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Le ministre syrien des Affaires étrangères était au siège des Nations Unies où il a rencontré le secrétaire général de l'organisation. Il a aussi prononcé un discours haut en couleur où il a condamné la violence et demandé à nouveau aux terroristes de déposer les Kalachnikov et de parlementer. Derrière cet homme, se cache la fidélité à [...]
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Pourquoi Israël se réjouit tant des tensions entre le Canada et l’Iran… Mondialisation.ca
Par une décision prise dans la précipitation et incroyablement hystérique, le 7 septembre dernier, le gouvernement canadien a suspendu tous ses liens diplomatiques avec l’Iran, fermé son ambassade à Téhéran et ordonné aux diplomates iraniens de quitter le sol canadien dans les 5 jours.
Le Ministre canadien des affaires étrangères John Baird a fait une déclaration incroyablement agressive, qualifiant l’Iran de « la menace la plus grave pour la paix et la sécurité dans le monde aujourd’hui. » Comme prétextes pour interrompre les relations diplomatiques avec l’Iran, il a cité des raisons telles que l’attaque en 2011 de l’ambassade britannique à Téhéran par des étudiants iraniens, le soutien de l’Iran au gouvernement du président syrien Bachar Al-Assad, et son prétendu échec à ce que l’on lui fasse confiance quant à son programme nucléaire.
Hormis la grave impolitesse de l’initiative du gouvernement canadien, la déclaration de M. Baird était une insulte absolue et incontestable pour le peuple de l’Iran, comme pour sa glorieuse civilisation et sa culture éprise de paix.
Il est tout à fait impossible de citer n’importe quel exemple d’une action agressive par l’Iran contre les autres nations tout au long du siècle passé. Durant l’ère contemporaine, l’Iran n’a jamais envahi ni attaqué un pays quel qu’il soit. Bien au contraire, il a été la victime de guerres injustes imposées par des puissances impériales. En 1941, les forces armées soviétiques, anglaises et du Commonwealth ont envahi l’Iran afin d’essayer de miner l’influence allemande croissante des Allemands et son contrôle sur de vastes réserves pétrolières. Près de quatre décennies plus tard, sous la pression des États-Unis et de ses alliés européens, le dictateur irakien Saddam Hussein a envahi l’Iran et a fait mourir plus de 500 000 Iraniens avec l’objectif final de tuer dans l’œuf la révolution iranienne. Bien que les deux guerres aient été des échecs, elles ont permis au peuple iranien de sentir le goût amer de l’assujettissement et des massacres. Alors que l’Iran est la victime des politiques de l’impérialisme et des activités bellicistes des superpuissances, c’est une mauvaise plaisanterie de prétendre que ce pays constitue la menace la plus grave pour la paix et la sécurité mondiales.
Mais avec la suspension unilatéralement prise par le gouvernement Canadien de suspendre tout lien diplomatiques entre Téhéran et Ottawa, personne n’en est maintenant plus heureux que les dirigeants israéliens. « J’apprécie énormément la position et la conviction manifestées par le Premier ministre Harper et le gouvernement du Canada, » a déclaré le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu dans une entrevue avec la radio CBC. « Je pense que chacun en Israël apprécie sa position directe contre un régime qui brutalise son propre peuple, qui se rend complice du meurtre de dizaines de milliers de personnes en Syrie, qui nie l’Holocauste et réclame l’éradication de l’état d’Israël tout en poursuivant un programme illicite pour développer des armes nucléaires, » a-t-il ajouté.
