sarkozy : l’étau judiciaire se rapproche dangereusement
François Hollande, en prenant le train Thalis pour se rendre à Bruxelles hier après-midi, a encore tué le symbole bling bling de Nicolas Sarkozy. C’est une constance. Oui, pour faire 250 kilomètres, en juillet 2011, la délégation française conduite par Nicolas Sarkozy s’était rendue à Bruxelles avec pas moins de trois avions long-courriers pour faire le voyage jusqu’à la capitale belge.
Le voyage Paris-Bruxelles prend une heure vingt en train à grande vitesse et coûte au maximum 141 euros en 1er classe et les prix varient entre cette somme et 22 euros le prix de départ (voir tarifs 1er classe à partir de 12h en dessous). Et on estime que l’heure de vol de l’A330 présidentiel revient environ à 20 000 euros ; celle d’un Falcon 7X revient à 7 700 euros. Faites les comptes, c’est sans commentaire…
Prix 1er Classe |
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Départ | 12h55 | 14h25 | 14h25 | 15h25 | 16h01 | 16h01 | 16h55 |
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A partir de | 129.00 € | 141.00 € | 129.00 € | 141.00 € | 129.00 € | 141.00 € | 141.00 € |
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Durée | 01h22 | 01h20 | 01h20 | 01h20 | 01h22 | 01h22 | 01h22 |
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Voyagez avec | | | | | | | |
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Cette fois-ci, c’est fini, bel et bien fini pour Nicolas Sarkozy qui passait son temps à parler de sécurité du président. Mais, ce n’est pas tout. Quand on voit la passe d’arme qu’il y a eu hier entre l’ancien premier-ministre François Fillon et Jean-François Copé le secrétaire général de l’UMP, on peut affirmer sans doute que le nom Nicolas Sarkozy ne se conjugue lus qu’au passé.
Dans son édition du jour, 24 mai, Le Monde a titré que l’enquête sur l’affaire Bettencourt se rapprochait à pas de géant vers le petit Nicolas Sarkozy. Le marocain va-t-il avoir le courage de revenir ? On peut douter tellement, l’étau judiciaire qui se resserre s’annonce très éprouvant pour lui et ses proches dès la fin de son immunité présidentielle. Elle s’achève le 15 juin prochain. Il y aura des cris et des pleurs. De l’Elysée à la Santé ? Ce serait le scénario que même les meilleurs n’auraient jamais imaginé mais, les dossiers sont “lourds”.
Voir aussi :
C’est l’histoire d’une idylle économique qui scelle l’alliance entre l’or noir saoudien et la technologie de pointe israélienne, c’est une belle romance d’aujourd’hui, dont l’alchimie peut paraître contre nature, mais pas sur l’échiquier mondial des petits arrangements entre drôles d’ennemis…
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Orion : l’Observatoire de la défense
L’Observatoire de la défense crée au sein de la Fondation Jean-Jaurès a pour ambition de relancer le débat sur notre défense et la défense européenne dans la perspective de la prochaine campagne présidentielle. Cet observatoire s’appuie sur l’expertise du réseau Orion, créé en 2002 et présidé par Louis Gautier , qui réunit des responsables politiques, des fonctionnaires civils et militaires, des universitaires et des experts.
Orion : l’Observatoire de la défense a vocation à devenir, pour la gauche française, un laboratoire d’analyse et de propositions dans les domaines de la réflexion stratégique, de la gestion des crises internationales et de paix, et en matière de politique militaire et d’armement.
http://www.jean-jaures.org/Publications/Orion-Observatoire-de-la-defense/Orion-l-Observatoire-de-la-defense
Où est le prétendu attachement à la laïcité de Manuel Valls ? Il dérive dangereusement vers le communautarisme le plus intolérable dans notre République... (note d'eva)
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Communautarisme électoral. Lundi soir, Manuel Valls, nouveau ministre de l'Intérieur et candidat aux législatives, a participé au dîner du CRIF organisé par la communauté juive de Marseille. L'élu socialiste y a tenu un discours particulièrement chaleureux comme en témoigne une vidéo mise aujourd'hui en ligne.
