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17 janvier 2011 1 17 /01 /janvier /2011 17:37

 

Un remède pour les brûlés, simple, naturel et efficace!

 

Oeuf-copie-1.png

 

Nous avons déjà vu ce qu'il est possible de faire avec une coquille d'œuf et du citron (re-minéralisation). Voici une autre application de l'œuf, cette fois pour la peau, cette fois avec le blanc...

 

Histoire vécue:

 

Un jeune homme qui arrosait des terrains et des arbustes avec des pesticides a voulu vérifier s'il lui restait assez de pesticides dans son énorme baril, stocké dans un camion.


Il a soulevé le couvercle et, pour voir le fond - ô imprudence! -, a allumé son briquet; les vapeurs de pesticides, inflammables, se sont alors, bien sûr, enflammées et le feu lui a sauté au visage. Il s'est alors jeté en bas du camion en hurlant et, pour éteindre les flammes, s'est roulé dans le gazon.


En l'entendant et comprenant ce qui venait de se passer, la voisine est sortie avec une douzaine d'œufs en criant à la cantonnade: "Apportez-moi encore des œufs!".


On lui a tous apporté nos œufs. Elle les cassait et séparait le blanc du jaune. Les femmes présentes ont commencé à l'aider et elle mettait le blanc sur le visage du jeune homme.

 

Quand les ambulanciers ont vu le jeune homme, ils ont demandé qui avait fait ça, et tout le monde a alors désigné la voisine.

 

L'ambulancier l'a félicitée et lui a dit: "Vous lui avez sauvé le visage".

 

Vers la fin de l'Eté, pour la remercier, le jeune homme est venu lui apporter un bouquet de roses, car il avait une peau de petit bébé. 
 
Cette méthode est enseignée dans un cours de formation de pompiers. Lorsqu'il se produit une brûlure, quelle qu'en soit l'étendue, les premiers secours consistent à placer la zone affectée sous un jet d'eau froide jusqu'à ce que la chaleur diminue et que cessent de brûler les couches de peau, ensuite étendre du blanc d'œuf sur cette zone.
 

 

 Autre histoire:

 

Une autre personne se brûla une grande partie de la main avec de l'eau bouillante. Malgré la douleur elle mit la main sous le robinet d'eau froide, puis elle cassa deux œufs, en sépara les blancs qu'elle battit un peu et y plongea la main. Sa main était tellement brûlée qu'en y appliquant le blanc d'œuf sa peau sécha et le blanc y forma une pellicule.

 

Elle apprit par la suite que le blanc d'œuf était un collagène naturel, et continua pendant au moins une heure à appliquer, couche sur couche de blanc sur sa main.

 

L'après-midi elle ne sentit plus de douleur et le lendemain il restait à peine une marque rougeâtre à l'endroit de la brûlure. Elle pensait qu'il lui serait resté une horrible cicatrice, mais, à sa grande surprise, au bout de 10 jours, il ne restait plus aucune trace de la brûlure, la peau avait même retrouvé sa couleur normale! La zone brûlée s'était totalement régénérée grâce au collagène existant dans le blanc d'œuf, en réalité un placenta plein de vitamines. 

 

Cette information peut être utile à beaucoup.

A faire connaître largement.

 

http://artdevivresain.over-blog.com/article-un-remede-pour-les-brules-64702677.html

 

 

Eva : Le jaune d'oeuf était utilisé par ma mère contre les panaris.

Revenons aux remèdes de grands-mères éprouvés par le temps !

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17 janvier 2011 1 17 /01 /janvier /2011 17:29

 

http://trinite-sainte-et-mariemamere.over-blog.com/article-bientot-des-des-micro-puces-dans-des-medicaments-61681164.html

 

Stop aux puces!

 

La volonté délibérée, sous le fallacieux prétexte de protection des individus, de mettre toujours plus d'êtres humains ous contrôle strict perce, tous les jours, davantage...

 

Dernier exemple en date: Le micropuces - soit-sant assimilables par l'organisme, oui! - envahissent maintenant les médicaments! Formidable, maintenant, si jamais vous oubliez d'avaler votre chimie, - genre médiator - vous aurez droit à un rappel à l'ordre à distance! On n'arrête pas la régression!

 

Déjà les médicaments chimiques ce n'était pas sain, mais le médicament chimique à la puce, c'est un "cocktail" encore plus détonnant!

 

http://artdevivresain.over-blog.com/article-une-puce-dans-votre-mediator-genial-non-65120927.html

 

 

 

« De nos jours les puces électroniques sont tant entrées dans notre quotidien  que nous n’y prêtons même plus attention. Elles sont partout : dans nos machines à calculer, nos ordinateurs, nos appareils ménagers, nos four micro onde, nos voitures etc. 

Même mieux, pour sécuriser nos documents administratifs, depuis quelques années, nous les trouvons aussi sur nos cartes bancaires, nos cartes de sécurité sociale ou voire même…nos cartes d’identité, permis de conduire !

On les implante même aujourd’hui sur des animaux et notamment des modèles fort proches de ceux dont il est question dans l’article çi-dessous, contenant des données médicales sur l’animal et permettant de l’identifier, de le localiser, de le traquer et de le retrouver par satellite lorsqu’il s’est perdu, échappé ou.volé.

La science-fi est aujourd’hui bien réelle et se rapproche trop de nous ! »

 

L’industrie pharmaceutique va commencer à insérer des micro-puces dans des médicaments

 

 

L’ère du micro-puçage pharmaceutique est maintenant devant nous. Novartis AG, l’une des plus importantes sociétés pharmaceutiques dans le monde, a dévoilé un projet afin de commencer à implanter des micro-puces dans des médicaments dans le but de créer une technologie de « pilule intelligente ».

La technologie de micro-puçage est brevetée par Proteus Biomedical à Redwood City, Californie. Une fois activée par l’acide de l’estomac, la micro-puce intégrée commence à détecter son environnement et à émettre des données à un récepteur utilisé par le patient. Ce récepteur est également un émetteur qui peut envoyer les données par Internet à un médecin.

L’idée derrière tout cela est de créer des « pilules intelligentes » qui peuvent détecter ce qu’il se passe dans le corps et délivrer cette information au médecin du patient. Novartis prévoit de commencer à micro-pucer ses médicaments anti rejet de transplantation d’organe et puis potentiellement étendre le micro-puçage à d’autres produits de sa gamme pharmaceutique. Cette même technologie pourrait également bientôt se retrouver dans des pilules fabriquées par d’autres sociétés pharmaceutiques.

Les meilleurs programmes mis en avant…

En surface, tout cela paraît bien, mais les lecteurs de NaturalNews (site original de l’article) ont certainement tout un tas de questions sceptiques à propos de cette technologie. Pour commencer, Novartis ne prévoit apparemment pas de réaliser des essais cliniques qui pourraient prendre en compte les problèmes de sécurité liés à l’ingestion de micro-puces. « Novartis ne s’attend pas à devoir conduire des essais cliniques approfondis afin de prouver que les nouveaux produits fonctionnent », rapporte Reuters. « A la place, son but est de réaliser de soi-disant tests de bio-équivalence afin de montrer que ce sont les mêmes que les originaux. » (http://www.reuters.com/article/idUSTRE6A754720101108)

Mais j’ai une question : quels produits chimiques ou quels métaux lourds sont-ils présents dans la micro-puce elle-même ? Une micro-puce qui transmet des données doit évidemment posséder une source d’énergie, ce qui signifie qu’elle doit avoir une très petite batterie ou un genre de condensateur. Les matériaux utilisés dans les condensateurs et les batteries, à ma connaissance, sont toxiques pour le corps humain et ne devraient jamais être avalés.

