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8 août 2009 6 08 /08 /août /2009 00:20


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Our Alexander
A la mémoire de notre fils,
Alexandre Horwin

« Je m’abstiendrai de tout mal et de toute injustice ». Serment d’Hippocrate



Nous avons créé ce site pour raconter l’histoire de notre fils et pour partager avec d’autres parents les informations que nous avons trouvées au sujet des tumeurs cérébrales et de la vaccination chez l’enfant. Ces informations sont destinées à aider les parents à prendre des décisions éclairées lorsqu’il s’agit de la santé de leurs enfants, et en particulier s’ils sont atteints d’un cancer. Pour mon mari et moi, ces informations représentent toutes les connaissances que nous aurions voulu avoir sur ces sujets, au moment où nous avons été confrontés à la maladie de notre enfant, durant l’automne 1998.

Outre le cancer et la chimiothérapie, nous abordons le problème de la vaccination infantile, car un nombre important d’articles médicaux souligne un lien possible entre la vaccination et l’augmentation du nombre des cancers chez les enfants, notamment des tumeurs cérébrales.

 

Le 10 août 1998, nous avons donc appris que notre fils Alexandre, âgé de deux ans, était atteint d’une tumeur cérébrale courante chez l’enfant : un médulloblastome. Après qu’Alexandre a subi deux opérations du cerveau, mon mari et moi avons identifié un traitement non toxique qui semblait être efficace dans le traitement des tumeurs cérébrales.
Pourtant, le 21 septembre 1998, l’Agence Fédérale de la Santé nous refusa l’accès à ce traitement qui pouvait peut-être sauver Alexandre.

 

Les médecins nous ont expliqué que sans la chimiothérapie – qualifiée par eux de traitement à la pointe du progrès médical – le cancer réapparaîtrait rapidement. Sans rien connaître de l’efficacité ou des dangers potentiels de la chimiothérapie, nous avions l’intuition qu’il ne s’agissait pas là du meilleur choix possible. Mais puisque le Ministère de la Santé avait refusé à Alexandre l’autre alternative, nous n’avions plus d’autre option.
A contrecœur, nous avons dû commencer la chimiothérapie le 7 octobre. Le protocole intitulé CCG 9921 consistait à administrer 4 médicaments par voie intraveineuse : la Vincristine, la Cisplastine, le Cyclophosphamide (aussi appelé Cytoxan) et le VP16 (aussi appelé Etoposide).
Alexandre termina son troisième mois de traitement en décembre 1998 et mourut le 31 janvier 1999. Il venait juste d’avoir deux ans et demi.

Après la mort de notre enfant, nous avons cherché à comprendre. Mais les médecins se sont révélés incapables de répondre clairement à nos questions :
Pourquoi notre enfant avait-il eu un cancer ? Quelle en était la cause ? Pourquoi cette forme de cancer était-elle en progression chez les enfants aux Etats-Unis ? Pourquoi notre enfant était-il mort en cours de traitement, alors qu’il n’avait suivi qu’un quart du protocole ?

Puisque mon mari et moi avions déjà travaillé dans le domaine médical, nous avons su où chercher les réponses. Nous avons passé une année entière à lire tout ce que nous avons pu trouver sur le sujet. Notre travail à consisté à lire des articles scientifiques, à communiquer avec des médecins, et des chercheurs. Nous avons aussi rassemblé les expériences d’autres parents dont les enfants étaient morts à la suite de vaccins, de cancers ou du traitement de ces cancers. Et cette longue recherche a fini par apporter des débuts de réponses.

Par exemple, nous avons découvert que le protocole, soit disant à la pointe du progrès, dont notre fils avait bénéficié était reconnu comme étant inefficace depuis plusieurs années. En 1994, les mêmes médicaments utilisés en chimiothérapie avaient été administrés à des enfants de deux ans, eux aussi atteints d’un médulloblastome. L’expérience se révéla si infructueuse que les tumeurs réapparurent en moyenne au bout de cinq mois, et que les médecins durent arrêter le protocole. Comment expliquer alors, qu’un traitement déjà testé et avéré totalement inefficace ait pu nous être présenté des années après comme étant le nec plus ultra ? Nous n’avions jamais été informé de l’échec de ce traitement. Nous avons aussi réalisé que nous n’étions pas les seuls parents à être victimes de cette désinformation intentionnelle.

A l’heure actuelle, on continue à induire en erreur des parents et à prescrire les mêmes médicaments dangereux à des enfants. Et même si vous savez pertinemment que les thérapies conventionnelles ne fonctionnent pas, vous n’aurez peut-être pas d’autre choix.. En effet, lorsque les médecins ont décelé notre hésitation à l’égard de la chimiothérapie, ils nous ont menacé de nous retirer Alexandre par décision judiciaire.

Nous avons écrit à plus de 30 membres du Congrès à propos de nos découvertes, et avons témoigné lors d’une audience du Congrès (voir les documents sur ce site). En partageant l’effroyable expérience de notre fils avec le monde médical, nous voulons que d’autres parents disposent des connaissances qui pourront peut-être leur permettre de faire en sorte que leur enfant ne connaisse pas le même sort.

Nous encourageons les parents à faire valoir leur droit à être informé avant de donner leur accord pour toute intervention médicale concernant leur enfant. Cela suppose une compréhension totale des risques et des avantages du traitement proposé. Pour cela, il se peut que vous ayez à faire des recherches par vous-même, lire des livres, des articles scientifiques. Le site Medline propose plus de neuf millions d’articles provenant des meilleures revues médicales du monde entier, sur des centaines de thèmes différents. Nous recommandons vivement cette excellente source, ainsi que la lecture de la notice de chaque médicament ou vaccin avant de les donner à votre enfant.

Notre mission


http://www.ouralexander.org/francaise.htm

sur le blog de Charlotte

http://panier-de-crabes.over-blog.com/


Augmentation des cancers chez enfants vaccinés ???