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La «déconcertante alliance» du Hezbollah et du général Michel Aoun, pour reprendre l’expression des analystes occidentaux, apparaît ainsi comme la résultante et la réplique de la «déconcertante attitude» des Occidentaux à l’égard des aspirations du monde arabe, particulièrement en ce qui concerne la Palestine et les Chrétiens d’orient.
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Extraits ici :
(..) la criminalisation de la négation du génocide arménien aurait été exonérée de tout soupçon électoraliste si elle ne s’était pas accompagnée de la prime à la forfaiture turque (Alexandrette), d’une coopération stratégique cinquantenaire franco-turque, y compris contre l’indépendance de l’Algérie et d’une hostilité résolue de la France à l’égard des deux grands protecteurs des Arméniens, l’Iran, voisin et allié de l’Arménie à travers les siècles, et la Syrie, qui abrite le grand mémorial des Arméniens à Deir Ez-Zor, le lieu de pèlerinage annuel de la diaspora, le 23 avril.
Protectrice des chrétiens d’Orient, elle a facilité l’accès de son territoire aux Libanais fuyant les ravages de la guerre civile (1975-1990), mais elle a, dans le temps institutionnalisé et instrumentalisé le confessionnalisme politique, au mépris du principe de la laïcité et de la séparation de l’Eglise et de l’Etat, un des principes fondateurs de la République française. Le montage confessionnel français aura été le déclencheur de cette guerre fratricide qui gangrène la vie publique nationale depuis l’indépendance du Liban il y a soixante dix ans avec des conséquences désastreuses sur la chrétienté arabe, particulièrement les Maronites, les alliés privilégiés de la France dans la zone.
Dans une inversion de tendance sans doute irréversible, le nombre des locuteurs francophones au Liban connu une baisse drastique au bénéfice de l’anglais, passant de 67 pour cent dans la décennie 1960 à 27 pour cent au début du nouveau millénaire, alors que l’exode des chrétiens du Liban atteignait un taux alarmant: 40 % des chrétiens libanais auraient quitté le pays depuis le début de la guerre, en 1975, quand bien même la diaspora déployée en Amérique du Nord (Etats-Unis, Canada), en Amérique latine, en Australie et en Afrique, a gardé des liens puissants avec la mère patrie.
Dans le même ordre d’idée, la mise à l’index du président libanais Emile Lahoud, dans la foulée de l’assassinat du premier ministre Rafic Hariri, en février 2005, le milliardaire libano saoudien ami du président français Jacques Chirac, a abouti à ostraciser l’unique dirigeant chrétien du Monde arabe. Un précédent lourd de conséquences pour l’avenir de la chrétienté arabe.
La «déconcertante alliance» du Hezbollah et du général Michel Aoun, pour reprendre l’expression des analystes occidentaux, apparaît ainsi comme la résultante et la réplique de la «déconcertante attitude» des Occidentaux à l’égard des aspirations du monde arabe, particulièrement en ce qui concerne la Palestine et les Chrétiens d’orient. Une alliance d’autant plus impérieuse pour «préserver le caractère arabe» qu’elle a brisé stratégiquement le clivage confessionnel islamo chrétien de l’équation libanaise.
Sous Sarkozy,
un double camouflet retentissant à la Turquie
Barrer à la Turquie la voie de l’Europe au prétexte qu’elle n’est pas européenne gagnerait en crédibilité si cet argument fallacieux s’appliquait également à sa présence au sein de l’Otan, le pacte atlantique dont elle n’est nullement riveraine. Sceller une Union transméditerranéenne sur la base d’une division raciale du travail, «l’intelligence française et la main d’œuvre arabe», selon le schéma esquissé par Nicolas Sarkozy dans son discours de Tunis le 28 avril 2008, augurait mal de la viabilité d’un projet qui validait la permanence d’une posture raciste au sein de l’élite politico-médiatique française, une posture manifeste à travers les variations séculaires sur ce même thème opposant tantôt «la chair à canon» au «génie du commandement» forcément français lors de la première guerre Mondiale (1914-1918), tantôt «les idées» du génie français face au pétrole arabe» pour reprendre le slogan de la première crise pétrolière (1973): «Des idées, mais pas du pétrole».
