http://organichealthadviser.com/archives/polysorbate-80-in-swine-flu-vaccines-infertility-in-humans
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Dr Andrew MOULDEN, M.D.
Outre ses qualifications de médecin et de chercheur, le Dr Moulden a reçu pas moins de 27 prix/récompenses pour ses recherches cliniques et biomédicales, son enseignement et son excellence académique. Il est aussi le leader du parti canadien “Action”. Sa philosophie peut se résumer ainsi: “Il ne s'agit pas d'être meilleur que ses concitoyens, il s'agit d'aider ses concitoyens à devenir meilleurs”
Au moyen de technologies classiques et ultra modernes de diagnostic et d'imagerie médicale, le Dr Moulden , M.D., médecin, expert en psychiatrie, neuro-psychiatrie et neurologie comportementale, apporte les preuves en termes de physiologie et de clinique médicales que TOUTES les vaccinations provoquent directement ou de manière différée des troubles et des maladies aiguës ou chroniques, permanentes ou transitoires susceptibles de toucher tous les systèmes du corps. Le Dr Moulden a mis au point une nouvelle technologie en imagerie médicale pour mettre en évidence les troubles et dégâts neurologiques se produisant après les vaccinations. Grâce à cette technologie il est possible de mettre en valeur et de démontrer sur clichés et vidéos prises 30 secondes avant et 30 secondes après une vaccination ce qui se produit dans différents tissus du corps. « Nous avons en quelque sorte, explique le Dr Moulden, mis au point une sorte de télescope Hubble avec nos examens neurologiques et microbiologiques. »
« Il s'agit probablement de la découverte la plus importante qui ait jamais été réalisée au cours de toute l'histoire de la médecine si l'on considère l'énorme épidémie silencieuse que nous avons créée avec ces vaccinations « passe-partout » qui constituent l'acte le plus odieux qui ait jamais été perpétré au cours de l'histoire, et que nous avons fait pour le profit. »
« Nous avons aujourd'hui la solution à un problème qui se pose à une échelle planétaire. Les dégâts occasionnés aux tissus sont en fait le résultat d'une circulation sanguine perturbée, de dépôts qui s'accumulent dans le système capillaire microscopique, autrement dit d'attaques micro-vasculaires. Ces attaques sont essentiellement provoquées par un manque d'oxygène dans les tissus. Aujourd'hui nous pouvons mesurer, scanner ce phénomène qui a toujours existé, mais qu'aujourd'hui tout un chacun peut facilement observer par lui-même. »
Le Dr Moulden explique que les vaccins provoquent une hyper-réactivité du système immunitaire au cours de laquelle les leucocytes se précipitent pour attaquer les produits étrangers injectés dans le flux sanguin. Etant donné le fait que ces derniers sont trop gros pour pénétrer les très fins capillaires où se logent les produits étrangers, les leucocytes finissent par obstruer, bloquer et délabrer ces capillaires. La route est donc coupée pour les globules rouges plus petits qui doivent apporter l'oxygène aux différents organes voisins des capillaires encombrés par des substances étrangères. Ces particules qui atteignent le cerveau, perturbant ou empêchant la circulation du sang, peuvent provoquer l'autisme, la mort subite du nourrisson ou de nombreuses autres maladies de l'enfant ou de l'adulte. Exactement comme il en va de l'attaque cardiaque, il est aussi possible de faire une attaque cérébrale, des problèmes de foie, des reins, chaque fois que les tissus sont carencés en oxygène.
«Il s'agit ici d'une découverte majeure.»
Quant aux éléments étrangers présents dans le sang et les tissus, le système immunitaire continuera à les combattre et finira par entraîner des maladies chroniques. Différents organes peuvent être affectés en fonction des endroits où iront se loger les particules étrangères. On parlera de différents symptômes ou maladies, mais les causes fondamentales seront toujours les mêmes. Elles ont toujours été ignorées jusqu'à ces dernières découvertes.
La cause principale de tous ces problèmes est à rechercher dans les additifs des vaccins. Le but recherché par l'utilisation de ces additifs est d'engendrer une réponse plus rapide des leucocytes. Et cela marche à merveille- les leucocytes se précipitent vers les régions où des matières étrangères ont été introduites- c'est en fait là que se trouve l'origine des problèmes.
Les leucocytes bloquent et délabrent les capillaires en tentant de détruire ces matières étrangères.
« Avec une politique de profit à tous crins, nous avons ruiné la santé d'une génération d'enfants, ainsi que les espoirs et les rêves :
- d'1 enfant sur 87 (autisme) ,
- 15% d'enfants atteintes de troubles de l'attention,
- 1 enfant sur 6 souffrant de troubles de l'apprentissage,
- 1 enfant sur 9 souffrant d'asthme,
- 1 enfant sur 50 souffrant de diabète insulino-dépendant,
- 1-2% d'enfants décédés (mort subite du nourrisson),
- 250.000 vétérans de la guerre du golfe atteints de maladies chroniques avec 40.000 décès (même parmi les soldats qui n'ont pas quitté le pays.)