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7 août 2009 5 07 /08 /août /2009 21:39


publié par roland (Dazibaouebmaster) Hier 11H54

vaccinPar Mireille Delamarre titre traduction synthèse (Planète non violence)

Wolfgang Becker-Brüser, médecin, éditeur d'un magazine l'arznei-telegramm, qui publient des articles détaillés critiquant l'industrie pharmaceutique, dit que les règles de sécurité actuelles peuvent avoir pour conséquence que sur les 1 million de personnes vaccinées plus d'1/4 vont faire une réaction négative sérieuse au vaccin.

Il affirme que les règles pour la mise sur le marché du vaccin actuellement développé qui devra recevoir le feu vert pour son utilisation sont particulièrement laxistes.

Seules les réactions "fréquentes" - ce qui veut dire au moins 1 fois sur 100 patients testés - seront enregistrées et considérées comme sérieuses, a dit Becker-Brüser.

Ce qui veut dire si l'objectif de vacciner 25 millions d'Allemands est atteint, près de 250 000 personnes pourraient faire une réaction négative sérieuse au vaccin.

Sa mise en garde arrive alors que viennent d'être publiés les résultats d'études concernant 50% d' enfants en Angleterre à qui on a administré préventivement du Tamiflu, l'actuel médicament anti grippe, et qui ont été victimes d'effets secondaires sérieux tels des nausées, des insomnies et des cauchemars.

D'autres font également marche arrière s'interrogeant sur le bien fondé de vacciner jusqu'à 1/3 de la population avec un tout nouveau vaccin.

Matthias Grühl, directeur du bureau de la santé dans l'état de Bremen, responsable de la planification pour lutter contre la pandémie a dit au magazine Der Spiegel : " si la grippe porcine reste aussi bénigne qu'elle l'est maintenant, un programme de vaccination de masse ne serait pas justifié".

Il a dit qu'actuellement les plans ont été établis en partant de l'hypothèse qu'une seconde vague bien pire de contamination surviendrait en fin d'année. Mais il a dit qu'il n'existait aucune indication que cela allait effectivement se produire.

Selon Der Spiegel, il y a de fortes chances pour que le vaccin coûte bien plus que prévu aux contribuables. Le magazine a rapporté qu'il faudra 410 millions d'euros pour le seul vaccin de GlaxoSmithKline, la somme de 650 millions d'euros mis de côté par le ministère de la santé n'étant réaliste que si les ministères de santé des états entreprennent la vaccination.

Si les médecins sont impliqués et le vaccin commandé via les pharmacies, le programme coûtera plus d'1 milliard d'euros affirme le magazine Der Spiegel.

Source www.prisonplanet.com 03/08/09

Information complémentaire

Dans un article signé Jonathan Parienté, publié le 04/08/09 sur le site du quotidien français Le Monde intitulé " Un processus accéléré de validation pour le vaccin contre la grippe A", il est confirmé :

1. que le vaccin contre la grippe porcine n'existe pas encore et que pour reprendre les termes de l'article " les laboratoires pharmaceutiques se préparent à tourner à plein régime pour produire ces doses";

2.que c'est l'EMEA ( l'Européan Medecine Agency) donf fait partie l'Afssaps (Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé), qui décide de l'Autorisation de Mise sur le Marché (AMM) que celle ci, toujours selon l'article " Bien que simplifiée dans le cas de vaccins contre la grippe, et accélérée lorsque la pandémie menace, la procédure nécessite des délais relativement longs."

3. Mais l'article précise qu'il y a deux vaccins en "gestation" : " L'un, créé de toutes pièces, mettra des mois avant de franchir toutes les étapes nécessaires à sa validation. Le second, dit vaccin "mock-up" ou vaccin-maquette, a été conçu lorsque le virus de grippe aviaire H5N1 a fait ses premiers pas sur la planète. C'est lui qui arrivera en premier sur le marché, une fois réadapté pour lutter contre la souche A (H1N1). Un vaccin mock-up est un vaccin préparé en avance. Une fois que la souche du virus a été connue (au mois de juin), elle a remplacé (la souche H5N1) qui a permis de préparer le vaccin, résume l'EMEA dans une note explicative."

On notera que ce qui va être injecté c'est un vaccin maquette, déjà prêt ( intéressant ?!) mais réadapté à la nouvelle souche supposée connue, ce qui reste à prouver scientifiquement, sauf d'avoir concocter en laboratoire cette nouvelle souche comme les "conspirationnistes" l'affirment sur la toile. La "réadaptation" va se faire très vite et on peut douter a) de son efficacité, b) de son absence de dangerosité.

4. Mme Bartoli, adjointe au directeur de l'Afssaps, citée dans l'article prend la peine de préciser pour nous rassurer que : "On ne réévalue pas le vaccin dans son ensemble, mais seulement la variation qui lui a été apportée avec l'introduction de la nouvelle souche" et que "les premiers lots de vaccins ont été libérés" pour être testés sur des volontaires. Ces premiers lots de vaccins maquette devraient arriver sur le marche en septembre octobre. Et toujours rassurante, Mme Bartoli affirme qu'une fois le vaccin mis en circulation des contrôles des effets indésirables seront effectués et s'ils s'avèrent importants "l'AMM pourra leur être retirée".

Donc pour résumer, on bidouille en laboratoire un "vaccin-maquette" qu'on teste rapidement et qu'on met sur le marché dès la rentrée pour une vaccination qui prend effectivement, comme l' écrit le dc Becker-Brüser, l'allure d'une expérimentation massive sur des millions de personnes qui serviront de cobayes. Quand aux effets secondaires négatifs, ils devront être importants selon Mme Bartoli, pour que l'EMEA envisage de retirer l'AMM.

Mais aucune précision sur ce que Mme Bartoli entend par "important".

Combien de morts ?

Combien de personnes handicapées à vie, souffrant de MLD ?