Les micro-puces ne sont pas de la nourriture et le fait de les avaler semble dangereux pour votre santé, particulièrement si vous ingérez plusieurs micro-puces par jour.

La confidentialité des données

Un autre problème important soulevé par les micro-puces qui transmettent des données concerne leur confidentialité. Si ces micro-puces émettent de l’information, alors cette information peut évidemment être collecté par tout ce qui se trouve à proximité, y compris éventuellement par des individus peu scrupuleux ou des organisations qui pourraient en faire une mauvaise utilisation.

Par exemple, supposons qu’une pharmacie locale installe un détecteur de signal de micro-puce dans leur porte d’entrée principale dans le but de suivre les gens qui émettent des données de « médication ». Ils pourraient alors théoriquement décoder cette donnée et l’utiliser afin de déterminer quelle maladie affecte le client, et puis vendre des produits pharmaceutiques génériques faisant office de substitution.

Des agents gouvernementaux pourraient être équipés de « scanners à micro-puce pharmaceutique » qui déterminent quelles pilules vous prenez en ce moment. Ceci pourrait être utilisé afin de violer votre vie privée en partageant cette information avec d’autres agences gouvernementales ou même en la vendant à un tiers, comme des sociétés de marketing.

Je doute clairement du fait que les données transmises par ces micro-puces dans ces pilules seront codées car le cryptage nécessite une véritable puissance de traitement, et dans ces toutes petites micro-puces, il n’y a pas vraiment de place pour une unité de traitement ou une source d’énergie. Très probablement, elles vont transmettre des signaux bruts, non traités, qui peuvent être détectés et décodés plutôt facilement.

Souvenez-vous de prendre vos médicaments

Mais la partie la plus effrayante à propos de ces micro-puces médicales est le fait que cette technologie sera utilisée afin de s’assurer que les gens prennent bien leur traitement. Les compagnies pharamaceutiques perdent des milliards de dollars par an (d’après elles) à cause des patients qui oublient de prendre leurs pilules. Bien entendu, l’une des raisons pour lesquelles ils oublient de prendre leurs pilules est qu’une grande partie des produits pharmaceutiques provoquent des dégâts aux fonctions cognitives, mais cela est ici hors-sujet.

Cette technologie de pilule micro-puce intelligente va donc probablement être utilisée pour traquer les pilules que les patients auront prises afin qu’il leur soit « gentiment rappelé » de prendre les éventuelles pilules qu’ils auraient oubliés de prendre. Dans le domaine du marketing, cela s’appelle un « programme de continuité ». C’est un moyen destiné à s’assurer que des ventes répétitives se produisent de façon régulière.

Dans ce contexte, le micro-puçage des pilules profite aux compagnies pharmaceutiques, mais pas nécessairement aux patients. C’est particulièrement vrai lorsque l’on considère ces produits pharmaceutiques qui sont nocifs pour la santé humaine – et nous savons tous que le marché pharmaceutique est rempli de pilules dont on a plus tard découvert qu’elles étaient extrêmement dangereuses voire mortelles (quelqu’un se rappelle-t-il du Vioxx ?).

Le futur : les scanners à médicaments de la police et les scanners à médicaments des employeurs

Maintenant, il y a peut-être un effet secondaire intéressant à propos de tout cela : les employeurs qui réalisent des entretiens pour des candidats à un travail potentiel pourraient être capable d’acheter (ou de fabriquer) un simple scanner à médicaments qui détecte la présence d’un signal de transmission d’une micro-puce pharmaceutique.

Ceci pourrait être très utile pour des employeurs qui ne souhaitent pas engager des personnes sous traitement. Ils vous invitent pour un entretien et scannent discrètement à la recherche de données de transmission médicales. Une lumière rouge les prévient lorsque vous émettez des données médicales, et ils vous disent calmement que l’entretien est terminé et « nous vous recontacterons ».

Les employeurs sont en ce moment dépassés par les coûts de l’assurance maladie. Cela pourrait fournir une méthode simple et facile pour les entreprises afin qu’elles évitent de recruter quelqu’un susceptible d’être un fardeau pour leurs programmes d’assurance maladie (d’après leurs opinions). Je ne suis pas nécessairement d’accord avec cette utilisation de cette technologie; Je dis juste que c’est une méthode qui sera probablement utilisée par les employeurs afin d’acarter les employés qui sont sous traitement.

Les policiers pourraient également utiliser un scanner similaire afin de déterminer si un conducteur sur une scène d’accident pourrait être affecté par des médicaments. Voilà une utilisation que je cautionne. Les routes d’aujourd’hui sont remplies de conducteurs affaiblis mentalement qui sont littéralement drogués aux médicaments. A propos, le problème est en fait bien plus grave que des conducteurs ivres, et pourtant jusqu’à présent rien n’est fait afin de combattre ce problème de « conducteurs sous médicaments » (la plupart des personnes ne savent même pas que ce problème existe).

Si les personnes qui prennent des médicaments émettent ces informations par l’intermédiaire de toutes les micro-puces qu’elles avalent, dans ce cas, analyser la présence de médicaments est simple. C’est même encore plus simple qu’un alcootest car cela ne nécessite aucune action de la part du sujet test. Le policier appuie simplement sur un bouton, patiente deux secondes, et peut alors déterminer si vous émettez des données médicales. Jusque là, vous pourriez être arrêté en étant suspecté de « conduite sous traitement ».

Une autre raison de ne pas prendre de médicaments

Il y a bien évidemment une tonne de questions sans réponses et même des risques potentiels quant à l’ingestion de produits pharmaceutiques à micro-puces. Pour certaines personnes, les problèmes de vie privée sont les plus importants de tous, car évidemment, qui souhaite émettre des données sur le fait qu’il prend des médicaments ?

Je ne prends pas de produits pharmaceutiques, évidemment, et la plupart des lecteurs de NaturalNews les évitent également. Le fait que les médicaments seront bientôt micro-pucés est encore une fois une bonne raison de trouver une façon plus holistique de prendre soin de notre santé. Ne misez pas votre vie (et votre vie privée) sur les pilules de l’industrie pharmaceutique. Optez pour un mode de vie holistique et sain basé sur des aliments biologiques, nutritifs, de l’exercice régulier et le refus de tous les produits chimiques (synthétiques) d’origine humaine, et vous n’aurez probablement jamais besoin de produits pharmaceutiques durant votre vie entière.

L’ère du micro-puçage des peuples et du micro-puçage des médicaments se trouve devant nous. Etant donné ce que fait l’agence nationale Américaine de sécurité dans les transports (TSA) avec les scanners corporels (http://www.naturalnews.com/030100_naked_body_scanners_airport.html), vous pouvez clairement imaginer ce que Big Brother fera avec vos données médicales que vous pourriez émettre depuis l’intérieur de votre corps.

