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13 février 2010 6 13 /02 /février /2010 21:23



Voici un moment que nous prévoyons la seconde phase de la crise financière, devenue crise économique.


Rappelons que nous avons toujours parlé d'un plan global, dit "stratégie du chaos", pour imposer un Nouvel Ordre Mondial (NOM ou NWO en anglais), avec un gouvernement mondial formé d'une "élite" autoproclamée, non démocratique donc, dont la Chine représente un exemple significatif.


La fausse pandémie déclarée par l'OMS (l'Organisation Mondiale de la Santé est un élément majeur du NOM/NWO), s'inscrivant dans ce plan stratégique, tout comme "l'impôt carbone" et bien d'autres choses (les événements du "11 septembre 2001" étant le point de départ de cette phase finale).


Si nous avons vu que nous pouvions avoir une influence sur l'affaire de la fausse pandémie, en nous mobilisant énergiquement, en faisant travailler nos neurones, et en cessant d'être crédules et naïfs... pour le piège financier et économique, c'est une autre affaire...


Pourtant, il est clair que nous abordons une phase particulièrement critique.



Déjà deux actions sont en cours :

1) L’attaque de l'euro pour mieux cacher et reculer la chute du dollar, lequel n'a plus qu'une valeur virtuelle.


En même temps, c'est la chute des USA qui est repoussée d'autant...


2) L’attaque de certains pays européens de la zone "euro".


Cela sert de prétexte à l'attaque de l'euro, et en même temps, met un voile pudique sur la situation de l'Angleterre et sur "La City", d'où est coordonné ce plan pour le NOM*


A noter que la "stratégie" de la France et de l'Allemagne pour ne pas laisser la Grèce sombrer, n'est pas rendue publique, et que "l'on" dit que la France, notamment, pourrait se porter caution.


Tant est si bien que, dans ce cas, il faudrait ajouter à la dette de la France, celle de la Grèce, la chute de l'une entraînant celle de l'autre, façon dominos.


Par ailleurs, les licenciements dans le monde occidental, n'ont jamais été aussi massifs, venant s'ajouter aux personnes en fin de droits, il n'est pas difficile de prévoir où cela nous mène.


La seule question est : quand ?


Plus que jamais nous conseillons de ne prendre aucun crédit, et même de se libérer de ceux en cours, au plus vite (selon possibilités), de rendre disponible ses avoirs (autant que possible), et d’en consommer une partie (en ne conservant qu'un minimum de sécurité).


Un placement en valeurs refuges serait judicieux : pour l'or, il est déjà bien haut, mais peut-être que dans un moment on trouvera que ce n'était pas si haut que cela, et, pour ceux qui le peuvent, la terre reste un bon placement...


Pour les liquidités, un jour (prochain ?) pourrait venir où leur placement en banque représentera un risque.


Aussi, à part en conserver un peu chez soi, il faut diversifier les banques.


A noter que ceux qui ont acheté quelques pièces d'or à l'époque où nous le disions, ont fait une bonne opération...


Rappelons que nous devons, par ailleurs, nous attendre aux coups les plus tordus, type "11 septembre", et même puissance 10...


Ultime précision, nos mailings ne sont pas destinés à faire peur, mais à anticiper les évènements pour les neutraliser ou les aborder dans les meilleures conditions possible.


Nous sommes alors plus à même de les contrer, sans se laisser abuser stupidement.

Les efforts des organisateurs pour faire taire et pour discréditer les lanceurs d'alertes, sont des preuves, s'il en était besoin, du bien fondé de leurs actions (si ce que nous disions était si stupide, pourquoi agiraient-ils ainsi ?).


Il faut aussi créer des forces positives, non seulement pour contrebalancer tout cela, mais aussi et surtout pour créer la nouvelle humanité qui doit sortir de cette phase d'accouchement.

Comme tout accouchement, cela se fera dans une douleur salutaire (pour nous obliger à "pousser" fort), et ce sera alors ce qu'il est convenu d'appeler : un heureux évènement !


Pour le reste, les documents ci-dessous et joints, illustrent nos propos.


*
Voir les 2 fichiers en bas de page
http://vivresansogm.org/archivesartemisi/index.html "Révélations" et "Organigramme".

 

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Rappelons que l'inscription à "Libres infos" est gratuite.

A+ AC    Plus d'infos sur : artemisia-college.org

 

 

 

 Un trader s'exprimait fin décembre, édifiant :
 
 
Grèce et Nouvel Ordre Mondial
Une analyse intéressante à lire dans le fichier joint (texte en anglais + traduction automatique)
Ou : La Grèce, terrain d'expérience pour la fin de la monnaie "papier/pièces", et le "tout virtuel" ?
Voir pièce jointe "La Grèce est NWO"
 
 
Grèce : ce que risquent les banques
Par Guillaume Guichard 12/02/2010


Les banques françaises et allemandes cumulent plus de 84 milliards d'euros d'exposition en Grèce et six fois plus dans l'ensemble de l'Europe du Sud.