Et aujourd'hui le monde se prépare à subir la loi martiale sur le plan médical, ainsi qu'un programme de vaccinations pour la grippe porcine/aviaire ou autre hybride de la grippe espagnole/aviaire…Nous nous sommes nous-mêmes mis dans le pétrin et nous nous sommes nous-mêmes coincés dans cette crise mondiale de maladies infectieuses. Certains vont mourir de maladies infectieuses, d'autres mourront des vaccinations ou souffriront de quantités d'autres troubles chroniques mal définis dus aussi aux vaccinations.
L'addition d'adjuvants aux vaccins (aluminium, squalène, liposomes…) pour stimuler et prolonger la réponse immunitaire représente la chose la plus terrible que l'homme ait jamais perpétré contre lui-même et ses semblables tout au cours de l'histoire, et ce pour le profit.
« Tous ceux pour lesquels j'évoque les diagnostics en leur montrant clichés et vidéos s'effondrent et ne peuvent souvent retenir leurs larmes ! »
“TOUS LES VACCINS SONT SUSCEPTIBLES DE CAUSER LES MÊMES DOMMAGES ISCHEMIQUES (= obstruction d'ordre vasculaire) ET L'AUTISME!”
Images publiées avec l'aimable autorisation du Dr Moulden.
Les découvertes du Dr Moulden ont été confirmées par des centaines de médecins et experts médicaux indépendants du monde entier, mais l'ordre des médecins et les politiciens refusent de les reconnaître et de faire des recherches.
« Je me réjouis, déclare le Dr Moulden, de partager mes découvertes avec le public, les autorités de santé publique, de pouvoir venir en aide aux parents, de soigner les enfants, de pouvoir prodiguer un enseignement aux professionnels de santé, d'apporter à la justice un nouvel éclairage basé sur des preuves médicales irréfutables… La terre n'est désormais plus plate ! »
Aujourd'hui, conclut le Dr Moulden, les juges, les juristes, Monsieur et Madame tout le monde, plus personne ne peut plus nier les preuves apportées par ces expertises médico-légales…
Le monde ne pourra bientôt plus se boucher les yeux et les oreilles face aux preuves médico-légales.
“Ceux qui ne voudront pas ouvrir les yeux pourront toujours affirmer qu'une seule personne peut recevoir 10.000 vaccins (*), mais je crains que ces gens ne se retrouvent en prison quand le peuple se réveillera et prendra conscience de ce qu'ils ont fait pour pervertir la science.”
“J'ai été impressionné par vos idées novatrices en pathophysiologie de l'autisme. »
Dr Bernard Rimland, PhD
« Le Dr Moulden est un homme parfaitement intègre, un scientifique de haut niveau et je me réjouis de pouvoir toujours travailler avec lui. »
Barbara Loe Fisher, Présidente et fondatrice du NVIC
Notes et extraits (traduction) :
- Alan Gray, News Blaze : « Vaccines cause Micro-Vascular Strokes : Dr Andrew Moulden, Canadian Doctor.” http://newsblaze.com/story/20080927170755tsop.nb/topstory.html
- Joyce Riley interviews Dr Andrew Moulden, 7 oct. 2008
http://www.thepowerhour.com/news3/dr_andrew_moulden_transcript.htm
- Dr. A.J.A. Moulden: “Provinding opportunities & solutions to Canada's health care crises.”
- Cynthia A. Janak: The question “Do vaccines cause brain damage?” finally answered.
http://www.renewamerica.us/columns/janak/090527
- Jon Walker “Meeting puts spotlight on vaccination fears.”
http://www.argusleader.com/article/20090508/NEWS/905080334
VOIR AUSSI L'AVIS DU Dr R.CARLEY: “ Vaccines Cause All autoimmune Diseases, Cancer, Non-Traumatic Seizures” http://newsblaze.com/story/20081002161353zzzz.nb/topstory.html
Source:
http://ameliorermasante.com/2009/07/14/vaccination-les-decouvertes-du-dr-andrew-moulden/
Blog Conscience du peuple
http://www.dailymotion.com/video/xgcynd_9-vaccins-exiges-pour-entrer-en-creche-belgique_news
Allez bébé : une piqure pour papa, une piqure pour maman, une piqure pour big pharma, une piqure pour les politiciens aux ordres, une piqure pour la peur abrutissante, une piqure pour la dépopulation, une piqure pour
le nouvel ordre mondial rose bonbon dans un monde sans terrorisme et sans maladie, une piqure pour George Orwell et une piqure pour la nouvelle année 2011 !
source:
http://www.initiativecitoyenne.be/
http://www.objecteursdecroissance.be/com/mpOC_comPresse-Obligation-vaccinale_10dec2010.pdf
http://www.objecteursdecroissance.be/
http://forget.e-monsite.com/blog.html?tag=vaccination+obligatoire
Depuis quelques années, les antioxydants nous sont vendus comme un remède miracle, à la faveur d'une théorie largement admise dans les milieux biologico-médicaux. Sauf qu'un chercheur a eu l'idée de la tester, cette théorie. Et vlan...
