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13 juillet 2010 2 13 /07 /juillet /2010 01:50

Encore une conséquence du 11 septembre et du Patriot Act, l’Union Européenne a voté un texte un peu controversé permettant aux USA d’accéder aux données bancaire des transactions effectuées via SWIFT. Il a été adoptée par 484 voix pour, 109 voix contre et 12 abstentions. L’AFP rapporte que selon la commissaire européenne à la Justice Viviane Reding il s’agit d’un « mal nécéssaire« . Sans blâmer l’Union Européenne, on s’interroge sur le type de nécessité qui peuvent conduire à ce genre de transaction… la sécurité anti terroriste reste l’argument magique. Le Trésor américain, dés le 1er août 2010 pourra accéder aux données financières de 8.000 banques sur 200 pays gérées par la société Swift, ce pour une durée reconductible de 5ans. Et la contrepartie semble bien maigre vu l’enjeux de cette négociation : « un observateur européen, nommé par la Commission, sera présent au Trésor américain où sont traitées ces données pour s’assurer que cela est fait dans les règles« .  « Si le citoyen européen a un problème avec cela, il a le droit d’être informé de l’analyse de ses données et d’obtenir une compensation », s’il y a eu abus. Puis, pour bien nous rassurer, sur la mise en place, Mme Reding a répondu: « je n’ai pas les détails techniques mais si un citoyen est soupçonné il le saura à un certain moment ».

Le site touteleurope.fr, insiste sur le travail parlementaire qui a porté ses fruits :

Point clé pour l’accord du Parlement européen, l’élimination, à terme, des transferts de données ‘en vrac’ : en contrepartie d’un soutien à l’accord, les députés ont obtenu que les travaux débutent dans les douze mois sur la mise en place d’un équivalent européen au ‘Terrorism Finance Tracking Programme’ (TFTP) nord-américain, qui mettrait fin aux transferts de données bancaires non-individualisées. L’Europe aurait en effet une structure permettant d’analyser les données sur son sol et ne transmettrait alors que les informations relatives à une piste terroriste précise.

Si l’accord ne semble pas non plus concerner les transactions financières intra-européennes, un doute subsiste sur la durée de rétention des données. Les USA négociaient initialement sur une base de 15 années de rétention des données collectées ! … Des croisements de données dans quelques Super Cray via un petit cloud maison pour passer tout ça au shaker avec quelques interceptions de communications satellitaires et quelques petits mesh relais sponsorisé par Google… dans le dos de l’UE, techniquement, avec les moyens de l’Etat américain, ça peut se faire relativement discrètement.

Cette situation n’est donc pas acceptable et Mme Reding de conclure : Les Européens devraient « construire leur propre système d’analyses de données financières ».

On peut par exemple déplorer que ce type d’accord ne fonctionne pas dans les deux sens et que le texte fasse l’impasse sur un éventuel sérieux (donc indépendant et doté de moyens) organisme de controle des données extraites par les américains qui font la chasse aux terroristes à défaut d’avoir trouver des armes de destructions massives sur les Internets.

  • Sur quels critères l’administration américaine définira la notion de terroriste ?
  • L’Union Européenne a t-elle négocié des contreparties, par exemple en coopération judiciaire ?
  • Quid des perquisitions et saisies de données aux frontières ?

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Auteur : Bluetouff - Source : ☠ Bluetouff's blog

 

 

http://www.dazibaoueb.fr/article.php?art=14181

 

 


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8 juillet 2010 4 08 /07 /juillet /2010 22:22
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8 juillet 2010 4 08 /07 /juillet /2010 22:18

Internationalnews

Naturalnews

 

 

(NaturalNews) As CNN is now reporting, the U.S. government has issued a new rule that would make it a felony crime for any journalist, reporter, blogger or photographer to approach any oil cleanup operation, equipment or vessel in the Gulf of Mexico. Anyone caught is subject to arrest, a $40,000 fine and prosecution for a federal felony crime.