Source: Planète non violence

http://www.dazibaoueb.fr/article.php?art=5320

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7 août 2009 5 07 /08 /août /2009 21:10




A quoi sert l'argent, 
sinon à engraisser les labos ?


publié par babelouest (crisonnier) Hier 08H54
Grippe A en France : quand Kafka applique
le principe de précaution

mis en ligne mardi 4 août 2009 par Frederique

 

publié en ligne : 4 août 2009

L’expérience d’une militante d’Act Up-Paris prouve la désorganisation du dépistage du H1N1 et l’absence d’intérêt porté à l’impact de la grippe A sur les séropositifVEs

Act Up-Paris publie le témoignage de C., militante de l’association, et de son parcours du combattant pour obtenir un test de dépistage de la grippe A.

De retour d’une conférence internationale sur le sida qui se tenait en Afrique du Sud, C., militante d’Act Up-Paris, a développé des symptômes grippaux. Comme une de ses collègues, qui avait voyagé avec elle, venait de développer les mêmes symptômes, et que le généraliste avait diagnostiqué le virus H1N1 sur la base d’un examen clinique, C. a consulté un médecin, qui, outre des médicaments, lui a prescrit l’usage d’un masque chirurgical et un dépistage en laboratoire. Ce dépistage était indispensable, non seulement pour elle, mais aussi parce qu’elle avait côtoyé de nombreuses personnes immunodéprimées et qu’il était nécessaire de les avertir du risque éventuel d’avoir été infectées. Ce dernier fait était mentionné par le médecin dans sa prescription.

Parcours du combattant En 48 heures, C. aura dû solliciter une pharmacie, 6 laboratoires d’analyse, 4 services hospitaliers parisiens, une polyclinique, le SAMU, la cellule de crise du Ministère des Affaires Etrangères et la plateforme Infogrippe. Personne n’aura été capable de lui fournir le dépistage et les masques pourtant prescrits par un médecin, ni de lui indiquer de façon fiable où en trouver. Les réponses faites témoignent d’une méconnaissance ou d’interprétations contradictoires des recommandations officielles.

Ce parcours du combattant aura contraint C. à faire de nombreuses démarches, alors qu’elle développait de forts symptômes grippaux. Parce que personne ne s’est avéré capable de l’informer, elle a été contrainte de se rendre, pour rien, dans certains services hospitaliers, ce qui, en termes de santé individuelle comme de santé publique, est une aberration. Les séropos négligéEs

Le système mis en place n’est pas prêt à protéger les personnes les plus vulnérables. A plusieurs reprises, C. a rappelé à ses interlocuteurRICes qu’elle avait côtoyé les jours précédents des personnes séropositives, immuno-déprimées. A aucun moment, cet argument n’a incité ces professionnelLEs à recourir à un test de dépistage, et lever le doute sur les risques que couraient les personnes que C. avait rencontrées.

Au contraire, on lui a refusé, même en sachant ce fait, en lui indiquant qu’elle ne pourrait faire le test qu’en cas de maintien de symptômes graves, et qu’il en serait de même pour les personnes immuno-déprimées. Une fois de plus, les personnes vivant avec le VIH, pourtant parmi les plus vulnérables, sont totalement négligées par les pouvoirs publics.

De plus, cette recommandation montre clairement que la politique actuelle n’est pas une politique de prévention, mais une politique de gestion de crise dans un cadre de pénurie des moyens – puisque le seul motif de refus des tests est leur nombre limité. Or l’épidémie ne s’est pas déclenchée massivement en France. Limiter l’accès au dépistage aux seuls cas cliniques graves, notamment pour les personnes immuno-déprimées et celles qui les ont côtoyées, c’est se priver d’un outil qui permette à la fois de mieux prendre en charge les personnes les plus fragiles face à la grippe A, de prévenir l’expansion de l’épidémie et d’éviter la panique en permettant un diagnostic fiable. Les autres enjeux sanitaires sacrifiés

Il y a trois mois, la ministre de la santé Roselyne Bachelot-Narquin réquisitionnait une partie du personnel de l’INVS (Institut National de Veille Sanitaire) habituellement affecté à la surveillance du VIH/sida, à la seule grippe A [1]. Contactée par Act Up-Paris vendredi 31 juillet 2009, une représentante de l’Institut affirme que « les activités de surveillance présentant un enjeu de santé publique sont et seront maintenues », mais ne répond pas sur une éventuelle augmentation des moyens.

Au niveau du bureau sida de la DGS, un représentant nous explique le même jour que lui et ses collègues peuvent être réquisitionnéEs en cas de déclenchement grave de l’épidémie en France. Cela concerne le bureau sida comme d’autres services. De même, les crédits ministériels accordés à la lutte contre le sida, pourraient être réquisitionnés, comme d’autres crédits publics.

Or, s’il est indispensable d’appliquer le principe de précaution et d’anticiper des crises graves, il faut le faire avec cohérence. Les moyens financiers, énormes, dégagés jusqu’ici aboutissent à des résultats contestables comme le montre l’expérience de C. ou des réactions de médecins [2].

Act Up-Paris rappelle enfin que les personnes les plus exposées vivent dans des pays où traitements et vaccins seront inaccessibles. Que va faire la France ? Que fait-elle pour assurer l’accès universel aux traitements pour 2010 comme elle s’y est engagée ? Quand Nicolas Sarkozy va-t-il enfin à se décider à augmenter la contribution française à la lutte contre le sida dans le monde ? Car les sommes financières que la France a su mobiliser pour payer l’industrie pharmaceutique en prévision de la grippe A le montre : la réponse financière à un problème sanitaire d’envergure ne dépend que de la volonté politique.