L'Espagne, probable prochaine cible des marchés, inquiète beaucoup plus.


La France et l'Allemagne ont finalement pris les devants pour venir en aide à la Grèce. Symboliquement du moins.

Si les détails du plan ne sont pas encore connus, une chose est sûre : les relations économiques, et notamment via les systèmes bancaires, forcent les États européens à agir.

« Un certain nombre d'économies au sein de l'Union européenne pourraient gravement souffrir d'un défaut de la Grèce sur sa dette, c'est pourquoi ils ont intérêt de lui venir en aide afin de sécuriser leurs positions », analysent les économistes de Crédit Suisse dans une note.

Les États de l'Union européenne sont d'abord les premiers consommateurs de dette grecque.

Le Royaume-Uni et l'Irlande détiennent 23% des obligations émises par Athènes, la France 11% et l'ensemble Allemagne, Suisse et Autriche 9%, selon les chiffres de Crédit Suisse.

L'imbrication des systèmes financiers va plus loin. Les banques européennes ont prêté plus de 252 milliards de dollars à l'économie grecque, selon les chiffres de la Banque des règlements internationaux datant de septembre 2009. Les établissements français sont les plus exposés, avec 75 milliards de dollars (55 milliards d'euros) d'encours. Les établissements suisses ont investi 63 milliards de dollars (46 milliards d'euros), les Allemands 43 milliards (31 milliards d'euros).

Ces chiffres ne recouvrent cependant pas la réalité de l'implication des banques.

« On peut aisément imaginer que de nombreux gérants d'actifs ont récemment pris des positions à court terme sur la dette grecque afin de profiter des taux d'intérêt élevés », estime un économiste parisien. « Si les taux se relèvent encore plus, la valeur de leur portefeuilles risque de se dégrader et d'affecter les banques. ».

« Il faut relativiser les chiffres : les expositions des banques à la Grèce, si elles sont importantes, ne représentent pas des montants monstrueux comparé à la totalité des engagements des banques européennes de par le monde », estime Michala Marcussen, économiste en chef chez Société Générale CIB.

Risque de contagion

Si la Grèce reste un petit pays à l'échelle européenne, le risque réside dans une contagion de la crise à l'Espagne, au Portugal, à l'Irlande.

Or, « beaucoup de banques européennes sont lourdement exposées à l'Europe du sud », observent les économistes de Société Générale.

Et les montants investis, rapportés à cet ensemble des pays, s'élèvent, pour les établissements français et allemands, à 600 milliards d'euros, calcule la Société Générale.

Difficile de rester les bras croisés. Surtout, l'Espagne, probable prochaine cible des marchés, inquiète beaucoup plus les analystes.

« L'Espagne est une plus grande cause de soucis que la Grèce », selon les économistes de Crédit Suisse.
Et pour cause, précisent-ils : les niveaux d'endettement y sont très supérieurs, le marché immobilier est encore surévalué et les déficits publics ont explosé.
Protéger la Grèce, c'est donc protéger l'Espagne.

artemisia-college.org


Eva : Attention ! Ce site ne s'était jamais trompé, d'ailleurs il a d'abord été supprimé par le Gouvernement.

Il avait prévu, 2 ans avant, la crise.

Il  a tout annoncé pour la pandémie, etc
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commentaires

E
<br /> Merci Danièle de rappeler tout cela, tu as raison<br /> <br /> je t'embrasse eva<br /> <br /> <br />
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D
<br /> Il faut ajouter que la Grèce est obligée d'emprunter aux banques à un taux qui doit être de l'ordre de 6 à 7%, c'est à dire à un taux plus de 2 fois supérieur à d'autres pays européens. Alors que<br /> les Américains (USA) financent leur dette auprès de leur Banque centrale, faisant fonctionner la planche à billets (fictifs  !), l'UE s'est interdit elle-même de recourir à cette possibilité.<br /> Cette décision fait le bonheur des banquiers, mais pas des peuples européens à qui on impose la récession et les restrictions. Bien sûr, les plus riches sont préservés et le gouvernement profite de<br /> la dette pour "justifier" sa politique de paupérisation des masses. <br /> Il est 2h30 du matin, nous sommes donc le 14 février, alors je fais une déclaration de non-amour : Financiers, je ne vous aime pas et votre dévoué Sarko non plus ! <br /> <br /> <br />
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