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3 juillet 2011 7 03 /07 /juillet /2011 08:27

 

 

http://www.decitre.fr/gi/25/9782916721125FS.gif

 

http://www.decitre.fr/gi/25/9782916721125FS.gif

 

Ponérologie Politique
La science du Mal
La ponérologie politique ou la science de la genèse du Mal
appliquée à des fins politiques

 

 

 

 

 

L'article ici :

 

http://femmesdelafrancophonie.org/2008/03/la-ponrologie-p.html

 

extrait :

 

Jamais nous ne sommes trouvés en position aussi précaire, aussi proche de la destruction totale.(Note d'eva : Le Nouvel Ordre Mondial en marche)


Laura Knight-Jadczyk et Henry See pensaient que la situation terrible à laquelle cette planète et ses habitant-es sont confrontés pouvait avoir un lien avec la question de la psychopathie. Les phénomènes abordés dans La ponérologie politique — en rapport avec les groupes et la façon dont ceux-ci sont corrompus par des déviants pathologiques qui s’y infiltrent sous l’aspect de la normalité — leur étaient très familiers. Ils savaient qu’il se passait quelque chose d’étrange, mais ils ne savaient pas encore le nommer ou le catégoriser. Ils avaient trouvé certaines dénominations et catégorisations dans des textes sur la psychopathologie, mais qui n’abordaient pas la dimension sociale, jusqu'à ce qu'ils aient accès à l’ouvrage d'Andrzej Lobaczewski. Dans La ponérologie politique – La science de la genèse du mal, appliqué à des fins politiques (Political Ponerology), Lobaczewski présente le sujet d’une manière radicalement différente des autres textes sur la psychopathie, en suggérant que l’influence des psychopathes et autres déviant-es n’est pas qu’une simple influence parmi tant d’autres affectant la société, mais que, si les circonstances sont favorables, elle détermine la manière dont nous vivons, ce que nous pensons, et la façon dont nous jugeons ce qui se passe autour de nous.


Quand on comprend la véritable nature de cette influence : qu’elle est sans conscience, sans émotion, égoïste, froide et calculatrice, dénuée de tous standards moraux ou éthiques, on est horrifié, mais en même temps, tout commence à s’éclairer soudainement. Notre société perd de plus en plus son âme parce que les personnes qui la dirigent et qui donnent l’exemple sont sans âme — ils n’ont littéralement aucune conscience. Quand vous en venez à comprendre que les rênes du pouvoir politique et économique sont entre les mains de personnes sans conscience qui ne possèdent pas de faculté d’empathie, cela permet de regarder ce que nous appelons le "Mal" d’une façon totalement nouvelle. Le "Mal" n’est plus seulement une question morale; il peut alors être analysé et compris scientifiquement.

 

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extrait d'un formidable article :

 

 http://femmesdelafrancophonie.org/2008/03/la-ponrologie-p.html

 

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27 juin 2011 1 27 /06 /juin /2011 23:34
Une niche pour cinq entreprises : quel « vrai coût » pour l’Etat ? demande M. Cahuzac (PS)

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Le président (PS) de la commission des finances de l'Assemblée nationale, Jérôme Cahuzac a adressé, mardi 5 avril, au ministre du budget, François Baroin un courrier de "demande de précisions" afin, notamment, de connaître le coût exact pour les finances publiques d'une niche fiscale, le "bénéfice mondial consolidé", dont bénéficient cinq grandes entreprises en France.

Le député socialiste s'étonne en effet de "l'écart" entre les chiffres communiqués par le gouvernement et ceux dont font état certaines entreprises bénéficiaires de ce dispositif créé en 1965.

De manière dérogatoire par rapport au principe de territorialité, selon lequel l'impôt sur les sociétés est assis sur les seuls résultats des entreprises implantées en France, le bénéfice mondial consolidé prévoit que les sociétés françaises peuvent, sur agrément, retenir l'ensemble des résultats de leurs exploitations directes ou indirectes, situées en France ou à l'étranger, pour l'assiette des impôts.

L'agrément n'est accordé qu'aux groupes bénéficiant d'une implantation internationale diversifiée et est délivré pour une période de cinq ans irrévocable. Lors de l'éventuelle demande de renouvellement, la durée du nouvel agrément est de trois ans.

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Utilité économique "pas démontrée"

 

Dans un rapport publié en octobre 2010, le Conseil des prélèvements obligatoires (CPO) avait demandé la suppression de ce dispositif "dont l'utilité économique n'est pas démontrée", estimant que cela aurait "un impact modeste sur les grands groupes bénéficiaires, tout en permettant un gain budgétaire significatif pour l'État".

Le CPO indiquait que seuls cinq groupes bénéficiaient de ce régime en 2010, contre onze en 2000. Total, Vivendi, NRJ Group et Euro Media Group figurent parmi les actuels bénéficiaires.

"Le nombre limité de groupes bénéficiaires s'explique par le fait que ce régime ne présente de réel intérêt que si le groupe imposable en France peut diminuer l'impôt sur les sociétés dû dans notre pays par la prise en compte de déficits subis à l'étranger", souligne CPO. Lorsque les résultats réalisés à l'étranger sont bénéficiaires, et souvent imposables à un taux moins élevé qu'en France, le régime du bénéfice consolidé s'avère défavorable".

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Ecart dans l'évaluation du coût

 

Selon le CPO, le coût budgétaire du dispositif pour l’État "s’il a diminué au cours des dernières années, reste significatif : 302 millions d'euros en 2010 (contre 1,5 milliard en 2001)".

M. Cahuzac relève pour sa part que "l'estimation fournie par le gouvernement pour 2010 et 2011" fait apparaître un "coût pour l'Etat de 461 millions d'euros". Les 461 millions figurent en fait au titre des années 2009, 2010 et 2011 dans le document "Voies et moyens" lié à la loi de finances pour 2011 :

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Mais le député s'étonne que, dans le même temps, "le chiffrage pour 2010 de l'effet du bénéfice mondial consolidé semble faire apparaître un gain à ce titre de 580 millions d'euros pour le seul groupe Vivendi".

Le président de la commission des finances de l'Assemblée veut donc connaître "le montant de l'allégement dont a bénéficié chaque entreprise au titre de cette niche fiscale pour les années 2009, 2010 et estimé pour 2011".

Désirant aussi disposer du "montant total de leurs différents crédits d'impôt", il souhaite par ailleurs connaître les "critères de traitement des demandes de prorogation du bénéfice" de cette niche. Total, Vivendi et NRJ Group vont en effet "être amenés à court terme à demander le renouvellement de cet agrément", indique-t-il.

Ci-dessous, les bénéfices affichés en 2010 par quelques-uns des bénéficiaires du dispositif bénéfice consolidé mondial :

Total : bénéfice net de 10,3 milliards d'euros (+ 32 %)

Vivendi : résultat net ajusté de 2,698 milliards d'euros (+ 4,4 %)

NRJ group : résultat net part du groupe de 32,3 millions d'euros (+ 308,9 %).

 

6 avril 2011

 

http://bercy.blog.lemonde.fr/2011/04/06/m-cahuzac-ps-veut-connaitre-le-vrai-cout-dune-niche-fiscale-beneficiant-a-cinq-grands-groupes/

 

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21 juin 2011 2 21 /06 /juin /2011 04:06

Emmanuel Ratier : « Le Siècle » est la matrice de la pensée unique

 


Il n’existe qu’une seule source grand public pour connaître Le Siècle, le club élitiste qui regroupe les personnalités les plus puissantes de France : le travail d’Emmanuel Ratier. Ce qu’il écrit est confirmé par les témoignages que nous avons recueillis et par les annuaires internes que nous avons consultés. Cependant, cet auteur a très mauvaise presse et si tous les politologues utilisent ses ouvrages, aucun n’ose les citer. Pour en savoir plus, rien ne vaut d’interroger l’homme qui a le plus étudié le sujet.


Thierry Meyssan
Lundi 20 Juin 2011


Autres article :
C’est dans les prestigieux salons de l’Automobile Club de France, place de la Concorde, face à l’Assemblée nationale, que se réunissent sous haute protection les membres du Siècle.
C’est dans les prestigieux salons de l’Automobile Club de France, place de la Concorde, face à l’Assemblée nationale, que se réunissent sous haute protection les membres du Siècle.