CNN reporter Anderson Cooper says,
"A new law passed today, and back by the force of law and the threat of fines and felony charges, ... will prevent reporters and photographers from getting anywhere close to booms and oil-soaked wildlife just about any place we need to be. By now you're probably familiar with cleanup crews stiff-arming the media, private security blocking cameras, ordinary workers clamming up, some not even saying who they're working for because they're afraid of losing their jobs."


Vidéo sur le site



http://www.internationalnews.fr/article-first-amendment-suspended-in-the-gulf-of-mexico-53432668.html

 

 

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6 juillet 2010 2 06 /07 /juillet /2010 03:15
publié par roland (webmaster) Avant-hier 18H39 

 
La Cour suprême US : toute aide non violente à des groupes terroristes équivaut à du «terrorisme».
Cette décision signifie que les citoyens peuvent être poursuivis pour avoir offert une aide de quelque nature que ce soit à des organisations dites terroristes.




La Cour suprême des Etats-Unis a confirmé les dispositions d’une loi de grande portée qui dispose que les citoyens états-uniens dispensant des conseils à des organisations interdites, notamment une assistance juridique et des informations sur la résolution d’un conflit, seront poursuivis en justice en tant que terroristes.

L’affaire jugée était celle de conseils relatifs aux droits humains dispensés par un groupe californien à des organisations kurdes et tamoules qui sont sur la liste des groupes terroristes aux Etats-Unis.

La Cour suprême a confirmé l’argument de l’administration Obama qui soutenait que même les conseils destinés à servir des objectifs pacifiques équivalaient à un «soutien matériel» au terrorisme.

Cela inclut par exemple le cas d’un avocat qui soumet une argumentation d’Ami de la Cour [non partie à l’affaire mais intéressé par la question en jeu - ndt] au nom d’un groupe interdit ou qui aide une organisation proscrite à adresser des pétitions à des organismes internationaux afin de mettre fin à un conflit violent.

«La Cour suprême a jugé que les défenseurs des droits de l’homme qui apportent une formation et une assistance dans le but d’une résolution non violente à des conflits peuvent être poursuivis en justice en tant que terroristes» selon David Cole, professeur de droit à l’université de Georgetown, qui a plaidé le dossier des défendeurs devant la Cour [l’appelant étant le gouvernement US - ndt].

«Au nom de la lutte contre le terrorisme, la Cour a déclaré que le Premier amendement (sur la liberté d’expression) permettait au Congrès de dire qu’il y a crime quand on œuvre pour la paix et les droits humains. A tort.»

La décision va probablement compliquer encore plus la tâche des militants qui soutiennent des causes controversées et qui ont déjà connu des poursuites judiciaires extrêmement discutables pour d’autres formes de soutien, telle que la collecte de fonds.

Des militants palestiniens ont déjà été poursuivis et emprisonnés pour avoir collecté de l’argent destiné à des groupes sociaux qui s’occupent par exemple de logement, d’aide sociale, et qui ont des liens avec le Hamas qui gouverne Gaza.

Les personnes et les groupes qui apportent des conseils de spécialistes, juridiques ou autres, à de telles organisations sont désormais exposés ouvertement à des poursuites judiciaires.

La décision en question concernait le Projet juridique humanitaire, de Los Angeles, qui dispense une formation sur les Droits de l’Homme au Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK).
Il a fait valoir pour sa défense que l’assistance était de nature non violente et qu’elle ne servait pas les objectifs du PKK.
L’un des défendeurs, Ralph Fertig, est avocat retraité et avait voulu aider le PKK en attirant l’attention des instances internationales sur les droits des Kurdes.
Le gouvernement US a déclaré de son côté qu’il considérait cela comme un soutien au terrorisme. Il a soutenu que Fertig était libre de parler en faveur des objectifs du PKK, mais qu’il ne pouvait pas lui donner ses conseils.

Le Parti des travailleurs du Kurdistan est l’une des quelque 30 organisations listées comme organisations terroristes par le gouvernement US. Il y a encore le Hamas, le Hezbollah et les Khmers rouges.