Substituer de surcroît l’Iran à Israël comme le nouvel ennemi héréditaire des Arabes viserait à exonérer les Occidentaux de leur propre responsabilité dans la tragédie palestinienne, en banalisant la présence israélienne dans la zone au détriment du voisin millénaire des Arabes, l’Iran, dont le potentiel nucléaire est postérieur de soixante ans à la menace nucléaire israélienne et à la dépossession palestinienne.
L’Union pour la Méditerranée, mort née, est apparue comme un dérivatif, un leurre qui trahissait les véritables intentions des Occidentaux à l’égard d’un pays certes membre de l’alliance atlantique, mais musulman, en ce que les Européens voulaient bien de la Turquie en tant que force supplétive de l’Occident mais pas tant en tant que membre de plein droit de la famille européenne.
Au ban de l’Europe mais pas au banc de l’Europe quand bien même jamais aucune puissance militaire musulmane n’avait été aussi loin dans sa collaboration avec l’Occident, nouant un partenariat stratégique avec Israël dans une alliance contre-nature conclue entre le premier Etat «génocidaire» du XX me siècle et les rescapés du génocide hitlérien.
Au-delà des constructions théoriques, le choix atlantiste de la Turquie reposait sur un pacte tacite conclu avec le camp occidental, fondé sur l’occultation de la responsabilité de la Turquie dans le génocide arménien en contrepartie de l’implication de ce pays de culture musulmane non seulement dans la défense du «Monde libre» face à l‘Union soviétique, mais aussi dans une alliance stratégique avec Israël contre le Monde arabe.
L’effet second de son adhésion à l’Otan répondait au souci des Etats-Unis de placer le contentieux gréco-turc, le binôme Athènes Constantinople, au delà le contentieux Islam-Chrétienté sous contrôle de l’Occident, en ce qu’Athènes constituait le berceau de la civilisation occidentale et Constantinople-Ankara, l’ultime empire musulman. Le déploiement de la Turquie sur la scène régionale du Moyen orient sur la base d’une diplomatie néo-ottomane véhiculée par un islam teinté de modernisme, en concurrence directe avec les intérêts des anciennes puissances coloniales, a conduit la France à se draper de son ancienne posture.
A l’épreuve des faits, la politique arabe de la France, dogme sacré s’il en est, s’est révélée être une vaste mystification, un argument de vente du complexe militaro-industriel français. Alexandrette, Sétif mais aussi Suez: Dix ans après la fin de la 2me Guerre mondiale, en 1956, de concert avec Israël et la Grande Bretagne, la France se livrera à une «expédition punitive» contre le chef de file du nationalisme arabe, Nasser, coupable d’avoir voulu récupérer son unique richesse nationale «le Canal de Suez».
Curieux attelage d’ailleurs que cette «équipée de Suez» entre des rescapés du génocide hitlérien (les Israéliens) et l’un de leur ancien bourreau, la France, qui aura sabordé sa flotte et sera sous Vichy l’antichambre des camps de la mort? Curieux attelage pour quel combat? Contre qui? Des Arabes? Ceux-là mêmes qui furent abondamment sollicités durant la Deuxième Guerre Mondiale pour vaincre le régime nazi, c’est-à-dire l’occupant des Français et le bourreau des Israéliens.
Véritable «porte-avions» américains en Méditerranée orientale, la Turquie a loyalement servi l’Occident, y compris la France, allant même jusqu’à se prononcer contre l’indépendance de l’Algérie, déniant, contre toute évidence, au combat des nationalistes algériens, le caractère de guerre de libération, allant même jusqu’à mettre à disposition de l’aviation israélienne ses bases militaires et son espace aérien pour l’entraînement de ses chasseurs-bombardiers en opération contre le monde arabe.