En fait, l’idée même d’avoir une micro-puce qui émet des données depuis l’intérieur de votre corps pourrait vous faire signaler comme terroriste potentiel par la TSA, qui pourra alors procéder à une fouille des parties génitales et à une pression de la poitrine dans le cadre de leur nouvelle technique incertaine de « fouille approfondie » (http://www.naturalnews.com/030302_TSA_naked_body_scanners.html).


La meilleure façon d’éviter tout cela est de simplement manger vos légumes et boire vos nutraceutiques (superfood). Ne devenez pas un sujet traçable et micro-pucé de l’industrie médicale qui souhaite transformer votre corps en un centre de profit par produits chimiques.


Lien d’Isabelle

Article de Mike Adams

Source : Mondialisation.ca

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17 janvier 2011 1 17 /01 /janvier /2011 02:37

MEDICAGO INC.

MEDICAGO INC.
MDG:CA 0.56   0.03
Auj. 5j 1m 3m 1a 5a 10a

Detailed Chart...

 

Medicago a été sélectionnée pour collaborer avec l'IDRI dans le cadre d'une subvention de plusieurs millions de dollars accordée à l'IDRI par le département de la Défense des États-Unis

-Mise au point d'un vaccin à dose unique contre la grippe H5N1 pouvant être administré rapidement et à grande échelle en cas de pandémie de grippe aviaire -

-Approuvé pour distribution publique illimitée-


QUÉBEC, le 11 janv. /CNW/ - Medicago Inc. ("Medicago") (TSX : MDG), société de biotechnologie spécialisée dans la mise au point de vaccins hautement efficaces à coûts abordables, fondés sur des technologies de fabrication exclusive à base de particules pseudo-virales (PPVs), a annoncé aujourd'hui qu'elle avait été sélectionnée pour collaborer avec l'Infectious Disease Research Institute (IDRI) dans le cadre d'une subvention de plusieurs millions de dollars accordée à l'IDRI par la Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA) du département de la Défense des États-Unis, pour la mise au point d'un vaccin à dose unique contre la grippe H5N1 pouvant être administré rapidement et à grande échelle en cas de pandémie de grippe aviaire.


Cette importante subvention accordée par la DARPA couvre l'étude clinique de phase I d'un vaccin H5 intradermique contenant l'adjuvant à base d'AGL de l'IDRI. Le projet d'une durée d'un (1) an met en commun la technologie de fabrication de vaccin H5 à particules pseudo-virales à base de plantes de Medicago et la technologie d'adjuvant pour vaccin de l'IDRI, ainsi qu'un dispositif d'administration intradermique à micro-aiguilles. Ces trois technologies de pointe pourraient renforcer l'immunité, réduire la quantité de produit requise et simplifier la distribution et l'administration du vaccin.

« Notre collaboration avec l'IDRI et la DARPA témoigne de la qualité et de l'efficacité de notre vaccin antigrippal à particules pseudo-virales », a déclaré Andy Sheldon, président et chef de la direction de Medicago. « Cette collaboration de recherche pourrait contribuer à fournir des solutions uniques permettant d'accélérer la vaccination en cas de pandémie de grippe, tout en utilisant de plus faibles doses de vaccins et un mode d'administration plus simple. Nous continuons de faire progresser le développement clinique de notre vaccin H5 contre la grippe aviaire, pour lequel nous prévoyons obtenir les résultats intermédiaires de la phase II dans les semaines qui suivent.»

« La technologie de fabrication de vaccins à particules pseudo-virales à base de plantes de Medicago est l'une des nouvelles technologies les plus prometteuses pour la fabrication des vaccins de prochaine génération. Leur technologie à base de plantes a déjà démontré qu'elle permet de produire des souches émergentes plus rapidement que les technologies traditionnelles utilisant les œufs ou la culture cellulaire », a souligné le DSteve Reed, fondateur et directeur de la recherche et du développement de l'IDRI. « Nous sommes ravis de collaborer avec Medicago, car nous pensons que nos technologies complémentaires pourraient mener à la mise au point de vaccins plus efficaces contre une pandémie de grippe et ainsi contribuer à prévenir les maladies infectieuses dans le monde entier. »

Institut de recherche sur les maladies infectieuses (IDRI)

L'IDRI est un organisme à but non lucratif établi à Seattle, aux États-Unis, qui vise à mettre en application les innovations de la science au profit de la recherche et au développement de produits visant à prévenir, détecter et traiter les maladies infectieuses dans les pays pauvres. En intégrant les nouvelles technologies, l'IDRI s'efforce de trouver un moyen efficace de mettre en application les innovations scientifiques obtenues en laboratoire pour en faire bénéficier les personnes qui en ont le plus besoin. Pour obtenir de plus amples renseignements, consultez www.idri.org.

 

 

À propos de Medicago inc.

Medicago s'est donnée pour mandat de fournir des vaccins très efficaces et abordables reposant sur ses technologies de fabrication exclusives à base de particules pseudo-virales. Medicago met au point des vaccins à particules pseudo-virales visant une protection contre une pandémie de grippe H5N1; pour ce faire, elle fait appel à un système d'expression transitoire qui produit des antigènes de vaccins recombinants dans les cellules de plantes non transgéniques. Cette technologie a le potentiel d'offrir des avantages en matière de vitesse et de coûts par rapport aux technologies concurrentes. Elle pourrait permettre de produire un vaccin prêt pour les essais environ un mois après l'identification et la réception des séquences génétiques d'une souche pandémique. Cette rapidité de production permettrait de vacciner la population avant que la première vague d'une pandémie ne frappe, et de fournir de grandes quantités de vaccins sur le marché mondial. Pour obtenir de plus amples renseignements sur Medicago, veuillez consulter le site www.medicago.com.

 

 

Énoncés prospectifs

Ce communiqué contient des énoncés de nature prospective qui reflètent les attentes actuelles de Medicago, assujettis à certains risques et incertitudes découlant des affaires de Medicago et de l'environnement dans lequel la Compagnie évolue. Les énoncés contenus dans les présentes qui ne constituent pas des faits historiques peuvent être interprétés comme étant des énoncés prospectifs. Ces énoncés s'accompagnent fréquemment de termes tels que : « anticiper », « croire », « planifier », « estimer », « prédire », « projeter » et autres termes ou expressions analogues, dans la mesure où ceux-ci sont liés à Medicago ou à sa direction. Les énoncés prospectifs ne sont pas des faits historiques, mais reflètent les attentes actuelles de Medicago relativement à certains évènements ou résultats futurs. Ces énoncés prospectifs sont assujettis à certains risques et incertitudes qui pourraient entraîner des résultats réels différant considérablement de ceux prévus, incluant les éléments discutés dans la section «Facteurs de risques et incertitudes » de la Notice annuelle déposée le 24 mars 2010. Medicago décline toute obligation de mettre à jour ces énoncés prospectifs ou de mettre à jour les raisons pour lesquelles les résultats réels pourraient différer de ceux reflétés par les énoncés prospectifs.