Act Up-Paris exige de la ministre de la Santé :
-  qu’elle rappelle publiquement que les personnes vivant avec le VIH sont vulnérables à des épidémies de ce type, et que leur situation doit faire l’objet d’une attention particulière, notamment que le dépistage du H1N1 leur soit prescrit, à elles et aux personnes qui les ont côtoyées, plus facilement que ne l’indiquent les recommandations actuelles ;
-  qu’elle assure la transmission d’une information fiable et cohérente aux professionnelLEs, mais aussi aux personnes immuno-déprimées et à leurs associations, afin que l’accès à un dépistage ou aux soins contre la grippe A ne soient pas un parcours du combattant ;
-  qu’elle n’oppose pas les enjeux de santé publique entre eux et garantisse, budget à l’appui, que la lutte contre la grippe A ne sera pas un prétexte pour priver les autres secteurs sanitaires, notamment la lutte contre le sida, des moyens qui lui sont essentiels.

Act Up-Paris exige de Nicolas Sarkozy qu’il tienne ses promesses en matière d’accès universel aux traitements contre le sida dans le monde. Les personnes vivant avec le VIH, sans traitements alors que leur système immunitaire chute, sont parmi les plus exposées. Leur mort sera en partie due au fait que Nicolas Sarkozy a refusé d’augmenter la contribution de la France à l’achat de traitements qui auraient pu protéger leur système immunitaire.

Notes

[1] Compte-rendu du comité de pilotage du plan d’élaboration nationale de lutte contre le VIH, réunion du 9 juin, pages 3 et 4. Document disponible sur demande.

[2] Voir par exemple les propos du professeur Gentilini : "1 milliard d’euros pour une vaccination dont on ne sait strictement rien, c’est de la précipitation", juge le Pr Gentilini. "C’est quand même de l’argent qui peut servir ailleurs", estime-t-il. Il dénonce une situation "éthiquement inacceptable".


Lu sur le site Hacktivist News service :

http:// www.hns-info.net/spip.php?article19104


http://www.dazibaoueb.fr/article.php?art=5334

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7 août 2009 5 07 /08 /août /2009 14:45




Message reçu :

"Avant de commencer, voilà comment j'ai connu la société BAXTER.


Début Mars 2009, je lis un article très troublant.....

http://www.mecanopolis.org/?p=4391

http://www.oulala.net/Portail/spip.php?article3992


La suite ? La voici

ETAPE N°1 (16 Juillet 2009)


-Baxter và produire 80 Millions de doses pour fournir l'Angleterre, l'Irlande et la Nouvelle-Zelande.(+ France)

http://www.digitaljournal.com/article/276046

ETAPE N°2 (25 Juillet 2009)

Rachat d'actions propre pour 2 Milliards de $

http://www.reuters.com/article/marketsNews/idUSN2811889220090728


ETAPE N°3 ( 26 Juillet)

Obtention de l'immunité juridique en cas de problème avec le vaccin

http://www.oulala.net/Portail/spip.php?article4163


ETAPE N°4 ( 4 AOUT)
Processus accéléré de validation pour le vaccin contre la grippe A
http://www.lemonde.fr/planete/article/2009/08/04/un-processus-accelere-de-validation-pour-le-vaccin-contre-la-grippe-a_1225212_3244.html

L'agence européenne du médicament va hâter l'examen des vaccins

http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5hk7PhIwwNwDl2zel5pQEs7DLKSEA


ETAPE N°5 (5 AOUT)


Le 5 août, le laboratoire pharmaceutique américain Baxter a annoncé avoir terminé en juillet la fabrication d'un vaccin contre la grippe A/H1N1.

Il ne manquerait que l'autorisation de mise sur le marché pour que celui-ci puisse être commercialisé.

Le vaccin pourrait donc se retrouver dans les pharmacies dès la mi-septembre.


http://news.doctissimo.fr/grippe-a-baxter-pret-a-distribuer-le-vaccin_article5618.html

L'américain Baxter aurait gagné la course contre la montre que se livrent les laboratoires mondiaux.

Il annonce avoir terminé la production de ses premiers lots de vaccins et attend l'autorisation de mise sur le marché.

http://www.lefigaro.fr/sante/2009/08/06/01004-20090806ARTFIG00378-grippe-a-un-laboratoire-pret-a-distribuer-des-vaccins-.php




ETAPE N°6

LE GRAND MASSACRE



Plus de 9000 fioles contenants des agents pathogènes se sont avérées manquantes lors d’un inventaire effectué par l’armée américaine. Ces fioles qui étaient entreposées au Fort Detrick et contenaient toutes des toxines extrêmement dangereuses.

Après quatre mois de recherche, les enquêteurs ont constaté que 9220 échantillons n’ont pas été référencés dans la base de données, qui en répertorient 66.000.

Les fioles contenaient des agents pathogènes dangereux tels que le virus Ebola, le Charbon, les toxines botuliques, le virus de l’encéphalite équine du Venezuela qui cause la tularémie.

Les fioles étaient entreposées dans un dispositif réfrigéré dédié à la conservation d’agents pathogènes. La plupart de ces fioles n’étaient pas utilisées depuis des années.

Un officiel de l’armée américaine a indiqué : « Je ne peux pas vous dire si les fioles ont quitté le laboratoire, nous pensons que c’est une situation inédite »

Richard Ebright, professeur à l’université de Rutgers, spécialiste en bio-sécurité est extrêmement choqué par la disparition de ces fioles « 9000 fioles (disparues dans un laboratoire de l’armée)…c’est extraordinaire…si un petit nombre avait disparu, cela aurait été angoissant…mais là 9200…dans une institution qui prétend assurer une sécurité maximale à ce sujet. C’est profondément inquiétant …c’est inacceptable »

http://www.spreadthetruth.fr/wordpress27/?p=1562

Merci à MD
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6 août 2009 4 06 /08 /août /2009 13:32




J'insiste pour pas ne rester les bras croisés face à la pandémie qui s'annonce.

Je commence la cure la semaine prochaine

A vous de voir si vous voulez faire de même.