La mise en route du projet de loi sur la criminalisation de la négation du génocide hitlérien, si elle a paru répondre au premier chef à des considérations électoralistes, a eu pour première conséquence la rupture de la coopération entre les deux parrains essentiels de l’opposition syrienne, plaçant les deux pays artisans du démembrement de la Syrie en position de guerre larvée. Curieux retournement de vieux complices.
Le déclassement de la France
dans la hiérarchie des puissances
Première puissance continentale de l’Europe, au début du XX me siècle, à un moment où l’Europe était le centre du monde, la France sera relégué au 9me rang des puissances mondiales à l’horizon de l’an 2017, dont la dégradation de sa notation économique de triple A à double A en est le signe précurseur.
Sans doute imputable à la montée en puissance des grands ensembles (Chine, Inde), à la perte de son empire, cette relégation est tout autant imputable aux déboires militaires français ininterrompus depuis plus d‘un siècle, de la défaite de Waterloo (1815) à la défaite de Fachoda, de l’expédition du Mexique (1861-1867) à l’expédition de Suez (1956), de la capitulation de Sedan (1870), à la capitulation de Montoire (1940à à la capitulation de Dien Bien Phu HU (1954), du coup de Trafalgar au sabordage de Toulon (1942), aux déboires économiques, du Crédit Lyonnais, d’Elf Aquitaine, à France Télécom, au Gan à Dexia, aux marchés d’Ile de France et aux frais de bouche, ainsi qu’à cette fameuse exception française qui fait qu’en un quart de siècles, la France aura perdu 40 pour cent de parts de marché au niveau du commerce mondial, entraînant la fermeture de 900 industries, une réduction drastique du nombre des ouvriers de 6 millions à 3,4 millions avec l’augmentation corrélative du nombre des chômeurs de l’ordre de 4 millions, l’un des plus élevés d’Europe. Sans la moindre remise en question, sans la moindre remise en cause.
Une décote qui sanctionne la perte de 40 pour cent de part de marchés en un quart de siècle et signe le déclassement de la France au rang des puissances moyennes, un niveau sensiblement équivalent à celui de la Turquie, nouvelle puissance régionale au Moyen Orient, en concurrence directe désormais avec la France. Un déclassement qui signe du même coup huit siècles après les capitulations de Soliman le Magnifique, la capitulation de la France dans la hiérarchie des puissances mondiales.
Sous la mandature Sarkozy, la France a ainsi asséné en moins d’une décennie à la Turquie deux camouflets majeurs: l’interdit européen et la criminalisation du génocide arménien. La Syrie, leur point de convergence et de connivence au XXème siècle, aura été leur point de percussion au XXIème siècle. Un résultat imputable à une politique de duplicité générée par une posture proto-fasciste inhérente à tout un pan de la société française, fondée, non sur une vision prospective, mais sur les présupposés idéologiques d’une classe politique compulsive animée d’une pensée convulsive.
L’Occident, particulièrement le bloc atlantique, est redevable d’une part de sa victoire sur l’Union soviétique au Monde arabe et musulman dont il aura soutenu toutes les équipées même les plus aberrantes, compromettant ses intérêts à long terme, que cela soit contre l’empire soviétique, hier, contre l’Iran, aujourd’hui, quand bien même cet Occident-là aura été l’adversaire le plus implacable des aspirations nationales du Monde arabe depuis près d’un siècle, à Mayssaloune-Alexandrette (Syrie), à Sétif (Algérie), à Suez (Egypte), à Bizerte (Tunisie) et naturellement la Palestine, la plus importante opération de délocalisation de l’antisémitisme institutionnelle européen en terre arabe.
A la tête d’un état dégradé, expurgé toutefois des transfuges malfaisants, le prochain président post sarkozyste de France se devra d’être le président de la solidarité nationale et de la réconciliation post coloniale. A Alger, à Dakar voire même à Damas, et non le président des stocks options et d’un atlantisme fébrile au service du sionisme…. au Kurdistan, au sud Soudan, en Libye et à Gaza.
