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15 novembre 2010 1 15 /11 /novembre /2010 04:49

affiche aliments irradiés

http://www.irradiation-aliments.org/Campagne-contre-l-irradiation-des.html

 

 

Aliments irradiés : Aurons nous le choix ?

 

L’agence de sécurité sanitaire européenne EFSA s’apprête à rendre un avis sur l’irradiation des aliments, qui risque fort de permettre dans l’année à venir une mise à niveau de la réglementation européenne vers la norme du Codex Alimentarius (dernière révision en 2003) qui autorise et promeut l’irradiation de tous types d’aliments, quasiment sans limitation de dose (en cas de "nécessité technologique").

La toute récente dénonciation des collusions d’intérêts incarnés par l’actuelle présidente de l’EFSA pourrait accélérer cette décision.

Pierre PICARD
05.11.2010

Pour en savoir plus :


 http://www.irradiation-aliments.org

Atome, malbouffe et mondialisation

L'irradiation des aliments est officiellement une technologie idéale au service de la sécurité sanitaire mondiale, permettant d'éliminer des pathogènes responsables de millions d'infections d'origine alimentaire, en partie mortelles. Souvent présentée comme une alternative bienvenue à l'usage d'autres dispositifs, comme les produits chimiques (devenus interdits ou impopulaires parce que toxiques), c'est cependant et surtout une technologie multi-usages (conservation, décontamination, ralentissement du mûrissement, inhibition de la germination) servant à merveille les intérêts de multinationales, répondant à des normes de gestion du risque calibrées pour la production et la commercialisation industrielle de masse à l'échelle mondiale, et ainsi un outil de domination économique stratégique.

Après la vache folle, à côté des pesticides et des 0GM, l'irradiation des aliments...

Dans cet ouvrage collectif, des scientifiques, écologistes, économistes, syndicalistes et consommateurs apportent leur regard sur l'irradiation des aliments et le contexte dans lequel son usage se répand. C'est en réalité un instrument méconnu - mais emblématique - de la mondialisation des échanges agro-alimentaires, sous-influence pro-nucléaire. Une technologie en plein développement au niveau mondial, encouragée par les institutions internationales et certains états, malgré des conséquences sanitaires, environnementales et socio-économiques non négligeables. Les risques pour la santé qu'elle induit et les conséquences socio-économiques et environnementales de sa prolifération ne sont pas anodins: perte de vitamines, risques de perturbations génétiques et de promotion de tumeurs cancéreuses; conséquences pour l'emploi et l'économie locale par la délocalisation des productions; risques liés au fonctionnement d'installations et au transport de matières nucléaires, et aux modes de production et de distribution industriels de masse (pollutions, changement climatique, atteinte aux milieux naturels et à le biodiversité). Si nos institutions - mondiales, européennes et nationales - taisent ces enjeux sous couvert de « sécurité sanitaire » et de satisfaction de la demande des consommateurs, il revient aux citoyens de s'informer et d'agir...

Ouvrage coordonné par la direction du Collectif français contre l'irradiation des aliments.
Editions Golias, 271 pages, format 20 x 13 cm.

 

 

 

Les aliments irradiés, dits « ionisés»

 

Savez-vous que certains aliments sont irradiés ? L’irradiation est un traitement (coûteux) auquel on soumet délibérément un aliment afin d’améliorer sa conservation et de détruire les insectes, parasites et microbes qu’il contient. Quels sont les effets sur notre santé ?

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aliment ionise
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1/ Pourquoi irradier un aliment ?
2/ Effets indésirables, effets nocifs
3/ Les aliments concernés par l’irradiation
4/ L’information du consommateur
5/ Les risques liés aux installations d’irradiation
6/ Ne pas confondre aliments « contaminés » et aliments « irradiés »

1/ Pourquoi irradier un aliment ?

L'objectif du traitement par irradiation est de ralentir la dégradation du produit afin qu'il se conserve plus longtemps, et augmenter les qualités hygiéniques de l'aliment. Pourtant, l'irradiation à forte dose détruit les bactéries mais elle n'a pas d'incidence sur les toxines qu'ont produites ces bactéries. Or, bien souvent, ce sont les toxines, et non les bactéries, qui sont responsables des intoxications alimentaires.