Le Président israélien Shimon Peres – à qui a été attribué en 1994 le prix Nobel pour la Paix pour son rôle déterminant dans le massacre de Kafr Qasim en 1956 dans lequel ont été tués 6 femmes, 23 enfants âgées de 8 à 17 et un total de 49 personnes, et a exprimé sa reconnaissance à la fondation Nobel en participant directement au massacre de Qana au Liban en 1996 – ne pouvait pas non plus cacher son bonheur après l’initiative canadienne : « Le Canada a prouvé une fois de plus que la morale précède le pragmatisme. Le Canada a démontré que la politique doit refléter des principes et des valeurs, » a dit Peres dans une déclaration. « Je remercie mon collègue Gouverneur général David Johnston, le Premier ministre Stephen Harper et toute la nation du Canada d’avoir pris une position basée sur la morale la plus élevée, et j’espère que d’autres nations verront le Canada comme un modèle sur le plan moral, » a poursuivit Peres.
Les dirigeants iraniens ont qualifiée la décision du gouvernement canadien de décision prise sous la pression du lobby israélien, stigmatisant son attitude servile face aux sionistes qui veulent détourner l’attention internationale des atrocités qu’ils commettent dans les territoires palestiniens sous occupation.
« Le gouvernement actuel du Canada sous la direction de M. Stephen Harper est connu pour ses prises de position extrêmes dans le domaine de la politique étrangère, » a déclaré Ramin Mehmanparast, Porte-parole du Ministère iranien des affaires étrangères. « Le comportement hostile de l’actuel gouvernement raciste du Canada suit en réalité les politiques dictées par les sionistes et les Britanniques. » Et bien évidemment, le porte-parole iranien a raison. Le lobby israélien au Canada est extrêmement influent et puissant et les dirigeants canadiens sont si serviles et obéissants vis-à-vis du régime israélien que l’on considère à certains moments le Canada comme un État satellite d’Israël.
Peut-être les relations profondément enracinées et inextricables entre Israël et le Canada sont-elles le mieux décrites par Yves Engler dans son livre révélateur paru en 2010 : « le Canada et Israël : construire l’Apartheid. » Cet ouvrage bien rédigé et bien documenté dépeint comment le gouvernement canadien a aidé à la formation de l’état israélien en 1948 et de quels énormes appuis le Canada a fait bénéficier Israël au cours des 64 dernières années.
Il y a plusieurs organisations israéliennes et juives qui opèrent au Canada et dont l’objectif ultime est de protéger les intérêts d’Israël dans les décisions prises par le gouvernement canadien, particulièrement en ce qui concerne les questions de politique étrangère. Un de ces organismes est le Comité Canada-Israël, financé par le Conseil Canadien pour Israël et la Jewish Advocacy (CIJA), le fer de lance du United Israel Appeal Canada (UIAC). Ce groupe a été dissous en 2011, mais ses responsabilités ont été endossées par son organisation mère, le CIJA. Selon le site internet Jewish Federations of Canada, 4 millions de dollars sont annuellement assignés aux organisations pro-israéliennes au Canada. Cependant, Peyton V. Lyon, Professeur émérite en Sciences Politiques à l’Université de Carleton, a révélé que le budget du Comité Canada-Israël, avant sa dissolution, était d’environ 11 millions de dollars.
La Jewish Federations of Canada chapeaute plusieurs organisations auxiliaires qui s’activent pour faire la promotion des idées pro-israéliennes dans la société canadienne, renforcer les liens diplomatiques, économiques et culturels entre le Canada et Israël et renforcer la communauté juive au Canada, particulièrement en finançant journaux, télévisions et stations de radio dans le pays. Ces organismes qui bénéficient de fonds importants incluent le Canada Israel Experience (CIE), le Regional Jewish Communities of Ontario (RJCO), le Bequest and Endowment Fund et le Canadian Jewish Congress (CJC).
Selon Zalman Amit, Professeur de psychologie et émerite à l’Université de Concordia à Montréal, les communautés juives canadiennes envoient quelques 75 millions de dollars en Israël annuellement.
