15 janvier 2011
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Saint-Étienne : Ville éco-mobile.
Après l’année de l’eau en 2009, l’année des jardins en 2010,
la Ville de Saint-Étienne vous propose de vivre l’année 2011 sous le signe de l’éco-mobilité.
Une année pour en savoir plus sur les déplacements doux, respectueux des autres et des lieux dans lesquels nous vivons...
la Ville de Saint-Étienne vous propose de vivre l’année 2011 sous le signe de l’éco-mobilité.
Une année pour en savoir plus sur les déplacements doux, respectueux des autres et des lieux dans lesquels nous vivons...
C’est en visitant l’exposition La Ville mobile de la Biennale du design que l’on a pu appréhender dans son ensemble la question de la mobilité en ville : déplacements réels ou virtuels, individuels ou collectifs, la place du
piéton dans l’espace public, en mouvement ou au repos...
Il suffit de regarder un peu en arrière pour considérer à quel point le déplacement est un désir ancien et moteur dans l’histoire des hommes.
Jules Verne n’avait-il pas imaginé l’« ascensoir » et le « ralway métropolitain automatisé, silencieux et propulsé par un système électropneumatique » ?
Se déplacer dans les airs - par avion, ballon dirigeable ou autre... - au quotidien est également un rêve aussi vieux que l’humanité. Autant d’utopies devenues banalités qui donnent à réfléchir : quelles utopies d’aujourd’hui sont les réalités pour la ville de demain ?
Un exemple : la voiture était reine dans les années 80, fruit de la démocratisation technologique. Aujourd’hui, il est généralement admis que l’espace disponible en ville doit revenir à l’homme, quelle que soit l’utilisation qui en est faite : un lieu de repos et de gratuité, un lieu de promenade, de rencontre, un espace de passage ou de shopping, pour une ville à vivre tout simplement.
Un bon mobile pour se bouger !
L’année 2011 éco-mobile à la Ville de Saint-Étienne est le prétexte à se poser ces questions et à envisager autrement ce qui nous paraît peut-être irréalisable actuellement : l’émergence à grande échelle des modes doux de circulation (des véhicules électriques, les deux roues rois de la voirie...),
la technologie pour des équipements et des aménagements plus humains, une ville entièrement accessible aux personnes à mobilité réduite, quel que soit le handicap, des comportements plus respectueux de l’intérêt collectif...
La technologie ne semble plus avoir de limites... L’avenir de la ville dépend donc de ce que l’homme décidera d’en faire.
Que déciderons-nous pour la ville de Saint-Étienne ?
Quelle ville voulons-nous construire ?
Quelle place laisserons-nous à l’humain et dans quelle mesure accepterons-nous de faire évoluer nos comportements pour une ville plus douce et plus accessible ?
Tout au long de l’année, la Ville Saint-Étienne proposera aux Stéphanois de réfléchir, et surtout d’agir, pour mieux envisager la mobilité de demain. En s’imaginant laisser sa voiture au garage, par exemple, ou en
la partageant, en rêvant que les fauteuils roulants pourraient traverser toute la ville sans le moindre obstacle, en construisant un déplacement
d’un bout à l’autre de Saint-Étienne comme un jeu de piste ou un triathlon, entre le tram, le trolley-bus, le vélo, la voiture électrique
partagée... L’essentiel est de s’ouvrir à la nouveauté, à l’inconnu pour donner une chance à l’utopie de devenir réalité.
piéton dans l’espace public, en mouvement ou au repos...
Il suffit de regarder un peu en arrière pour considérer à quel point le déplacement est un désir ancien et moteur dans l’histoire des hommes.
Jules Verne n’avait-il pas imaginé l’« ascensoir » et le « ralway métropolitain automatisé, silencieux et propulsé par un système électropneumatique » ?
Se déplacer dans les airs - par avion, ballon dirigeable ou autre... - au quotidien est également un rêve aussi vieux que l’humanité. Autant d’utopies devenues banalités qui donnent à réfléchir : quelles utopies d’aujourd’hui sont les réalités pour la ville de demain ?
Un exemple : la voiture était reine dans les années 80, fruit de la démocratisation technologique. Aujourd’hui, il est généralement admis que l’espace disponible en ville doit revenir à l’homme, quelle que soit l’utilisation qui en est faite : un lieu de repos et de gratuité, un lieu de promenade, de rencontre, un espace de passage ou de shopping, pour une ville à vivre tout simplement.
Un bon mobile pour se bouger !
L’année 2011 éco-mobile à la Ville de Saint-Étienne est le prétexte à se poser ces questions et à envisager autrement ce qui nous paraît peut-être irréalisable actuellement : l’émergence à grande échelle des modes doux de circulation (des véhicules électriques, les deux roues rois de la voirie...),
la technologie pour des équipements et des aménagements plus humains, une ville entièrement accessible aux personnes à mobilité réduite, quel que soit le handicap, des comportements plus respectueux de l’intérêt collectif...
La technologie ne semble plus avoir de limites... L’avenir de la ville dépend donc de ce que l’homme décidera d’en faire.
Que déciderons-nous pour la ville de Saint-Étienne ?
Quelle ville voulons-nous construire ?
Quelle place laisserons-nous à l’humain et dans quelle mesure accepterons-nous de faire évoluer nos comportements pour une ville plus douce et plus accessible ?
Tout au long de l’année, la Ville Saint-Étienne proposera aux Stéphanois de réfléchir, et surtout d’agir, pour mieux envisager la mobilité de demain. En s’imaginant laisser sa voiture au garage, par exemple, ou en
la partageant, en rêvant que les fauteuils roulants pourraient traverser toute la ville sans le moindre obstacle, en construisant un déplacement
d’un bout à l’autre de Saint-Étienne comme un jeu de piste ou un triathlon, entre le tram, le trolley-bus, le vélo, la voiture électrique
partagée... L’essentiel est de s’ouvrir à la nouveauté, à l’inconnu pour donner une chance à l’utopie de devenir réalité.
http://www.saintemag.fr/Saint-Etienne-Ville-eco-mobile.html
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