Renseignements:

Contact :

Medicago inc.
Andrew J. Sheldon
Président et chef de la direction
(418) 658-9393
                  Medicago inc.
Christina Cameron
Responsable des relations avec les investisseurs
(418) 658-9393 x156

 

 

 

 

 

MEDICAGO INC. - Renseignements sur cet organisme Cours et tableaux

Communiqués de presse

(222)

Archives de photos CNW
MDG.(TSX-VEN)

 


© 2011

 

http://www.cnw.ca/fr/releases/archive/January2011/11/c9644.html

 

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16 janvier 2011 7 16 /01 /janvier /2011 20:19

mediator_mort_labos_interdi

http://blorg.canalblog.com/archives/2010/11/16/19618415.html

 

 

 

Médiator : l'affaire criminelle du siècle

 

 

 

Ségolène Royal a qualifié Dimanche 16 Janvier sur Canal +, dans l’émission Dimanche + , "d’affaire criminelle de première importance" le scandale du Mediator, et a demandé à Nicolas Sarkozy et au gouvernement de "donner à la justice les moyens" d'enquêter.

Ségolène Royal a rappelé que jusqu'à 5 millions de Français ont pris pendant 30 ans du Mediator.


Les autorités ont donné un feu vert à un médicament qui tue, et on voit bien à quoi conduit la cupidité, la voracité de l'argent, la collusion des pouvoirs", a t-elle ajouté en évoquant la proximité existant selon elle entre le pouvoir et l'industrie pharmaceutique.

"C'est une corruption très, très grave d'édulcorer un rapport" sur le Mediator.


Rappelons que l'Inspection générale des affaires sociales (Igas) a affirmé que le Mediator aurait dû être retiré du marché dès 1999, et s'est étonnée de "la tolérance" des pouvoirs publics à l'égard de ce médicament fabriqué par les laboratoires Servier.

Elle a demandé "au gouvernement et au président de la République de donner à la justice les moyens sur cette affaire criminelle du siècle".


Estimant que la proposition de Martin Hirsch de supprimer les visiteurs médicaux était "une bonne idée", Ségolène Royal a jugé qu'il fallait "faire bien plus" et "déconnecter le domaine de la pharmacie de la décision politique".


Le Mediator, est un médicament antidiabétique prescrit à quelque cinq millions de Français de 1976 jusqu'à fin 2009, date de son interdiction.


Il est accusé d'être à l'origine de la mort de 500 à 2.000 personnes selon des estimations et d'avoir provoqué de graves lésions cardiaques chez des milliers d'autres. 116 plaintes ont été déposées à ce jour.

 


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16 janvier 2011 7 16 /01 /janvier /2011 00:03

 

 

 

… Il faut transmettre le Savoir et la Vérité…
… La Vérité finit toujours par se Savoir…


DJAMELITO

http://arnaquedusida.blogspot.com/


Samedi 15 Janvier 2011
http://www.alterinfo.net/SIDA-Quand-la-Verite-explose_a53835.html
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15 janvier 2011 6 15 /01 /janvier /2011 07:38

Bon sang, il me fait un essoufflement, vite! de l'aspirine.

http://humourplongee.free.fr/aspirine.htm

 

 

L'importance d'une aspirine... 

 

Le conseil qui suit fait partie de ces informations peu nombreuses qui s'échangent sur internet auxquelles on doit prêter attention et qu' on doit suivre. 
 

 

Quand j'ai eu mes deux crises cardiaques en septembre dernier, le médecin qui m'a soigné aux urgences du Secours Mutuel m'a demandé si j'avais pris de l'aspirine après avoir ressenti la douleur dans ma poitrine. 
 

 

J'ai dit au médecin qu'à la maison nous n'avions pas d'aspirine.. Et il m'a donné ce conseil : dans chaque foyer , il doit y avoir un tube d'aspirine , soit de dose normale soit de 81 mg , spécialement dans les foyers qui comptent des personnes de plus de 60 ans .

 

Bien sûr , ces aspirines doivent être disponibles pour que ,  au cas où cette douleur dans la poitrine se manifeste vous puissiez les prendre sans perdre de temps.  Grâce à Dieu, les infarctus que j'ai eus n'étaient pas graves , mais le niveau d'enzymes que j'avais était tel que j'aurais pu perdre la vie si je n'étais pas arrivé à temps à l'hôpital. 
 

 

PAR CONSÉQUENT ... si vous n'avez pas d'aspirine à la maison, achetez un tube et gardez-le dans un endroit accessible . Dieu sait si cela peut faire la différence entre la vie et la mort. 
 

 

Notez : qu' il existe  d' autres symptômes d' attaque cardiaque suivis  ensuite d' une douleur dans le bras gauche. Vous devez aussi prêter attention à une douleur intense dans la mâchoire  inférieure, des nausées et sueurs abondantes car ce ne sont pas non plus des symptômes communs.
 

 

Détail :  Durant une crise cardiaque , au début vous pouvez ne pas ressentir de douleur dans la poitrine. 60% des personnes qui ont eu une crise cardiaque pendant qu'elles dormaient , ne se sont plus relevées. Cependant , une douleur dans la poitrine peut vous réveiller d'un sommeil profond . S' il en était ainsi, faites fondre immédiatement 2 aspirines dans la bouche et avalez-les avec un peu d' eau. Appelez tout de suite le SAMU, la Police ou les Pompiers en disant "crise cardiaque " et en informant que vous avez pris 2 aspirines . Asseyez-vous sur une chaise  ou un fauteuil et attendez l' arrivée des secours . 
 

 

  Un cardiologue a affirmé que si chaque personne qui reçoit ce message en informait 10 autres, assurément une vie serait sauvée.

 

 

 

Collectif Hypertension1. A LA UNE : Pour un accès aux soins pour tous !

Membre du Collectif Hypertension, RéSo a participé aux actions de mobilisation du collectif pour dénoncer les nouvelles mesures de baisse du taux de remboursement de près de 200 médicaments et souligner, après le scandale du Médiator, le poids croissant des lobbys pharmaceutiques au sein même des autorités sanitaires


- une distribution de fausses boîtes de médicaments, trois jours avant Noël, devant l'Assemblée Nationale, pour interpeller les députés

Voir la vidéo de l'action


- une distribution de coupons de réduction « Grâce au Gouvernement, de -30% à -45% sur ma santé » devant les grands magasins parisiens, la veille de l'ouverture des soldes.

Soutenir le Collectif Hypertension 

 

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14 janvier 2011 5 14 /01 /janvier /2011 07:58

Médiator, le fiasco général qui en cache d'autres

 

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Article publié le 17 novembre 2010

On le dit haut et fort avec une dramaturgie imbécile. Xavier Bertrand doit s’emparer du sujet… 500 morts en 30 ans et le courage des lâches revient au galop. On entend l’Afssaps pérorer une fois de plus pour faire le compte des morts… Il y avait donc un problème depuis 1976… Bel effet tragique. En fait, tout ce développement met en lumière des incompétences partagées par des compromis et des alliances financières.

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Médiator, le fiasco général qui en cache d'autres

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Alors que la presse veut montrer du doigt un dossier bien choisi par un état peu enclin à respecter le sort des patients, il faut prendre le sujet d’une manière plus originale et scientifique. Comment se fait il que le sujet émerge seulement à ce jour. De 1976 à 2010, Mediator a été largement commercialisé, remboursé par la Sécurité Sociale sur la base des impôts de chacun. Cela donnerait 500 morts officiels… j’imagine qu’il y a en a beaucoup plus mais la statistique d’état est toujours une base assez burlesque, revue et corrigée à l’extrême. Le choix d’un produit d’un laboratoire secondaire est aussi à mettre en lumière. Le laboratoire Servier n’a pas l’aspect tentaculaire de Sanofi-Aventis, de Glaxo ou d’autres magnas pharmaceutiques. Il est donc plus facile de jouer les surpris contre une structure dont le lobbying n’est plus ce qu’il était notamment à la sortie de Médiator.