Une première instance avait déclaré la loi non applicable car imprécise et ce, sans aucune réserve. Mais, sur recours, par une majorité de 6 contre 3, la Cour suprême a jugé que le gouvernement avait le droit d’«interdire tout apport de soutien matériel sous forme de formations, de conseils par des spécialistes, de personnels et de services à des groupes terroristes étrangers, même si les militants ne visaient qu’un soutien à des groupes ayant des "fins non violentes"».

Le président de la Cour suprême, John Roberts, a déclaré: «Au fond, les défendeurs sont seulement en désaccord avec l’avis concerné du Congrès et de l’Exécutif selon lequel fournir un soutien matériel à une organisation étrangère désignée comme terroriste - même un soutien apparemment bénin - renforce les activités terroristes de ladite organisation.»

Pour les juges de première instance, cette décision «prive les personnes pour lesquelles nous sommes saisis de la protection assurée par le Premier amendement.»

A l’audience, les juges avaient discuté pour savoir ce qu’on entendait par conseils de spécialistes et si c’était un crime d’apprendre à un terroriste à jouer de l’harmonica.
Le dossier du gouvernement a été défendu devant la Cour en février par Elena Kagan, laquelle a été depuis désignée par l’administration Obama comme membre de la Cour suprême.
Son argument devant la Cour: «Le Hezbollah fabrique des bombes. Le Hezbollah construit aussi des maisons. Ce que le Congrès a décidé, c’est que lorsque vous aidez le Hezbollah à construire des maisons, vous aidez aussi le Hezbollah à construire des bombes. C’est toute la théorie que recouvre le texte de loi».


Chris McGreal
21.06.10
Source: The Guardian
Traduction: JPP


Auteur : ÉGALITÉ... sans guillemets - Source : ÉGALITÉ...



Actualités > Société, justice, police



http://www.dazibaoueb.fr/article.php?art=14002

 


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5 juillet 2010 1 05 /07 /juillet /2010 05:33

Touche pas à mon blog


L’effondrement du système pourrait déboucher sur l’avènement d’un nouveau monde, pour peu que les citoyens parviennent à à reprendre leur destin en main, ce qui nécessite tout d’abord qu’ils puissent s’exprimer. Là, le système a verrouillé des élections qui sont devenues des sit-coms, les médias sont contrôlés par les groupes financiers faillis, les gouvernants sont complices... reste l’Internet.

Des deux côtés de l’Atlantique, supprimer le seul canal d’expression libre est devenu LA priorité. Aux USA, on y va franchement, avec une loi qui annonce clairement la couleur (voir la vidéo d’Alex Jones) tandis qu’en Europe, la méthode est beaucoup plus fine : c’est sous couvert de lutter contre la pédo-pornographie, d’assurer l’égalité des européens qu’on opère à la suppression de la liberté restante.

Les députés européens ont œuvré en ce sens en adoptant la déclaration n°29. Présenté comme un instrument de lutte contre la cybercriminalité, discrètement, ce texte oblige les moteurs de recherche à conserver des données. Selon l’euro-député Françoise Castex, "Il instrumentalise de la lutte contre la pédopornographie pour faire voter des lois enfreignant les libertés fondamentales, et ensuite les étendre, par exemple, au cadre de la propriété intellectuelle."

Elle explique :

Il comporte deux points :
- le premier propose la création d’un Système d’Alerte Rapide Européen (SARE), soit un moyen coordonné entre les États membres pour combattre la pédo-pornographie et le harcèlement sexuel. C’est ce point qui a été mis en avant soutenu par une majorité d’eurodéputé (entrainant leur signature).
- le second “invite le Conseil et la Commission à mettre en œuvre la directive 2006/24/CE en l’étendant aux moteurs de recherche pour contrer avec rapidité et efficacité la pédo-pornographie et le harcèlement sexuel en ligne”. Or, la directive 2006/24/CE à laquelle il est fait référence, concerne la conservation des données. “Ce point sur l’extension de la rétention des données n’est indiquée nulle part sur les prospectus distribués à l’ensemble des députés et sur le site smile29 (apparenté à la déclaration 29), ce qui est malhonnête intellectuellement” commente Françoise Castex qui, depuis, a retiré son nom de la liste des signataires.
Les dangers de la directive 2006/24/CE
La directive 2006/24/CE a été adoptée au cours de la législature précédente, après une forte pression du Conseil, et malgré une opposition de la Commission des Libertés civiles. L’application d’une telle directive, notamment tel que semble le prévoir la Déclaration 29, pourrait amener à la conservation des mots-clés, ce qui porterait directement atteinte aux libertés fondamentales des internautes. Tout comme le filtrage prévu par la directive, et sur lequel le Contrôleur européen de la protection des données (CEPD) a émis un avis très critique quand à son impact sur les droits fondamentaux à la vie privée et à la protection des données.

