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30 juin 2009 2 30 /06 /juin /2009 04:48

VACCINS A L'

VACCINS A L'ESB ? - Secret défense

FLEURON
ALZHEIMER- 
PARKINSON
Cellules
CANCERISEES
SERUM ESB
Virus RESIDUELS
SOUPE PURULENTE
 DEGATS DES VACCINATIONS 
RETRAIT DE VACCINS 
 LOBBY-LABOS
TIERS MONDE
VACCINO 
SECTARISME
  « La médecine consiste à introduire des drogues que l’on ne connaît pas 
dans un corps que l’on connaît encore moins bien. » Voltaire
FLEURON DE LA MEDECINE ? 

Depuis la « Pasteurisation » des Sciences, à savoir l’inversion totale et coupable du concept de microzyma, le  vaccin, apparait aux yeux de l’opinion publique comme le symbole même de la Medecine et LA Solution à tous les fleaux, et ce d’autant plus que la piste virale est devenue le recours quasi systematique - certes de bonne foi - aux diagnostics défaillants...

Ainsi, massivement soutenu comme evidence absolue par des campagnes de presse plus ou moins orchestrées par des interets plus financiers que medicaux, le dogme vaccinal reste inébranlable, malgré une centaine d’années d’avis contrairesde la part de nombreux scientifiques, curieusement occultés, et malgré la réalité actuelle des risques et ravages avérés de cette impasse scientifique.

Comment et avec quoi exactement sont fabriqués ces produits hautement concentrés que sont les vaccins : le « secret defense » est la seule réponse que l’Institut Pasteur-Mérieux fournit aux professionnels. Les techniques de préparation des vaccins sont en effet tenues secrètes : il faut être initié ou chercher avec opiniâtreté pour soulever un coin du voile ! 

..
VACCINS - ALZHEIMER - PARKINSON 

Lors de la vaccination, le médecin inocule soit le micro organisme responsable de la maladie dont on voudrait protéger le patient soit divers poisons fabriqués par ces micro-organismes. Le produit final étant toujours complété par une substance toxique et souvent hautement allergisante baptisée « adjuvant » telle le mercure, l'aluminium.. 
Ainsi la plupart des vaccins actuels fabriqués pour l’homme – mais aussi l’animal – renferment de l’hydroxyde d’aluminium, à des doses de 130 à 160x superieures au seuil admissible. Le Chef du Service vaccinations Institut Pasteur Lyon declare:
"..si l'on vaccine contre la diphterie, le tetanos, la polio, la coqueluche et l'hepatite B, l'ensemble represente tout de meme 8mg d'hydroxyde d'aluminium.."

voir livre sur le scandale de l'hepatite B
L’aluminium penetre les tissus en se combinant à la ferritine du sang, en lieu et place du fer. Non éliminé par les reins, il se concentre et imprègne progressivement squelette, reins et systeme nerveux (cerveau-moelle epiniere).
L’organisme minimise les effets de l’aluminium par des mecanisme de regeneration efficaces jusqu’à un certain seuil variable selon les individus. Ainsi, débordé par des doses répétées (l’aluminium est présent partout), la necrose cellulaire commence, générant des trous dans les tissus nobles (osteoporose pour le squelette, encephalites spongiforme (ESB- vache folle)
et sclerose en plaques (paralysie progressive) pour le systeme nerveux central. Les liens Aluminium - Parkinson (tremblements, raideur,..) et Aluminium - Alzheimer (démence senile precoce) sont de plus en plus mis en evidence par la Medecine. 
CELLULES CANCERISEES

Les premiers vaccins mis au point par Pasteur lui-même, comme celui de la rage, étaient en fait des organes d'animaux malades broyés et inoculés directement (moelles épinières de lapins enragés dans ce cas précis). Aujourd'hui, les vaccins viraux modernes sont préparés le plus souvent sur des cultures de cellules animales ou humaines (issues des avortements), cancérisées artificiellement (on les baptise alors « immortelles »), ou encore d'emblée cancéreuses (lymphomes). C'est-à-dire qu'on fait « pousser » les virus vaccinaux sur ces milieux. C'est, dans tous les cas, le « jus » de culture de ces cellules cancérisées qui est inoculé aux patients, après filtration et traitements éventuels pour atténuer ou tuer les virus.