Thierry Meyssan : Il n’existe à ce jour qu’un ouvrage sur Le Siècle, le vôtre : Au Cœur du pouvoir, enquête sur le club le plus puissant de France. Vous venez d’en publier une édition actualisée et considérablement augmentée. Selon vous, pourquoi êtes-vous le seul à publier sur un sujet aussi important ? Nos confrères considèrent-ils cette organisation sans importance ou, au contraire, craignent-ils en la dévoilant de fragiliser le système ?
Emmanuel Ratier : Tous les grands médias, qu’il s’agisse de la presse écrite, des radios ou des télévisions sont détenus ou contrôlés par des membres du Siècle (Dassault, Rothschild, Bolloré, Arnault, Lagardère, etc.) ou dirigés par des membres du Siècle. Les rares articles qui ont pu paraître sur le principal (et unique en fait) club d’influence français, Le Siècle, sont convenus et dépourvus de tout intérêt. Un seul exemple : l’année dernière, j’ai reçu à plusieurs reprises une journaliste économique renommée qui travaillait pour le magazine Capital de M6. Elle m’a dit vouloir consacrer un dossier de 25 minutes au club Le Siècle. Je lui a ouvert mes dossiers, lui ai donné tous les contacts, fourni des documents ultra confidentiels (annuaires, circulaire internes, fiches de recrutement, etc.). Je lui ai gentiment expliqué également que son reportage ne sortirait jamais et serait annulé parce que le PDG de M6, Nicolas de Tavernost était membre du Siècle. Elle m’a téléphoné, quasiment en pleurs, un mois après pour me dire que son travail avait été refusé. De même, Au Cœur du pouvoir a été envoyé à environ 130 journalistes de la grande presse, la presse que l’on peut dire « aux ordres ». Il n’y a eu aucun article dessus.
T. M. : Pouvez-vous nous décrire brièvement le mode d’adhésion au Siècle et ses activités ?
Emmanuel Ratier : La sélection est extrêmement stricte et complexe. On ne rentre pas au Siècle, on y est coopté. Il faut être parrainé par deux membres, dont au moins un membre du conseil d’administration (qui ne regroupe qu’une douzaine de personnes). Une enquête est conduite, un CV détaillé rempli. Le système de vote est tout sauf démocratique. Une voix ne vaut pas une autre voix. Il fonctionne comme dans les loges maçonniques. On vote avec des boules noires et blanches. Une boule noire vaut deux boules blanches. Si vous avez trois boules noires, vous êtes automatiquement refusé.
Ensuite, vous devenez « membre invité ». Vous êtes testé à chaque dîner et faites l’objet d’un rapport du président de table. Votre cas est réexaminé eu bout d’un an. Si vous « faites l’affaire », vous devenez « membre à part entière ». Nombre sont alors expulsés du cercle. Pour les autres, si le conseil d’administration considère qu’il n’est pas assez fiable mais intéressant, que sa carrière est saccadée, bref, que l’on n’est pas sûr de son avenir, on peut le garder comme « invité » pendant plusieurs années. Tel Nicolas Sarkozy, qui est « membre invité » depuis plus de dix ans ou François Bayrou qui l’a été également pendant au moins dix ans. Les statuts prévoient également, ce qui est véritablement l’expression parfaite du « racisme de classe » ou du « racisme de caste » que vous pouvez être exclu si vous perdez votre emploi (chômage) ou que vous changez de fonctions. Vous devez également quitter le cercle quand vous partez à la retraite, et en tout cas à 65 ans maximum. Mais vous avez des personnages comme Antoine Bernheim qui, à 90 ans, est toujours membre du Siècle car il peut toujours rendre des services (il a notamment été le patron de Generali).
T. M. : La caractéristique de ce club est d’assumer ne pas avoir d’idéologie sinon celle du pouvoir. Mais ce n’est aucunement une organisation exécutive, juste un tissu relationnel. Pensez-vous que ce soit uniquement un outil pour faciliter des carrières personnelles, ou estimez-vous que cette organisation vise à pérenniser la domination d’une caste sur la société française ?
Emmanuel Ratier : Il y a une idéologie, c’est celle du libéralisme mondialisé. Comme l’a expliqué Laurent Joffrin, directeur du Nouvel Observateur, qui a démissionné avec fracas du Siècle il y a environ un mois [1 ], Le Siècle est véritablement la section française de l’hyper-classe ou de la super-classe mondialisée. Il correspond à cette expression de Samuel Huntington : « la super-classe née de la mondialisation ». De même Jacques Julliard, ancien membre de la Commission trilatérale, écrit assez courageusement [2 ] : « Le Siècle, le club de cette superclasse dirigeante (…) Dans ce milieu fermé où les socialistes ont leur place à côté des gros bataillons de la droite française, fermente l’idéologie de la classe dominante : modernisme économique, bien-pensance sociale et culturelles, conformisme économique, respect absolu de la puissance de l’argent. » Hormis qu’il y a largement autant d’oligarques de gauche que de droite au Siècle, cette description est parfaitement exacte : il y a bien une idéologie… mais qui ne se revendique pas en tant que telle. Ce qu’il faut bien comprendre, c’est que tous les membres du Siècle ne sont pas égaux et que le pouvoir est passé d’un groupe à un autre à mesure que le capital se restructurait en France, en Europe et dans le monde. On est donc passé, en 60 ans, du primat des politiques (IVe République) à celui des industriels (Pompidou), puis aux technocrates (Giscard d’Estaing et les débuts de François Mitterrand), puis aux banques (Bérégovoy) et enfin à la finance mondialisée (Chirac, Sarkozy). Aujourd’hui, ce sont les financiers qui contrôlent le Siècle et dictent leurs règles aux politiques. Comme le dit Julliard, « il existe, derrière les apparences successives des combinaisons ministérielles, un gouvernement de facto, un gouvernement invisible des élites financières et institutionnelles qui, à défaut de dicter sa loi, fournit la pensée et inspire l’action des élites dirigeantes françaises. »
Je ne veux pas être trop long, mais Le Siècle est un endroit, un laboratoire, où se décident beaucoup de choses. On en a des éléments dans les mémoires d’anciens membres, au détour d’articles, etc. Les conversations étant secrètes, il est toujours difficile d’apporter la preuve de ce pur affairisme mais plusieurs membres me l’ont confirmé tout comme diverses fuites, le système de recrutement, etc. La plupart des membres ne sont pas recrutés pour leurs qualités propres mais pour les fonctions qu’ils occupent. C’est le libéralisme antisocial pur et dur qui ne rêve que d’une chose : que les classes populaires françaises travaillent pour 2 euros par jour comme les Chinois aujourd’hui et que l’oligarchie, qui les exploite, engrange ses bénéfices colossaux dans des paradis fiscaux.

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Elue présidente du Siècle en novembre 2010, Nicole Notat incarne la pensée unique. Proche d’Edmond Maire et de Jacques Delors, elle fut secrétaire générale de la CFDT de 1992 à 2002. Elle s’efforça de convaincre la classe ouvrière de soutenir le Traité de Maastricht, la création de l’euro, et la réforme Juppé de l’assurance sociale. Passée de l’autre côté de l’échiquier social, elle est aujourd’hui PDG de l’agence de notation Vigeo.

La rupture aujourd’hui ne se fait pas entre gauche et droite. Nicole Notat était secrétaire général de la CFDT quand elle est entrée au Siècle. Ce qui lui permettait de dîner chaque mois avec les grands patrons du CAC 40 et le gouvernement. Il en est de même aujourd’hui avec certains responsables de la CGT. La rupture se fait donc sur un axe assez proche de celui du Réseau Voltaire, entre mondialistes et anti-mondialistes, entre respect des droit des peuples et des nations et pure exploitation économique des individus considérés comme un marchandise.
T. M. : L’Humanité avait, au lendemain de la rupture de l’Union de la gauche, évoqué les rencontres entre des grands patrons et des ministres socialistes aux dîners du Siècle. Vous évoquez à l’instant le cas de Nicole Notat et vous révélez dans votre ouvrage que cette organisation permet aujourd’hui des contacts secrets entre ce même patronat et des leaders de centrales syndicales. Pensez-vous que ceci contribue à décrisper le dialogue social ou, au contraire, à le corrompre ?
Emmanuel Ratier : Il est absolument évident que cela s’apparente à de la corruption, même si elle n’est pas financière. Cela ressemble à ces avocats qui prétendent s’opposer dans les prétoires et se congratulent ensuite à la buvette du Palais. On voit très bien pour le Parti communiste et pour la CGT ce qui s’est produit. Les dirigeants qui ont été cooptés au Siècle ont fait changer du tout au tout l’idéologie du PCF et de la CGT. Malgré leurs rodomontades, ces deux organisations ont rallié l’Union européenne, le Traité de Maastricht, le fédéralisme, l’euro, le mondialisme, etc. Ils ont trahi tous les intérêts et les acquis sociaux des classes sociales qu’ils prétendaient défendre, en particulier la classe ouvrière et les employés. Ils sont les complices du « détricotage » des acquis obtenus par les luttes sociales des 150 dernières années. Ce qui fait que les syndicats ne pèsent pratiquement plus rien et sont essentiellement financés par des cotisations patronales ou par l’État.
T. M. : Votre ouvrage comprend une étude d’une centaine de pages suivie d’un dictionnaire biographique de plus de 500 pages en petits caractères. Vous ne vous contentez pas de rappeler la carrière de chaque membre du Siècle, vous décrivez ses engagements politiques, comme vous le faites dans votre lettre bimensuelle, Faits & Documents [3 ]. De facto, vous êtes devenu le meilleur connaisseur des élites françaises. Quelle image en avez-vous ?
Emmanuel Ratier : Vous allez faire grincer des dents. Mes travaux ne sont jamais cités mais pillés, aussi bien par les médias que par les universitaires. J’ai été refusé en DEA de sciences politiques à l’Institut d’études politiques. Je ne pourrai jamais trouver un jury de thèse. Les professeurs qui accepteraient d’y figurer grilleraient leur carrière. Quant aux élites françaises qui constituent les bataillons du Siècle, elles sont, mais c’est sans doute la cas ailleurs, d’une extrême médiocrité, en particulier dans la sphère politique. Ce qui les caractérise, c’est un manque total d’imagination, une pensée politiquement conformiste, une soumission à l’argent, une âpreté au pouvoir. Le Siècle, c’est d’abord, et avant tout, une soif de pouvoir pour des gens qui détiennent du pouvoir et en veulent encore plus. C’est une centrale d’énergie qui redistribue exclusivement l’énergie en direction de ses membres. Un vaste système de relations, de réseaux, de système de courte échelle, de marche pied, de mariages, de relations d’affaires, de jetons dans les conseils d’administration, etc. D’aucuns appelleraient cela « le système » ou « l’établissement » (« establishment »). Mais sa particularité d’aujourd’hui est d’être extrêmement peu nombreuse et très concentrée entre les mains de quelques uns. Qu’importe leurs méthodes : par exemple, Jean-Marie Messier, qui a ruiné l’un des fleurons français, Vivendi Universal, n’a jamais été exclu et trône toujours dans les dîners.
T. M. : Bien que vous soyez un journaliste très réputé, vous avez été exclu des grands médias français à la suite d’un oukaze de Charles Pasqua. Vous avez alors poursuivi votre travail en écrivant dans les revues du Front National, ce qui vous vaut aujourd’hui une image persistante d’extrémiste de droite. Pourtant, vous vous attaquez à une organisation qui est directement issue de la Collaboration et qui illustre parfaitement la capacité des élites françaises à survivre aux changements de régimes politiques. Quelle est donc votre démarche ?
Emmanuel Ratier : Le Siècle est effectivement issu d’un milieu très particulier. Nombre de ses fondateurs ont eu un parcours à la François Mitterrand, pour ne pas dire plus. C’est-à-dire un itinéraire sinon trouble du moins complexe, où se croisent la collaboration de gauche, la résistance, la synarchie, la technocratie, la franc-maçonnerie, etc. Tout cela dans l’atmosphère très particulière de l’après-guerre, avec le jeu américain anticommuniste, les combinaisons de partis des années 1950, etc. Ou aujourd’hui, les étranges menées de l’ambassade américaine en direction des banlieues françaises [4 ]. En l’occurrence, Au Cœur du pouvoir n’attaque personne en particulier ni en général. C’est une espèce de description sociologique de ce que l’on peut considérer comme un cas parfait d’oligarchie très efficace dans une supposée démocratie. Il n’y a aucune prise de position politique, c’est plutôt un précis de dissection.
Mes adversaires, qui ne font en cela que le jeu des gens puissants que je peux effectivement déranger (et deviennent dès lors leurs complices), m’affublent de toutes les étiquettes possibles, un peu comme vous Thierry Meyssan depuis que vous avez rompu le pacte du politiquement correct. Et ce, afin d’éviter d’examiner ce que j’écris et de tenter de démontrer ou de prouver que je me trompe ou suis dans l’erreur. Tout cela n’a rien à voir avec la réalité. Il suffit de m’avoir rencontré une fois pour le savoir. Je publie depuis 17 ans, tous les quinze jours, une lettre confidentielle, Faits & Documents, qui regorge de nouvelles confidentielles ou exclusives. Je n’ai pas eu un seul procès et seulement deux ou trois droits de réponse. Il en est de même de l’émission de trois heures que j’anime toutes les quatre semaines sur Radio Courtoisie. Pas un procès, pas un droit de réponse.
T. M. : … En fait, vous avez écrit beaucoup de choses erronées sur le Réseau Voltaire par le passé sans que nous ne nous manifestions. Vous ne les avez corrigées que beaucoup plus tard. L’absence de procès n’est pas un critère suffisant..
Emmanuel Ratier : Il est exact que j’ai été très vif sur le Réseau Voltaire et sur vous-même, Thierry Meyssan. De votre côté, vous ne m’avez pas épargné. Avec l’accélération de la mondialisation et des montages comme le 11 septembre, nous avons tous les deux largement évolué et avons découvert qu’au delà des apparence de nombreux points nous rapprochaient. La preuve, cet entretien aurait été impossible il y a une quinzaine d’années. De même, j’ai publié dans Faits & Documents un long dialogue entre Michel Lajoye, terroriste d’extrême droite, et Carlos, terroriste d’extrême gauche. Chacun à sa manière estimait l’autre et, surtout, acceptait de dialoguer. Un entretien impossible à envisager pour tout esprit conformiste avec des cases où chacun serait bien rangé, étiqueté.
T. M. : Revenons au portrait également erroné que l’on a dressé de vous et qui vient en partie de ce que, vous ayant diabolisé, on n’a pas compris votre maturation.
Emmanuel Ratier : Je pourrai publier un livre entier exclusivement à partir des fausses assertions qui m’ont été attribuées. Je ne donnerai qu’un exemple : un chapitre entier m’est consacré dans une biographie consacrée à Thierry Ardisson. J’y suis présenté comme son « maître à penser », son « gourou ». Or, je n’ai jamais rencontré cet animateur de télévision, je ne lui ai jamais parlé, jamais écrit. Tout le reste, et 90 % de ma notice sur Wikipedia, est du même acabit. La seule chose qui soit exacte, c’est que j’ai été, à partir de l’âge de 15 ans un militant nationaliste et je ne renie strictement rien de ce passé. J’ai évolué sur certains points, en particulier le clivage droite-gauche, la question-clé aujourd’hui étant celle du mondialisme (et de son opposé, le respect des identités).
T. M. : Le fondateur du Siècle, Georges Bérard-Quélin [5 ], avait misé sur les deux tableaux durant la Seconde Guerre mondiale, mais son passé chargé aurait pu jouer contre lui à la Libération. Il a semble-t-il été sauvé par ses amitiés radicales-socialistes et américanophiles. Selon vous, à qui était-il redevable ?
Emmanuel Ratier : Je n’ai pas eu accès à toutes les archives. Les fonds sont totalement fermés. La famille a évidemment refusé de coopérer. Les secrets sont très soigneusement gardés (ou détruits). Ils font partie des grands secrets de la République. Ils me sont totalement inaccessibles. Il suffit de voir le livre du capitaine Paul Barril, Les Archives secrètes de Mitterrand [6 ], où, dans une note, présentée comme émanant de la DGSE relative à Klaus Barbie [7 ], figure nommément le nom de Georges Bérard-Quélin. Ou dans la revue XXe siècle, revue universitaire considérée comme sérieuse, figure un incroyable article totalement flagorneur et dénué de réelle historicité, s’apparentant à la « légende dorée », sur le club Le Siècle. J’ajouterai que l’une des clés (mais pas le seule), c’est évidemment l’appartenance à la franc-maçonnerie de Georges Bérard-Quélin, appartenance que l’on pourra rattacher à celle d’un Jean-André Faucher [8 ]
T. M. : Le fondateur du Siècle est aussi celui d’un empire de presse inconnu du grand public : sa société est une sorte d’agence de presse qui édite des bulletins quotidiens ou hebdomadaires à l’attention des élites et des médias [9 ]. Vu le passé collaborationniste de cette personnalité, il vient tout de suite à l’esprit qu’il a continué légalement ce qu’il faisait durant le régime de l’État français : du renseignement. Selon vous, cet empire de presse est-il réellement privé ou connecté aux services d’un État ?
Emmanuel Ratier : Totalement méconnue, hormis des puissants, la Société générale de presse est la principale société de fichage (légal) des personnalités françaises. Leurs fiches sont beaucoup plus complètes que celles de feu les Renseignements généraux et beaucoup plus fiables. Sont passés par la SGP des centaines, voire plus d’un millier, de jeunes journalistes, qui ont ensuite essaimé et fait carrière un peu partout. Toute la presse est dépouillée, y compris l’intégralité du Journal officiel. La SGP a des archives, des fiches, sur des millions (je dis bien des millions) de journalistes, hommes politiques, syndicalistes, patrons, membres de cabinets ministériels, hommes d’Église, intellectuels, maires, etc. Ces archives courent sur plus de 50 ans. Il suffit de consulter les annuaires qu’elle publie très régulièrement depuis plusieurs dizaines d’années pour s’en rendre compte. La direction de la SGP est assurée par Étienne Lacour qui est en même temps le secrétaire général, pratiquement inamovible, du conseil d’administration du Siècle. Il a remplacé Georges Bérard-Quélin qui occupait exactement les mêmes fonctions. Je ne sais rien de son actionnariat ni des services qu’il peut fournir, moyennant paiement. Mais il est évident que celui qui détiendrait les clés de la SGP détiendrait dans le même temps les plus grosses archives sur le pouvoir en France. Des archives parfaitement tenues à jour alors que celles des RG et autres services de police ne sont plus que l’ombre de ce qu’elles ont pu être, quand elles n’ont pas tout simplement été détruites.