2/ Effets indésirables, effets nocifs

Sauf dysfonctionnement, un aliment irradié ne devient pas radioactif. Sa nature est cependant profondément altérée. En effet, outre les effets recherchés, l’irradiation provoque des effets indésirables avec des conséquences qui sont encore mal connues. (...)

L’irradiation provoque :
- la destruction (en proportion variable selon la dose et la radiorésistance des molécules) d'acides aminés et de vitamines (notamment A, B1, B6, B12, C, E, K, PP et acide folique)
- la rupture des équilibres naturels : or, tous les micro-organismes contenus dans la nourriture ne sont pas nuisibles ; certains ont des fonctions utiles.


3/ Les aliments concernés par l’irradiation

La liste des aliments dont l’Europe autorise l’irradiation est limitée à 3 catégories de produits : herbes aromatiques séchées, épices, condiments végétaux.
Huit Etats membres de l‘Union européenne autorisent l’irradiation d’aliments autres que les trois catégories spécifiées par l’Europe : la France, la Belgique, les Pays-Bas, la Pologne, le Royaume-Uni, la Tchéquie, la Hongrie et l’Italie.
En France, la réglementation autorise l’irradiation d’autres produits comme :
Epices et aromates, Gomme arabique, Flocons et germes de céréales , Farine de riz, Viande de volaille, Cuisses de grenouilles Congelées Crevettes décortiquées ou étêtées congelées Blanc d’œuf liquide déshydraté ou congelé Légumes et fruits secs Aulx, oignons, échalotes Fraises Camembert au lait cru...

A cette liste s’ajoutent bien sûr les aliments irradiés importés des 34 Etats non membres de l’UE qui pratiquent l’irradiation. Parmi ceux qui ont autorisé l’irradiation d’un nombre élevé de produits, on peut citer l’Afrique du Sud, le Brésil, la Turquie, les USA, le Ghana, la Fédération de Russie, l’Inde, le Mexique et la Croatie.


4/ L’information du consommateur

Le consommateur n'a aucun moyen pour identifier par lui-même les aliments qui ont été irradiés. Il ne peut compter que sur l’étiquetage. En France, comme en Europe, toute denrée irradiée doit porter la mention « traité par rayonnements ionisants » ou « traité par ionisation ». Les entreprises et les distributeurs qui jouent la transparence ne sont pas nombreux. On peut en outre trouver sur certains produits (importé d’Afrique du sud notamment) le symbole dit RADURA.

logo aliment irradieLa situation s’est améliorée depuis l’enquête que la CRIIRAD (Commission de Recherche et d'Information Indépendantes sur la Radioactivité) a effectuée en 1994 pour la Commission européenne (service politique du consommateur) mais il reste encore de sérieux progrès à réaliser, en particulier en matière de contrôle des obligations d’étiquetage (notamment en France). C'est ce logo, représentant une fleur dans un cercle, qui indique l'irradation d'un aliment. Et non, ceci ne signifie pas que l'environnement est protégé, ou que le produit est sain, comme on aurait pu le croire à première vue !


5/ Les risques liés aux installations d’irradiation

Les installations d’irradiation qui utilisent une source radioactive sont classées INB, c’est-à-dire Installation Nucléaire de Base (catégorie des installations les plus dangereuses où figurent également les réacteurs nucléaires, usines de retraitement, etc). Les études de dossiers effectuées dans le passé par le laboratoire de la CRIIRAD montraient des insuffisances notables, tant sur le plan de la radioprotection que de la sécurité : protection insuffisante vis-à-vis des risques externes, qu’ils soient accidentels ou liés à des actes de malveillance, mauvaise prise en compte des risques liés au transport des sources radioactives, défaut d’information et de préparation des services de secours, etc.


6/ Ne pas confondre aliments « contaminés » et aliments « irradiés »

Lorsque l’on parle de « contamination radioactive » ou de « pollution radioactive », cela signifie que des particules radioactives (et plus précisément des atomes radioactifs) sont présents dans l’aliment.

Les atomes radioactifs sont des atomes dont le noyau est instable. A un moment donné, il va se désintégrer en émettant des rayonnements très énergétiques, dits rayonnements ionisants car ils sont capables d’arracher des électrons aux atomes et molécules de la matière qu’ils traversent. Les lésions ainsi créées peuvent entraîner la mort de la cellule ou sa mutation et participer au processus de cancérisation.