CULTURE SUR SERUM ESB ? 

Les cellules cancérisées servant à fabriquer les vaccins doivent être en très grand nombre : en effet, chaque dose vaccinale renferme des quantités invraisemblables de virus ! 700.000, au moins, pour une dose de vaccin anti-poliomyélitique par exemple. Or, les fabricants de vaccins produisent des milliards de doses ! Pour augmenter le rendement, l'on nourrit les cellules « immortelles » qui servent à la culture des virus avec du serum de veau, qui possède un facteur de croissance particulièrement actif.

Or ce sérum de veau est susceptible d'être contaminé par des prions, micro-organismes encore plus résistants que les virus, responsables de maladies comme l'Encephalite de la vache folle, ou la maladie de Creutzfeld-Jacob (démence abiotrophique). Ces maladies évoluent après 3 à 5 ans d'incubation, ce qui permet d'éviter tout « rapprochement » malheureux avec ces pathologies ou d'autres maladies neurologiques comme la maladie de Alzheimer ou le syndrome de Parkinson par exemple. D'autant plus que les veaux donneurs sont tues avant l’âge adulte, donc avant que l'on puisse diagnostiquer la maladie à prions. Ce risque est tellement évident qu'il est désormais interdit par la législation française d'utiliser le moindre produit d'origine bovine pour la fabrication de médicaments injectables !

L'Agence britannique de contrôle sanitaire a ordonné le retour immédiat de tous les vaccins polio: plusieurs lots ont été cultivés sur serum de boeuf britannique donc porteur potentiellement d'ESB.
d'apres The Independent & VSP 69
Mme Dominique Gillot secretaire d'Etat à la Santé répondant à Elise Lucet (France 3 le 18/12/00) qui lui disait que Pasteur/Merieux au courant du risque des vaccins cultivés sur du serum ESB, niaient et continuaient quand même:
" Le risque est si faible que l'on ne va pas priver pour cela des millions de gens des bienfaits des medicaments et des vaccins.." ..
VIRUS RESIDUELS

Le jus de culture obtenu est manipulé avant l'inoculation. On le filtre, puis on atténue (en théorie- voir Bechamp)le virus selon le type de vaccin, avec des produits très toxiques, comme le méthotrexate ou le formol. Il faut savoir qu'il est absolument impossible d'obtenir un produit pur. L'Institut Pasteur-Mérieux parle d'une pureté de 99%, l'OMS de 90 à 95% (Rapport Technique 760, 1987). De toutes façons, il est bien difficile de contrôler les affirmations de nos institutions vaccinales..

..
SOUPE PURULENTE

Enfin, une nouvelle technique, dite plus économique, vient d'être mise au point : le génie génétique. Des inquietudes naissent consecutivement à la culture des vaccins sur des reins de singe, d’où serait originaire la transmission à l’homme des virus simiesques HIV.
Des enzymes et des fragments de gènes issus de virus très cancérigènes (virus SV40 responsable du cancer chez les animaux - ou virus du papillome bovin en particulier) - obtenus en quantités industrielles grâce à des contaminations de cellules cancérisées et nourries avec du sérum de veau sont, par tâtonnements, mélangés au jus des cultures cellulaires (cancérisées la plupart du temps - à l'exception de Lengerix B ou du petit dernier HB-VAX DNA qui sont préparés sur des cultures de levures végétales), pour « lobotomiser » ces cellules et en faire des usines de production. Elles pourront ainsi fabriquer des protéines capables de déclencher la fabrication des fameux anticorps. 
Là encore, c'est le jus de culture, plus ou moins filtré et sans le moindre contrôle extérieur - une véritable « soupe » de purulence -, qui est récupéré et inoculé aux patients, additionné a quelque « adjuvant » toxique. L'OMS parle pudiquement « d'innocuité théorique » au dessous d'un certain seuil en ce qui concerne le matériel génétique résiduel (Cf Rapport Technique 747 de l'OMS).