Sous couvert de lutter contre la pédo-pornographie, il y s’agit donc d’une tentative pour restreindre nos libertés fondamentales



Non à l’instrumentalisation de la pédo-pornographie à des fins liberticides !

Bruxelles veut un meilleur contrôle des données sur internet

L’EU lance une consultation sur la neutralité de l’Internet

Directive 2006/24/CE du Parlement européen et du Conseil du 15 mars 2006 sur la conservation de données générées ou traitées dans le cadre de la fourniture de services de communications électroniques accessibles au public ou de réseaux publics de communications

"PARLEMENT" EUROPEEN : DÉCLARATION ÉCRITE n°0029/2010

Communication de la Commission au Parlement européen, au Conseil et au Comité des Régions - Vers une politique générale en matière de lutte contre la cybercriminalité



Et aux USA ?

Les derniers jours d' Internet (1-2)

 


A écouter absolument pour comprendre le monde qu'on nous prépare ! Effrayant ! Eva
Et ceci également, du sinistre Brezinski:
http://panier-de-crabes.over-blog.com/article-brezinski-s-inquiete-de-l-eveil-politique-des-moutons-53320016.html
Sur le blog d'eva désinformation,
http://anti-fr2-cdsl-air-etc.over-blog.com/article-les-derniers-jours-d-internet-aux-usa-et-en-union-europeenne-53435346.html

 


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2 juillet 2010 5 02 /07 /juillet /2010 23:22

Une juge autrichienne prise en faute est en train de faire en sorte que Jane Burgermeister soit réduite au silence en la mettant sous contrôle judiciaire

 

 

30 juin 2010 par Jane Burgermeister

 

Une juge autrichienne qui a été prise la main dans le sac, a fait en sorte hier que Jane Burgermeister soit placée sous la tutelle d’un tribunal, ce qui pourrait avoir comme conséquence de la priver de toutes ses libertés et droits fondamentaux, y compris le droit de propriété et le droit de se représenter en cour.

La démarche de la juge est intervenue après que Burgermeister a reçu l’autorisation de voir les dossiers à la cour de Hietzing, Vienne, concernant l’administration de la succession de son père défunt – et est tombée sur les preuves documentées, hier, de la manipulation de ces dossiers suggérant des actes répréhensibles et de fausses déclarations.

Burgermeister a ensuite envoyé un fax d’une vingtaine de pages à la cour listant des documents manquants spécifiques, y comprit des copies, et a demandé à ce que ces documents soient inclus dans le dossiier officiel de la cour.

Cette démarche à rendue si inquiète la juge Magister Michaela Lauer de Hietzing, que cette dernière a écrit hier une lettre à la cour, près de l’endroit où Jane Burgermeister vit, à Vienne, Döbling, demandant aux fonctionnaires de lancer la procédure de placement sous tutelle judiciaire.

Cela priverait Burgermeister de ses droits fondamentaux, y compris du droit de gérer son blog, si son tuteur refuse de l’y autoriser.

 

Burgermeister n’a pris connaissance de cet acte exceptionnel que lors de son retour à la cour ce matin, mercredi, après avoir recueilli encore plus de preuves de documents manquants.

La demande de Lauer venait juste d’être ajoutée, et elle a été en mesure de faire une copie.

…Une fois placée sous contrôle judiciaire, Burgermeister ne sera plus en mesure de poursuivre ses enquêtes afin de révéler des scandales comme journaliste, car un tuteur a des pouvoirs étendus lui permettant de déterminer ce qu’une personne peut ou ne peut pas faire.