Un beau jour, ou peut-être une nuit, Siegfried Hekimi et Wen Yang de l'Université McGill de Montréal ont eu l'étrange idée de tester la fameuse théorie (datant des années 50) selon laquelle les antioxydants aideraient à combattre les radicaux libres, poisons présumés accusés de favoriser (voire déclencher) le vieillissement cellulaire. Pour cela, les chercheurs ont martyrisé des kyrielles de Caenorhabditis elegans, ces vilains petits vers très appréciés des milieux scientifiques ; ses caractéristiques permettent depuis longtemps aux chercheurs d'étudier à moindre frais les mécanismes d'évolution cellulaire.
Les antioxydants prennent un coup de vieux ?
Dans un premier temps, les biologistes ont créé des vers mutants produisant plus de radicaux libres que la normale. La logique aurait voulu que ceux-ci tournent de l'oeil de façon prématurée. Las, les nématodes bouffis de radicaux libres ont vécu plus longtemps. Pire, l'administration d'antioxydants a réduit leur longévité de 40%... au lieu de l'augmenter ! Dans un second temps, les chercheurs ont nourri les vers au Paraquat, un violent herbicide (interdit dans l'UE) qui augmente la production de radicaux libres. Résultat : là encore, la durée de vie des asticots joyeusement désherbés s'est avérée supérieure de 60% à celle des nématodes nourris de façon traditionnelle.
Cette étude confirme les précédentes : en 2008, des chercheurs danois ont analysé les résultats de 68 études, impliquant 233 000 êtres humains, cette fois. Leur synthèse a alors montré que les compléments alimentaires antioxydants n’augmentaient en aucun cas l'espérance de vie. Certains, notamment le bêta-carotène, les vitamines A et E, semblaient même la réduire (mortalité en hausse de 4% à 16%).
Conclusion : si les radicaux libres augmentent effectivement avec l'âge, il se pourrait bien qu'ils constituent un mécanisme biologique destiné à combattre les dégâts accumulés par les cellules tout au long de leur vie. Mais cela reste à prouver. Et il vous faudra patienter encore un peu avant de vous jeter sur votre bidon de pesticides... Conseil d'ami.
(Article publié sur le site "Les mots ont un sens")
http://www.alterinfo.net/Les-antioxydants-fontaine-de-jouvence-Ou-pas_a53433.html
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Le Pr Even estime qu'un médicament sur deux n'est pas efficace. © MAXPPP
Selon le Pr Even, les médicaments pointés par la revue Prescrire doivent être retirés du marché.
"Je n'ai jamais vu la revue Prescrire se tromper." Alors que le journal spécialisé pointe du doigt trois nouveaux médicaments qu'il considère comme dangereux, le professeur Philippe Even, président de l’Institut Necker, a estimé mardi sur Europe 1 que de nombreux autres sont inefficaces.
Après le Mediator, c'est au tour du buflomedil, du nimésulide et de la vinflunine d'être sous les projecteurs. Pour le Pr Even, il n'y a aucun doute, "les deux premiers doivent être retirés du marché". Pire, "ils n'auraient jamais dû être mis sur le marché". "Ces médicaments sont un éclat de rire", renchérit le médecin.
Selon le Pr Even, des alertes ont dû être émises "dès la deuxième ou troisième année sur le marché", alors que ces médicaments sont disponibles depuis une vingtaine d'années. Mais "il est plus facile de mettre un médicament sur le marché" que de le retirer, regrette-t-il.
Concernant la vinflunine, un anti-cancéreux, le Pr Even est plus réservé. Dans le traitement des cancers, il existe peu de médicaments, et "parfois il faut prendre des risques", estime-t-il.
Sur les quelque 5.000 médicaments disponibles en France, le Pr Even estime que près de la moitié d'entre eux "ne sert à rien et n'est pas totalement dépourvue de complications". "Un quart [des médicaments] a une vraie utilité et un autre quart est vraiment indispensable", ajoute-t-il.
L'affaire du Mediator a servi de déclic à l'opinion et aux politiques estime enfin le médecin. Selon lui, la revue Prescrire a commencé à "larguer" trois noms de médicaments mais "il va y en avoir de nouveaux tous les mois".
http://www.europe1.fr/France/La-moitie-des-medicaments-ne-sert-a-rien-359815/
http://www.lesmotsontunsens.com/la-revue-prescrire-pointe-des-medicaments-a-retirer-du-marche-8809
http://french-revolution-2.blog.fr/2009/12/27/cancer-la-catastrophe-partie-3-les-causes-7640286/
Cancer en régression ?