Au Cœur du pouvoir, enquête sur le club le plus puissant de France , par Emmanuel Ratier, 735 pp., Facta éd. 2011.
Ce dictionnaire biographique est disponible par correspondance via la Librairie du Réseau Voltaire.
 

[1 ] « Comme en 1788...   », par Laurent Joffrin, Le Nouvel Observateur, 12 mai 2011.
[2 ] « DSK, la gauche et l’argent », par Jacques Julliard, Marianne, 4 juin 2011.
[3 ] Voir le site internet de Faits et Documents.
[4 ] Cf. Faits & Documents n° 308.
[5 ] Georges Bérard-Quélin (1917-1990) fonda durant la Seconde Guerre mondiale La Correspondance de la Presse, une agence de presse qui alimentait l’ensemble de la presse collaborationniste aussi bien en zone occupée qu’en zone administrée par l’État français de Philippe Pétain. Elle se partageait le marché avec la SPE (à laquelle elle reprendra ultérieurement Le Bulletin quotidien), et avec Inter-France. Simultanément, Bérard-Quélin participa au réseau de Résistance « Espoir de la France ». Bien que recherché à la Libération, il fut protégé et jamais jugé. Il créa Le Siècle alors que Paris n’était pas encore libérée et continua son activité d’agence de presse. Membre du Grand Orient de France et du Parti radical-socialiste, il soutint en 1981 son ami François Mitterrand.
[6 ] Les Archives secrètes de Mitterrand, par Paul Barril, Albin Michel éd., 2001.
[7 ] Klaus Barbie (1913-1991) était un officier SS qui dirigea la Gestapo de Lyon où il fut surnommé le « Boucher de Lyon ». Il fut notamment responsable de la rafle des enfants d’Izieu et de la mort sous la torture de Jean Moulin. Recyclé par les États-Unis, il fut exfiltré par la CIA en Amérique latine. Sous le pseudonyme de Klaus Altman, il participa à l’Opération Condor et organisa la répression en Bolivie, y compris l’exécution de Che Guevara. Arrêté après la chute de la dictature de Banzer, il fut extradé vers la France où il fut condamné à la réclusion à perpétuité pour « crime contre l’humanité ».
[8 ] Jean-André Faucher (1921-1999) était un lointain cousin de François Mitterrand. Il fut nommé par Philippe Pétain délégué à la propagande de l’État français, puis condamné à mort par contumace à la Libération pour « crime de trahison en temps de guerre ». Recyclé par le MI6, il rejoignit le Gladio —dont il commanda la cellule « Armée française loyale »— , participa au Plan Bleu et fut amnistié. Franc-maçon et membre du Parti radical-socialiste, il joua un rôle important dans la création de la Convention des institutions républicaines (CIR) et devint attaché de presse de François Mitterrand lors de la campagne présidentielle de 1965. Dans les années 1970, il fut Grand chancelier de la Grande Loge de France, avant de faire scission et de créer la Grande Loge d’Orient et d’Occident. En 1981, François Mitterrand le nomma au Conseil économique et social. Il poursuivit une carrière de journaliste, notamment au Figaro et à Valeurs actuelles, où il rédigea jusqu’à sa mort une chronique intitulée « La lettre de M. de Rastignac ».
[9 ] La Société générale de presse édite chaque jour quatre bulletins : Le Bulletin Quotidien (qui poursuit la publication homonyme de la SPE durant l’Occupation), La Correspondance économique, La Correspondance de la Presse (qui poursuit les publications de l’agence homonyme durant la Collaboration), et La Correspondance de la Publicité. Elle publie également toutes sortes d’annuaires biographiques.
http://www.alterinfo.net/Emmanuel-Ratier-Le-Siecle-est-la-matrice-de-la-pensee-unique_a60185.html#last_comment
 
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7 juin 2011 2 07 /06 /juin /2011 20:27

http://www.cote-bleue.eu/web5/table.jpg

http://www.cote-bleue.eu/web5/table.jpg

 

Traduct. Google d'un site "conspi"

A chacun de se forger sa propre opinion !

Banquier suisse démasque Bilderberg criminels
(ils contrôlent la plupart de nos politiciens)

5 juin 2011

 CONSPIRATION ILLUMINATI confirmé!


 Deutsche Bank et chef de la direction Bilderberger Josef Ackermann, à gauche, un garçon de courses de longue date Rothschild, illustre pires excès les Bilderbergers ".

" Le cas Strauss-Kahn ... montre ces gens sont corrompus, les malades dans leur esprit, tellement malades qu'ils sont pleins de vices et de ces vices sont tenus secrets de leurs commandes. Certains d'entre eux, comme le viol des femmes Kahn-Strauss, d'autres sont sado maso, ou d'un pédophile et beaucoup sont dans le satanisme. Quand vous allez dans certaines banques vous voyez ces symboles satanique, comme à la Banque Rothschild à Zurich. "

" Ils ont un nouveau plan de censurer l'Internet, car Internet est encore libre. Ils veulent le contrôler et d'utiliser le terrorisme ou ce que jamais comme une raison. Ils pourraient même plan quelque chose d'horrible façon à ce que ils ont une excuse.


Entrevue a eu lieu le 30 mai avec la Russie hebdomadaire "NoviDen"   (Merci à NK pour l'envoi de ce sujet.)


Posté ici
 
 
Q: Pouvez-vous nous parler de votre implication dans le secteur bancaire suisse?