Notes:
1-La documentation Française/ Monde arabe- Machreq Maghreb, revue trimestrielle N°152 (Avril-Juin 1996) «La politique musulmane de la France» sous la direction d’Henry Laurens.
2-«Du Bougnoule au sauvageon, voyage dans l’imaginaire français» René Naba Editions Harmattan. 2002.
3- Paris 2 novembre 1915 (Archives du ministère des affaires étrangères) Instructions d’Aristide Briand, ministre des Affaires étrangères (1862-1932) à Georges Picot, consul de France à Beyrouth. Document publié dans «Atlas du Monde arabe géopolitique et société»
par Philippe Fargues et Rafic Boustany, préface de Maxime Rodinson (Editions Bordas)
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IRIB-Le ministre irlandais des AE a promis de boycotter les produits made in Israel et d'empêcher l'entrée en eurozone des ressortisants israéliens impliqués dans des violences anti palestinienne au cours de sa présidence à la tête de l'UE.
Imon Guilmor a menacé de boycotter la vente des marchandises importés d'Israel dans tous les pays de la zone euro si l'entité sioniste ne changeait pas de manière concrète ses politiques.
http://french.irib.ir/info/moyen-orient/item/189687-l-irlande-sanctionne-israel
Lien : http://www.alterinfo.net/notes/L-Irlande-sanctionne-Israel_b4251592.html
Le vice-ministre russe de la Défense Anatoli Antonov
© RIA Novosti. Mikhail Klementiev 17:06 19/05/2012
MOSCOU, 19 mai - RIA Novosti
La Russie n'a pas besoin d'un désarmement qui pourrait affaiblir son potentiel militaire, a annoncé samedi le vice-ministre russe de la Défense Anatoli Antonov dans une interview à la radio Echo de Moscou.
"Le désarmement en tant que tel ne sert à rien. Nous n'avons pas besoin d'un désarmement qui affaiblirait notre pays. Nous avons besoin d'un désarmement qui renforcerait la sécurité nationale de la Russie", a-t-il déclaré.
D'après le vice-ministre, le concept de destruction mutuelle garantie constitue toujours un des éléments clés de la sécurité internationale. Selon ce concept, en l'absence de systèmes de défense antimissile, le pays qui utiliserait l'arme nucléaire en premier serait nécessairement anéanti par une frappe de rétorsion.
"Aussi terrible qu'il paraisse, ce concept permet de prévenir une guerre nucléaire. Or, dès que ce concept est abandonné, on commence à se faire une illusion en croyant qu'une guerre nucléaire pourrait être gagnée. C'est une illusion dangereuse, et le système de défense antimissile est susceptible de la créer. Et alors la stabilité stratégique serait rompue", a expliqué M. Antonov.
Lien : http://fr.rian.ru/defense/20120519/194766336.html
La Chine condamne les pays déployant le bouclier antimissile en tant qu'intimidation 23/05/2012
La Chine n'accepte pas la position des pays qui déploient le système de défense antimissile pour intimider d'autres Etats, a déclaré le vice-ministre chinois des Affaires étrangères Chen Gopin ayant ajouté que le président de Russie Vladimir Poutine et le président de Chine Hu Jintao discuteraient du bouclier antimissile en Europe lors de leur prochaine rencontre. « Les positions de la Chine et de la Russie là-dessus convergent entièrement », a-t-il ajouté.
Précédemment les militaires russes ont lancé depuis le cosmodrome de Plessetsk un nouveau missile balistique intercontinental capable de surmonter les systèmes de défense antimissile.
http://french.ruvr.ru/2012_05_23/Chine-bouclier-antimissiles/
Lien : http://www.alterinfo.net/notes/La-Chine-condamne-les-pays-deployant-le-bouclier-antimissile-en-tant-qu-intimidation_b4275914.html
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Portrait d’un « terroriste » algérien
par XXX, ami du blogue Dans le portrait qui suit, à quelques détails près, beaucoup se reconnaitront. Quand ils n’ont pas disparus. Avant d’être classé « terroriste », il avait été un enfant joyeux et un adolescent jovial, avec en permanence, [...]