A en croire les communiqués officiels, abondamment relayés par les grands médias, grâce - bien sûr - à l'efficacité des médications conventionnelles, le cancer serait en régression...
Paul Valéry faisait déjà observer que les statistiques sont, trop souvent, l'art du mensonge à son niveau le plus élevé...
Sur le site de CAP-LC, l'article, "Mortalité du cancer en baisse: réalité ou intox?" de Gilles Carat montre précisément comment l'on arrive à faire dire aux chiffres ce que la propagande à la solde des lobbies pharmaceutiques veut qu'ils disent...
Source: http://www.coordiap.com/tribune-libre-caplc-8990.htm
http://artdevivresain.over-blog.com/article-cancer-le-mensonge-statistique-63979906.html
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4 janvier 2011 09:41, - Site non référencé
Un chiffre en augmentation...
Bien qu’on ne puisse pas éliminer formellement une réelle augmentation de l’incidence de certains types de cancers, l’explication la plus probable est une amélioration de la méthodologie d’enregistrement, voire une amélioration des techniques diagnostiques pour les tumeurs cérébrales notamment.
http://sos-crise.over-blog.com/article-l-economie-de-partage-analyse-de-jacques-daudon-61763071-comments.html
(Extraits). Donner aux Français le pouvoir d'initier, lui aussi les lois ou de les désapprouver.
Est-ce déraisonnable ?
Nous avons les preuves flagrantes que tous les députés, sénateurs, conseillers régionaux et généraux, quelques rares exceptions cependant, ne répondent jamais à nos courriers pourtant primordiaux.
Ce n'est pas tolérable ! Des effets dramatiques se greffent à ce silence.
Un seul exemple le démontre. Nos médecins dans leur grande majorité, désinformés, sont impuissants à traiter les conséquences du ravage du mercure. Amalgames dentaires, mercure dans l'environnement et l'alimentation, exposition prénatale et néonatale au mercure, empoisonnement au mercure en génétique, conséquence du mercure dans les vaccins (page 7 du Bulletin d'informations de la Ligue Nationale pour la liberté des Vaccinations°décembre 2010).
Peut-on accepter que médecins et députés soient aussi mal informés ? Peut-on comprendre que 570 coups de téléphone de ma part aux garants de notre salut restent vains ? Ces appels reçoivent une certaine audience de la part des assistants parlementaires ou secrétaires mais finalement les détenteurs du pouvoir politique se taisent dans leur grande majorité.
Dois-je rester impuissant devant ce silence complice et indigne de l'humain alors que des études démontrent que des changements chromosomiques (troubles physiques et mentaux) sont dus au mercure. (Etudes et travaux en 1971 du Dr Skerfving en Suède, Docteur Klinghardt aux USA, Dr Mutter en Allemagne sans oublier tous les professeurs en étroite collaboration avec l'association Stelior. [ voir sur Internet cette dernière] ).
Doit-on continuer à accepter cet état de faits ? Pourquoi ce silence ? Comment résoudre le problème ? Les solutions, pour cet exemple, sont aujourd'hui à notre portée (..) : Le Référendum d'Initiative Populaire (Le Référendum d'Initiative Parlementaire en projet n'est qu'un leurre).
(..) Vous savez que trois livres[1] viennent de paraître récemment sur le mercure et ses dangers. Je les rappelle afin que vous puissiez envoyer cet avertissement à vos médecins, maires et députés. Soyez aimables de m'avertir de vos actions car de ces dernières résultera une dynamique salvatrice pour tous, médecins compris évidemment.
Jacques Daudon
[1] "L'amalgame dentaire, un risque pour l'humanité – Dr J. Mutter –Edts Alternatif.
"Maladies émergentes : Comment s'en sortir" – Françoise Cambeyrac – Edts Mosaïque Santé.
"Mon retour à la vie" Christiane Bee – Préace du Pr A. Picot – Edts Baudelaire.
http://siseulement.wordpress.com/tag/diarrhee/
Article recopié in extenso dans l'Express
Le scandale du Mediator a braqué les projecteurs sur la revue médicale indépendante Prescrire, poil à gratter des firmes pharmaceutiques et des autorités de santé. C'est en lisant ce mensuel que le Dr Irène Frachon, à l'origine des révélations dans cette affaire, s'est inquiétée pour la première fois des effets indésirables du médicament. Financée par ses 29 000 abonnés, la rédaction analyse à la loupe tous les médicaments vendus en France. Les médecins ou les pharmaciens qui la composent n'ont aucun lien (ni direct ni indirect) avec un laboratoire. Ils passent au crible, pour chaque molécule, l'ensemble des études cliniques, des articles scientifiques et des informations disponibles.