R: J'ai travaillé pour les banques suisses depuis de nombreuses années. J'ai été désigné comme l'un des meilleurs directeurs de l'une des plus grandes banques suisses. Au cours de mon travail, j'ai été impliqué dans le paiement, dans le paiement direct en espèces à une personne qui a tué le président d'un pays étranger. J'étais à la réunion où il a été
a décidé de donner cet argent en espèces pour le tueur. Cela m'a donné des maux de tête dramatique et troublé ma conscience. Ce n'était pas le seul cas qui était vraiment mauvais, mais c'était le pire. Il était une instruction de paiement à la commande d'un service secret étranger écrite à la main donne l'ordre de payer une certaine somme à une personne qui a tué le chef suprême d'un pays étranger. Et ce n'était pas le seul cas. Nous avons reçu plusieurs lettres écrites à main comme provenant de services secrets étrangers donne l'ordre de paiement en espèces
à partir de comptes secrets pour financer révolutions ou pour le meurtre de personnes. Je peux confirmer ce que John Perkins a écrit dans son livre "Confessions d'un Hit Man économique" . Il existe tout simplement un système et les banques suisses sont impliqués dans de tels cas.
 
 Q: livre Perkins est également traduit et disponible en russe. Pouvez-vous nous dire quelle banque il est et qui est responsable?

 A: Il a été l'un des trois plus grandes banques suisses de l'époque et il était le président d'un pays du tiers monde. Mais je ne veux pas donner à de nombreux détails, car ils vont me trouver très facilement si je dis le nom du président et le nom de la banque. Je risque ma vie.
 
Q: Vous ne pouvez pas nommer une personne à la banque ou l'autre?

R: Non je ne peux pas, mais je peux vous assurer que ce qui s'est passé. Nous étions plusieurs personnes dans la salle de réunion. La personne en charge du paiement physique de l'argent est venu à nous et nous a demandé si il est autorisé à paiement d'une telle grande quantité en espèces à cette personne et l'un des administrateurs a expliqué l'affaire et tous les autres ont dit ok, vous pouvez le faire
.
 Q: Avez-ce arrivé souvent? Etait-ce une sorte de caisse noire?
 

 A: Oui. Il s'agissait d'un fonds spécial géré dans un endroit spécial dans la banque où toutes les lettres codées venus de l'étranger. Les lettres les plus importantes ont été écrits à la main. Nous avons eu à les déchiffrer et en eux était de l'ordre de payer une certaine somme d'argent à partir des comptes de l'assassinat de personnes, le financement des révolutions, le financement des grèves, le financement de toutes sortes de parties. Je sais que certaines personnes qui sont membres de Bilderberg ont été impliqués dans de tels ordres. Je veux dire qu'ils ont donné l'ordre de tuer.

Q: Pouvez-vous nous dire en quelle année ou une décennie ce qui s'est passé?
 
A: Je préfère ne pas vous donner de l'année précise, mais il était dans les années 80.
Q: Avez-vous eu un problème avec ce travail?
 
A: Oui, un très gros problème. Je n'ai pas pu dormir pendant plusieurs jours et après un moment, j'ai quitté la banque. Si je vous donne trop de détails, ils me suivent. Plusieurs services secrets à l'étranger, principalement de langue anglaise, a donné des ordres pour financer des actes illégaux, même le meurtre de personnes par le biais des banques suisses. Nous avons dû payer sur les instructions des puissances étrangères pour le meurtre de personnes qui n'ont pas suivi les ordres de Bilderberg ou le FMI ou la Banque mondiale par exemple.

Q: C'est une révélation des plus surprenantes que vous faites. Pourquoi vous sentez-vous l'envie de le dire maintenant?

R: Parce que Bilderberg se réunit en Suisse. Parce que la situation mondiale est de pire en pire. Et parce que les plus grandes banques en Suisse sont impliqués dans des activités contraires à l'éthique. La plupart de ces opérations sont hors bilan. Il est un multiple de ce qui est officiellement déclarée. Ce n'est pas vérifié et passe sans taxes. Les chiffres ont participé un grand nombre de zéros. C'est d'énormes quantités.
 
Q: Donc, ses milliards?
 
A: Il est beaucoup plus, ses milliers de milliards, totalement non vérifiés, illégale et d'ailleurs le système fiscal. Fondamentalement, il s'agit d'un vol de tout le monde. Je veux dire la plupart des gens normaux paient des impôts et de respecter les lois. Qu'est-ce qui se passe ici est terminée encontre de nos valeurs suisses, comme la neutralité, l'honnêteté et de bonne foi. Dans les réunions auxquelles j'ai participé, les discussions où complètement à l'encontre de nos principes démocratiques. Vous voyez, la plupart des directeurs des banques suisses ne sont pas les habitants plus, ils sont étrangers, principalement anglo-saxons, américains ou britanniques, ils ne respectent pas notre neutralité, ils ne respectent pas nos valeurs, ils sont contre notre direct la démocratie, ils
il suffit d'utiliser les banques suisses pour leur des moyens illégaux. Ils utilisent d'énormes quantités d'argent créé à partir de rien et ils détruisent notre société et de détruire les personnes dans le monde juste pour la cupidité. Ils cherchent le pouvoir et détruire des pays entiers, comme la Grèce, l'Espagne, le Portugal ou l'Irlande et la Suisse
sera l'un des derniers en ligne. Et ils utilisent la Chine comme esclaves de travail. Et une personne comme Josef Ackermann, qui est un citoyen suisse, est l'homme du haut à une banque allemande et il utilise son pouvoir pour l'avidité et ne respecte pas les gens du commun. Il a de très nombreux cas de droit en Allemagne et maintenant aussi dans les États. Il est un Bilderberger et ne se soucient pas de la Suisse ou de tout autre pays.

Q: Voulez-vous dire, certains de ces gens que tu cites seront à la réunion Bilderberg à venir en Juin à Saint-Moritz?

A: Oui.

Q: Donc, ils sont actuellement dans une position de pouvoir?

A: Oui. Ils ont d'énormes quantités d'argent disponible et l'utiliser pour détruire des pays entiers. Ils détruisent notre industrie et la construction en Chine. D'un autre côté ils ont ouvert les portes de l'Europe pour tous les produits chinois. La population active de l'Europe gagne de moins en moins. Le but réel est de détruire l'Europe.
 
Q: Pensez-vous que la réunion Bilderberg à St-Moritz a une valeur symbolique? Comme en 2009, ils en Grèce où, 2010 en Espagne et regardez ce qui leur est arrivé. Cela signifie-t Suisse peut s'attendre à quelque chose de mauvais?

A: Oui. La Suisse est l'un des pays les plus importants pour eux, parce qu'il est capital tant ici. Ils se sont réunis là parce que mis à part d'autres choses qu'ils veulent détruire toutes les valeurs que la Suisse représente. Vous voyez que c'est un obstacle pour eux, n'étant pas dans l'UE ou l'Euro, pas totalement contrôlée par Bruxelles et ainsi de suite. En ce qui concerne les valeurs, je ne parle pas des grandes banques suisses, car ils ne sont pas
Swiss plus, la plupart d'entre eux sont dirigés par des Américains. Je parle de l'esprit réel suisse que les gens du commun chérir et maintenir en place.
Bien sûr, il a une valeur symbolique, comme vous le dites, en ce qui concerne la Grèce et l'Espagne. Leur objectif est d'être une sorte de club d'élite exclusive qui a toute la puissance et tout le monde est pauvre et vers le bas.

Q: Pensez-vous que le but du Bilderberg est de créer une sorte de dictature mondiale, contrôlée par les grandes sociétés mondiales, ont été il n'ya pas des États souverains plus?

R: Oui et la Suisse est le seul endroit à gauche avec la démocratie directe et de son à leur manière. Ils utilisent le chantage du "too big to fail», comme dans le cas d'UBS de mettre notre pays en grande dette, tout comme ils l'ont fait avec beaucoup d'autres pays. En fin de compte peut-être qu'ils veulent faire avec la Suisse ce qu'ils ont fait avec l'Islande, avec toutes les banques et les pays en faillite.

Q: Et aussi la mettre en vers l'UE?

R: Bien sûr. L'UE est sous la poigne de fer de Bilderberg.

Q: Que pensez-vous pourrait stopper ce projet?

A: Eh bien, c'est la raison pour laquelle je vous parle. Sa vérité. La vérité est la seule façon. Mettre la lumière sur cette situation, de les exposer. Ils n'aiment pas être sous les projecteurs. Nous avons à créer la transparence dans le secteur bancaire et à tous les niveaux de la société.

Q: Qu'est-ce que vous dites est, il ya un bon côté à l'activité bancaire suisse et il ya quelques grosses banques qui utilisent abusivement le système financier pour leurs activités illégales.
 
 A: Oui. Les grandes banques sont la formation de leur personnel avec les valeurs anglo-saxonnes. Ils sont les former à être avide et impitoyable. Et la cupidité détruit la Suisse et tout le monde. En tant que pays, nous avons la majorité des banques d'exploitation le plus correct dans le monde, si vous regardez les banques petites et moyennes entreprises. C'est juste les grandes qui opèrent au niveau mondial qui sont un problème. Ils ne sont pas suisses plus et ne se considèrent pas comme tels.

Q: Pensez-vous que c'est une bonne chose que les gens exposent Bilderberg et de montrer qui ils sont vraiment?
 
A: Je pense que le cas Strauss-Kahn est une bonne chance pour nous, car il montre ces gens sont corrompus, les malades dans leur esprit, tellement malades qu'ils sont pleins de vices et de ces vices sont tenus secrets de leurs commandes. Certains d'entre eux comme les femmes le viol Strauss-Kahn, d'autres sont maso sado, ou d'un pédophile et beaucoup sont dans le satanisme. Quand vous allez dans certaines banques vous voyez ces symboles satanique, comme à la Banque Rothschild à Zurich. Ces personnes sont contrôlées par le noir-mail en raison des faiblesses dont ils disposent. Ils doivent suivre les ordres ou ils seront exposés, ils seront détruits ou même tués. La réputation de M. Strauss-Kahn n'est pas seulement tué dans les médias, il pourrait
être tués aussi littéralement.

 Q: Depuis Ackermann est dans le comité directeur du Bilderberg, pensez-vous qu'il est un décideur grand là-bas? 

A: Oui. Mais il ya beaucoup d'autres, comme Lagarde, qui sera probablement le prochain chef du FMI, également membre du Bilderberg, puis Sarkozy et Obama. Ils ont un nouveau plan de censurer l'Internet, car Internet est encore libre. Ils veulent le contrôler et d'utiliser le terrorisme ou ce que jamais comme une raison. Ils pourraient même plan quelque chose d'horrible façon à ce que ils ont une excuse.

Q: C'est donc votre peur?

 A: Ce n'est pas seulement une crainte, je suis certain. Comme je l'ai dit, ils ont donné l'ordre de tuer, de sorte qu'ils sont capables de choses terribles. S'ils ont le sentiment de perdre le contrôle, comme le soulèvement maintenant en Grèce et en Espagne et peut-être l'Italie sera la prochaine, alors ils peuvent faire un autre Gladio. J'étais à proximité du réseau Gladio. Comme vous le savez ils ont incité le terrorisme payés par l'argent américain pour contrôler le système politique en Italie et autres pays européens. En ce qui concerne l'assassiner d'Aldo Moro, le paiement a été fait par le même système que je vous ai parlé.