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14 mai 2012 Posté par voltigeur sous Écologie, environnement et animaux 4 commentaires On se doutait bien que les cachotteries seraient révélées! le massacre continue en silence, sans parler de complot, il est important pour nous, de savoir la vérité, mais ça ne ferait pas les affaires de ces assassins patentés de la nature avec la complicité [...]
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L’Observatoire libyen des droits de l’Homme a condamné lundi dernier la tentative d’assassinat de deux membres du Conseil national de transition (CNT) et souligné la nécessité de rejeter toutes les formes de violence et de respecter la légalité. Dans un communiqué publié à Benghazi, l’Observatoire a appelé tous les Bataillons armés à renoncer à la violence et se placer sous la bannière du ministère de la Défense pour construire une armée nationale libyenne.
Le journal ‘ Barniq’, paraissant à Benghazi, a révélé dans son édition hebdomadaire que deux membres du CNT, Fathi Al-Baaja et Khaled Al-Saeh ont été victimes à la veille du week-end dernier d’une tentative d’assassinat à l’aéroport de Benghazi perpétrée par un groupe armé qui les attendait. Le journal ajoute que cette tentative est survenue un jour après les coups de feu tirés contre la voiture du directeur de l’hôpital de Benghazi, Fathi Al-Jehani.
L’Observatoire libyen des droits de l’Homme a fait assumer aux ministères de l’Intérieur et de la Défense la responsabilité de fournir la protection nécessaire aux personnalités politiques de l’Etat. Les observateurs à Tripoli ont noté le début d’un grand déploiement des éléments de la sécurité nationale du ministère de l’Intérieur dans plusieurs points stratégiques dans les environs de la capitale Tripoli, avec l’approche de la date des premières élections démocratiques dans le pays qui se tiendront le 19 juin pour élire un Congrès national de 200 membres.
L’Observatoire estime que de telles opérations et l’escalade de la violence pourraient menacer le processus de transition démocratique et a appelé à la poursuite des auteurs de ces incidents et à leur demander de rendre compte. Des éléments armés non identifiés ont assassiné la semaine dernière Khaled Abu Khatoua, candidat de la ville Murzouk (sud) au Congrès national, quelques heures seulement après avoir déposé sa candidature à la circonscription d’inscription des électeurs de la ville, rappelle-t-on.
Dans son message adressé au président libanais Michel Sleimane, le roi saoudien Abdallah bin Abdul Aziz a non seulement souligné la gravité de la situation au Liban, mais il a rappelé l’influence de l’extérieur sur sa composition fragile et sa volonté d'intervenir directement lorsque le besoin s'en fait ressentir afin de redéfinir les règles du jeu et délimiter des lignes rouges.
Selon le quotidien asSafir, il était clair que le roi a adopté un double langage à travers sa lettre : dans un premier temps et pour la première fois, l’Arabie saoudite adopte un ton sévère et ferme en exprimant « sa préoccupation que l’une des principales communautés qui composent le tissu social de la République libanaise soit visée» en allusion à la communauté sunnite.
« Un ton inhabituel dans le discours saoudien vis-à-vis du Liban, surtout qu’il suggère que l'une des communautés libanaises (sunnite) jouit de la protection du royaume face à toute menace (sans définir la nature de cette menace)" ! poursuit asSafir.
Cependant, après cette mise en garde du danger des conflits sectaires et de la menace d’une de guerre civile, le roi Abdallah adoucit le ton en exprimant sa confiance envers la sagesse du président Sleimane..
« Nous comptons sur la sagesse de Votre Excellence pour mettre fin à la crise et relancer le dialogue national libanais sous votre patronage, sans compter votre souci d'écarter la scène libanaise des conflits externes, en particulier de ce qui se passe chez votre voisin la Syrie », écrit le monarque saoudien.