Tous les produits pharmaceutiques produisent des effets secondaires. Se fondant sur ce travail d'une rigueur exemplaire, L'Express a identifié ceux dont le rapport bénéfices-risques est clairement défavorable. Autrement dit, les avantages apportés ne sont pas suffisants comparés aux dangers auxquels ils exposent. Cette liste a ensuite été soumise à l'avis du Pr Jean-Paul Giroud, pharmacologue, membre de l'Académie nationale de médecine. Autorité morale et scientifique en matière de sécurité des médicaments, il n'a aucun lien avec les laboratoires et siège aux commissions d'autorisation de mise sur le marché (AMM) et de pharmacovigilance. A l'heure où Pfizer retire son remède contre l'hypertension artérielle pulmonaire, Thelin, L'Express livre les noms des dix médicaments contestables (présentés dans l'ordre alphabétique) qui ne devraient pas être sur le marché. De même que leurs versions génériques.
Actos
Indication: traitement du diabète de type 2, dit "gras"
Le diabète de type 2 est une maladie de société aux complications graves. Une nouvelle famille de molécules, les glitazones, promet d'augmenter la sensibilité des patients à l'insuline. Mais la liste de leurs effets indésirables graves ne cesse de s'allonger: oedèmes maculaires, fractures osseuses chez les femmes, insuffisances cardiaques. Le 3 novembre, l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) annonçait le retrait de l'un d'eux, l'Avandia (GlaxoSmithKline). En dépit d'une efficacité jugée "faible" par la Haute Autorité de santé et de risques accrus de cancers de la vessie, Actos, lui, est toujours remboursé à 65%.
Contacté, le fabricant, Takeda, répond: "Actos appartient à la même classe pharmacologique qu'Avandia, mais il n'a pas les mêmes indications et présente des effets différents. Actuellement, Takeda soutient deux études visant à analyser la relation entre Actos et le cancer de la vessie."
Adartrel
Indication : syndrome des jambes sans repos
L'Adartrel (GSK), une molécule utilisée à fortes doses dans la maladie de Parkinson, expose à des effets indésirables pénibles (nausées, comportements impulsifs, libido exacerbée, hallucinations ou paranoïa) et d'autres, graves (syncopes), alors qu'il s'agit au départ de résoudre un problème bénin de sommeil perturbé. De plus, il existe un risque de voir augmenter les symptômes, après une première phase d'amélioration.
Contacté, le fabricant, GlaxoSmithKline, n'a pas répondu.
Di-Antalvic
Indication: antidouleur
M. Gibert pour L'Express
Le Di-Antalvic figure parmi les dix médicaments que L'Express recommande de retirer du marché.
Le Di-Antalvic est un mélange savant de dextropropoxyphène et de paracétamol vendu depuis plus de quarante ans et censé être plus efficace contre la douleur que le paracétamol seul (type Doliprane). Cette supériorité n'a cependant jamais été démontrée. En revanche, les risques de surdosage, fréquents en cas de douleurs aiguës ou chroniques, peuvent être lourds, allant du trouble psychiatrique et cardiovasculaire... à l'arrêt cardiaque. Alertées par plusieurs centaines d'overdoses mortelles (volontaires ou accidentelles) survenues dans leur pays, le Royaume-Uni, la Suède et la Suisse ont interdit tous les médicaments de ce type il y a plusieurs années. L'Europe leur a emboîté le pas en juin 2010, puis les Etats-Unis le 19 novembre. Fabriqué par un laboratoire national, le Di-Antalvic est remboursé en France à 65%. Annoncé une première fois en mai, puis en juillet, son retrait définitif est programmé... pour septembre 2011 au plus tard.
Contacté, le fabricant, Sanofi-Aventis, répond: "Cette période de retrait progressif a été jugée nécessaire par les autorités de santé européennes pour préparer les médecins à une autre stratégie de prise en charge de la douleur de leurs patients."
Hexaquine
Indication : crampes musculaires
Ce médicament contient de la quinine, une substance utilisée efficacement contre le paludisme mais aux effets secondaires graves: troubles du rythme cardiaque, baisse du nombre de plaquettes, réactions allergiques sévères. Près d'une centaine de morts ont été attribuées à la quinine aux Etats-Unis, où elle n'est plus prescrite contre les crampes depuis 1995. L'été dernier encore, la Food and Drugs Administration (FDA) le martelait: ce trouble, bénin et temporaire, ne justifie pas l'usage d'une substance si dangereuse. En France, aucun autre traitement n'existe contre les crampes, où l'efficacité de l'Hexaquine a été jugée "faible" par la Haute Autorité de santé. Cependant, il est toujours autorisé dans cette indication et partiellement remboursé (à 15%).