 Q: Est-ce une partie Ackermann de ce système de paiement à une banque suisse?
 
A: (mile S) ... vous êtes journaliste. Regardez sa carrière et à quelle vitesse il l'a fait vers le haut.
 
 Q: Que pensez-vous peut être fait pour les en empêcher?

 A: Eh bien il ya beaucoup de bons livres là-bas qui expliquent le contexte et les relier les points, comme celui que j'ai mentionné par Perkins. Ces gens ont vraiment frappé les hommes qui sont payés pour tuer. Certains d'entre eux obtiennent leur argent par les banques suisses. Mais pas seulement, ils ont un système mis en place partout dans le monde. Et d'exposer au public ces gens qui sont prêts à tout pour garder le contrôle. Et je veux dire quoi que ce soit.
 
Q: Grâce à l'exposition que nous pourrions les arrêter?

A: Oui, dire la vérité. Nous sommes confrontés à des criminels vraiment impitoyable, des criminels de guerre grands. Son pire, puis le génocide. Ils sont prêts et capables de tuer des millions de personnes juste pour rester au pouvoir et le contrôle.

Q: Pouvez-vous expliquer à partir de votre avis, pourquoi les médias de masse à l'ouest est plus ou moins complètement muet sur Bilderberg?
 
R: Parce qu'il ya un accord entre eux et les propriétaires des médias. Vous n'avez pas en parler. Ils les achètent. En outre, certaines des médias top chiffres sont invités aux réunions mais on leur dit de ne pas rapporter ce qu'ils voient et entendent.
 
Q: Dans la structure de Bilderberg, y at-il un cercle intérieur qui connaît les plans et puis il ya la majorité qui vient de suivre les ordres?
 
A: Oui. Vous avez le cercle intérieur qui sont dans le satanisme et puis il ya les moins informés ou les gens naïfs. Certains pensent même qu'ils font quelque chose de bon, le cercle extérieur .
 
 Q: Selon des documents exposés et les propres déclarations, Bilderberg a décidé en 1955 de créer l'Union européenne et l'euro, alors ils ont pris des décisions importantes et de grande portée.
 
 R: Oui et vous savez que Bilderberg a été fondé par le prince Bernard, un ancien membre de la SS et du parti nazi et il a également travaillé pour IG Farben, qui est filiale produit Cyclone B. L'autre gars était à la tête d'Occidental Petroleum qui avait des relations étroites pour les communistes en Union soviétique. Ils ont travaillé des deux côtés, mais vraiment ces gens sont des fascistes qui veulent tout contrôler et tout le monde et qui se trouve sur leur façon d'éliminer.
 
Q: Est-ce le système de paiement que vous avez expliqué en dehors des opérations normales,
compartimentée et en secret?
 
A: Dans les banques suisses des employés normaux ne sais pas ce qui se passe. Son propre ministère comme un secret dans la banque. Comme je l'ai dit ces opérations sont en dehors du bilan, sans aucune supervision. Certains sont situés dans le même bâtiment, d'autres sont à l'extérieur. Ils ont leur propre sécurité et de la zone spéciale, où seules les personnes autorisées peuvent entrer.

 Q: Comment peuvent-ils garder ces transactions sur le système international Swift?

 A: Eh bien quelques-unes des listes Clearstream était vrai au début. Ils ont juste inclus de faux noms pour faire croire aux gens toute la liste est fausse. Vous voyez, ils font aussi des erreurs. La première liste est vrai et vous pouvez tracer un tas de choses. Vous voyez, il ya des gens autour qui découvrent des irrégularités et de la vérité et ils le disent. Ensuite, il ya bien sûr les poursuites et ces gens sont forcés de se taire. La meilleure façon de les arrêter est de dire la vérité, mettre le projecteur sur eux. Si nous ne les arrêtons pas, nous finirons comme leurs esclaves.

 Q: Merci pour cette interview. 

 

 


 

Source

 


Si vous n'avez pas encore visionné ce qui suit (déjà publié ici) faites le, c'est édifiant !

 

 

 

2 vidéos sur le site :

 

http://panier-de-crabes.over-blog.com/article-revelations-d-un-banquier-suisse-sur-le-bilderberg-75987021.html 

 

 

 

 

Bon alors qui est cet Ackermann ?

D'après Wikipédia :

Josef Meinrad Ackermann, né le 7 février 1948 à Mels, dans le Canton de Saint-Gall, est un homme d´affaire juif et patron d´entreprise suisse.

Il est chairman et Chief Executive Officer (PDG) de la Deutsche Bank, membre du comité de direction du groupe Bilderberg 1,2. Il est aussi vice-président de la Foundation Board du World Economic Forum.

Ses revenus 2009 pour son poste de pdg de Deusche Bank s'élèvent à 7,98 millions d'euros.3

Sources[modifier]

 

Et c'est tout ? donc pas grand chose !!

Le patron de la Deutsche Bank Josef Ackermann pressenti au FMI

Par Reuters, le 17 mai 2011

FRANCFORT (Reuters) – Le président du directoire de la Deutsche Bank Josef Ackermann est pressenti à Berlin comme candidat à la succession de Dominique Strauss-Kahn à la tête du Fonds monétaire international (FMI), rapporte mardi le quotidien Bild.

Un autre candidat dont le nom circule dans la capitale est Thomas Mirow, président de la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD), révèle le tabloïd allemand sans citer de sources.

La suite >>>

 

 

Alors Ackermann ou Lagarde au FMI ?

 

 

http://panier-de-crabes.over-blog.com/article-revelations-d-un-banquier-suisse-sur-le-bilderberg-75987021.html

 

 


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3 juin 2011 5 03 /06 /juin /2011 17:14

 

http://medias.lepost.fr/ill/2008/04/03/h-20-1176491-1207218732.gif

 

 

 

La crise économique n’a pas atteint tout le monde de la même manière. Certains ont perdu leur emploi, ou leur logement, tandis que d’autres se sont enrichis…


Les inégalités se creusent et il y a de plus en plus de riches, selon une étude du Boston Consulting Group (BCG). Désormais, 1% des foyers détiennent 39% de la richesse mondiale, alors qu’ils n'en détenaient « que » 37% en 2010.

 

(Article référencé sur le site "Les mots ont un sens")

 

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28 mai 2011 6 28 /05 /mai /2011 19:21

 

Merci Gérard de m'avoir signalé cette vidéo :
Quand la roue tourne…
" Il lui en met plein la « gueule » et ça lui revient quelques années plus tard comme un boomerang.
C’est au sujet de son appart de détention qui coûte la peau des fesses et dont le parti socialiste à du mal à faire passer la pilule auprès de l’electorat populaire français.

 

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28 mai 2011 6 28 /05 /mai /2011 03:42

 

http://www.dailymotion.com/video/xirqlf_rikers-island_fun#from=embediframe
http://www.madmoizelle.com/wp-content/uploads/2011/05/dsk-rikers-island-180x124.jpg
http://www.madmoizelle.com/wp-content/uploads/2011/05/dsk-rikers-island-180x124.jpg
.
Et dans sa nouvelle prison dorée :
http://photo.parismatch.com/media/photos2/actu/politique/maison-dsk-600x400-a/3608953-1-fre-FR/maison-dsk-600x400-a_reference.jpg
http://photo.parismatch.com/media/photos2/actu/politique/maison-dsk-600x400-a/3608953-1-fre-FR/maison-dsk-600x400-a_reference.jpg
http://4.bp.blogspot.com/-HDNVuPnGYSU/Td5t9nmX2VI/AAAAAAAAA8s/bPMMpe06TuI/s1600/dsk+maison.+jpg.jpg

    http://4.bp.blogspot.com/-HDNVuPnGYSU/Td5t9nmX2VI/AAAAAAAAA8s/bPMMpe06TuI/s1600/dsk+maison.+jpg.jpg

 

 

 

 

 

DSK décidé à prendre la France
DSK3.jpg
http://laplote.blogs.courrierinternational.com/
.
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16 mai 2011 1 16 /05 /mai /2011 00:01

Et la justice fut. Dans son discours du 2 Mai, le président Barack Obama s’est adressé à la nation américaine – et au monde – pour annoncer que les États-Unis avaient réussi à tuer Oussama Ben Laden, le fameux leader d’Al-Qaïda, responsable des attentats du 11 Septembre. Beaucoup de personnes jugèrent le discours comme étant bien rédigé, sincère, touchant. La mort de Ben Laden est un événement pivot de l’histoire du monde, dont on devrait tous se réjouir.


Bien sûr que le discours était bien rédigé. Comme sont censés l’être tous les discours du leader par excellence du « monde libre ». Des phrases courtes, des paragraphes concis, un respect quasi-religieux du bon petit principe anglo-saxon de la « topic sentence » (première phrase du paragraphe qui résume l’idée principale de ce dernier avant de la développer). Impeccable.

Et bien sûr qu’il était touchant. Il suffisait de vouloir être touché. De vouloir écouter (et non pas juste entendre) la narration solennel et les descriptions austères d’un Obama nous racontant que « le pire des images sont celles qui restèrent inconnues aux yeux du monde. La chaise vide à table. Les enfants qui furent obligés de grandir sans leur mère ou leur père. Les parents qui n’allaient jamais connaître le sentiment de serrer leur enfant dans les bras. Près de 3.000 citoyens nous ont été enlevés, laissant un trou béant dans nos cœurs. » Le 11 Septembre, les américains connurent « une période de deuil ». La tristesse, la perte, la mort. Rien de mieux que d’évoquer la tragédie humaine pour toucher les gens. Pour justifier le désir de rétribution, de « justice », à n’importe quel prix, et de n’importe quelle façon.

AncreEt sincère. Mais oui, on ne peut plus sincère. Après tout, Barack Obama est bien doué pour ça. Quand la sincérité se résume à celle de notre volonté à vouloir convaincre les gens du bien fondé, du côté juste de notre version des choses. « Le peuple américain n’a pas choisi ce combat. Il est venu à nos côtes, et a commencé avec le massacre insensé de nos citoyens. »

Il n y a jamais eu d’action ni de réaction. Ni d’effet ni de cause. Qui sème le vent ne récolte pas la tempête. Les 50 ans que les États-Unis ont passé à manipuler les pays du Moyen-Orient, à contribuer (le mot est faible) au massacre des palestiniens au nom du massacre, de la persécution et de l’humiliation du peuple juif, à soutenir les régimes véreux et dictatoriaux de la région, même dans leur transgression la plus totale des principes (occidentaux, rappelons-le) des droits de l’homme, même dans leur pillage constant de l’argent du pétrole qui va directement dans leurs paradis fiscaux au lieu d’être utilisé pour bâtir des nations civilisées, pour éduquer les gens et faire évoluer les mentalités. Oui, les 50 ans que les États-Unis ont passé à installer, à soutenir inconditionnellement et à armer leur « flic du pétrole » ne peuvent donner naissance à une colère « légitime » !