Les produits radioactifs peuvent provenir de nombreuses sources : gaz et aérosols radioactifs que de nombeuses installations rejettent dans l’atmosphère (rejets chroniques autorisés par l’administration) ; fuites non maîtrisées ; réactions de criticité dans des stockages de déchets nucléaires ; retombées des essais nucléaires atmosphériques ; recyclage de matériaux contaminés, etc.

En cas de rejet radioactif dans l’environnement, les légumes, fruits ou céréales sont contaminés par absorption au niveau des feuilles ou des racines.
Dans un premier temps, la contamination est externe mais les particules radioactives sont ensuite métabolisées par la plante.

Les aliments d’origine animale sont contaminés de façon indirecte : le bétail pâture des herbages contaminés et les polluants radioactifs se retrouvent dans le lait et la viande. On note des différences importantes d’une espèce à l’autre qui s’expliquent par les caractéristiques du régime alimentaire et du métabolisme. Pour une même contamination de l’environnement, le lait de chèvre ou de brebis présente ainsi des niveaux de contamination en iode radioactif très supérieurs au lait de vache.

Lorsque nous consommons un aliment contaminé, nous ingérons évidemment les produits radioactifs qu’il contient. Notre organisme est en effet incapable de reconnaître les éléments radioactifs et de les éliminer. Il les métabolise comme s’il s’agissait des éléments stables dont il a besoin pour fonctionner. En fonction de leurs caractéristiques physico-chimiques, les produits radioactifs vont donc se concentrer dans des organes particuliers (l’iode dans la thyroïde, le strontium dans les os…). L'irradiation persiste jusqu'à ce que tous les atomes radioactifs soient éliminés (physiologiquement ou par décroissance radioactive).

L’ingestion de ces produits radioactifs est néfaste pour la santé. Ces contaminations vont provoquer des lésions au sein des tissus, lésions qui peuvent être à l’origine de mutations cellulaires et favoriser l’apparition de cancers chez la personne exposée ou de maladies génétiques dans sa descendance (si les altérations se produisent au sein des cellules reproductrices, ovules ou spermatozoïdes).

Document publié par la CRIIRAD (Commission de Recherche et d'Information Indépendantes sur la Radioactivité)

 

http://nucleaire-nonmerci.net/aliments-irradies-ionises.html

 

 

DES ALIMENTS IRRADIÉS ? NON MERCI !

 

Aliments irradiés : aurons nous demain le choix ?

affiche aliments irradiés

Collectif français contre l’irradiation des aliments
Communiqué de presse – Paris, 15 octobre 2010

Lettre ouverte
Depuis plusieurs années, des associations se mobilisent dans l’Union européenne pour informer les citoyens et exhorter leurs institutions, communautaires et nationales, à réellement évaluer l’ensemble des risques liés à l’irradiation des aliments et à appliquer le principe de précaution.

Considérant que l’avis de l’EFSA sur cette technologie, demandé par la Commission européenne et attendu avant fin 2010, risque fort d’ouvrir la voie à une extension importante, sinon totale, de la liste des produits autorisés et des doses admises, 47 organisations européennes appellent, dans une lettre ouverte, leurs représentants politiques et les institutions de l’Union européenne à la plus grande prudence et à traiter ce sujet dans toute sa complexité.

Consulter la lettre ouverte

Communiqué de presse – Paris, 11 octobre 2010
Collectif français contre l’irradiation des aliments

Conférence et point presse, le 14 octobre 2010 à 14h30
Paris, Mairie du 2ème arrondissement, 8 rue de la Banque, 75002 Paris

Alerte !!! L’agence de sécurité sanitaire européenne EFSA s’apprête à rendre un avis sur l’irradiation des aliments, qui risque fort de permettre dans l’année à venir une mise à niveau de la réglementation européenne vers la norme du Codex Alimentarius (dernière révision en 2003) qui autorise et promeut l’irradiation de tous types d’aliments, quasiment sans limitation de dose (en cas de "nécessité technologique").

Lire le communiqué

Aliments irradiés : aurons-nous demain le choix ?