Il est facile de démontrer combien la politique au Moyen-Orient du Canada est fortement influencée par le lobby pro-israélien. « Qui décide de la politique du Canada au Moyen-Orient ? Un classement sur l’influence en politique, fait par un groupe d’officiels du Ministère des affaires étrangères, a placé la communauté juive canadienne en tête avec la note de 5,85, comparée à 5,40 pour respectivement le cabinet du Premier Ministre et le Département des Affaires Extérieures. La communauté arabe canadienne arrive à 1,80, soit au seizième rang sur les 18 notes attribuées, » explique le Prof. Peyton V. Lyon que j’ai cité plus haut dans l’article.
Et les officiels canadiens n’ont été jamais gênés d’afficher leur appui sans conditions à Israël. Lors du soixante-et-unième anniversaire de la création d’Israël, le Premier ministre Canadien Stephen Harper a déclaré : « Nous nous comptons parmi les associés les plus proches d’Israël. Depuis sa fondation en 1948, le Canada a soutenu Israël et son droit de vivre dans la paix et la sécurité avec ses voisins. Nous donnons une grande valeur à ces relations et escomptons bien que l’amitié et la collaboration se poursuivent. »
Ce qui semble clair, c’est qu’Israël est extrêmement satisfait que le Canada ait suspendu ses liens diplomatiques avec l’Iran. Il situe cette initiative dans le cadre d’un plan plus large visant à ’isoler l’Iran au niveau international, et il est difficile de douter qu’Israël ait été impliqué dans la décision que le gouvernement canadien a prise sans crier gare. Pourtant ces tentatives d’isoler l’Iran ont d’ors et déjà échoué. Le 31 août, 120 pays du monde du Mouvement des Non-alignés réunis dans Téhéran ont mis leur poids derrière le programme nucléaire iranien et ont exprimé leur opposition aux sanctions unilatérales des États-Unis et de leurs alliés européens contre l’Iran. L’Iran n’est pas un pays qui peut être si facilement isolé.
Kourosh Ziabari
Le 13 septembre, 2012.
Texte original en anglais (13.09.2012) : http://www.silviacattori.net/article3680.html
Traduit de l’anglais pour Info-Palestine.net par Claude Zurbach
http://www.info-palestine.net/article.php3?id_article=12663
Kourosh Ziabari est un jeune journaliste indépendant vivant en Iran. Il a publié book “7+1″ qui est une collection de ses interviews de 7 auteurs iraniens contemporains. Ziabari contribue au site http://www.Opednews.com. Il est aussi correspondant en Iran de OhMyNews international.
Blog en persan : http://kouroshz.blogfa.com
Blog en anglais : http://cyberfaith.blogspot.com
http://www.mondialisation.ca/pourquoi-israel-se-rejouit-tant-des-tensions-entre-le-canada-et-liran/
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Pas d’entité kurde en Syrie,
dit le chef des Frères MusulmansPar Gilles Munier*
Concernant leur avenir dans une Syrie post-Assad, les Kurdes de Syrie savent à quoi s’en tenir si le CNS (Conseil national syrien), et plus particulièrement si l’actuelle direction des Frères Musulmans sa principale composante, parvient au pouvoir. Dans une interview au quotidien turc Cumhuriyet, Mohammed Riad al-Shaqfa, secrétaire général de la confrérie, a dit clairement qu’il est «opposé à l’établissement d’une entité kurde en Syrie» (1). On s’en doutait, surtout depuis le refus du CNS au Caire, le 2 juillet dernier, d’introduire un paragraphe reconnaissant le peuple kurde en tant que nation ou tout du moins lui permette d’exercer ses droits linguistiques et culturels. Les délégués du PYD (Parti de l’union démocratique) et du CNK (Congrès national kurde) avaient alors quitté la salle et la réunion s’était achevée par un pugilat !
Le lendemain, des membres de l’opposition syrienne ont enlevé un jeune kurde à Afrin (au nord-ouest d’Alep) et l’ont décapité. Poursuivis, les assassins ont été rejoints et tués. Salih Mohammad Muslim, chef du PYD, a accusé l’ASL (Armée syrienne libre) d’être l’auteur du crime. En novembre 2011, il déclarait à kurdwatch.org : les Frères Musulmans « ont signé un accord avec la Turquie par lequel ils nieront l'existence des Kurdes s'ils viennent au pouvoir en Syrie », tous ceux qui siègent au CNS sont des « sbires de la Turquie » (2).