Selon asSafir , on pourrait faire valoir que le roi de l’Arabie saoudite semble dans cette partie de son message en accord avec les trois dirigeants libanais : son soutien aussi bien à la reprise du dialogue qu'à la politique de distanciation adoptée par le gouvernement de Najib Mikati, ce qui semble une position en contradiction avec celle des alliés de Riyad, notamment le chef du courant du Futur Saad Hariri, qui non seulement refuse de reprendre le dialogue ou s’oppose à la politique libanaise de distanciation envers la Syrie, mais qui ne cesse d’exiger la démission de Mikati.
Toujours selon asSafir, l'ambassadeur saoudien à Beyrouth Ali Awad Assiri a rapporté au président Souleiman de la part de la direction saoudienne, son encouragement à la reprise du dialogue entre les parties libanaises. Selon des informations propres à asSafir, le Président de la République libanaise a discuté de sa prochaine visite à Riyad, suivi par probablement de la reprise du dialogue.
Source: asSafir
http://www2.almanar.com.lb/french/adetails.php?eid=65209&cid=18&fromval=1&frid=18&seccatid=23&s1=1 .
La cérémonie d'ouverture des jeux Olympiques de Londres ne sera pas ponctuée par une minute de silence commémorant la mort des 11 athlètes israéliens tués il y a 40 ans lors des JO de Munich, comme le réclamait l'entité sioniste.
Lors d’une déclaration faite mardi à Québec, une porte-parole du CIO qui indique que la décision avait été prise en concertation avec le Comité olympique israélien, ajoute que « ce n'est pas à proprement parler un refus d'organiser une minute de silence".
Réaction virulente du vice-ministre israélien des affaires étrangères Danny Ayalon , qui sur le site du ministère "cette réponse est inacceptable et contredit les principes de fraternité sur lesquels l'idéal olympique est censé reposer. Les assassinats terroristes des athlètes israéliens ne furent pas seulement une attaque envers des gens en raison de leur nationalité ou de leur religion, ce fut une attaque contre les jeux Olympiques et la communauté internationale", peut-on lire dans ce communiqué.
"Il est donc nécessaire pour les jeux Olympiques de commémorer cet événement lors de leur ouverture plutôt que dans une cérémonie marginale", poursuit le ministre qui avait réclamé fin avril au CIO d'inclure une minute de silence dans la cérémonie d'ouverture des JO de Londres. Il conclut en espérant que l'autorité olympique reviendra sur sa décision.
Pendant ce temps, plus aux nord, le Danemark vient d’annoncer que "le gouvernement est en train de préparer un système d'information basé sur la participation volontaire des commerçants répertoriant les produits alimentaires issus de colonies israéliennes".
Le porte-parole du ministère des Affaires Etrangères danois précise que "c'est un pas qui montre clairement aux consommateurs que ces biens là sont produits dans des circonstances qu'un gouvernement danois, ainsi que d'autres gouvernements européens, refusent. Et il appartient ainsi aux consommateurs de décider s'ils veulent acheter ces biens ou pas".
"Je crois vraiment que ces indications auront un effet assez direct et important sur les importations mais dans quelle mesure précisément, il est impossible de le calculer", ajoute t-il.
Les modalités de ce projet ne sont pas encore décidées mais "le Danemark s'inspire de la Grande-Bretagne" qui a pris des mesures conseillant aux supermarchés du Royaume-Uni de faire la distinction entre les produits alimentaires qui viennent des colonies et les produits palestiniens, a informé Ellermann-Kingombe.
Notons que l’Afrique du sud a emboité le pas de la grande Bretagne en annonçant son souhait d’étiqueter le code de la Palestine pour les produits en provenance des colonies.
http://www2.almanar.com.lb/french/adetails.php?fromval=1&cid=19&frid=19&eid=65329
Selon certaines sources d'information, le triangle Qatar/GB/USA projette de perturber l'Ordre constitutionnel et de tourner l'issue des élections présidentielles à leur avantage.