Ses affirmations selon lesquelles la pandémie de grippe porcine a été exagérée pour des raisons de profit ont été renforcées par un rapport qui vient d’être publié par l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe (voir également ceci).

Par conséquent, elle a fait ses preuves quant à l’exactitude de ses rapports journalistiques.

…Il est scandaleux qu’une personne qui a recueilli des preuves tangibles d’agissements délictueux de la part d’un juge, puisse être privée par ce même juge de la plupart de ses droits et libertés fondamentales en abusant de la tutelle.

Dans l’Allemagne nazie, aussi, les gens pouvaient être privés de tous leurs droits, emprisonnés et tués, par les ordres fantaisistes des fonctionnaires du gouvernement.


Réveilles-toi, Europe! Réveilles-toi!

Lire la suite en anglais sur birdflu666

 

http://infoguerilla.fr/?p=3563#more-3563

 

 

 

 

Session d'été : 21 - 25 juin 2010

Gestion de la pandémie H1N1 : l’APCE demande des garanties contre « l’influence d’intérêts particuliers »
 

Strasbourg, 24.06.2010 – Au terme d’un débat sur la gestion de la pandémie H1N1, l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe (APCE) a aujourd’hui fait siennes les conclusions de sa Commission de santé, qui avaient été publiées le 4 juin dernier.
 

Selon l’Assemblée, la gestion de la pandémie par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), les institutions sanitaires de l’UE et les gouvernements nationaux a conduit à un « gaspillage de fonds publics importants » et à des « peurs injustifiées relatives aux risques de santé encourus par la population européenne ». Le texte adopté fait état de « l’évidence écrasante que la gravité de la pandémie a été largement surestimée par l’OMS », ce qui a provoqué une distorsion des priorités en matière de santé publique.
 

Les parlementaires ont constaté, tout comme le rapporteur Paul Flynn (Royaume-Uni, SOC), « un grave manque de transparence » dans les processus décisionnels, qui amène à se demander quelle influence l’industrie pharmaceutique a pu exercer sur les décisions prises. La perte de confiance des citoyens dans les avis des grands organismes de santé publique pourrait se révéler « désastreuse » en cas de future pandémie grave, ont-ils dit.
 

L’OMS et les institutions sanitaires européennes, souligne le texte adopté, se sont montrées réticentes à publier les noms et les déclarations d’intérêts des membres du Comité d’urgence de l’OMS et des organes consultatifs européens directement impliqués dans la préparation des recommandations relatives à la pandémie. L’OMS a eu une attitude « défensive » et n’était pas disposée à reconnaître que la définition de la notion de pandémie avait été modifiée ni à revoir son pronostic concernant l’ampleur de l’épidémie de grippe porcine.
 

L’Assemblée a formulé une série de recommandations urgentes, en faveur d’une plus grande transparence et d’une meilleure gouvernance en matière de santé publique. Elle a préconisé de mettre en place des garanties contre « l’influence d’intérêts particuliers » et d’envisager l’établissement d’un fonds public pour soutenir des études, des essais et des avis d’experts indépendants, qui pourraient être financés par le biais d’une contribution obligatoire de l’industrie pharmaceutique. Elle a lancé un appel aux médias afin d’éviter « le sensationnel et les discours alarmistes » dans le domaine de la santé publique.

 

http://assembly.coe.int/ASP/NewsManager/FMB_NewsManagerView.asp?ID=5754

 

 

 

 

 

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2 juillet 2010 5 02 /07 /juillet /2010 01:58

Si c'est vrai, c'est complètement fou ! Et on parle encore de démocratie ? Eva R-sistons

 

 


LIBERTES: AU SECOURS, ILS SONT DEVENUS FOUS !!! A LIRE D'URGENCE


Chacune de vos conversations et chacun de vos mouvements pourra être enregistré et filmé dans les avions, ce sera autorisé par l'Union Européenne, pour se battre contre le terrorisme! Et puis quoi encore? Un micro dans le matelas de la chambre à coucher ensuite? L'Union Européenne est devenue totalement folle, débile, sénile, malade, voyez ce papier du Telegraph de ce matin:"Airline passengers could have their conversations and movements monitored under a European Union project aimed at tackling terrorism" signé David Millward. "Brussels is funding research at Reading University aimed at detecting suspicious behaviour on board aircraft. A combination of cameras, microphones, explosive sniffers and a sophisticated computer system would give a pilot early warning of any danger. But the work will alarm civil liberties campaigners who fear the growth of the surveillance state.".