Contacté, le fabricant, le Laboratoire du Gomenol, répond: "L'Hexaquine contient de la quinine à faible dose. Contrairement aux Etats-Unis, il a toujours été prescrit sur ordonnance, en fonction de la gravité des douleurs, du poids et de la taille des patients."
Intrinsa
Indication : baisse du désir chez les femmes après ablation des ovaires et de l'utérus
Présenté comme le nouveau Viagra féminin, ce patch à la testostérone n'a pas été autorisé aux Etats-Unis en raison de sa faible efficacité sur la libido féminine, mais aussi, et surtout, de ses nombreux effets indésirables : virilisation (pilosité aggravée, voix rauque), acné, troubles hépatiques et cardiovasculaires, prise de poids. Il a toutefois été autorisé en France début 2007 pour les femmes artificiellement ménopausées après l'ablation chirurgicale des ovaires et de l'utérus. A la lumière des dernières études, cette prise de risque semble inutile. D'autant que les effets du médicament à long terme, notamment les risques de cancer du sein, n'ont pas été évalués.
Contacté, le fabricant, Warner Chilcott, répond: "Seules 500 patientes sont traitées par Intrinsa après une ablation des ovaires et de l'utérus. Celles qui l'utilisent en dehors de cette indication s'exposent évidemment au surdosage."
Ketek
Indication : infections respiratoires
Ketek n'a pas d'efficacité clinique supérieure à d'autres antibiotiques (famille des macrolides) alors qu'il expose à de nombreux risques pour la santé en cas d'association avec d'autres médicaments. Par ailleurs, les réévaluations conduites par les autorités européennes en 2006 et en 2007 concluent que plusieurs graves effets secondaires sont retrouvés plus fréquemment : le risque d'aggravation d'une myasthénie (faiblesse musculaire), de pertes de connaissance, de troubles visuels, de troubles du rythme cardiaque et d'atteintes hépatiques.
Contacté, le fabricant, Sanofi-Aventis, répond: "Les autorités de santé européennes (Emea) ont confirmé une réévaluation du rapport bénéfice-risque favorable pour le Ketek en 2006 et en 2007, en précisant les précautions supplémentaires d'usage à respecter."
Nexen
Indications : arthrose et règles douloureuses
Nexen est à l'origine de troubles du foie parfois mortels, connus depuis de nombreuses années. La Finlande et l'Espagne l'ont retiré du marché dès 2002 à la suite de cas d'hépatites fulminantes. L'Irlande a suivi en 2007. Les autorités européennes réévaluent actuellement cet antidouleur pour la troisième fois. Le fabricant est chargé de recenser les cas de greffes du foie qui pourraient être liées au Nexen. Les mêmes instances ont pourtant déjà reconnu clairement, l'an dernier, un surcroît de troubles hépatiques graves provoqués par ce médicament.
Contacté, le fabricant, Thérabel Lucien Pharma, répond: "La troisième enquête de l'Agence européenne des médicaments (Emea) a pour objectif une évaluation globale du rapport bénéfice-risque de la molécule, dont seul le potentiel hépato-toxique avait jusque-là été investigué par les experts européens."
Vastarel
Indications : vertiges, acouphènes, angines de poitrine, troubles du champ visuel
Commercialisé depuis plus de quarante ans, ce médicament très utilisé par les patients âgés a vu ses indications thérapeutiques s'étendre au fil du temps, sans preuves solides de son efficacité. Depuis une dizaine d'années, en revanche, plusieurs effets indésirables inquiétants ont été observés: tremblements, troubles de la marche et des jambes sans repos, syndromes parkinsoniens. Délivré sur ordonnance, il est remboursé à 35%.
Contacté, le fabricant, Servier, n'a pas souhaité répondre.
Zyprexa
Indications : schizophrénie et troubles bipolaires
Le fabricant a reconnu, en 2003, que le Zyprexa pouvait provoquer une obésité sévère. En 2007, il a précisé sur les notices des boîtes vendues aux Etats-Unis que la survenue d'une hyperglycémie (taux de sucre trop élevé dans le sang, l'un des symptômes du diabète) était plus fréquente qu'avec d'autres médicaments de la même génération (type Solian ou Risperdal). C'est là tout le problème, s'agissant d'un traitement au long cours, voire à vie. Plus de 28 000 patients américains ont été indemnisés par la firme pour obésité, hyperglycémie ou diabète.
Contacté, le fabricant, Lilly France, répond: "Les effets secondaires concernant la prise de poids sont connus et mentionnés dans le résumé des caractéristiques du produit (RCP), tel qu'il figure dans le Vidal depuis l'AMM initiale de septembre 1996. Les risques d'hyperglycémie et de diabète ont aussi été mentionnés dès juillet 1999. De plus, le RCP a été régulièrement mis à jour afin de préciser, voire de renforcer, la mention de certains effets indésirables comme le risque de prise de poids, ou de survenue d'anomalies lipidiques, d'hyperglycémie, voire de diabète."