Sacrilège, diront certains, comment est ce qu’une personne saine, juste, bonne, peut parler des attentats du 11 Septembre comme issues d’une colère « légitime », qui elle-même est une réaction à un nombre d’actions ?

Nous sommes simplement devant deux visions du monde intrinsèquement différentes. Le problème est justement là, mais le pire, c’est que les occidentaux refusent de le comprendre. Ils ont eu leur lumières eux, leur Kant, leur Spinoza, leur Descartes, leur Hegel… De vrais débats intellectuels, un éveil culturel, des réflexions sur la théologie, une mise en question des textes religieux… Contrairement au monde Musulman qui n’a pas connu ça (du moins pas du tout d’une même proportion, ceux qui osèrent réfléchir sur ce genre de sujets furent vite écartés). La grande majorité des musulmans croient dur comme fer que le Coran est la parole divine et que la Chariâa est la loi sainte. Le paradis et l’enfer sont aussi réels que le monde où nous vivons. La vie ici-bas est courte et éphémère, aussi doivent-ils être fidèles à leurs convictions religieuses pour accéder à leur Eden rêvé.

Cette incompréhension du monde occidental est la clé du problème. Lorsqu’un grand site de news français publie la traduction du communiqué d’Al-Qaïda qui confirme la mort de Ben Laden (et que beaucoup de gens soupçonnent être faux – mais là n’est pas du tout le sujet), ils « épurent la version traduite des références religieuses de l’original ».

Grossière erreur. Les médias occidentaux devraient quand même se douter que lorsqu’un texte rédigé en arabe fait 4 pages dans sa version originale et une seulement dans la version traduite en français, les trois quarts des pièces du puzzle manquent ! Je comprends le fait de ne pas vouloir ennuyer le lecteur francophone par des « références religieuses » (quelle horreur!), mais ce n’est pas de cette façon qu’on peut prétendre essayer de comprendre des terroristes extrémistes, des islamistes radicaux ou tout juste de simples musulmans, car la Pensée Jihadiste n’est que l’extension de codes religieux pris ou bien à la lettre ou bien dans leurs interprétations les plus extrêmes.

La vision occidentale du monde nous dit qu’il faut nous réjouir de « la mort de Ben Laden ». De « la mort », pas de « l’assassinat ». Le choix des mots est certes crucial. Il faut rester du côté de la justice. La barbarie n’a pas de place dans le monde occidental. Et c’est pour cela qu’il suffit de commencer à poser des questions pour passer pour le pire des fourbes.

Et lorsqu’un imperturbable Tariq Ramadan se pose des questions sur les circonstances de la mort de Ben Laden sur le plateau d’ITélé (le 3 Mai), les autres invités lui répondent en lui disant qu’ils connaissent (par cœur) ses méthodes mensongères et manipulatrices, insinuent qu’il est malhonnête, qu’on « ressent une certaine déception dans sa voix », qu’ils sont choqués lorsqu’il dit « qu’il aurait fallu faire un procès, écouter ce qu’il avait à dire » car les propos de Ben Laden sont « totalement insupportables lorsqu’il expliquait comment ce crime de masse fut organisé et pourquoi il le cautionnait intégralement. »

Apparemment, tous ceux qui se posent ce genre de questions risquent de se faire traiter d’hypocrites. J’appelle ça du terrorisme intellectuel. Nous sommes dans le débat d’idées, alors parlons de faits et d’idées : Les questions que se posent Tariq Ramadan ainsi que d’autres intellectuels Français, Anglais, Américains ou Arabes sont bien légitimes. On ne peut s’empêcher de penser au grand coup de Relations Publiques, dans une situation de crise et pendant que le président Américain a besoin de montrer sa fermeté et l’efficacité de sa politique étrangère. Un sacré timing, après la copie du certificat de naissance Américain d’Obama publiée à peine quelques jours avant l’opération « Geronimo ». Et qu’en est-il des services de renseignements Pakistanais qui entretiennent une relation des plus étranges avec l’administration Américaine ? Le Pakistan qui déclare ne rien avoir su au préalable de l’opération, avant que les Américains eux-mêmes ne les remercient pour leur coopération ?

Depuis des mois, le président Zardari prétend que Ben Laden se cache dans une grotte en Afghanistan. Et ce n’est que maintenant qu’on apprend que Ben Laden vivait depuis au moins 8 mois dans une grande maison à Abbotabad (à 115 kilomètres au Nord-Est d’Islamabad – et on est censé croire que les Pakistanais ou les Américains ne le savaient pas, alors que la ville d’Abbottabad est le quartier général de la seconde division de l’armée du Nord Pakistanaise et qu’on y trouve même l’académie militaire nationale Pakistanaise) comme un retraité avec ce qui restait de sa famille ? Qu’il n’était pas armé au moment de sa mort ? Qu’il est mort d’une balle dans la tête ?

Avec tous leurs moyens ultra-sophistiqués et leur supériorité technique, les Navy Seals n’auraient-ils pas pu réussir à capturer Ben Laden au lieu de l’exécuter?

Peut-être qu’un procès devait être évité. Après tout, les gens deviennent bien bavards dans ce genre de procès. Ben Laden aurait pu citer les noms de ses alliés, nous donner des détails sur le fonctionnement interne d’Al-Qaïda, il aurait pu nous parler de ses contacts de la C.I.A durant l’occupation des Soviétes en Afghanistan, ou de ses confortables entrevues à Islamabad avec le prince Turki, le chef des services de renseignements Saoudiens.

On aurait voulu des clarifications. Des réponses à nos questions. Que cette personne réponde de ses crimes devant un tribunal, devant l’histoire et devant les hommes. Les États-Unis n’ont pas le droit de décider de qui doit vivre ou mourir, et surtout pas lorsqu’il s’agit de Ben Laden, un homme responsable d’attentats terroristes qui ont changé à tout jamais la face du monde, de la création d’une organisation terroriste qui ne va malheureusement pas cesser d’exister juste parce qu’il est mort. Lorsqu’Obama parle de justice, je pense aux principes universalistes, aux droits de l’homme (et plus précisément à l’article 11 de la Déclaration universelle des droits de l’homme « Toute personne accusée d’un acte délictueux est présumée innocente jusqu’à ce que sa culpabilité ait été légalement établie au cours d’un procès public où toutes les garanties nécessaires à sa défense lui auront été assurées »). Je pense à cette multitude d’idées qui poussent beaucoup de gens à adopter le meilleur des valeurs occidentales. Car ne sont-ils pas justes, nobles ?

Malheureusement, lorsqu’il commence à y avoir autant d’écart entre ce que l’occident prétend être et ce qu’il fait, sur qui pourra-t-il compter dorénavant pour écouter ses fameuses « leçons de morale… à l’occidentale » ?

Amine Saadouni, pour OTVQTV

 

http://www.mecanopolis.org/?p=23207

 

Que la justice soit : Leçons de morale à l’occidentale

Article placé le 10 mai 2011, par Amine Saadouni

 


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9 mai 2011 1 09 /05 /mai /2011 20:06

 

http://perlbal.hi-pi.com/blog-images/69933/gd/128854280665/MENSONGES-POLITIQUES.jpg

 

 

 

Voici les mensonges du nucléaire

pendant 30 ans sans discontinuer.

 

 

 

 

Nous comprenons que la vérité est l'inverse des discours officiels remplis de mensonges éhontés.



5 novembre 1979 : le réacteur n°2 arrêté en raison d’une panne sur une pompe

17 septembre 1980 : les centrales japonaises emploient des travailleurs sans véritable formation

3 octobre 1985 : incendie sur le réacteur 1

27 août 1986 : arrêt du réacteur n°5 pour une panne de l’alimentation en eau

4 décembre 1986 : arrêt du réacteur 1 en raison d’une panne de l’air conditionné

23 avril 1987 : un tremblement de terre cause l’arrêt de trois réacteurs

22 juin 1987 : l’IAEA alerte sur les risques d’incendie

21 janvier 1988 : incendie dans le circuit d’air conditionné du réacteur 1

16 août 1988 : les mouvements anti-nucléaires japonais alertent sur les risques de vieillissement des réacteurs de Fukushima

12 décembre 1988 : arrêt du réacteur 2 pour une panne d’une soupape de vapeur

2 janvier 1989 : TEPCO ne sait toujours pas pourquoi le tremblement de terre du 22 avril 1987 a arrêté les réacteurs

30 janvier 1989 : certains employés de la centrale présentent des troubles chromosomiques

3 février 1989 : une panne sur un joint aurait pu entraîner une fusion du coeur sur le réacteur n°2

9 février 1989 : des recherches pour comprendre les accidents sur les joints des pompes

28 février 1989 : des débris de métal trouvés dans les réacteurs

20 avril 1989 : TEPCO présente des excuses publiques pour la panne d’une pompe

3 juin 1989 : arrêt d’un réacteur à la suite d’une fuite d’eau

19 juin 1989 : une succession d’accidents dans les centrales japonaises

20 octobre 1989 : les mesures de sécurité dans les centrales japonaises « sont à même de prévenir un accident grave »

26 octobre 1989 : alerte sur le vieillissement des centrales japonaises

30 novembre 1989 : l’AEC déclare que malgré les accidents, le Japon n’abandonnera pas l’énergie nucléaire.