Ce n'est que la confirmation de l'Euro fascisme en pleine montée en puissance, 1984, de quoi donner l'envie à tous les anarchistes de poser des bombes au sein même de l'Union Européenne. Un vrai scandale! Avions, aéroports d'abord, et les rues ensuite, pourquoi en effet rester en si bon chemin ? Lire le Telegraph et ne pas prendre les armes tout de suite. Revue de Presse par Pierre Jovanovic © www.jovanovic.com 2008-2010


http://www.toutsaufsarkozy.com/cc/article02/EkZZAlyuuVcuCgLWal.shtml

 

 

Fichier:1984-Big-Brother.jpg

 

illustrations: Wikipedia.org

 

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20 juin 2010 7 20 /06 /juin /2010 21:28

Le président Obama va disposer d’un « bouton d’arrêt d’urgence » d’Internet

Article placé le 20 juin 2010, par Frédéric Courvoisier (Genève)

 

Un projet de loi, soutenu par le sénateur Joe Lieberman, pourrait donner au président américain Barack Obama le pouvoir de fermer des pans entiers d’Internet en période d’état d’urgence nationale.

 

internet

 

L’initiative parlementaire soutenue par le sénateur Joe Lieberman pourrait être un véritable coup de tonnerre pour internet et pour ses centaines de millions d’utilisateurs à travers le monde. L’initiative donnerait au président américain le pouvoir de « fermer » internet en cas d’urgence dictée par les impératifs impérialistes étasuniens.

L’idée n’est pas nouvelle et repose sur la volonté du département de la Sécurité intérieure des États-Unis (United States Department of Homeland Security) à bâilloner le cyberespace, en cas de conflit majeur, de sorte à empêcher la diffusion d’informations qui seraient défavorables à l’administration américaine.

Mais la législation envisagée par Joe Lieberman, appelée « Protecting cyberespace as a national asset act » (« projet de loi visant à protéger le cyberespace en tant que capital national ») va encore plus loin que ça. Le texte prévoit en effet la création d’un organisme dénommé National Center for Cybersecurity and Communications (Centre national pour la cybersécurité et les communications), qui pourrait, en période critique, prendre la direction des opérations de toute une série d’entreprises figurant sur une liste dressée par la Sécurité intérieure. Il ne s’agit donc pas seulement de réduire au silence tout ceux qui s’opposeraient à la propagande l’ordre mondial, mais de contaminer l’ensemble de la planète en diffusant uniquement les informations qui lui seraient favorables.

Frédéric Courvoisier, pour Mecanopolis

Information communiquée par notre camarade Folamour, du site Crashdebug

 

 

http://www.mecanopolis.org/?p=18212

 

 

____________________________________________________________________________________

 

 

 

Et si le Président pouvait couper Internet ?

 

Auteur : Bluetouff - Source : ☠ Bluetouff's blog

On se calme ! L’idée ne vient pas d’un député français mais de sénateurs américains (… ah! Vous non plus ça ne vous rassure pas ?). En plus elle n’est pas vraiment nouvelle. Mais n’empêche quand on y pense, ça peu faire un peu peur.

On sait qu’Internet est au coeur de tous les systèmes d’information des entreprises, des administrations, des forces armées… cet état de fait rend vulnérable une nation à des attaques encore rares mais bien réelles, comme on a pu le voir avec la Georgie ou l’Estonie. Le Sénat américain propose donc que le président puisse avoir le loisir d’éteindre une partie du Net en cas d’attaque .. ou de diffusion d’une information pouvant mettre en danger la Nation. Typiquement la diffusion d’informations financières érronées destinées à faire plonger un cours de bourse en vue d’une OPA, ou, et là c’est plus sérieux, des informations classées défense.