Autre point que la presse ne saura pas chercher… Qui sont les experts qui ont fermé les yeux sur ces morts, ces incapacités à vie ? A- t- on leur déclaration d’intérêt ? J’imagine que le panel de cardiologues et de diabétologues doit être important. Faut-il rappeler alors que l’Afssaps a été dirigé pendant des années au niveau stratégique et dispositif AMM par un diabétologue et ancien représentant du syndicat de l’Industrie Pharmaceutique (Leem ou SNIP). Ceci est un autre point qui sera peu étudié par les journalistes qui se fieront à l’autorité désarticulé d’un Xavier Bertrand qui essaie de faire oublier ses petites lâchetés, lui qui avait fait l’impasse sur le ministère du travail pendant la réforme des retraites… lui qui trouve du courage contre un médicament moribond est assez amusant. La presse n’ira pas jusque là, mais il fallait soulever l’idée.

Plus prêt de nous. Faut-il analyser la communication médicale ciblant le syndrome métabolique comme le défi d’aujourd’hui… Les poignées d’amour devenant l’ennemi à abattre, le diabète étant l’enjeu de santé publique alors que les barres chocolatées pullulent aux rayons à de prix festifs, alors que même le jambon d’Yorke voit dans sa composition un pourcentage de « jus de sucre »… C’est à ce niveau qu’on voit des entreprises « racailles » qui poussent la population vers la malbouffe à la grande joie de leur actionnaires mais qui n’assurent pas l’après vente social lorsqu’il s’agit de soigner les délires des concepteurs alimentaire. Heureusement, l’entreprenariat sait trouver des marchés en travaillant de concert avec la big-pharma pour que la sécurité sociale rembourse des médicaments contre l’obésité, le diabète créés par des campagnes publicitaires de géant de la nourriture « hyper-riche ».

Plus loin encore, saisissons l’éthique de l’expertise et le fonctionnement des agences françaises voire européennes. Il est curieux de voir qu’aujourd’hui dans les structures de santé on se coordonne autour de plan de gestion du risque. La symbolique de ceci est très importante car on met désormais des médicaments sur le marché et chaque année on se réunit pour voir si des soucis sont intervenus. Là, les firmes promettent de sortir des statistiques et puis on voit des chiffres. Si on creuse un peu, certains verront que des biais dans les choix des échantillons humains servent à cacher les effets morbides ou invalidants d’un produit qu’il faut rentabiliser. On va loin pour pousser le plaisir des actionnaires en bout de chaine. Ainsi, n’oublions pas que certains produits comme l’Acomplia eu des bénéfices lourds avant de vivre un retrait d’urgence (surtout aux USA) ou des démarches de compromis pour un second produit (Avendia, il me semble). Là, encore des études d’expert très firmes sont venues heurtés des avis d’une expertise indépendante… pour éviter des retraits… évidemment les produits sont évacués pour absence d’efficacité juste avant de les voir tomber dans le domaine public…

Sordides histoires que Xavier Bertrand n’abordera pas. Car les lâches ne savent que pérorer sur les boulevards de la pensée. Lorsqu’il s’agit de poser des vérités et des réalités, là ces politiques qui n’ont rien vu et entendus sont aux abonnés absents. Oui, on aurait préféré que Roselyne Bachelot se saisisse de Médiator et d’autres produits litigieux mais elle a montré son penchant en soutenant hier Eric Woerth et des expertises "biaisées" lors de la ridicule pandémie de 2009.

En conclusion, Médiator est l’arbre désolant qui cache une forêt de petits arrangements fétides dont on n’évoquera rien. Dommage que nos éthiciens et experts trouvent leur courage qu’au bout de 20 ans. Dommage que les agences soient devenues des structures vides de sens.

 

(C'était un Billet d’humeur sans importance)

 

Source image : http://www.leparisien.fr

http://www.naturavox.fr/sante/article/mediator-le-fiasco-general-qui-en
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13 janvier 2011 4 13 /01 /janvier /2011 05:33
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13 janvier 2011 4 13 /01 /janvier /2011 05:07

http://www.decitre.fr/livres/Notre-poison-quotidien.aspx/9782707157706

Marie-Monique Robin - Notre poison quotidien

 


J'ai le plaisir de vous informer que mon film "Notre poison quotidien "sera diffusé le 15 mars sur ARTE, à 20 heures 40.

Le même jour mon livre éponyme sera dans les librairies ainsi que le DVD.

Je commence aujourd'hui une série de papiers qui vont expliquer la démarche que j'ai suivie pour réaliser cette longue enquête qui m'a conduite dans six pays européens (France, Italie, Allemagne, Suisse, Grande Bretagne, Danemark), aux Etats Unis, au Canada, au Chili, et en Inde.

 

 

Pourquoi cette enquête?


Alors que je travaillais sur le passé et le présent peu glorieux de Monsanto et que je découvrais comment depuis sa création au début du XXème siècle la firme n'a cessé de cacher la haute toxicité de ses produits, je me suis posé trois questions:

- Est-ce que le comportement de Monsanto constitue une exception dans l'histoire industrielle?

- Comment sont réglementés les 100 000 molécules chimiques qui ont envahi notre environnement depuis la fin de la seconde guere mondiale?

- Y-a-t il un lien entre l'exposition à ces produits chimiques et "l'épidémie de maladies chroniques évitables" que l'Organisation mondiale de la santé (OMS) a constatée surtout dans les pays dits "développés" ( les termes que j'ai mis entre guillemets sont ceux utilisés par l'OMS)?

 

Consciente que le champ d'investigation était très vaste, j'ai décidé de ne m'intéresser qu'aux seuls produits chimiques qui entrent en contact avec notre chaîne alimentaire du champ du paysan (pesticides) à l'assiette du consommateur (additifs et plastiques alimentaires).

 

Avant d'entreprendre mon nouveau tour du monde, j'ai réalisé un long travail de recherche préparatoire qui a consisté à lire de nombreux livres (une centaine, essentiellement anglophones), rapports, études scientifiques et j'ai rencontré des experts (toxicologues, biologistes, représentants des agences de réglementation) , soit directement lors de rendez-vous personnels ou lors de colloques spécialisés. J'ai aussi consulté les archives d'organisations internationales comme l'OMS ou le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) qui dépend de la première

 

Le message ci-dessous est diffuse par la realisatrice Monique Robin en promotion de son dernier film-enquete "Notre poison quotidien".

http://robin.blog.arte.tv/category/notre-poison-quotidien/

 

 

Paracelse: “la dose fait le poison”
Samedi 8 janvier 2011

Je profite de la remarque très éclairée de "La coupe est pleine" pour livrer un premier extrait de mon livre Notre poison quotidien, qui sera en librairie le 7 mars prochain. Dans cet ouvrage de plus de 400 pages, j'explique notamment le rôle joué par Paracelse dans le système d'évaluation des poisons chimiques qui contaminent notre alimentation.