Depuis, suite à un accord secret avec le PKK (Parti des Travailleurs du Kurdistan), dont le PYD est la branche syrienne, les troupes et les services de renseignements du régime de Bagdad se sont quasi totalement retirés de la région kurde, pour contenir le soulèvement populaire à Alep et à Homs. La photo d’Abdullah Ocalan, chef du PKK emprisonné en Turquie depuis février 1999, trône dans tous les bureaux officiels.
La région kurde syrienne est désormais contrôlée par le PYD, sous couvert du Congrès national kurde (CNK) créé les 9 et 10 juillet dernier à Erbil sous la houlette de Massoud Barzani, président de la Région autonome du Kurdistan irakien. Des Comités de défense du peuple se sont transformés en Forces armées kurdes (YPG). Près de Dohouk, en Irak, un camp d’entraînement accueille les déserteurs kurdes et les prépare à l’après-Assad. Selon Barav Hassan, un des représentants du CNK, un millier de membres et de cadres du PKK a passé la frontière syrienne pour entraîner militairement les militants kurdes syriens (3).
A kurdwatch.org qui lui demandait, fin 2011, ce qui se passerait si Damas changeait de stratégie, Salih Mohammad Muslim, chef du PYD, a répondu : « Nous verrons ce qui arrivera ».
(1) Leader of Muslim Brotherhood Opposes Kurdish Entity in Syria, par Adib Abdulmajid (Rudaw - 22/9/12)
http://www.rudaw.net/english/news/syria/5231.html(2) Interview de Salih Mohammad Muslim (Kurdwatch – 8/11/11)
http://www.kurdwatch.org/index?aid=2182(3) PYD Accused of Abuse of Power in Kurdish Areas of Syria, par Hevidar Ahmed (Rudaw - 18/9/12)
http://www.rudaw.net/english/news/syria/5214.html(4) Interview de Salih Mohammad Muslim (Kurdwatch – 8/11/11)
http://www.kurdwatch.org/index?aid=2182_______
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http://www.france-irak-actualite.com/ .
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L'Iran fustige les propos de Netanyahu aux Nations-Unies |
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Nullement impressionné par le discours "schématique" un peu enfantin du premier ministre israélien Benjamin Netanyahu (photo ci-contre), le représentant adjoint iranien à l’ONU, Issac Al Habib, fustigé ce dernier en réaffirmant la détermination inébranlable de son pays de défendre, par la force s’il le faut, son droit à l’énergie nucléaire !
"La République islamique d’Iran est assez forte pour se défendre et se réserve le droit de riposter avec toute la force nécessaire à toute attaque", selon une déclaration que le représentant adjoint iranien à l’ONU, Issac Al Habib, devait lire à la tribune de l’Assemblée jeudi soir.
Et de poursuivre :
"Pour la deuxième fois dans l’histoire récente des Nations Unies, un graphique imaginaire et infondé a été utilisé pour justifier une menace contre un membre fondateur" de l’ONU.Il se référait implicitement aux "preuves" apportées en 2003 devant le Conseil de sécurité de l’ONU par le secrétaire d’Etat américain Colin Powell, affirmant que l’Irak détenait des armes de destruction massive, et qui avaient mené à l’invasion américaine le mois suivant.
"Il n’est pas possible que les
nations soient abusées par des moyens aussi absurdes", a martelé le représentant iranien.
Il a accusé Israël, puissance nucléaire non déclarée, "de détourner l’attention des Etats membres du danger de son (propre) programme nucléaire clandestin (...) qui est l’unique source de menace sur la paix et la stabilité du Moyen-Orient".
Le représentant iranien a également réaffirmé que le programme nucléaire de son pays était "exclusivement pacifique et en pleine conformité avec les obligations internationales".