8 janvier 1990 : une accumulation d’accidents en 1989

23 février 1990 : arrêt du réacteur 2 en raison d’une panne sur une pompe

20 mars 1990 : la Haute-Cour de Sendai repousse une demande d’arrêt de la centrale de Fukushima

29 mars 1990 : La Haute-Cour de Sendai déclare que les centrales sont bien conçues et ne peuvent pas causer de catastrophes

14 avril 1990 : les accidents nucléaires font douter les Japonais

28 juin 1990 : manifestation anti-nucléaire lors de l’assemblée annuelle des actionnaires de TEPCO

12 juillet 1990 : le ministère japonais déclare que le réacteur 3 est en état de marche

9 août 1990 : TEPCO attend la remise en marche du réacteur 3 en raison d’une forte demande d’électricité,

6 septembre 1990 : report du redémarrage du réacteur 3

11 octobre 1990 : la NSC approuve le redémarrage du réacteur 3

23 octobre 1990 : « les ingénieurs japonais estiment que leurs centrales sont virtuellement à l’abri des tremblements de terre »

25 octobre 1990 : inquiétudes dans le voisinage pour le rédémarrage du réacteur 3

1 novembre 1990 : l’AEC plaide pour un développement du nucléaire

4 avril 1991 : poursuite judiciaire poru demander l’arrêt du réacteur n°3

23 mai 1991 : 23 accidents déclarés dans les centrales japonaises en 1990

29 octobre 1991 : des blocs de construction française pour la digue de Fukushima

8 juillet 1992 : arrêt du réacteur 1 à la suite d’une hausse de pression

29 septembre 1992 : arrêt d’un réacteur à la suite d’une panne sur une pompe

30 septembre 1992 : arrêt du réacteur 2 à la suite d’une erreur humaine

30 septembre 1992 : plaintes contre TEPCO en raison de mauvaises informations sur les accidents

1 octobre 1992 : le Japon s’interroge sur la sécurité de ses centrales nucléaires

29 octobre 1992 : deux groupes d’anti-nucléaires déboutés de leurs poursuites judiciaires

31 octobre 1992 : un réacteur arrêté en raison d’une panne sur une pompe

5 novembre 1992 : la Cour suprême décide que les tribunaux ne peuvent pas juger les questions de sécurité nucléaire

10 novembre 1992 : arrêt du réacteur 1à la suite d’une panne sur le moteur d’une valve

7 avril 1993 : TEPCO projette de construire deux nouveaux réacteurs

10 mai 1993 : poursuites judiciaires après la mort d’un travailleur de la centrale

20 juin 1994 : l’ANRE demande une enquête sur l’accident de mai

1 août 1994 : reconnaissance d’irradiation pour deux travailleurs de la centrale

22 août 1994 : TEPCO espère pouvoir construire deux nouveaux réacteurs

14 septembre 1995 : un tremblement de terre accélère la réaction nucléaire sur trois réacteurs

27 novembre 1995 : arrêt du réacteur 6 en raison de pressions anormales

1 mai 1996 : une « pléthore d’accidents » à Fukushima

30 septembre 1996 : construction du réacteur n°8

24 octobre 1996 : TEPCO achète des machines anglaises pour réparer ses enceintes de confinement

27 novembre 1996 : retard dans le redémarrage de réacteurs à la suite de la découverte de fissures

12 décembre 1996 TEPCO demande l’autorisation de construire deux nouveaux réacteurs

20 décembre 1996 : des actionnaires de TEPCO déboutés d’une demande d’arrêt de la centrale

17 janvier 1997 : petit incendie au réacteur n°2

21 janvier 1997 : délai dans le redémarrage d’un réacteur après la découverte de fuites

29 avril 1997 : arrêt du réacteur n°2 à la suite d’une fuite de gaz radioactif

30 avril 1997 : le réacteur n°2 restera arrêté jusqu’à une date non précisée

7 mai 1997 : arrêt du réacteur n°1 en raison d’une baisse du liquide réfrigérant

20 mai 1997 : redémarrage envisagé du réacteur n°2

9 juin 1997 : fuite radioactive sur le réacteur n°1

12 juin 1997 : forte augmentation des accidents dans les centrales japonaises

14 octobre 1997 : fissure découverte sur une canalisation

5 décembre 1997 : arrêt d’un réacteur à la suite d’une panne

20 janvier 1998 : TEPCO envisage de remplacer 144 barres de contrôle en raison de malfaçons

24 janvier 1998 : les résidents vivant autour de la centrale s’inquiètent de l’utilisation du plutonium

30 juillet 1998 : arrêt du réacteur n°6 à la suite d’une fuite de vapeur

18 août 1998 : TEPCO demande aux autorités locales l’autorisation d’utiliser du plutonium (MOX)

26 août 1998 : arrêt du réacteur n°1 à la suite d’une panne

2 novembre 1998 : la préfecture de Fukushima accepte l’usage du MOX

6 décembre 1998 : 75% des résidents de la centrale de Kashiwazaki-Kariwa sont opposés à l’usage du MOX

25 janvier 1999 : incendie sur le réacteur n°1

8 février 1999 : TEPCO déclare que son plus vieux réacteur (28 ans) peut encore fonctionner 32 ans

27 avril 1999 : le Japon envisage de développer son nucléaire civil

28 juin 1999 : des groupes anti-nucléaires demandent au Japon de renoncer au traitement du plutonium

30 juin 1999 : La France va envoyer du MOX au Japon

16 juillet 1999 : deuxième chargement de MOX français pour le Japon

10 septembre 1999 : arrivée attendue du MOX français à Fukushima

28 septembre 1999 : manifestations au Japon contre l’arrivée du MOX français

8 octobre 1999 : fuites radioactives dans un dépôt de déchets de la centrale de Fukushima

1 janvier 2000 : le « bug de l’an 2000″ frappe quelques équipements dans les centrales japonaises

10 janvier 2000 : TEPCO repousse ses projets d’utilisation du MOX dans le réacteur n°3

21 juillet 2000 : arrêt d’un réacteur après une fuite consécutive à un tremblement de terre

24 juillet 2000 : fermeture du réacteur n°2 en raison d’une fuite de pétrole dans une turbine

24 juillet 2000 : le gouvernement japonais reconnaît l’inquiétude du public en raison des récents accidents nucléaires

25 juillet 2000 : un troisième réacteur fermé en raison d’une augmentation anormale de l’iode

2 août 2000 : arrêt du réacteur n°6 en raison de la rupture d’une canalisation, abîmée lors du dernier tremblement de terre

30 septembre 2000 : chronologie des principaux accidents nucléaires au Japon

31 octobre 2000 : Fukushima devrait être la première centrale à utiliser du MOX

9 février 2001 : TEPCO persiste à vouloir construire de nouveaux réacteurs

26 février 2001 : le gouverneur de Fukushima refuse d’autoriser l’utilisation de MOX

26 février 2001 : TEPCO annonce un gel de ses constructions de nouveaux réacteurs. Colère des collectivités locales

26 mars 2001 : les anti-nuclaires déboutés de leurs poursuites judiciaires visant à interdire l’usage du MOX

2 avril 2001 TEPCO reporte l’utilisation du MOX dans ses centrales

3 avril 2001 : un maire demande des comptes au gouverneur de Fukushima qui a interdit l’usage du MOX

15 mai 2001 : arrêt planifié du réacteur n°6 après la découverte de fuites radioactives

24 août 2001 : le METI ordonne la vérification de 28 réacteurs

30 août 2001 : installation de quatre barres de liaisons pour réparer une fissure sur le réacteur 3

1 novembre 2001 : arrêt automatique du réacteur n°2 pour des raisons inconnues

17 juin 2002 : la préfecture de Fukishima envisage d’augmenter la taxe nucléaire à 13,5%

21 juin 2002 : le ministre de l’Economie est opposé à l’augmentation de la taxe nucléaire

4 juillet 2002 : accord de l’assemblée préfectorale pour la hausse de la taxe nucléaire

10 août 2002 : inquiétudes sur la résistance des centrales en cas de tremblement de terre

22 août 2002 : fissures découvertes dans certaines canalisations

29 août 2002 : TEPCO a dissimulé plusieurs accidents nucléaires depuis les années 80

30 août 2002 : les falsifications de TEPCO remettent en question la sécurité nucléaire

31 août 2002 : certaines fuites ont été négligées par des employés de TEPCO

2 septembre 2002 : nouvelles révélations sur les falsifications de TEPCO

2 septembre 2002 : arrêt prévu de quatre réacteurs utilisant des pièces endommagées

2 septembre 2002 : les réacteurs suspects continueront à fonctionner

3 septembre 2002 : arrêt du réacteur n°2 en raison d’une fuite radioactive.

4 septembre 2002 : fuite de gaz radioactif : cent fois la dose normale

4 septembre 2002 : TEPCO gèle la construction de quatre nouveaux réacteurs

6 septembre 2002 : TEPCO a camouflé des fissures importantes pendant quatre ans

13 septembre 2002 : TEPCO a falsifié des enregistrements vidéo

16 septembre 2002 : TEPCO a utilisé des pièces non autorisées dans un réacteur

26 septembre 2002 : nombreuses fissures découvertes sur le réacteur n°3

30 septembre 2002 : le gouverneur de Fukushima retire son accord pour l’utilisation de plutonium

4 octobre 2002 : de nouvelles fissures découvertes sur le réacteur n°2

11 octobre 2002 : un cinquième réacteur va être arrêté pour rechercher d’éventuelles fissures

14 octobre 2002 : découverte de nouvelles fuites sur le réacteur n°4

25 octobre 2002 : arrêt d’un réacteur sur ordre des autorités

25 octobre 2002 : de nouvelles falsifications découvertes à Fukushima

1 novembre 2002 : TEPCO retarde la construction de nouveaux réacteurs

11 novembre 2002 : la préfecture de Fukushima retarde l’application de l’augmentation de sa taxe nucléaire

19 novembre 2002 : les Japonais doutent de leur industrie nucléaire

11 décembre 2002 : publication du rapport sur les falsifications de TEPCO

26 décembre 2002 : le gouvernement accepte l’augmentation de la taxe nucléaire dans la préféceture du Fukushima

15 janvier 2003 : la préfecture de Fukushima ne sait pas si TEPCO va relancer ses réacteurs

16 janvier 2003 : de nouvelles fissures découvertes sur deux réacteurs

10 février 2003 : TEPCO envisage de redémarrer trois réacteurs fin mars

14 février 2003 : TEPCO envisage d’arrêter tous ses réacteurs en avril pour des vérifications de sécurité

18 février 2003 : TEPCO est incapable de préciser la date de redémarrage de ses réacteurs

24 février 2003 : le gouvernement impose à TEPCO d’améliorer ses procédures de sécurité

6 mars 2003 : craintes de pénurie d’électricité en raison de la fermeture de 17 réacteurs

11 mars 2003 : le gouvernement autorise, sous conditions, le rédémarrage des réacteurs

12 mars 2003 : TEPCO publie son plan de remise en état de ses réacteurs

14 avril 2003 : l’arrêt de tous les réacteurs de TEPCO fait craindre des coupures d’électricité

29 mai 2003 : TEPCO attend l’autorisation de redémarrer son réacteur n°6

16 juin 2003 : découverte d’une pièce manquante sur le réacteur n°3

10 juillet 2003 : le gouverneur de Fukushima autorise le redémarrage du réacteur n°6

18 août 2003 : redémarrage du réacteur n°3

25 septembre 2003 : un travailleur de la centrale exposé à des radiations

26 septembre 2003 : inquiétudes sur la résistance des centrales nucléaires après un important tremblement de terre

18 novembre 2003 : l’IEA recommande au Japon de restaurer la confiance du public dans l’industrie nucléaire

27 janvier 2004 : fuite d’eau sur le réacteur n°6

4 mars 2004 : la méfiance du public retarde le redémarrage des centrales nucléaires

17 mars 2004 : redémarrage du réacteur n°4

3 juin 2004 : le centre de stockage de déchets radioactifs reprend ses activités

29 juin 2004 : TEPCO va redémarrer trois de ses réacteurs et souhaite y utiliser du plutonium

5 août 2004 : arrêt du réacteur n°3 en raison de « problèmes techniques »

6 août 2004 : redémarrage du réacteur n°2

9 août 2004 : arrêt du réacteur n°2 à la suite d’une fuite d’eau

17 août 2004 : explosion sur une conduite de vapeur

26 août 2004 : redémarrage du réacteur n°2

27 septembre 2004 : les centrales japonaises devront fermer en 2016 si elles ne peuvent pas recycler leurs déchets