En effet, le médecin suisse du  XVI ème siècle qui est cité à toutes les sauces, est l'auteur d'une phrase, qui constitue le dogme central de l"idéologie de la dose journalière acceptable", pour reprendre les termes de René Truhaut, considéré comme  l'" initiateur de la DJA" (voir mon commentaire précédent "Pourquoi ce titre?): « Rien n'est poison, tout est poison: seule la dose fait le poison. »

Voici donc ce que j'écris dans mon livre:

 

 

EXTRAIT


Né Philippus Theophrastus Aureolus Bombastus von Hohenheim, celui qui est entré dans l’histoire sous le nom de « Paracelse » était un alchimiste, astrologue et médecin suisse, à la fois rebelle et mystique, qui a dû maintes fois se remuer dans sa tombe,  en voyant comment les toxicologues du XX ème siècle ont abusé de son nom pour justifier la vente massive de poisons. Parmi les coups de gueule légendaires du « médecin maudit » [1] , l’un mérite d’être médité par tous ceux qui sont chargés de la protection de notre santé :  « Qui donc ignore que la plupart des médecins de notre temps ont failli à leur mission de la manière la plus honteuse, en faisant courir les plus grands risques à leurs malades ? » [2] , s’emporte le professeur de médecine,  alors qu’il vient de brûler les manuels classiques de sa discipline devant l’ Université de Bâle , ce qui, on  s’en doute, lui  valut quelques solides inimitiés.

«  Allergique à tout argument d’autorité » [3] - chose que semblent aussi avoir oublié ceux qui appliquent les yeux fermés le principe qui porte son nom – Paracelse est à la fois considéré comme le père de l’homéopathie et de la toxicologie, deux disciplines  qui, aujourd’hui, ne s’apprécient guère. La première revendique l’une de ses phrases les plus célèbres, dont s’est d’ailleurs aussi inspiré Pasteur, lorsqu’il inventa le premier vaccin : « Ce qui guérit l'homme peut également le blesser et ce qui l'a blessé peut le guérir. » La seconde en préfère une autre, somme toute complémentaire : « Rien n'est poison, tout est poison: seule la dose fait le poison. »[4]

L’idée que « la dose fait le poison » remonte à l’Antiquité. Dans leur livre Environnement et santé publique, Michel Gérin et ses coauteurs rapportent que « le roi Mithridate consommait régulièrement des décoctions contenant plusieurs dizaines de poisons afin de se protéger d’un attentat de ses ennemis. Il aurait si bien réussi que , fait prisonnier, il échoua dans sa tentative de se suicider à l’aide de poison ». [5] C’est au Grec que l’on doit le mot « mithridatisation » qui désigne « l’accoutumance ou l’immunité acquise à l’égard de poisons par exposition à des doses croissantes ».

S’appuyant sur ses propres observations, Paracelse considère que des substances toxiques peuvent être bénéfiques à petites doses, et qu’inversement une substance a priori inoffensive comme l’eau peut s’avérer mortelle si elle est ingérée en trop grande quantité.

Nous verrons ultérieurement que le principe de la « dose fait le poison », - dogme intangible de l’évaluation toxicologique des poisons modernes -,  n’ est pas valide pour de nombreuses  substances, dont celles qu'on appelle "les perturbateurs endocriniens" et qu'il est souvent complètement inopérant , car il ignore la multiplicité des poisons auxquels nous sommes quotidiennement exposés, lesquels peuvent interagir ou s'additionner, en vertu de "l'effet cocktail".  Mais nous n’en sommes pas encore là…

 

 

FIN DE L'EXTRAIT

 

 

En prime: une photo prise dans "les sous-sols " de l'OMS où sont conservées toutes les études fournies par l'industrie pour que les experts puissent établir la fameuse Dose journalière acceptable et les Limites maximales de résidus des poisons utilisés dans l'agriculture.

 



[1] René Allendy, Paracelse. Le médecin maudit, Dervy-Livres, 1987.

[2] Paracelsus, Liber paragraphorum, in Sämtliche Werke, Editions K. Sudhoff , t. IV, p. 1-4 .

[3] Andrée Mathieu , Le 500e anniversaire de Paracelse, L'Agora, vol. 1, no 4, décembre 1993/janvier 1994.

[4] Rebelle invétéré, Paracelse n’écrivait pas en latin, mais en allemand. Pour les germanistes, la phrase originale est : « Alle Ding sind Gift, und nichts ohn Gift; allein die Dosis macht, das ein Ding kein Gift ist ». Mot à mot : tout est poison et rien n’est sans poison. Seule la dose fait qu’une chose n’est pas un poison.

[5] Michel Gérin, Pierre Gosselin, Sylvaine Cordier, Claude Viau, Philippe Quénel, Eric Dewailly, Environnement et santé publique. Fondements et pratiques, , Edisem Inc, 2003, p.120. À noter que l’on soupçonne que les poisons utilisés par le malheureux roi, qui sera finalement tué par un mercenaire, d’avoir été éventrés…

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Comme promis, je voudrais expliquer comment le titre de mon livre et film  Notre poison quotidien a été choisi.

Au cœur de ma nouvelle enquête , il y a une question fondamentale : comment les produits chimiques qui contaminent notre chaîne alimentaire sont-ils testés, évalués, puis réglementés ?

Pour pouvoir répondre à cette question, qui concerne exclusivement les pesticides, les additifs et plastiques alimentaires (et donc pas les autres polluants environnementaux, comme les radiations nucléaires ou les ondes magnétiques), je me suis intéressée à l’histoire des produits concernés.

C’est ainsi que j’ai découvert que les « produits phytosanitaires », selon le terme euphémisant utilisé par l’industrie et les pouvoirs publics, sont des dérivés des gaz de combat mis au point par un  chimiste allemand du nom de Fritz Haber pendant la première guerre mondiale.

 

 

Ses travaux sur les gaz chlorés ont ouvert la voie à la production industrielle d’insecticides de synthèse, dont le plus célèbre est le DTT, qui fait partie de la vaste famille des organochlorés. Suivront les organophosphorés, dont le développement dans l’entre-deux guerres est directement lié à la recherche sur de nouveaux gaz de combat, qui finalement ne seront jamais utilisés à des fins militaires., mais seront recyclés dans l’agriculture chimique.

Comme le souligne un film institutionnel du ministère de la santé américain du début des années 1960, que j’ai utilisé dans mon film, les pesticides sont bel et bien des « poisons », car ils ont été conçus pour tuer. La grande famille des pesticides est d’ailleurs identifiable par le suffixe commun « - cide », - du latin caedo, cadere , « tuer » - car d’après leur étymologie, les pesticides sont des tueurs de « pestes », du latin « pestis » qui désigne  des fléaux ou calamités  : les adventices, ou « mauvaises herbes » (herbicides), les insectes (insecticides), les champignons (fongicides), les escargots et autres limaces (mollusticides), les vers (nématicides), les rongeurs (rodenticides), ou les corbeaux (corvicides).