28 Septembre 2010

Conférence et point presse, le 14 octobre 2010 à 14h30
Paris, Mairie du 2ème arrondissement, 8 rue de la Banque, 75002 Paris

La réglementation européenne actuelle, datant de 1999, définit les conditions d’irradiation pour les aliments et leur commercialisation, avec une liste commune de produits autorisés (herbes aromatiques séchées, épices et condiments végétaux). En réalité, avec les dérogations accordées à quelques pays et du fait de la liberté de circulation des biens au sein de l’UE, plus de 30 types de produits sont en réalité autorisés dans l’UE. Les directives prévoient certes des contrôles dans les Etats membres au niveau du traitement par irradiation et de la commercialisation, mais les contrôles sont insuffisants, peu fiables et disparates ; de fait, les volumes de produits commercialisés sont inconnus.

Lire le communiqué

La République tchèque rejoint le club des dérogataires à la liste courte de l’Union Européenne de denrées alimentaires autorisées à l’irradiation

15 Septembre 2010

La directive 1999/3/CE limite à trois catégories de produits (herbes aromatiques séchées, épices et condiments végétaux) les denrées alimentaires autorisées à l’irradiation au sein de l’Union Européenne.

Selon les textes, les pays membres souhaitant maintenir leurs autorisations outre la liste commune devaient le communiquer avant le 20 septembre 2000. Nous constatons cependant que la République Tchèque a rejoint le club des dérogataires en 2009, en autorisant le plus grand nombre de catégories de produits à l’irradiation, soit la quasi totalité des catégories autorisées par plusieurs Etats membres : 28 en plus des 3 catégories déterminées par la directive 1999/3/C.
Rappelons que les échanges internationaux européens au sein de l’Union européenne de denrées alimentaires se font sans contrôle.

Consultez la liste des autorisations des Etats membres relatives aux denrées et ingrédients alimentaires pouvant être soumis à un traitement par ionisation

Pétition contre l’irradiation des aliments : Plus de 11700 signatures ignorées par le Ministère de l’économie !

Le 22 décembre 2009

Communiqué de presse
Le 15 décembre 2009, une délégation du Collectif contre l’irradiation des aliments s’est rendue au Ministère de l’économie pour remettre plus de 11700 signatures de la pétition contre l’irradiation des aliments demandant les éléments suivants : un dispositif d’information transparent, le respect de la loi concernant l’étiquetage, des programmes d’analyse et d’enquêtes sur les aliments irradiés commercialisés illégalement, des mesures de sanction effectives pour les entreprises qui ne respectent pas la législation en matière d’étiquetage et de contrôle, la signalisation de tous les aliments irradiés ou contenant des ingrédients irradiés distribués dans la restauration, en particulier dans les cantines scolaires. Face à cette mobilisation importante, le ministère n’apporte aucune réponse et aucune garantie, notamment sur la sécurité sanitaire des produits irradiés et sur l’information des consommateurs au-delà des quelques contrôles réalisés chaque année depuis 2003. Seule (maigre) avancée : une possible amélioration des contrôles par la DGCCRF , à partir de recommandations du collectif…

Lire le Communiqué

Technologies nucléaires dans l’alimentation et l’agriculture :
Jusqu’où accepterons-nous d’aller ?

Le 27 octobre 2009

Conférence et point presse à Paris, le jeudi 26 novembre 2009 (15h)
(sur inscription)
L’irradiation des aliments - officiellement appelée « ionisation » - est une technologie nucléaire utilisée par l’industrie agro-alimentaire, souvent présentée comme moins nocive que d’autres modes de conservation ou de décontamination.
Par ailleurs, se développent des technologies incitant par irradiation la mutation de semences, parallèlement à la conduite des recherches de manipulation génétique introduisant des séquences de gènes étrangers (OGM).

Le dossier du Collectif : "Technologies nucléaires dans l’alimentation et l’agriculture : jusqu’où accepterons-nous d’aller ?