29 septembre 2004 : arrêt du réacteur n°2 pour « problèmes techniques »

6 octobre 2004 : érosion anormale des conduites d’eau sur le réacteur n°1

7 octobre 2004 : le gouvernement assure que l’érosion des conduites d’eau ne pose pas de problèmes

14 octobre 2004 : arrêt du réacteur n°2 à la suite d’une panne sur une pompe

18 octobre 2004 : report du redémarrage du réacteur n°4 en raison d’un problème sur le circuit de refroidissement

20 octobre 2004 : redémarrage du réacteur n°5

20 octobre 2004 : redémarrage du réacteur n°4 après réparations

28 octobre 2004 : arrêt du réacteur n°4 en raison de la panne d’une valve

29 octobre 2004 : redémarrage du réacteur n°2

2 novembre 2004 : redémarrage du réacteur n°4

4 novembre 2004 : redémarrage du réacteur n°6

30 novembre 2004 : enquête du gouvernement de Fukushima sur le réacteur n°1

8 décembre 2004 : arrêt du réacteur n°2 en raison d’une fuite d’eau radioactive

17 décembre 2004 : arrêt du réacteur n°6 en raison d’une fuite d’eau

17 décembre 2004 : TEPCO va arrêter tous ses réacteurs pour chercher l’origine d’une fuite d’eau radioactive

7 janvier 2005 : arrêt de tous les réacteurs en raison d’une fuite d’eau radioactive

9 février 2005 : redémarrage des six réacteurs

14 février 2005 : le réacteur n°3 ne redémarrera qu’en mars

22 février 2005 : redémarrage du réacteur n°2

17 mars 2005 : le réacteur n°3 ne peut être redémarré en raison d’une panne sur une pompe

18 mars 2005 : arrêt du réacteur N°3 en raison d’une panne sur une pompe à eau

21 avril 2005 : redémarrage du réacteur n°1

26 mai 2005 : arrêt du réacteur n°1 en raison d’un « problème technique »

3 juin 2005 : redémarrage du réacteur n°1

11 août 2005 : arrêt du réacteur n°1 à la suite d’une fuite radioactive

17 août 2005 : un tremblement de terre occasionne une fuite d’eau radioactive

22 août 2005 : arrêt du réacteur n°5 à la suite d’un problème sur le circuit de refroidissement

16 septembre 2005 : arrêt du réacteur n°1 pour réparer une pompe

10 octobre 2005 : arrêt du réacteur n°2 en raison d’une panne sur une pompe

12 décembre 2005 : arrêt du réacteur n°4 en raison d’une fuite d’eau

21 décembre 2005 : réduction de l’activité du réacteur n°2 à la suite de « problèmes techniques »

19 janvier 2006 : découverte de fissures sur les barres de contrôle du réacteur n°6

6 février 2006 : Toshiba a falsifié les données d’un compteur du réacteur n°6

20 février 2006 : arrêt du réacteur n°3 en raison d’une fuite sur une pompe

17 mars 2006 : arrêt du réacteur n°4 en raison d’une panne sur une pompe

28 avril 2006 : les procédures de sécurité en cas de tremblement de terre doivent être améliorées

15 mai 2006 : arrêt du réacteur n°4 en raison d’une fuite d’huile

18 mai 2006 : des informations confidentielles sur la sécurité de la centrale ont été diffusées par erreur sur Internet

22 mai 2006 : fuite radioactive sur le réacteur n°4

23 mai 2006 : arrêt d’un réacteur à la suite d’une fuite de vapeur radioactive

30 mai 2006 : arrêt du réacteur n°6 en raison d’une fuite de vapeur radioactive

12 juin 2006 : arrêt du réacteur n°3 pour réparation

22 juin 2006 : arrêt du réacteur n°1 en raison d’une fuite de vapeur radioactive

24 juillet 2006 : fuite d’eau radioactive sur le réacteur n°1

1 août 2006 : l’entreprise qui a construit la centrale n°2 poursuivie pour corruption

11 août 2006 : fuite de vapeur radioactive

29 septembre 2006 : arrêt du réacteur n°4 pour réparations

6 novembre 2006 : arrêt du réacteur n°5 à la suite d’une panne

5 décembre 2006 : TEPCO découvre de nouvelles falsifications de données dans les rapports de ses centrales

17 janvier 2007 : arrêt du réacteur n°2 en raison de « problèmes »

1 février 2007 : nouvelles révélations sur les falsifications de données

18 février 2007 : arrêt du réacteur n°4 en raison d’une radioactivité excessive

1 mars 2007 : découverte de nouvelles falsification dans les centrales de TEPCO

1 mars 2007 : la découverte des falsifications de TEPCO ne devraient pas gêner le fonctionnement de ses centrales

12 mars 2007 : TEPCO a dissimulé un arrêt d’urgence d’un de ses réacteurs en 1998

20 mars 2007 : TEPCO a dissimulé que des barres de contrôle sont tombées des réacteurs en 1993 et 2000

22 mars 2007 : les compagnies qui gèrent les centrales nucléaires ne communiquent pas entre elles

22 mars 2007 : TEPCO a dissimulé des accidents critiques en 1978 et 1999

5 avril 2007 : les entreprises qui gèrent le nucléaire japonais ont commis plus de 10 000 infractions

20 avril 2007 : le gouvernement demande des vérifications plus strictes

27 avril 2007 : alerte sur l’air conditionné sur les réacteurs n°2 et 4

14 juin 2007 : arrêt du réacteur n°3 en raison d’une fuite d’eau

16 juillet 2007 :  » Les centrales nucléaires japonaises conçues pour résister aux pires séismes »

19 août 2007 : craintes sur la résistance des centrales japonaises en cas de tremblement de terre

21 août 2007 : le gouvernement autorise TEPCO a retarder les vérifications de sécurité sur son réacteur n°3

20 septembre 2007 : fuites radioactives à la suite d’un tremblement de terre de magnitude 6.8

4 octobre 2007 : TEPCO améliore sa communication à la suite du tremblement de terre

12 octobre 2007 : arrêt du réacteur n°2 en raison d’une panne sur l’échangeur

24 mars 2008 : TEPCO demande au gouvernement de prolonger de 10 ans l’exploitation du réacteur n°4, qui fonctionne depuis 29 ans

31 mars 2008 : les centrales nucléaires doit être prêtes à affronter des tremblements de terre plus importants

10 avril 2008 : TEPCO envisage une croissance de 1% annuel jusqu’en 2017. Projet de construction de deux nouveaux réacteurs à Fukushima

25 mai 2008 : un travailleur de la centrale, atteint d’un cancer consécutif à une irradiation, débouté de sa demande d’indemnisation

4 juin 2008 : des mineurs employés pour effectuer des inspections de centrales nucléaires

4 juin 2008 : redémarrage du réacteur n°5, arrêté à la suite de « problèmes techniques »

10 juin 2008 : arrêt du réacteur n°5 en raison d’une panne de turbine

14 juin 2008 : fuite radioactive à la suite d’un tremblement de terre

11 juillet 2008 : ralentissement du réacteur n°5 pour réparation

18 juillet 2008 : le gouvernement autorise TEPCO à repousser les opérations de maintenance sur le réacteur n°3

20 juillet 2008 : une longue liste de procès contre les centrales nucléaires au Japon

6 août 2008 : arrêt du réacteur n°3 pour « réparations »

21 octobre 2008 : des officiels français participent à un exercice d’alerte sur le réacteur n°3

17 février 2009 : création de 7 centres de crise à proximité des centrales nucléaires

24 février 2009 : arrêt du réacteur n°1 à la suite d’un « problème technique »

10 mars 2009 : l’utilisation de plutonium pourrait enfin être d’actualité

6 août 2009 : arrêt du réacteur n°3 à la suite de la découverte d’une « anomalie »

23 novembre 2009 : quel avenir pour le nucléaire au Japon ?

16 février 2010 : la préfecture de Fukushima est disposée à accepter l’utilisation du plutonium

28 février 2010 : les centrales japonaises n’ont pas souffert du tsunami

3 mars 2010 : arrêt du réacteur n°6 en raison d’une canalisation défectueuse

2 juin 2010 : arrêt du réacteur n°1 à la suite d’une panne du circuit de refroidissement

13 juin 2010 : le tremblement de terre n’a pas affecté la centrale

17 juin 2010 : arrêt du réacteur n°2 à la suite d’une « anomalie »

9 août 2010 : introduction d’un recours judiciaire pour interdire l’usage du plutonium

18 août 2010 : le réacteur n°1 doit être arrêté à la suite de la découverte d’une fuite radioactive

23 août 2010 : l’énergie nucléaire est une opportunité pour le Japon

14 septembre 2010 : le réacteur n°3 va être redémarré et utilisera du MOX pour le première fois

16 septembre 2010 : TEPCO souhaite augmenter la part du nucléaire et des énergies renouvelables

18 septembre 2010 : démarrage de l’exploitation du MOX

25 octobre 2010 : Areva estime que l’utilisation de MOX ne présente pas de danger pour les populations

5 novembre 2010 : arrêt d’urgence du réacteur n°5 en raison de « problèmes »

13 décembre 2010 : projets et difficultés de TEPCO

24 décembre 2010 : redémarrage du réacteur n°5, arrêté à la suite d’une panne sur une pompe

12 janvier 2011 : TEPCO décide d’allonger de trois mois le délai entre deux inspections du réacteur n°3, pour produire davantage

7 février 2011 : la NISA autorise TEPCO à utiliser le réacteur n°1 (40 ans) pendant 10 ans de plus

7 mars 2011 : les projets de TEPCO pour augmenter la production nucléaire

9 mars 2011 : à suite du tremblement de terre, TEPCO « confirme » que la centrale de Fukushima n’a pas été endommagée

11 mars 2011 : une « anomalie » signalée sur les réacteurs 1 et 2

11 mars 2011 : l’IAEA déclare que les réacteurs ont été arrêtés en toute sécurité lors du tremblement de terre

11 mars 2011 : état d’urgence déclaré à Fukushima

source http://fukushimaleaks.wordpress.com/

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6 mai 2011 5 06 /05 /mai /2011 04:47

 

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Le Bal des Maîtres du Monde
50:43 - Il y a 3 ans

Le reportage tant promis qui couvre la réunion des milliardaires mondialistes de la planète à Davos en 2005. Vous verrez et comprendrez les enjeux de leur Plan: la privatisation des biens et services des nations de la planète et de leur gouvernement. Leur solution au chômage ? La compétitivité ! Travailler plus pour un salaire moins élevés ! Entretuons-nous les-uns les-autres pour avoir un emploi et survivre. Les diktats du libre marché veulent votre bien, ou plutôt vos biens ils l'auront si vous ne faites rien.

 

http://video.google.fr/videoplay?docid=-3268598711792388588#

 

 

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