C’est précisément parce qu’ils sont hautement toxiques et nocifs pour la santé de ceux qui y sont exposés (les agriculteurs, mais aussi les consommateurs) que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et la Food and Agriculture Organization (FAO) ont inventé un système qui permet d’évaluer la toxicité des pesticides (mais aussi des additifs et plastiques alimentaires-), dont le pilier s’appelle la « Dose Journalière Acceptable » (DJA). Certains emploient l'expression "Dose journalière admissible" mais je préfère utiliser celle qu'a proposée René Truhaut, un toxicologue français, considéré comme le "père de la DJA", dans les (rares) articles qu'il a consacrés à son "invention".

 

 

Ce concept, dont j’ai reconstitué l’origine grâce à mes recherches dans les archives de l’OMS , à Genève (voir photos ci-dessous) désigne « la quantité de substance chimique que l’on peut ingérer quotidiennement et pendant toute une vie sans qu’il n’y ait d’effet sur la santé ».

En termes clairs : c’est la quantité de poison que nous sommes censés pouvoir ingérer quotidiennement, car si ladite substance n’était pas un poison, il n’y aurait pas besoin d’inventer une DJA!

Voilà pourquoi , avec ARTE et La Découverte, j’ai décidé d’appeler mon film et livre Notre poison quotidien, car je montre comment notre nourriture est quotidiennement contaminée par de petites quantités de poisons divers et variés.

Le titre est aussi un clin d’œil à la référence des Evangiles que tout le monde connaît: "Notre pain quotidien".

 

Les photos ci-dessous ont été prises par Marc Duployer, l'ingénieur du son de mon film,  à l'OMS.


»

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Mercredi 29 décembre 2010

J'ai le plaisir de vous informer que mon film "Notre poison quotidien "sera diffusé le 15 mars sur ARTE, à 20 heures 40.

Le même jour mon livre éponyme sera dans les librairies ainsi que le DVD.

Je commence aujourd'hui une série de papiers qui vont expliquer la démarche que j'ai suivie pour réaliser cette longue enquête qui m'a conduite dans six pays européens (France, Italie, Allemagne, Suisse, Grande Bretagne, Danemark), aux Etats Unis, au Canada, au Chili, et en Inde.

Pourquoi cette enquête?

Alors que je travaillais sur le passé et le présent peu glorieux de Monsanto et que je découvrais comment depuis sa création au début du XXème siècle la firme n'a cessé de cacher la haute toxicité de ses produits, je me suis posé trois questions:

- Est-ce que le comportement de Monsanto constitue une exception dans l'histoire industrielle?

- Comment sont réglementés les 100 000 molécules chimiques qui ont envahi notre environnement depuis la fin de la seconde guere mondiale?

- Y-a-t il un lien entre l'exposition à ces produits chimiques et "l'épidémie de maladies chroniques évitables" que l'Organisation mondiale de la santé (OMS) a constatée surtout dans les pays dits "développés" ( les termes que j'ai mis entre guillemets sont ceux utilisés par l'OMS)?

Consciente que le champ d'investigation était très vaste, j'ai décidé de ne m'intéresser qu'aux seuls produits chimiques qui entrent en contact avec notre chaîne alimentaire du champ du paysan (pesticides) à l'assiette du consommateur (additifs et plastiques alimentaires).

Avant d'entreprendre mon nouveau tour du monde, j'ai réalisé un long travail de recherche préparatoire qui a consisté à lire de nombreux livres (une centaine, essentiellement anglophones), rapports, études scientifiques et j'ai rencontré des experts (toxicologues, biologistes, représentants des agences de réglementation) , soit directement lors de rendez-vous personnels ou lors de colloques spécialisés. J'ai aussi consulté les archives d'organisations internationales comme l'OMS ou le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) qui dépend de la première.

Prochain papier: pourquoi ce titre?

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12 janvier 2011 3 12 /01 /janvier /2011 09:48
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Mondialisation.ca, Le 19 novembre 2010


 

L’ère du micro-puçage pharmaceutique est maintenant devant nous. Novartis AG, l’une des plus importantes sociétés pharmaceutiques dans le monde, a dévoilé un projet afin de commencer à implanter des micro-puces dans des médicaments dans le but de créer une technologie de « pilule intelligente ».

La technologie de micro-puçage est brevetée par Proteus Biomedical à Redwood City, Californie. Une fois activée par l’acide de l’estomac, la micro-puce intégrée commence à détecter son environnement et à émettre des données à un récepteur utilisé par le patient. Ce récepteur est également un émetteur qui peut envoyer les données par Internet à un médecin.

L’idée derrière tout cela est de créer des « pilules intelligentes » qui peuvent détecter ce qu’il se passe dans le corps et délivrer cette information au médecin du patient. Novartis prévoit de commencer à micro-pucer ses médicaments anti rejet de transplantation d’organe et puis potentiellement étendre le micro-puçage à d’autres produits de sa gamme pharmaceutique. Cette même technologie pourrait également bientôt se retrouver dans des pilules fabriquées par d’autres sociétés pharmaceutiques.

Les meilleurs programmes mis en avant…

En surface, tout cela paraît bien, mais les lecteurs de NaturalNews (site original de l’article) ont certainement tout un tas de questions sceptiques à propos de cette technologie. Pour commencer, Novartis ne prévoit apparemment pas de réaliser des essais cliniques qui pourraient prendre en compte les problèmes de sécurité liés à l’ingestion de micro-puces. « Novartis ne s’attend pas à devoir conduire des essais cliniques approfondis afin de prouver que les nouveaux produits fonctionnent », rapporte Reuters. « A la place, son but est de réaliser de soi-disant tests de bio-équivalence afin de montrer que ce sont les mêmes que les originaux. » (http://www.reuters.com/article/idUSTRE6A754720101108)

Mais j’ai une question : quels produits chimiques ou quels métaux lourds sont-ils présents dans la micro-puce elle-même ? Une micro-puce qui transmet des données doit évidemment posséder une source d’énergie, ce qui signifie qu’elle doit avoir une très petite batterie ou un genre de condensateur. Les matériaux utilisés dans les condensateurs et les batteries, à ma connaissance, sont toxiques pour le corps humain et ne devraient jamais être avalés.

Les micro-puces ne sont pas de la nourriture et le fait de les avaler semble dangereux pour votre santé, particulièrement si vous ingérez plusieurs micro-puces par jour.

La confidentialité des données

Un autre problème important soulevé par les micro-puces qui transmettent des données concerne leur confidentialité. Si ces micro-puces émettent de l’information, alors cette information peut évidemment être collecté par tout ce qui se trouve à proximité, y compris éventuellement par des individus peu scrupuleux ou des organisations qui pourraient en faire une mauvaise utilisation.

Par exemple, supposons qu’une pharmacie locale installe un détecteur de signal de micro-puce dans leur porte d’entrée principale dans le but de suivre les gens qui émettent des données de « médication ». Ils pourraient alors théoriquement décoder cette donnée et l’utiliser afin de déterminer quelle maladie affecte le client, et puis vendre des produits pharmaceutiques génériques faisant office de substitution.

Des agents gouvernementaux pourraient être équipés de « scanners à micro-puce pharmaceutique » qui déterminent quelles pilules vous prenez en ce moment. Ceci pourrait être utilisé afin de violer votre vie privée en partageant cette information avec d’autres agences gouvernementales ou même en la vendant à un tiers, comme des sociétés de marketing.