Zyban
Indication : sevrage tabagique
Les bénéfices du Zyban (GSK), une substance proche des anorexigènes amphétaminiques comme le Mediator, sont incertains et, au mieux, très modestes, alors que des effets indésirables graves sont, eux, avérés, comme l'hypertension artérielle. Ce médicament n'apparaît pas plus efficace que les gommes à mâcher ou les patchs à base de nicotine, qui présentent moins d'effets indésirables.
Contacté, le fabricant, GlaxoSmithKline, n'a pas répondu.
http://www.sylviesimonrevelations.com/article-10-medicaments-aux-effets-indesirables-et-dangereux-64070696.html
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Le Médiator® nous révèle une situation qui semble étonner les médias, pourtant, d'autres affaires auraient déjà du mettre la puce à l'oreille de chacun. D'autres médicaments avant avaient également manifesté leurs effets délétères : le Vioxx®, le Distilbène®, le Roaccutane®, etc. Sans vouloir citer tous les médicaments qui ont été retirés du marché - ils sont trop nombreux - on peut constater que les médicaments tuent beaucoup de monde,
13 00 morts [1] en France chaque (...)
è http://www.medecine-ecologique.info/?Le-Mediator-R-une-affaire
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** Comment dépasser l’analyse primaire sur le Mediator® ** par Christian Portal - 2 janvier 2011
Cette affaire du Mediator® montre surtout comment les médias et le public qu’ils informent ou manipulent ne comprennent pas les problématiques de santé. Depuis très longtemps et en France comme dans les autres pays modernes, les médicaments sont responsables d’une très importante mortalité.
è http://www.medecine-ecologique.info/?Comment-depasser-l-analyse
jeudi 9 décembre 2010 , par Christian Portal
Article paru dans la revue Nature & Progrès de novembre 2010
L’agriculture et la médecine sont intimement liées. Hippocrate disait déjà « que ton aliment soit ton premier médicament ». Or depuis la dernière guerre, malgré la résistance de ces deux corporations à une certaine forme de réductionnisme scientifique, celles-ci ont suivi le même chemin, en acceptant, avec « le progrès », le compagnonnage de la chimie. Cela s’est traduit depuis longtemps en médecine, surtout avec la radicalité pasteurienne alors que pour l’agriculture, le mouvement est plus récent.
Jusque récemment, avant la deuxième guerre mondiale, une seule forme d’agriculture existait, qu’on pourrait qualifier de naturelle. A la fin des années 40, face à la nécessité de recycler tous les produits issus de l’industrie chimique et mécanique nés de la guerre, l’usage des engrais et pesticides s’est imposé avec celui des engins agricoles. On se souvient peu des drames causés dans les campagnes par ces questions de modernisation mettant dos à dos parents et enfants. Mais on connait le résultat de ce conflit. Plusieurs millions d’agriculteurs ont disparu et sont venus grossir le prolétariat urbain. Encore aujourd’hui et chaque jour, ce sont de nombreuses fermes qui disparaissent [1]. Ce fut certes un changement technique, mais surtout un changement d’état d’esprit qui allait durablement s’imposer dans les pratiques agricoles et médicales.
Il y a eu deux courants de résistance. D’une part, les paysans fiers de leur état et qui ont voulu, souvent par sagesse, poursuivre le métier de leurs aïeux, et d’autre part, les hygiénistes et nutritionnistes ayant compris très tôt les méfaits d’une alimentation produite dans les conditions de l’agriculture conventionnelle. C’est la convergence de ce double mouvement qui a permis l’émergence de l’agriculture biologique.
De la même façon, la résistance au dogme pasteurien et au positivisme du 19e siècle a été très importante. Mais comme pour le monde agricole, l’avènement d’une industrie chimique, associé à une origine partiellement criminelle [2], a révolutionné la pratique médicale. Comme pour la production agricole, on a crié au miracle technologique et malgré cela, des médecins ont continué de se méfier des changements en cours et ont approfondi des pratiques médicales appelées, tour à tour, médecines douces, parallèles ou alternatives. Le terme maintenant officiel est celui de médecines non conventionnelles [3].
Depuis, il ne fait aucun doute que l’agriculture conventionnelle présente des défauts rédhibitoires :
La thèse de mon livre, Pour une médecine écologique était de montrer que la médecine présentait exactement les mêmes défauts. Il est apparu un phénomène nouveau qui a surtout émergé au premier semestre 2007 : la pollution des eaux par les médicaments. Cette pollution, qui commence à montrer toute son ampleur, ne peut plus être passée sous silence. Dans un souci d’efficacité, on pourrait concevoir un système de soins à la fois polluant et coûteux s’il était performant. Malheureusement, les performances sont consternantes malgré une propagande effrénée.