« nous ne pouvons pas nous permettre d’attendre un cyber 11 septembre avant notre gouvernement réalise l’importance de protéger nos ressources informatiques » (Susan M. Collins)

Le projet de loi est principalement porté par le sénateur  Joe Lieberman qui le décrit comme un ensemble de mesures visant « à préserver les réseaux et les actifs et de notre pays et de protéger notre peuple« . C’est un discours qui nous est assez familier en Europe, car la censure, c’est bien connu, c’est toujours pour « vous protéger ». TechAmerica s’inquiète de dérives possibles et d’un risque de contrôle absolu de l’État sur le Net qui s’octroie par exemple le pouvoir « d’arrêter ou de limiter le trafic Internet sur les systèmes privés« .

Concrètement, le président disposerait du droit de contrôler l’Internet… un terme qui revient de plus en plus sur la table et qui passera probablement les frontières dans peu de temps. Contrôler un flux d’information est fort complexe, la meilleure solution reste donc celle du blackout pur et simple et c’est bien ce qu’envisage le Sénat américain dans son projet de loi. Le projet implique que toutes les entreprises, les moteurs de recherche, les réseaux sociaux, les sites d’information… devront se plier aux directives du DHS (Department of Homeland Security) qui prend la menace Internet de plus en plus au sérieux.

Rappelons que contrairement à la stratégie politique qui se dessine en France, les fournisseurs d’accès américains n’ont aucun droits d’exercer une surveillances des citoyens américains.

Cette proposition intervient dans un contexte international assez tendu pour les USA qui traquent activement le fondateur de Wikileak, Julian Assange et l’arrestation de Bradley Manning qui est soupçonné d’être la source du plus gros buzz de Wikileaks, une video assez horrible que je n’ai pas vraiment envie de diffuser ici. Filmée à Bagdad au coeur des affrontements depuis un hélicoptère de l’armée américaine, on peut y voir groupe de personnes (en fait un journaliste et des civiles … même deux enfants) sur lequel l’hélicoptère ouvre le feu. C’est un carnage. Wikileaks assure le teasing d’une prochaine vidéo à venir et les autorités américaines sont sur les dents car cette histoire plonge l’administration américaine dans un sérieux embarras, on peut les comprendre.

Si cette loi venait à passer aux USA, nous aurions donc de fortes chances d’hériter dans nos contrées de projets de loi similaires (même si elle ne passe pas d’ailleurs), la grande inconnue maintenant est la definition exacte du périmètre de la main mise des États sur le Net.

 

 

 

Auteur : Bluetouff - Source : ☠ Bluetouff's

 

http://www.dazibaoueb.fr/article.php?art=13613

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18 juin 2010 5 18 /06 /juin /2010 00:57

Wikipedia

Tous les moyens sont bons pour espionner ses salariés
Vidéosurveillance, biométrie... Selon le rapport de la Cnil publié aujourd’hui, la moitié des sociétés suivies surveillent leurs salariés à leur insu.

 

Salariés, on vous espionne! C’est en substance le constat dressé par la Commission nationale de l’informatique et des libertés (Cnil), qui rend public aujourd’hui son rapport d’activité 2009. Vidéosurveillance, enregistrement des conversations téléphoniques, géolocalisation, biométrie… Les progrès technologiques offrent aux patrons une palette de plus en plus vaste pour pister leurs employés.