1-On doit dabord désintoxiquer son système immunitaire avec la "Chlorella"

http://biofeeling.oxatis.com/PBSCProduct.asp?ItmID=2113259



2-Ensuite, on doit construire un "bouclier anti-virus" avec "Echinacéa + Pépins de Pamplemousse"

http://biofeeling.oxatis.com/PBSCProduct.asp?ItmID=2497644
http://biofeeling.oxatis.com/PBSCProduct.asp?ItmID=859589



3-Au final, il faut "booster" sa santé avec "Propolis + Maca + Spiruline+ Nigelle"

http://biofeeling.oxatis.com/PBSCProduct.asp?ItmID=722026
http://biofeeling.oxatis.com/PBSCProduct.asp?ItmID=2676329
http://biofeeling.oxatis.com/PBSCProduct.asp?ItmID=2113257
http://biofeeling.oxatis.com/PBSCProduct.asp?ItmID=863416



P.S :

Le gel RESPIRASIL pourra être utilisé dans tous les cas de gène respiratoire : Allergie au pollen, rhume, asthme, pollution, allergie au poussières...
http://biofeeling.oxatis.com/PBSCProduct.asp?ItmID=2255014

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6 août 2009 4 06 /08 /août /2009 12:18


publié par
liliM Avant-hier 07H21

http://www.almata.fr/library/images/news/pesticides-and-parkinsons.jpgLes victimes des pesticides s'organisent pour faire reconnaître leurs maladies

mercredi 22 juillet 2009

Par Rafaële Rivais

Le Mouvement pour le Droit et le Respect des Générations Futures vient de lancer un Réseau des victimes des pesticides. Cette association, qui milite depuis quinze ans pour une agriculture sans pesticides, est sollicitée par « de nombreux particuliers qui constatent qu'ils n'ont aucun moyen de se défendre contre les pulvérisations, la législation étant quasiment inexistante », explique François Veillerette, président du Mouvement.

Bertrand Pouchin est l'un d'entre eux. Lorsqu'il achète sa maison au milieu des champs de blé de la Beauce, en juillet 2004, il pense avoir gagné un "petit coin de paradis". Il déchante vite. Un week-end, un énorme tracteur vient pulvériser des pesticides à l'odeur nauséabonde jusqu'à la haie qui sépare les champs de son jardin, où joue son petit garçon. Première confrontation, violente, avec le fermier. M. Pouchin fait appel au maire qui, dans un premier temps, temporise. "Le conseil municipal, composé de huit céréaliers sur onze élus, a fini par m'envoyer promener, raconte-t-il. Chez les gendarmes, même chose ! On m'a répondu que les agriculteurs étaient là avant moi, et qu'ils doivent travailler." Il ne trouve donc personne pour constater l'infraction qui consiste à pulvériser ces produits même par vent de force 3, soit 19 km/h. "C'est pourtant fréquent dans la Beauce, premier parc éolien de France !", observe M. Pouchin. "De mars à octobre, on vit un enfer !, poursuit-il. Les céréaliers déversent des herbicides, des insecticides, des fongicides, des hormones de croissance, des hormones de contrôle..."

En octobre 2008, Damien, son deuxième petit garçon, alors âgé de 3 ans, perd du poids, et les médecins diagnostiquent une hyperthyroïdie que M. Pouchin impute aux pesticides, considérés comme des perturbateurs endocriniens. "En guerre" contre cette pollution chimique, il lance des accusations dans la presse locale et reçoit des menaces de mort. Il s'estime pourtant légitimé dans son combat lorsque des "repentis" de l'agriculture intensive lui font part de leurs maladies et de leurs soupçons.

Agriculteur installé en Alsace, Patrick fait partie de ces "repentis". Il a toujours utilisé les pesticides parce qu'on lui a "appris à le faire à l'école", mais le regrette depuis qu'il a développé la maladie de Parkinson, à l'âge de 35 ans. "On nous disait que les pesticides n'étaient pas nocifs, alors on les pulvérisait en short et en chemise... Un jour, un tuyau a éclaté et j'ai été douché aux désherbants à l'intérieur de la cabine de mon tracteur. J'ai dû être hospitalisé après une forte fièvre. Huit ans plus tard, les tremblements ont commencé. J'estime que j'ai été empoisonné, mais la Mutualité sociale agricole refuse d'établir un lien entre les deux événements et de reconnaître qu'il s'agit d'une maladie professionnelle", explique-t-il. Patrick et Bertrand se sont retrouvés au sein du nouveau Réseau des victimes des pesticides.

Le Mouvement pour le Droit et le Respect des Générations Futures réclame l'interdiction des pesticides en ville, dans les parcs, jardins et aires de jeux, "pour éviter que les enfants dont le ballon tombe sur la pelouse les touchent et les avalent". Il demande aussi l'instauration de zones tampons (cultures bio ou pâturages), entre les habitations et les lieux de pulvérisation. Et, "pour que la législation soit respectée, il faut qu'elle soit assortie de sanctions pénales dissuasives", insiste Mr. Veillerette. Il souhaite que le gouvernement saisisse l'opportunité de la transposition d'une directive européenne encadrant l'usage des produits phytosanitaires pour introduire ces dispositions.

Le Mouvement espère aussi venir en aide aux victimes professionnelles, en les aidant à faire reconnaître leurs maladies, "ce qui n'a été le cas que d'un ou deux agriculteurs pour l'instant", selon Mr. Veillerette. "De nombreuses études épidémiologiques montrent que l'exposition aux pesticides augmente les risques de cancers, de troubles de la reproduction et de maladies neuro-dégénératives", rappelle-t-il.

L'Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (Inserm) vient ainsi de confirmer, le 16 juin, qu'elle double le risque de survenue de la maladie de Parkinson chez les agriculteurs. "Nos adversaires répondent qu'on ne peut rien prouver, qu'on n'a jamais établi de lien de causalité entre l'exposition et la maladie, s'indigne Mr. Veillerette. Le fait de briser la loi du silence devrait les faire reculer." Comme cela a été le cas pour l'amiante.