Ce discours, qui n’était pas attendu, a été présenté comme une "réponse aux allégations du Premier ministre israélien" jeudi midi devant l’Assemblée générale de l’ONU.
Rappelons que dans son allocution, Benjamin Netanyahu avait demandé l’établissement d’une "ligne rouge claire" pour empêcher l’Iran de se doter d’une arme atomique.
Comparant un Iran nucléaire à "Al-Qaïda armé de bombes atomiques", M. Netanyahu a assuré que "l’avenir du monde était en jeu" et que "le temps pressait".
Illustrant son propos par une pancarte représentant schématiquement une bombe, M. Netanyahu a milité pour empêcher l’Iran, qui en est actuellement à 70% selon lui, d’atteindre le seuil de 90% d’enrichissement de son uranium.
Il a même tracé une ligne rouge au feutre sur le dessin.
"Au printemps prochain, au maximum l’été prochain au rythme où ils poursuivent actuellement l’enrichissement (...), ils pourront passer à l’étape finale", a assuré Benjamin Netanyahu. "Ils n’ont besoin que de quelques mois, peut-être quelques semaines, avant d’avoir suffisamment d’uranium enrichi pour la première bombe".
"Le temps presse, il est très tard", a-t-il averti : "L’avenir du monde est en jeu (...), rien ne peut mettre davantage en péril notre avenir qu’un Iran doté d’armes nucléaires", a-t-il martelé.
Pour sa part, la secrétaire d’Etat américaine Hillary Clinton affirmé lors d’une rencontre en marge de l’Assemblée avec le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu ont réaffirmé lors d’une rencontre jeudi soir à New York que leurs deux pays voulaient "empêcher" l’Iran d’avoir la bombe atomique, a indiqué un haut responsable américain.
Les deux dirigeants ont eu une "discussion en profondeur sur l’Iran et ont réaffirmé que les Etats-Unis et Israël partageaient le même objectif d’empêcher l’Iran d’acquérir une arme nucléaire", a déclaré ce diplomate du département d’Etat.
Mme Clinton et M. Netanyahu se sont entretenus en tête à tête durant 75 minutes, en marge de l’Assemblée générale de l’ONU. "Ils sont tombés d’accord pour continuer leur étroite coopération et leurs consultations pour parvenir à cet objectif" d’empêcher Téhéran ne se dote d’une arme nucléaire, a expliqué le responsable américain.
Au cours de leur "conversation ouverte et constructive", la chef de la diplomatie américaine et le chef du gouvernement israélien ont également discuté de la situation "régionale" et du processus de paix israélo-palestinien, selon le diplomate américain.
Le Premier ministre israélien avait demandé jeudi devant l’ONU l’établissement d’une "ligne rouge claire" pour empêcher l’Iran de se doter d’une arme atomique, assurant que Téhéran serait bientôt en mesure d’en fabriquer une.
M. Netanyahu réclame depuis des semaines à l’administration du président américain Barack Obama de fixer à l’Iran "des lignes rouges claires" à ne pas franchir dans son programme nucléaire sous peine de s’exposer à une attaque militaire.
Mais il s’est heurté à des fins de non-recevoir de Washington, la dernière fois dimanche, quand le président Obama a qualifié de "bruit" les appels d’Israël à dicter des ultimatums à l’Iran.
Le président américain avait affirmé mardi devant l’Assemblée générale de l’ONU que les Etats-Unis feraient "ce qu’ils doivent faire" pour empêcher l’Iran d’obtenir la bombe atomique.
Pour régler la crise du nucléaire iranien, les Etats-Unis et leurs partenaires au sein du groupe dit P5+1 (les cinq membres permanents du Conseil de sécurité et l’Allemagne) privilégient une stratégie à "double voie" combinant diplomatie et sanctions économiques contre Téhéran.
http://www.toutsaufsarkozy.com/cc/article02/EFulAkkEkEoJpiCMxk.shtml.