Lire le communiqué


chatons amour autres chats france - photo droles
http://www.la-musique-rai.com/photo-chatons-amour-autres-chats-france-315.html
Les chats ne supportent pas les aliments irradiés

Le 5 novembre 2009

En novembre 2008, l’entreprise « Champion Petfoods Ltd » a rappelé des produits d’alimentation animale vendus sous la marque « ORIJEN » commercialisés en Australie. Comme il ressort du document publié par l’entreprise à ce sujet (« Orijen cat food, summary of actions in Australia », 03/12/2008), ce retrait faisait suite à l’enquête du groupement de vétérinaires australiens chargé des inspections. Ce dernier avait en effet constaté des troubles neurologiques sur des chats ayant été nourris avec des produits ORIJEN. La nourriture avait été préparée avec des produits frais transformés à une température relativement faible (90°C) et irradiés à des doses élevées (60 kGy).

Ces faits ont conduit le gouvernement australien à annuler l’obligation d’irradiation qu’il avait édictée il y a plus de dix ans pour ce type de produits (cf. article « Cat-food irradiation banned as pet theory proved », The Sidney Morning Herald, 30/05/2009).

NB : Ceci renforce les inquiétudes du Collectif français contre l’irradiation des aliments quant à la réglementation et aux pratiques en cours au sein de l’Union européenne. En effet, d’une part, la réglementation sur l’irradiation est la même pour l’alimentation humaine et l’alimentation animale, qui est donc soumise à l’obligation d’étiquetage et autorise les mêmes denrées. D’autre part, ces effets neurologiques sur le chat de la consommation d’aliments irradiés ne peuvent qu’inviter à la plus grande prudence concernant l’irradiation des aliments. Nous resterons attentifs aux résultats des recherches en cours de l’EFSA (Autorité européenne de sécurité des aliments) et à leurs avis sur l’irradiation des aliments.


SEMENCES ET ALIMENTS IRRADIES

Par Thierry Folliard, Mars 2009

Cette technique, issue de l’atome, a pour but de prolonger la conservation des aliments importés sur de longues distances. Mais au prix de mutations du génome de l’espèce irradiée.

L’irradiation des aliments vient s’ajouter à une longue liste de technologies destinées à la conservation des aliments : appertisation (stérilisation par la chaleur dans des contenants hermétiques), congélation, surgélation, pasteurisation et traitement UHT…. Ici, un rayonnement ionisant inférieur à 10 kGray (dose absorbée moyenne) est projeté sur les aliments afin d’éradiquer germes, champignons, œufs d’insectes et parasites. Néanmoins, cette dose ne permet pas d’éliminer toutes les bactéries, ni les toxines, ni les virus, ni le prion. Les aliments n’en sortent pas radioactifs, mais de nouvelles molécules éventuellement génotoxiques, cytotoxiques et cancérigènes sont générées. De plus, la toxicité de ces produits de radiolyse n’a été que très peu étudiée, au mépris du principe de précaution.

Lire la suite


Menaces sur la biodiversité « L’industrie génétique remet en cause la possibilité même de nos enfants de se nourrir »

Par Sophie Chapelle, 11 mars 2009

OGM de deuxième génération, plantes mutées à coup de radiations, semences de synthèse dont les gènes seront numérisés et privatisés… Guy Kastler nous décrit ce que préparent les multinationales de l’industrie génétique et agroalimentaire. Des projets à faire frémir. Le délégué général du Réseau semences paysannes explique également comment nous, jardiniers paysans ou simples citoyens urbains, pouvons empêcher cette destruction programmée du vivant.

Lire la suite sur le site de Basta !


Les semences mutantes irradiées, nouvelles Stars du Salon de l’agriculture ?

Paris, le 27 février 2009 – Communiqué de presse des Amis de la terre, membre du Collectif français contre l’irradiation des aliments

Le Salon international de l’agriculture qui ferme ses portes dimanche devrait être l’occasion de mettre en valeur les savoirs paysans et de promouvoir une agriculture respectueuse de la nature et de l’être humain. Ce n’est pourtant pas le cas. Après les OGM, les plantes modifiées par irradiation envahissent nos assiettes… Cela, sans que le consommateur en soit informé ni que des études soient menées pour écarter tout risque pour la santé et l’environnement.

Lire le communiqué

Lire l’article de Thierry Folliard du Collectif français contre l’irradiation des aliments sur les semences irradiées (Biocontact, février 2009)

 

http://www.irradiation-aliments.org/Campagne-contre-l-irradiation-des.html

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