 
En savoir plus
«De la géolocalisation installée à mon insu»
«Une caméra était braquée sur le local syndical»
 

 


En 2009, la Cnil a ainsi enregistré plus de 3 100 demandes d’autorisation pour l’installation de systèmes de vidéosurveillance au sein d’entreprises, contre à peine 2 500 en 2008, et 2838 demandes pour des dispositifs de géolocalisation (sur les téléphones portables ou les véhicules). « C’est une progression très importante », souligne Yann Padova, le secrétaire général de la Cnil. Le risque en cas d’absence d’arrangement à l’amiable : une amende pouvant atteindre 10 000 €.

plus géolocalisation, un cocktail dangereux

Certes, la majorité des sociétés respectent les règles en informant au préalable les
de l’installation de ces dispositifs, censés sécuriser les sites et limiter les fraudes.
Mais la Cnil doit toutefois hausser le ton. « La moitié des contrôles dans les entreprises ont révélé des irrégularités », souligne Yann Padova. Secrétaires d’une société de transport filmées en permanence derrière leur bureau, objectifs de caméras installés dans les vestiaires des employés, émetteurs de géolocalisation placés à l’insu des salariés… L’imagination n’a pas de limites (lire encadrés).
D’autant que la technologie progresse. De plus en plus d’entreprises se tournent vers la biométrie. Le corps des salariés est utilisé pour assurer la sécurité des entreprises. La Cnil a enregistré plus de 800 demandes pour l’installation de tels procédés dans les entreprises en 2009. De quoi renforcer les risques de flicage.
Par ailleurs, la Cnil s’inquiète de la montée des réseaux sociaux couplés à des procédés de géolocalisation tels que
Latitude ou Foursquare. Les données collectées sont en effet vendues et les utilisateurs se retrouvent démarchés par des entreprises qui leur font des offres ciblées en fonction de leur situation géographique.

 

http://bridge.over-blog.org/article-espionnage-des-salaries-52427631.html 

 

http://www.leparisien.fr/economie/tous-les-moyens-sont-bons-pour-espionner-ses-salaries-17-06-2010-967458.php

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17 juin 2010 4 17 /06 /juin /2010 17:39

UJFPLe ministre de l’Intérieur M. Hortefeux propose de déchoir de leur nationalité française d'éventuels délinquants, puis de les expulser du territoire. En droit français, depuis la Révolution de 1789, la révocation de la nationalité n’est applicable que pour des crimes exceptionnels, comme celui de haute trahison, ou de collusion avec l’ennemi en temps de guerre. L’exception notable a été la promulgation des lois raciales et antisémites du régime collaborationniste du Maréchal Pétain, qui a fait révoquer la nationalité française d'au moins 15000 personnes, dont plus de 7000 Juifs avant de les déporter vers des camps d’extermination nazis.

A l'UJFP, nous en portons la mémoire.

Tabous et persécutions

En formulant cette proposition, Brice Hortefeux a déclaré que « Ce n’est pas une question tabou ! » Ce n’est pas le premier tabou que le ministre de l’Intérieur entend briser. Déjà en 2008, il a réuni des ministres de l’Immigration européens afin d’envisager des mesures répressives contre les migrants. N’avait-il pas choisi la ville de Vichy pour cette rencontre ? Et rappelons la condamnation de Brice Hortefeux pour injure raciale par le Tribunal correctionnel de Paris le 4 juin 2010. Après une telle décision de justice, même en première instance, dans n’importe quel pays démocratique un ministre en fonction aurait immédiatement remis sa démission.

Au lieu de régulariser les salariés sans papiers qui vivent et travaillent en France depuis des années, le « briseur de tabous » Hortefeux propose maintenant de retirer la nationalité française à une catégorie de citoyens qu'il fabrique en la désignant: les musulmans instaurant à leur égard exclusif une triple peine – sanction des délits, retrait de la nationalité, expulsion. Cette proposition constitue une négation des lois républicaines et un retour vers celles de l'Etat Français.

L'UJFP, association juive qui combat tous les racismes dénonce ce projet véritable affront à notre mémoire collective, mené dans le cadre d'une offensive raciste contre les citoyens français musulmans et appelle l'ensemble des hommes et des femmes attachés aux droits universels à s'opposer à l'instauration d'une telle modification du code de la nationalité, la première du genre à être proposée depuis Vichy.

Bureau National de l’UJFP le 15-06-2010


Auteur : Bureau National de l’UJFP - Source : Union Juive Française pour la Paix (UJFP)

 

http://www.dazibaoueb.fr/article.php?art=13547

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