Devant ce triple échec, comme pour l’agriculture, il est raisonnable d’envisager des démarches alternatives. Pourtant, la résistance à cette évidence reste majoritaire dans le corps médical. Néanmoins la mode est, non sans bonnes raisons, à l’écologie et à la durabilité, alors, pourquoi la médecine serait-elle la seule des activités humaines à ne pas réformer ses pratiques au travers du filtre d’une culture du vivant ?
Dans le dernier film de Coline Serreau, Claude et Lydia Bourguignon expliquent que la fertilité de la terre n’est pas une affaire de constituants nutritionnels mais qu’elle est intimement liée au nombre d’organismes vivants qu’elle héberge. Ainsi, la terre n’est plus un simple substrat mais un système vivant dont la vitalité et l’équilibre garantit sa fertilité.
De la même façon, un corps humain abrite dix fois plus de cellules non humaines que de cellules humaines. Ce constat appelle quelques commentaires. On peut considérer, comme le suggère le dogme pasteurien, que ces hôtes sont finalement indésirables et que pour retrouver notre pureté, nous devrions nous en débarrasser. Hélas, si nous parvenions à le réaliser, ce serait l’assurance de tuer le sujet. Il s’avère donc impossible de vivre sans ces hôtes. Cette constatation peut entraîner l’idée qu’il existerait une symbiose entre nous et ces microbes que nous abritons. Il existe une autre façon de comprendre cette curiosité. Les cellules qui constituent les êtres vivants auraient pour origine l’association des toutes premières bactéries qui ont colonisé la Terre. Ainsi, notre propre existence serait le résultat de celle des bactéries. De plus, les populations bactériennes que nous hébergeons, notamment dans notre tube digestif, ont pour tâche de favoriser notre digestion et l’extraction des nutriments indispensables à notre vie. Déclarer la guerre aux bactéries s’apparente donc à une action auto-immune. Cette guerre, comme toutes les guerres d’ailleurs, serait perdue d’avance.
Malheureusement, dans le domaine de l’écologie, on bute régulièrement sur un écueil qui est celui de la pensée environnementaliste. Cette erreur vient non seulement des médias et des formations politiques qui se réclament de l’écologie, mais surtout de tous les chercheurs et ONG qui militent contre les différentes formes de pollutions. Bien évidemment, je ne saurais me plaindre qu’on puisse lutter contre les pollutions mais une démarche écologique ne peut se limiter à la seule suppression des éléments chimiques et physiques qui ruinent notre vie. De plus, ce type de démarche est souvent réducteur car on considère les polluants en fonction d’une opportunité de recherche ou d’une dangerosité particulière ou encore d’un contexte politique. C’est ainsi que l’amiante, les éthers de glycol, le bisphénol A, et plus généralement les pesticides, sont mis sur la sellette. Les trois premiers produits sont de nature industrielle et s’ils constituent un réel problème de santé publique, ce ne sont que des éléments isolés au milieu des 100 000 substances chimiques qui n’ont encore fait l’objet d’aucune évaluation. Les pesticides sont critiqués en bloc en raison de la double contestation, d’une part, la pollution des sols et des eaux, et d’autre part, la problématique alimentaire.
Il me semble fondamental que le milieu des militants de l’écologie prenne conscience que tous les sujets doivent être traités de façon systémique. Pourtant, de nombreux mouvements, organisations ou journaux écologiques exonèrent leurs réflexions de cette dimension de l’écologie qui est celle du soin et de la restauration de la santé. Il ne suffit pas de dénoncer les pollutions par des substances responsables de cancers si on accepte, dans le même temps, des traitements aussi polluants que les traitements anticancéreux. On ne peut pas s’attaquer aux ondes électromagnétiques et soigner les cancers avec des radiothérapies. Notre médecine, à l’instar de notre agriculture, est devenue une médecine de combat et une médecine de mort. Le vocabulaire de l’une, comme de l’autre, témoigne de cette pensée mortifère : d’un côté, antiviral, antibiotique, antidépresseur, etc. Et de l’autre, herbicides, pesticides, biocides. Aucun mot pour désigner des actions favorables à la vie ! Une seule exception, les engrais mais, là encore, on utilise des nutriments morts et fabriqués par l’industrie chimique. Il est temps de réinventer une écologie du vivant pour réensemencer les pratiques agricoles et médicales.
Je forme le vœu que l’écologie retrouve sa compréhension systémique du vivant pour cesser d’être un objet externe dont on pourrait étudier et traiter les différentes composantes séparément. Je souhaite également une union de tous les écologistes qui puisse prendre à bras le corps l’ensemble des problématiques du vivant sans en exclure aucune, union dans laquelle le collectif ACECOMED pourrait apporter son expertise.
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