DEGATS DE LA VACCINATION

Ces inoculations se font au mépris de toutes les règles de prudence en usage pour les traitements médicaux (Primum non nocere). Elles sont « réputées » inoffensives et toujours efficaces, sans que jamais la moindre étude épidémiologique sérieuse n'ait été effectuée... Curieusement, les diverses moutures sont fréquemment remplacées par de nouvelles, réputées moins dangereuses et plus efficaces.

* Ces vaccins contiennent vraisemblablement des substances cancérigènes et des outils de manipulation genetique eux-mêmes cancérigènes et tératogènes pour les derniers vaccins obtenus par génie génétique.
* Ils peuvent être contaminés à tout moment (lors de la conception de départ ou lors des manipulations nécessaires à la fabrication du produit fini), soit par des prions (sérum de veau) ou si l'on a utilise d'autres milieux de culture bovins, comme le BCG qui est cultive sur de la bile de boeuf), soit par des virus connus ou inconnus encore.
* De par les additifs, les vaccins modifient le terrain bioelectronique, ouvrant la porte à toutes sortes de maladies : allergies, athérosclérose (métaux lourds), etc.
* Par inoculation de micro-organismes plus ou moins mal connus encore, ils vont pouvoir déclencher de nouvelles maladies infectieuses (type Ebola), réveiller des cancers latents ou générer des maladies dites auto-immunes (sclerose en plaques par exemple).
* Ils risquent de venir modifier le capital génétique des gametes (ovules ou spermatozoides) et donc de déclencher la naissance d'enfants monstrueux (teratogenese) dans la descendance immédiate.
* Ils spécialisent par ailleurs le système immunitaire de l'organisme à la fabrication d'anticorps, au détriment des autres mécanismes immunitaires comme les CD4, et engendrent de ce fait à la longue un effondrement immunitaire, favorisant le développement du sida, sida d'ailleurs dont l'origine virale est contestée..
RETRAIT VACCINS AU MERCURE 
- 2 vaccins contre l'hépatite: Engerix B10 et HBVAX DNA
- 5 vaccins anti-grippaux: Vaxigrip, Mutagrip, Fluarix, Immugrip, Influvac (contiennent du mercurothiolate sodique -thiomersal)
A noter que ce problème n'a pas été signalé dans le Vidal.
Voilà qui vient encore donner un coup le sape « providentiel » à
la nouvelle vague de vaccination des nourrissons contre l'Hépatite B
qui soi-disant, ne risquent rien puisque leur système nerveux n'est pas Elaborée le 4 juillet dernier, cette recommandation vise: 
encore myélinisé.
(source VSP- Michel Dogna)
LOBBIES - LABOS - LOBOTOMIE

Automne 1994, les Français découvrent la menace d'un nouveau virus : celui de HVB, l’hépatite B. Le tapage médiatique est tel qu’entre 33 et 45% de la population française se fait vacciner. On sait le résultat désastreux de cette campagne aujourd’hui. Mais, pour les laboratoires SmithKline-Beecham et Pasteur-Mérieux, la réussite est totale. Rien que pour l’année 1995, ils se partagent environ 2 milliards de francs. Un pactole qui est le fruit de plusieurs années de travail d’un puissant groupe de pression rassemblant les laboratoires et certains chercheurs et grands patrons hospitaliers.

Ce lobby, très présent au Parlement et dans les bureaux des ministères, utilise une stratégie bien rodée. Les laboratoires subventionnent différentes associations et parrainent des colloques et symposiums où grands patrons et chercheurs multiplient les informations alarmistes sur la base de statistiques tronquées qui surestiment la gravité des maladies, mais minimisent ou ignorent les accidents postvaccinaux. Radios, télés et presse écrite sont largement sollicitées pour rendre compte de ces panels prétendument scientifiques. Sans compter les nombreuses pages de pub… Médecins et pharmaciens sont inondés de dépliants destinés à leurs patients. 

