Tout sur la crise financière, économique, sanitaire, sociale, morale etc. Infos et analyses d'actualité. Et conseils, tuyaux, pour s'adapter à la crise, éventuellement au chaos, et même survivre en cas de guerre le cas échéant. Et des pistes, des alternatives au Système, pas forcément utopiques. A défaut de le changer ! Un blog d'utilité publique.
Dans la nuit Pékin et Angela Merkel et les deux chef etat France et italien sarckozy et Silvio Berlusconi signe a Bruxelles un accord sur le sauvetage de l'euro .Après douze heures de négociation et dans le but d'évité un crach financier ,la France et l'Italie cèdent aux ambitions de Pékin .Le gouvernement de la Italien a du se soumettre au volontés des grandes puissances .
Pékin est la gagnante de ce démantèlement de la zone euo . Les accords signés a Bruxelles deviendront par la suite le symbole de la Faiblesse des democraties européennes face à la montée de la CHINE
Eh oui,
l'accord a été annoncé à 4H du matin par le président Français himself...
Les banques perdent 50% de leur créance en Grèce...
La Chine qui possède déjà les Etats Unis, va pouvoir posséder l'Europe...
La Russie aura aussi une part de gâteau...
Nous sommes vendus !
La Chine achète l'Europe
L'Europe au bord du gouffre économique et financier, incapable de prendre les mesures adéquates quand il fallait le faire a failli plonger le monde dans une dépression qu'on a du mal à imaginer.
L'Europe, une belle idée en théorie, jamais concrétisée réellement par des institutions à la hauteur du projet envisagé, n'est en fait qu'un agglomérat de nations tirant la couverture chacune de son côté, où France et Allemagne s'égosillent pour revendiquer le leadership.
Réunis en congrès extraordinaire hier soir, tout le gratin européen Sarkel et Merkozy en tête, a réussi à s'entendre ( ?) pour donner l'illusion que la crise était sous contrôle ( ?).
Acculés dans les cordes, politiques et banquiers n'ont trouvé qu'une issue, vendre l'Europe à la Chine !
Quand j'étais môme, les philosophes de bistrots annonçaient une invasion du monde par les milliards de chinois qui grouillaient dans le mystérieux empire du milieu et qui, telle une marée humaine digne d'une fourmilière géante, envahiraient notre continent et les autres, mais nous n'en avions rien à battre !
Les Chinois, plus malins, depuis plusieurs années déjà, investissent partout dans le monde, en Afrique particulièrement, et en Europe aussi plus discrètement.
Désormais, c'est sans complexes qu'ils vont injecter du fric dans l'économie du Vieux Continent, puisque c'est nous-mêmes qui le leur demandons.
Sauveurs de l'économie mondiale, il sera difficile dans l'avenir, de leur faire la moindre remontrance ou réflexion, sur leurs décisions ou attitudes tant politiques, qu'écologiques ou sociales...
Les riches chinois qui sillonnent déjà l'Europe aujourd'hui, nouveaux nababs devant lesquels on déploie le tapis rouge en tant que clients de prestige, vont d'ici peu affluer plus nombreux, mais cette fois en tant que propriétaires des lieux.
Le directeur du Fonds européen de stabilité financière (FESF), Klaus Regling a prévenu vendredi à Pékin qu'aucun accord ne serait annoncé lors de sa visite sur une contribution supplémentaire de la Chine à ce fonds anticrise, dont il veut rendre les instruments "attractifs et sûrs" pour Pékin |
Peter Parks
Pourquoi alors les Chinois achètent-il de la dette européenne ?
Parce qu'il "trouvent que c'est un investissement intéressant", a répondu M. Regling, soulignant que les obligations émises par le FESF étaient cotées AAA.
"Les réserves de change de la Chine augmentent chaque mois, il y a donc un besoin d'investissement", a-t-il expliqué.
Le directeur du Fonds européen de stabilité financière (FESF), Klaus Regling a prévenu vendredi à Pékin qu'aucun accord ne serait annoncé lors de sa visite sur une contribution supplémentaire de la Chine à ce fonds anticrise, dont il veut rendre les instruments "attractifs et sûrs" pour Pékin.
La Chine, premier détenteur mondial de réserves de change avec plus de 3.200 milliards de dollars, a dit à maintes reprises qu'elle était prête à soutenir l'euro, tout en demandant une plus grande ouverture du Vieux continent à ses produits et investissements.
"Il n'y a pas de négociations en cours avec la Chine" sur des investissements chinois dans le FESF, a déclaré à la presse M. Regling, venu à Pékin pour des "consultations régulières".
Depuis le début de l'année, "la Chine est un bon client pour les obligations du FESF", a-t-il assuré, refusant toutefois d'indiquer le montant de la contribution chinoise.
Il a précisé que, contrairement aux Etats-Unis qui publient pays par pays la liste des acheteurs de leurs bons du Trésor, les Européens donnaient seulement des indications par continent.
"40% des obligations émises par le FESF ont été achetées en Asie", selon M. Regling. Le Japon en a acheté la moitié, soit 20%, pour un montant de 2,68 milliards d'euros.
La zone euro a décidé lors de son sommet de crise à Bruxelles mercredi et jeudi de démultiplier la puissance de feu du FESF pour les pays en difficulté, l'Italie ou l'Espagne. Sa capacité d'intervention passerait à 1.000 milliards d'euros, contre 440 milliards.
Pour arriver à ce résultat, un système d'assurance-crédit sera offert aux investisseurs et un fonds spécial serait adossé au Fonds monétaire international pour accueillir les contributions de pays émergents, Chine en tête.
La Chine réfléchit à investir quelque 100 milliards de dollars pour aider la zone euro à combattre la crise de la dette publique, indiquait le Financial Times sur son site internet hier, citant une source proche du gouvernement.
"La Chine pourrait être désireuse de contribuer entre 50 et 100 milliards de dollars au FESF (Fonds européen de stabilité financière) ou à un fonds nouveau monté sous sa houlette en collaboration avec le FMI, selon une personne au courant des intentions des dirigeants chinois", a indiqué le quotidien britannique. "Si les conditions sont adaptées alors quelque chose un peu au dessus de 100 milliards de dollars n'est pas inconcevable", a affirmé cette personne au Financial Times.
La zone euro a décidé avant-hier, lors d'un sommet de ses dirigeants à Bruxelles, de solliciter Pékin pour renforcer la capacité d'action du Fonds européen de stabilité financière. Le gouvernement chinois n'a pas officiellement confirmé qu'il se joindrait à l'effort, mais veut "explorer les moyens de renforcer la coopération bilatérale sur la base d'un bénéfice réciproque", a affirmé jeudi un porte-parole du ministère des Affaires étrangères.
Selon une source proche des négociations autour de la crise européenne, la Chine et d'autres pays émergents souhaitent l'implication du Fonds monétaire international, auquel ils font confiance pour son expertise et son cadre juridique. Le directeur du FESF, Klaus Regling, était attendu à Pékin aujourd'hui. Les Chinois détiennent déjà plus de 500 milliards de dollars de dette des Etats européens, selon des estimations d'économistes.
http://tenfiotenwo.skyrock.com/3040595429-Signature-d-un-accord-Munich-bis-de-la-zone-euro-en-2011.html