°°°°°°°°°
Risques accrus de Parkinson et de lymphomes

L'exposition aux pesticides double le risque de survenue de la maladie de Parkinson chez les agriculteurs, selon les travaux menés par une équipe de chercheurs de l'Institut National de la Santé Et de la Recherche Médicale (Inserm) et de l'université Pierre-et-Marie-Curie. Le risque augmente avec le nombre d'années d'exposition et il est principalement lié à l'usage d'insecticides, notamment de type organochloré. Une autre étude récente de l'Inserm montre que les agriculteurs exposés aux pesticides présentent des anomalies chromosomiques pouvant favoriser le développement d'un lymphome ou d'un cancer du système immunitaire. Dans le cas du lymphome, le processus de cancérisation débute par un échange de matériel génétique, ou translocation, entre les chromosomes 14 et 18. Or, le sang de 128 agriculteurs suivis par l'Inserm présentait une fréquence de cellules transloquées pouvant être jusqu'à 1 000 fois supérieure à la normale.

Sur le Web : pesticidescancer.eu

lemonde.fr

Source : publié sur altermonde sans frontières

Image ajoutée par liliM


18 Juin 2009 : Création d'un réseau de victimes des pesticides

Depuis de nombreuses années, le MDRGF, association française de référence sur la question des pesticides, reçoit des demandes d'aide, parfois sous forme d'appel au secours, sur cette exposition aux pesticides, subie par nombre de personnes à l'échelle du territoire national. Ces dernières nous sollicitent pour avoir des informations sur la législation en vigueur et les impacts possibles des pesticides auxquels elles peuvent-être exposées.

La santé en danger.

La législation ne garantit pas une protection suffisante des victimes des pesticides : autorisation de produits pourtant reconnus dangereux par différentes agences au niveau international, absence de normes atmosphériques d'exposition des riverains, pas de limites de protection autour des habitations qui pourraient être concernées par des pulvérisations etc. Pourtant on sait que les risques de développer certaines pathologies graves sont accrus lorsqu'on manipule ces produits dangereux ou quand on vit à proximité de lieux où des pesticides sont épandus. Ainsi une étude américaine a montré que le risque de malformations chez les bébés était multiplié par un facteur 2,4 dont les mères résident près de champs pulvérisés(1). Cela montre l'importance de protéger les populations les plus vulnérables comme les enfants des expositions tôt dans leur développement physique, intellectuel et psychologique. Le risque de développer un cancer plus tard dans leur vie est augmenté. « Les cancers des enfants sont en constante augmentation de 1 à 1,5% chaque année depuis 30 ans, ce qui exclut les facteurs comportementaux. Ainsi il convient de regarder parmi les polluants environnementaux et notamment les pesticides qui sont partout dans l'alimentation, dans l'air intérieur, l'air des villes et des campagnes ainsi que l'eau. Cela pose un problème de santé publique qu'il faut régler », déclare le Dr Nicole Delépine, chef du service d'oncologie pédiatrique de l'Hôpital Raymond Poincaré.

Une campagne pour agir.


Fort de ce constat et de l'envie de venir vraiment en aide à toutes ces personnes, HEAL et le MDRGF, organisations sans but lucratif, lancent aujourd'hui, dans le cadre de leur partenariat sur la thématique Santé-Environnement, une campagne « victimes des pesticides - votre santé, notre priorité » pour informer, soutenir, conseiller, recenser, faire témoigner et mobiliser afin que demain plus personne ne sente victime des pesticides. Pour renforcer leur action, ces deux organisations ont écrit ce jour aux différents ministères concernés pour les inciter à prendre de vraies mesures de protection pour les populations touchées. Cette campagne se déroulera en plusieurs étapes et sera visible sur le site : www.victimes-pesticides.org. « Nous n'avons aucun moyen de protection puisque la législation est inapplicable sur le terrain. Ainsi pour éviter l'exposition aigue et quand nous le pouvons, nous devons quitter notre maison pour attendre que le nuage passe. Le dialogue est difficile avec les différents acteurs locaux, même les maires qui ont pourtant un devoir d'Officier de Police Judiciaire et qui devrait constater les infractions. », déplore M. Pouchin, victime.

Notre objectif : Trouver des solutions durables pour protéger toutes celles et ceux qui seraient exposés aux pesticides. « Pour protéger ces populations il convient donc d'accélérer le plan de réduction de l'utilisation ,et de retirer les molécules les plus dangereuses et faciliter la réduction de 50% des pesticides - par exemple en créant autour des communes françaises des zones agricoles « bio » qui puissent fournir les cantines scolaires. Pour atteindre ces objectifs rejoignez le réseau et témoignez sur notre site », indique Aurèle Clémencin, chargé de la campagne au MDRGF et HEAL.


(1) D.A. Schwartz and J.P. LoGerfo, Congenital limb reduction defects in the agricultural setting, Am J Pub Health, 1988, 78 : 654-57

Documents joints

Dossier de Presse "Victimes des pesticides" (2.4 Mo)

Source : publié par pesticides et cancer

http://www.dazibaoueb.fr/article.php?art=5286

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6 août 2009 4 06 /08 /août /2009 12:08

publié par roland (Dazibaouebmaster) Avant-hier 05H58

grippePar Mireille Delamarre (titre traduction synthèse)

Source: Planète non violence

Après l'affaire du sang contaminé, celle des vaccins contre la grippe porcine insuffisamment testés ? Le ministère de la santé a lancé une vaste campagne de frayeur, et est sur le point à la rentrée de démarrer une campagne d'expérimentation massive de vaccins qui n'ont pas suffisamment été testés, ceci afin de servir les intérêts des multinationales de l'industrie pharmaceutique amies de Mme Bachelot. Ci dessous la traduction d'informations pertinentes concernant les risques que font courir ces vaccinations aux enfants, de même que les effets secondaires inquiétants provoqués par la prise à titre préventif de Tamiflu.