Je doute clairement du fait que les données transmises par ces micro-puces dans ces pilules seront codées car le cryptage nécessite une véritable puissance de traitement, et dans ces toutes petites micro-puces, il n’y a pas vraiment de place pour une unité de traitement ou une source d’énergie. Très probablement, elles vont transmettre des signaux bruts, non traités, qui peuvent être détectés et décodés plutôt facilement.

Souvenez-vous de prendre vos médicaments

Mais la partie la plus effrayante à propos de ces micro-puces médicales est le fait que cette technologie sera utilisée afin de s’assurer que les gens prennent bien leur traitement. Les compagnies pharamaceutiques perdent des milliards de dollars par an (d’après elles) à cause des patients qui oublient de prendre leurs pilules. Bien entendu, l’une des raisons pour lesquelles ils oublient de prendre leurs pilules est qu’une grande partie des produits pharmaceutiques provoquent des dégâts aux fonctions cognitives, mais cela est ici hors-sujet.

Cette technologie de pilule micro-puce intelligente va donc probablement être utilisée pour traquer les pilules que les patients auront prises afin qu’il leur soit « gentiment rappelé » de prendre les éventuelles pilules qu’ils auraient oubliés de prendre. Dans le domaine du marketing, cela s’appelle un « programme de continuité ». C’est un moyen destiné à s’assurer que des ventes répétitives se produisent de façon régulière.

Dans ce contexte, le micro-puçage des pilules profite aux compagnies pharmaceutiques, mais pas nécessairement aux patients. C’est particulièrement vrai lorsque l’on considère ces produits pharmaceutiques qui sont nocifs pour la santé humaine – et nous savons tous que le marché pharmaceutique est rempli de pilules dont on a plus tard découvert qu’elles étaient extrêmement dangereuses voire mortelles (quelqu’un se rappelle-t-il du Vioxx ?).

Le futur : les scanners à médicaments de la police et les scanners à médicaments des employeurs

Maintenant, il y a peut-être un effet secondaire intéressant à propos de tout cela : les employeurs qui réalisent des entretiens pour des candidats à un travail potentiel pourraient être capable d’acheter (ou de fabriquer) un simple scanner à médicaments qui détecte la présence d’un signal de transmission d’une micro-puce pharmaceutique.

Ceci pourrait être très utile pour des employeurs qui ne souhaitent pas engager des personnes sous traitement. Ils vous invitent pour un entretien et scannent discrètement à la recherche de données de transmission médicales. Une lumière rouge les prévient lorsque vous émettez des données médicales, et ils vous disent calmement que l’entretien est terminé et « nous vous recontacterons ».

Les employeurs sont en ce moment dépassés par les coûts de l’assurance maladie. Cela pourrait fournir une méthode simple et facile pour les entreprises afin qu’elles évitent de recruter quelqu’un susceptible d’être un fardeau pour leurs programmes d’assurance maladie (d’après leurs opinions). Je ne suis pas nécessairement d’accord avec cette utilisation de cette technologie; Je dis juste que c’est une méthode qui sera probablement utilisée par les employeurs afin d’acarter les employés qui sont sous traitement.

Les policiers pourraient également utiliser un scanner similaire afin de déterminer si un conducteur sur une scène d’accident pourrait être affecté par des médicaments. Voilà une utilisation que je cautionne. Les routes d’aujourd’hui sont remplies de conducteurs affaiblis mentalement qui sont littéralement drogués aux médicaments. A propos, le problème est en fait bien plus grave que des conducteurs ivres, et pourtant jusqu’à présent rien n’est fait afin de combattre ce problème de « conducteurs sous médicaments » (la plupart des personnes ne savent même pas que ce problème existe).

Si les personnes qui prennent des médicaments émettent ces informations par l’intermédiaire de toutes les micro-puces qu’elles avalent, dans ce cas, analyser la présence de médicaments est simple. C’est même encore plus simple qu’un alcootest car cela ne nécessite aucune action de la part du sujet test. Le policier appuie simplement sur un bouton, patiente deux secondes, et peut alors déterminer si vous émettez des données médicales. Jusque là, vous pourriez être arrêté en étant suspecté de « conduite sous traitement ».

Une autre raison de ne pas prendre de médicaments

Il y a bien évidemment une tonne de questions sans réponses et même des risques potentiels quant à l’ingestion de produits pharmaceutiques à micro-puces. Pour certaines personnes, les problèmes de vie privée sont les plus importants de tous, car évidemment, qui souhaite émettre des données sur le fait qu’il prend des médicaments ?

Je ne prends pas de produits pharmaceutiques, évidemment, et la plupart des lecteurs de NaturalNews les évitent également. Le fait que les médicaments seront bientôt micro-pucés est encore une fois une bonne raison de trouver une façon plus holistique de prendre soin de notre santé. Ne misez pas votre vie (et votre vie privée) sur les pilules de l’industrie pharmaceutique. Optez pour un mode de vie holistique et sain basé sur des aliments biologiques, nutritifs, de l’exercice régulier et le refus de tous les produits chimiques (synthétiques) d’origine humaine, et vous n’aurez probablement jamais besoin de produits pharmaceutiques durant votre vie entière.

L’ère du micro-puçage des peuples et du micro-puçage des médicaments se trouve devant nous. Etant donné ce que fait l’agence nationale Américaine de sécurité dans les transports (TSA) avec les scanners corporels (http://www.naturalnews.com/030100_naked_body_scanners_airport.html), vous pouvez clairement imaginer ce que Big Brother fera avec vos données médicales que vous pourriez émettre depuis l’intérieur de votre corps.

En fait, l’idée même d’avoir une micro-puce qui émet des données depuis l’intérieur de votre corps pourrait vous faire signaler comme terroriste potentiel par la TSA, qui pourra alors procéder à une fouille des parties génitales et à une pression de la poitrine dans le cadre de leur nouvelle technique incertaine de « fouille approfondie »

(http://www.naturalnews.com/030302_TSA_naked_body_scanners.html).

La meilleure façon d’éviter tout cela est de simplement manger vos légumes et boire vos nutraceutiques (superfood). Ne devenez pas un sujet traçable et micro-pucé de l’industrie médicale qui souhaite transformer votre corps en un centre de profit par produits chimiques.

Texte original en anglais : http://www.naturalnews.com/030341_microchips_drugs.html

Titre original en français:L’industrie pharmaceutique va commencer à insérer des micro-puces dans des médicaments

Traduction : la-matrice pour Conspipedia, http://noxmail.us/Syl20Jonathan/?p=13218 

Pour aller plus loin :

Les "labos" veulent entrer au domicile des patients. C'est Kodak qui a inventé la micropuce à avaler http://micro.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-kodak-invente-la-puce-rfid-a-avaler-433.html 

 Les laboratoires pharmaceutiques revendiquent le droit d'entrer au domicile des patients pour surveiller la prise de leurs "traitements" http://www.lemonde.fr/old-societe/article/2006/12/25/les-labos-veulent-entrer-au-domicile-des-patients_849190_3226.html#ens_id=824239   

et le nouveau projet de loi sur la psychiatrie en France prévoit un suivi contraignant des personnes qu'on aura décidé d placer sous médication, même en ambulatoire : http://www.jerpel.fr/spip.php?article306 

 

Source: http://www.mondialisation.ca

 

Url de cet article: http://www.internationalnews.fr/article-des-micro-puces-dans-les-medicaments--61610969.html

 

 

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