Au terme des dizaines de rencontres entre les membres du Conseil militaire au pouvoir et les représentants du Qatar, de la GB et des Etats Unis, un projet de coup d'état a été peaufiné. au clair il s'agit de renverser via un putche militaire le président élu si celui ci est un Islamiste. Doha a accueili cette semaine une réunion où participaient le chef des services secrets egyptiens Mourad Movafi et les représentanst des pays précités. le scénario des fraudes éléctorales a toutefois la priorité et les comploteurs se passeraient bien d'un recours à la force.
Voir aussi :
/http%3A%2F%2Fwww.alterinfo.net%2Fphoto%2Fart%2Fdefault%2F4249877-6431808.jpg%3Fv%3D1337607129)
Lorsqu’ils ont bombardé la Corée, le Vietnam, le Laos, le Cambodge, El Salvador et le Nicaragua, je n’ai rien dit, je n’étais pas communiste.
Lorsqu’ils ont bombardé la Chine, le Guatemala, l’Indonésie, Cuba et le Congo, je n’ai rien dit, je n’étais pas au courant.
Lorsqu’ils ont bombardé le Liban et la Grenade, je n’ai rien dit, je n’y comprenais rien.
Lorsqu’ils ont bombardé le Panama, je n’ai rien dit, je n’étais pas un trafiquant de drogue.
Lorsqu’ils ont bombardé l’Irak, l’Afghanistan, le Pakistan, la Somalie et le Yémen, je n’ai rien dit, je n’étais pas un terroriste.
Lorsqu’ils ont bombardé la Yougoslavie et la Libye pour des raisons « humanitaires » je n’ai rien dit, cela avait l’air d’être une bonne raison.
Quand ils sont venus me bombarder, il n’y avait plus personne pour me défendre. Aucune importance, puisque j’étais mort.
C’est devenu un cliché que d’accuser les Etats-Unis de choisir comme cibles les gens de couleur, ceux du tiers-monde ou les musulmans. Mais il ne faut pas oublier qu’une des plus longues campagnes de bombardement américaines féroces des temps modernes – pendant 78 jours consécutifs – fut menée contre les habitants de l’ex-Yougoslavie : blancs, européens et chrétiens.
Les Etats-Unis sont pour l’égalité des chances, lorsqu’il s’agit de bombarder. Les seules conditions requises pour devenir une cible sont : a) constituer un obstacle – n’importe lequel – à la volonté de l’Empire Américain ; b) être virtuellement sans défense contre les bombardements aériens.
« Nous ne voyons jamais le feu et la fumée, nous ne sentons jamais l’odeur du sang, nous ne croisons jamais les regards terrorisés des enfants dont les cauchemars seront désormais hantés par des missiles hurlants tirés par les terroristes invisibles, connus sous le nom d’Américains »
La NASA a annoncé une nouvelle mission spectaculaire, le lancement d’une fusée qui voyagera pendant 4 ans pour se poser sur un astéroïde où elle prélèvera un peu de poussière de la surface et ramènera sa précieuse cargaison sur la Terre, où des scientifiques l’examineront pour trouver des indices sur les origines de la vie. Une véritable histoire de science-fiction. Cela dit, à titre personnel je considérerais comme une prouesse bien plus grande pour l’humanité la possibilité de mettre fin à tous les bombardement américains et à toutes leurs guerres, et inculquer un peu d’humilité à la Sainte Trinité – les Etats-Unis, l’Union Européenne et l’OTAN – qui ne reconnaissent aucun pouvoir supérieur et qui croient qu’ils ont littéralement le droit de faire partout dans le monde ce qu’ils veulent, à qui ils veulent, aussi longtemps qu’ils le veulent, et de qualifier leur action d’un nom choisi au hasard, « humanitaire » par exemple.
La chute de l’Empire Américain offrirait un nouveau départ pour le peuple américain et le monde qui souffrent depuis si longtemps
D'aprés un article de William BLUM
Publié le24 mai 2012
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