Le vaccin de la grippe porcine ne devrait pas être administré aux enfants dans les écoles

Le 26 Avril dernier l'état d'urgence en matière de santé publique a été déclaré par des responsables des ministères US de la Santé et de l'Intérieur. On nous a dit que c'était nécessaire de déclarer cet état d'urgence car des personnes tombaient malades touchées par un nouveau virus celui de la grippe porcine qui s'est d'abord manifesté au Mexique et pourrait provoquer une pandémie de grippe mortelle.

Jusqu'à présent, la grande majorité des personnes touchées par ce virus de la grippe porcine montrent des symptômes qui ne sont pas pire que ceux de la grippe courante et se rétablissent vite.

3 semaines de tests pour des vaccins contre la grippe porcine

La déclaration au printemps dernier de l'état d'urgence national en matière de santé publique a déclenché toute une suite d'évènements : certaines écoles ont été fermées, certaines personnes ont été mises en quarantaine, et les producteurs de médicaments ont reçu des milliards provenant des impôts pour mettre au point de nouveaux vaccins expérimentaux contre la grippe porcine. Ces nouveaux vaccins sont rapidement approuvés par la FDA (autorité fédérale délivrant l'autorisation de mise sur le marché des médicaments ndlt) . On nous dit qu'ils seront testés seulement pendant quelques semaines sur quelques centaines d'enfants et d'adultes avant d'être injectés aux enfants dans les écoles en Octobre.

Responsabilité et protection contre les effets négatifs et décès provoqués par les vaccins

Depuis la législation votée au Congrès en 2001, une EUA ( Emergency Use Authorisation - Autorisation d'Utilisation d'Urgence) permet aux sociétés productrices de médicaments, des responsables de la santé et quiconque administre un vaccin expérimental à des Américains lors d'une période d'état d'urgence en matière de santé publique, d'être protégés de toute responsabilité si des personnes en subissent des conséquences négatives.

Sécurité et consentement après information malmenés dans les écoles

Le National Vaccine Information Center (NVIC) a depuis 1982 servi d'observatoire sur la sécurité des vaccinations. Nous remettons en question le besoin de transformer les écoles en dispensaires médicaux cet automne où des vaccins contre la grippe porcine seront mis en circulation précipitamment sur le marché et administrés aux enfants en priorité. Nous appelons l'Administration Obama et les gouverneurs des états à fournir des preuves solides aux parents que c'est nécessaire de vacciner leurs enfants avec des vaccins expérimentaux contre la grippe porcine dans les écoles.

Les états sont -ils prêts à respecter les provisions en matière de sécurité inscrites dans le National Childhood Vaccine Injury Act (loi sur les effets négatifs des vaccinations enfantines ) de 1986 qui comprend :

1. fournir aux parents une information écrite sur les bénéfices des vaccins et les risques avant que les enfants ne soient vaccinés;

2. Conserver l'enregistrement des vaccins administrés aux enfants dont le nom du producteur et le numéro du lot;

3. enregistrer les vaccins administrés aux enfants dans leurs carnet medicaux;

4. enregistrer les problèmes graves de santé qui se sont manifestés après la vaccination dans le carnet médical de l'enfant et envoyer immédiatement un rapport au VAERS ( federal Adverse Event Reporting System - Système Fédéral d' Enregistrement Des Effets Négatifs).

Les états vont-ils dédommager les enfants victimes d'effets négatifs ?

Et il y a d'autres questions auxquelles il est nécessaire de répondre.

Les états sont-ils prêts à fournir une indemnisation financière pour les enfants victimes des effets négatifs des vaccins contre la grippe porcine administrés dans les écoles ?

Va-t-on fournir aux parents une information complète fiable sur les risques des vaccins contre la grippe porcine et auront-ils la possibilité de dire "OUI" ou "NON" avant que leurs enfants ne soient alignés et vaccinés dans les établissements scolaires ?

Les vaccins sont des produits pharmaceutiques porteurs de risques d'effets secondaires nocifs ou de mort et ces risques sont plus importants pour certains que pour d'autres. 2 enfants sur 6 en Amérique sont handicapés. 1 enfant sur 9 a de l'asthme et 1 sur 150 est autiste. 1 sur 450 a du diabète et des millions souffrent d'allergies et de problèmes auto immunes. La vaccination contre la grippe porcine sera t-elle non dangereuse pour eux ?

Bien que ce soit une bonne idée pour les responsables de la santé de se préparer au pire scénario et de stocker des vaccins, c'est une mauvaise idée de transformer les écoles en dispensaires médicaux et de fait tester des vaccins expérimentaux contre la grippe porcine sur des enfants d'abord. Et ce surtout quand personne ne peut être tenu pour responsable. Cela peut potentiellement faire du mal aux enfants au lieu de les garder en bonne santé.

Le NVIC organise une conférence portant sur les risques des vaccinations du 2-4 Octobre à Washington DC. Voir leur site pour plus d'information : www.nvic.org

Article de Barbara Loe Fisher - 22/07/09 - Copyright: NVIC ( National Vaccin Information Center) Virginia - USA

Commentaire de la traductrice

En France nous n'avons aucune protection juridique contre les abus de vaccinations, expérimentales ou non. Des milliers de personnes souffrent de pathologies graves lourdement handicapantes suite à des vaccinations et rencontrent souvent de nombreux obstacles pour obtenir une prise en charge à 100% de la Sécurité Sociale. Mme Bachelot, l'actuelle ministre de la santé de la Sarkozie, prevoit en plus de réduire la prise en charge des personnes atteintes de maladies longues durée (MLD). Autrement dit, tout en utilisant sa fonction ministérielle pour satisfaire les intérêts de ses amis de l'industrie pharmaceutique (près d'1 milliard d'euros payé par les contribuables pour ces vaccins) , Mme Bachelot, pharmacienne de profession, s'arrangerait pour que les effets négatifs des vaccinations expérimentales ne coûtent rien à l'état (désengagement des MLD). La politique de la Sarkozie est claire : réduire l'accès aux soins tout en offrant des cadeaux à l'industrie pharmaceutique.