Simultanément, les bureaux ministériels sont sollicités pour développer les vaccinations. La même politique de marketing outrancier est utilisée par les organismes officiels (Comité français d’éducation pour la santé, Caisse nationale d’assurance maladie) qui ont réussi à imposer le vaccin triple rougeole- rubéole- oreillons ROR et contribué à la vaccination de masse contre l’hépatite B, faisant appel au besoin aux subsides des laboratoires. Ce lobbying, à l’œuvre dans le monde entier, est très présent au sein des organismes internationaux. Certes, le marché des vaccins (20 milliards de francs en 1995) ne représente que 2 ou 3% du marché mondial des médicaments, mais c’est le secteur qui connaît la plus forte expansion (croissance de 10 à 15% par an). 
SmithKline-Beecham et Pasteur-Mérieux, les 2 leaders mondiaux des vaccins, ont changé de nom au début de l’année 2000. Le premier, après sa fusion avec le laboratoire Glaxo, devient Glaxo-SmithKline, le plus important groupe pharmaceutique mondial. Après fusion de l’Allemand Hoechst avec le Français Rhône-Poulenc, Pasteur-Mérieux qui était une filiale de ce dernier devient Aventis Pasteur.

TIERS-MONDE : ASSERVISSEMENT DURABLE

Dès 1974, l’UNICEF (Fonds des Nations unies pour l’enfance) débute un programme gigantesque, financé notamment par la Banque mondiale: Vacciner tous les enfants de la planète contre 6 maladies: coqueluche, diphterie, poliomyelite, rougeole, tetanos, tuberculose. Cette stratégie de soins selectifs va à l’encontre de la politique globale de soins de santé primaires adoptée par l’OMS en 1978 conçue en partenariat avec les populations, afin de définir avec elles leurs vrais besoins et prendre en compte leurs conditions de vie et leur environnement.
Lors du Sommet économique alternatif de Houston, en 1990, tenu en parallèle du G7, le Pr Banerji, Pr de santé publique à New Delhi, expert auprès de l’OMS et signataire du manifeste d’Anvers, critiquait vivement le programme des vaccinations de l’Inde : absence de données épidémiologiques sérieuses, surestimation des taux de vaccination, dissimulation des accidents postvaccinaux, coût élevé des vaccinations massives.
Bien que loin d’être un opposant au principe des vaccins, il dénonce les programmes de vaccination répandus dans le monde entier sur la base d’une propagande mensongère, sans que l’ampleur réelle des problèmes de santé n’ait été mesurée. 
N’ayant pour but que de créer un marché aux vaccins, ce systeme rend durable la dependance des pays du Sud et expose les populations à des accidents severes. 

SORTIR DU VACCINO- SECTARISME

Il serait temps dans le cadre d’une politique de Santé cohérente et respectueuse de l’Etre, de fournir aux consommateurs de vaccins une information scientifique transparente, et de cesser, au nom du Bien Public, d’assimiler aux phenomenes sectaires, tout individu cherchant seulement à exercer sa liberté de choix en face des vaccinations, méthodes obsolètes dont la Medecine n’est pas en mesure de prouver l’absence de nocivité...

Edito librement inspiré d'articles divers (voir livres et references dans le dossier vaccinations) dont ceux du Dr Alain Scohy que nous remercions pour sa bienveillante collaboration. 

voir tous les livres sur le sujet


DOSSIER VACCINATIONS
DEGATS  ET  NON-DITS  VACCINAUX
PASTEUR vs BECHAMP: VACCINATIONS - L'IMPOSTURE PASTEUR
"Si on  n'a pas, dans la lutte contre le cancer, avancé aussi vite que dans beaucoup d'autres domaines,
c'est probablement parce qu'on s'est trop attaché aux théories de Pasteur.. [..] (NDLR: c'est à dire, oublié Bechamp)
Et puis ces virus sont ils bien à l'exterieur de nous ? Ne viendraient ils pas de nos organismes traumatisés ?" Pr Jean Bernard



http://biogassendi.ifrance.com/vaccins.htm

Qui est Béchamp ?

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