Mais, que Mme Bachelot sache qu'elle sera tenue pour responsable juridiquement, de même que les autorités de tutelle de son ministère, le moment venu, pour les graves conséquences que pourraient avoir ces vaccinations expérimentales pour des milliers de français, enfants et adultes.

Alors, après l'affaire du sang contaminé, l'affaire des vaccins contre la grippe porcine insuffisamment testés ?

 


 

Effets secondaires inquiétants en Grande Bretagne chez plus de 50% des enfants traités au Tamiflu

Selon un article de David Rose publié sur Global Research www.globalresearch.ca, du 03/08/09 qui se base sur des informations du ministère de la santé britannique, le Tamiflu administré à des enfants les rend malades et provoquent des cauchemars.

Bien qu' officiellement le Tamiflu soit qualifié de non dangereux, en Grande Bretagne plus de la moitié des enfants qui ont été traités au Tamiflu contre la grippe porcine ont souffert d'effets secondaires tels que des nausées, et des cauchemars, selon des études menées par l'Agence de Protection de la Santé.

Selon ces études portant sur des enfants fréquentant 3 écoles de Londres et 1 dans le Sud Ouest de l'Angleterre, 51-53% des enfants traités présentaient 1 ou plus d'effets secondaires dus au Tamiflu, médicament offert à chaque personne présentant des symptômes type grippe porcine en Angleterre.

Selon Peter Holden, expert en chef sur la grippe porcine de l'Association Médicale Britannique, on a trop recourt au Tamiflu et il n'est pas nécessaire de le mettre à disposition dans le cas de symptômes mineurs. Selon lui, " pour les patients qui ne font pas partie des groupes à haut risque - les femmes enceintes, les personnes souffrant d'asthme sévère, ou celles dont les système immunitaire est défaillant - ce virus provoque habituellement des symptômes mineurs et ne nécessite pas d'avoir recours au Tamiflu. En ce qui concerne les patients à hauts risques il est nécessaire des les orienter vers leurs médecins traitants et c'est à ces derniers de décider en fonction de leur expertise médicale."

L'étude à Londres a été menée auprès de 103 enfants, en Avril et Mai alors que le Tamiflu était distribué à titre préventif. 85 enfants ont reçu le traitement au Tamiflu dans le cadre d'une action préventive car l'un de leurs camarades de classe avait été diagnostiqué comme ayant la grippe porcine. De ces 85, 45 ont souffert d'1 ou plusieurs effets secondaires. Le plus fréquent : la nausée (29%) suivi de douleurs d'estomac ou de crampes d'estomac (20%) et des problèmes de sommeil (12%). Presque 1 enfant sur 5 présentait des "effets secondaires neuropsychiatriques" tels que l'incapacité de penser clairement, des cauchemars et " un comportement étrange" selon l'étude qui a été publiée dans Eurosurveillance un journal traitant de maladies. Les mêmes résultats ont été retrouvés lors d'une étude menée sur des enfants du Sud Ouest de l'Angleterre dont un camarade avait contracté la grippe porcine au Mexique.

Ces résultats, et les inquiétudes qu'ils suscitent, viennent s'ajouter aux recommandations de responsables de la santé au Japon demandant à ce que le Tamiflu ne soit pas prescrit aux adolescents parce que ce médicament augmente les "incidents neuropsychiatriques".


Source: Planète non violence

 

Un grand merci à Planète Non Violence de m'avoir autorisé à reproduire ses articles


http://www.dazibaoueb.fr/article.php?art=5296

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6 août 2009 4 06 /08 /août /2009 11:51
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5 août 2009 3 05 /08 /août /2009 08:23

La Grippe Porcine…Les Groupes Pharmaceutiques… et le "génocide planétaire! »

La Grippe Porcine…Les Groupes Pharmaceutiques… et le génocide planétaire!!!

Novartis Pharmaceutical a conspiré en complicité avec plusieurs entités proches des Etats pour commettre un génocide mondial

...

août 4 2009 / 4 comments / Read More »
Washington Post: « le vaccin contre la grippe porcine contient du mercure »

Le Washington Post a confirmé ce jour que le vaccin contre la grippe porcine contiendra du mercure une toxine responsable de troubles neurologiques et...

août 4 2009 / 3 comments / Read More »


http://www.spreadthetruth.fr/wordpress27/
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5 août 2009 3 05 /08 /août /2009 07:44


Le scandale des OGM : Les effets à long terme de la nourriture génétiquement modifiée sur les humains : Tout test scientifique doit d’abord être approuvé par l’industrie publié par graffitix le 02/08/2009 19H49

 

L’un des grands mystères autour de la propagation des OGM dans le monde, depuis la sortie des premières cultures commerciales au début des années 90 aux États-Unis et en Argentine, c’est l'absence d'études scientifiques indépendantes sur les éventuels effets à long terme d'un régime à base d’OGM sur l'homme ou même le rat. La raison réelle se dévoile maintenant. Les compagnies agro-alimentaires des OGM, comme Monsanto, BASF, Pioneer, Syngenta et d'autres, interdisent la recherche indépendante.

 

En août 2009, un éditorial du mensuel scientifique réputé, Scientific American, a révélé la réalité choquante et alarmante cachée derrière la prolifération des OGM dans toute la chaîne alimentaire de la planète depuis 1994. Aucune revue scientifique réputée du monde ne publie d’étude scientifique indépendante pour une raison simple. Il est impossible de vérifier indépendamment que les cultures d’OGM, comme le Soja Roundup Ready de Monsanto ou le maïs MON8110, se comportent comme le prétend la compagnie ou que, comme les compagnies l’affirment aussi, ils n'ont aucun effet secondaire pernicieux, parce que les compagnies des OGM interdisent ce genre de tests !
(...) par F. William Engdahl
La suite ici, source mondialisation.ca

http://www.dazibaoueb.fr/article.php?art=5271

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