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21 novembre 2012 3 21 /11 /novembre /2012 00:51

 

http://www.centpapiers.com/une-guerre-de-medias-canada-quebec/36119


Avaaz: un écran de fumée occultant les bombes libératrices à uranium appauvri

Dominique Guillet

http://www.liberterre.fr/liberterres/meta-mafia/avaaz.html


Peu de temps après l’opération psychologique spéciale dénommée 9/11, le Général Wesley Clark, ancien général en chef de l’OTAN (Organisation Terroriste de l’Atlantique Nord) rencontre, au Pentagone, un officier d’état-major qui le convie à consulter un document confidentiel émanant du Ministère de la Défense US et stipulant que, dans les 5 années suivantes, sept pays seront envahis (“libérés” dans le langage Orwellien) par les USA : l’Irak, la Syrie, le Liban, la Libye, la Somalie, le Soudan et l’Iran. Le Général Wesley Clark, en retraite, s’est exprimé publiquement plusieurs fois à ce sujet: «C’était une déclaration stupéfiante : l’armée servirait à déclencher des guerres et à faire tomber des gouvernements et non pas à empêcher les conflits. Nous allons envahir des pays. Mes pensées se bousculaient. J’ai mis ça de côté, c’était comme une pépite que vous conservez. Un groupe de gens a pris le contrôle du pays avec un coup d’État politique, Wolfowitz, Cheney, Rumsfeld… je pourrais nommer une demi-douzaine d’autres collaborateurs du Projet pour un Nouveau Siècle Américain (PNAC). Ils voulaient que le Moyen-Orient soit déstabilisé, qu’il soit chamboulé et placé sous notre contrôle». (1)
Est-ce donc une coïncidence si l’organisation dénommée Avaaz a soutenu les interventions militaires en Libye (19 / 20 / 21) et en Syrie (25 / 26 / 27 / 28)? Est-ce donc une coïncidence si Avaaz se mêle des affaires internes de la Somalie (2 / 3 / 4)? Est-ce donc une coïncidence si Avaaz se mêle des affaires internes du Soudan (5) en accusant, par ailleurs, le très diabolisé Iran de livrer des armes (7 / 8)? Est-ce donc une coïncidence si Avaaz se mêle des affaires internes de l’Iran (9 / 10)?
Qui sont donc ces “activistes Avaaz” impliqués très concrètement, en 2012, dans des opérations de déstabilisation de la Syrie (11)?
L’organisation Avaaz n’est-elle pas tout simplement une tête de pont de la CIA, un gigantesque écran de fumée occultant les bombes libératrices à uranium appauvri de l’Impérialisme Occidental?
A l’automne 2009, en rédigeant mes quatre articles sur l’arnaque du réchauffement climatique anthropique (13), je découvris que cette organisation sollicitait les activistes pour récolter des fonds, en l’espace de quelques jours, à hauteur de 150 000 dollars afin de créer un blog durant le Sommet de Stockholm. «Il ne nous reste plus que quelques jours. Si d’ici lundi, nous pouvions collecter 150 000 dollars, Avaaz pourrait engager les grands moyens sur ce projet: construire une carte du monde et un blog dans le style de Twitter permettant de relier tous les événements organisés pour le climat le 21 septembre; mettre en place une base de données téléphoniques mondiale pour permettre à des milliers d’entre nous d’inonder nos dirigeants de coups de téléphone; et enfin engager une équipe de professionnels pour faire la différence sur le terrain médiatique, face aux puissants lobbys industriels et pétroliers».
150 000 dollars financés par des militants naïfs pour créer un blog!! On croit rêver. A l’époque, je pensais qu’Avaaz n’était qu’une ONG frauduleuse, une de plus, une Organisation pour Niaiser les Gogos, dont l’objectif unique est de soutirer beaucoup d’argent aux activistes et dont l’outil principal est fondé sur des pathologies modernes, la pétitionnite aiguë et la conjugaison débridée du verbe “cliquer”. Et il est clair qu’Avaaz excelle en tant que gigantesque machinerie à cliquer/glaner des dollars/euros. Il n’est que de consulter, sur internet, l’une de ses campagnes, en 2009, pour lever des fonds, à grands renforts de petits montants:
«C’est un moment d’une importance cruciale pour l’Iran et pour le monde. Nous pouvons aider à faire connaître la vérité en organisant de toute urgence un sondage post-électoral rigoureux auprès des citoyens iraniens, en leur téléphonant pour leur demander pour qui ils ont voté et en publiant les résultats dans les médias.  Plus d’un tiers des votes sont en jeu - et notre sondage pourra ainsi prouver qui dit la vérité . Si nous arrivons à recueillir 119 000 € dans les prochaines 24 heures, nous pourrons publier les résultats avant que le Conseil des gardiens de la Constitution ne rende publics les résultats de son propre recomptage des voix. Si nous arrivons à recueillir plus d’argent, nous pourrons étendre la portée de cette campagne. Nous avons un besoin urgent que 10 000 d’entre vous donnent un petit montant. Aidez à financer le sondage dès maintenant en utilisant le formulaire sécurisé fourni ci-dessous.» (10)
On se demande d’ailleurs ce qui est sécurisé chez Avaaz car la phrase suivante apparaît en rouge gras: «$228,449 ont fait un don pour aider financer un sondage pour la vérité en Iran». Où apparaît-elle? Sur le site d’Avaaz France car aujourd’hui, en novembre 2012, il est toujours possible d’appuyer sur le bouton Paypal pour contribuer financièrement à ce sondage, pour le moins,  très “post-électoral”. Après vérification de la même campagne sur son site US, il s’avère que la maison mère s’est répandue en plates excuses, en 2009, à propos de l’impossibilité d’effectuer le dit sondage à cause de la corruption en Iran. A l’époque, Avaaz proposa aux ponctionnés, en toute sincérité bien entendu, de récupérer leur dû - en envoyant un mail -  ou de le mettre à disposition d’une autre campagne qu’ils venaient juste de lancer pour sécuriser un internet libre en Iran!! (12)... et pour sécuriser la cagnotte chez Paypal.
Car Avaaz a besoin d’argent, de beaucoup d’argent, pour organiser ses pétitions virtuelles à partir de quelques ordinateurs, et surtout pour les rémunérations de ses cadres. Car affirmons-le, haut et fort, les cadres chez Avaaz ne sont pas rémunérés avec des cacahuètes virtuelles: le fondateur et directeur exécutif, Ricken Patel, a ainsi touché, en 2010, la modeste somme salariale de 183 264 dollars (15 200 dollars par mois) - en légère augmentation par rapport à ses salaires de 120 000 dollars des années précédentes -  tandis que le directeur de campagne, Ben Wikler, a touché 111 384 dollars de salaire. Cette même année 2010, Avaaz a déclaré sur sa feuille de revenu (form 990): 921 592 dollars de “frais de campagnes et de consultance”, 182 196 dollars de “frais de voyages”, 262 954 dollars de “frais de publicité”, 404 889 dollars de “frais de technologie d’information”, etc, etc. Tout cela pue l’arnaque financière et le copinage archi-dollarisé. Parmi ses quelques frais de gestion, Avaaz a payé Milena Berry (et son mari Paul), pour un travail de consultance IT (technologie d’information), la bagatelle de 245 182 dollars en 2009 et de 294 000 dollars en 2010. Malgré la très haute rémunération de Milena Berry, qui se présente comme la technicienne en chef de la gestion informatique de l’organisation,  Avaaz a fait appel à la générosité des dons, afin de renforcer son système informatique, suite à une prétendue cyber-attaque en mai 2012. Sans commentaires.
L’organisation Avaaz ne semble d’ailleurs pas très pressée de publier sa déclaration de revenus pour 2011, ce que l’on comprend fort bien de par la pléthore d’articles, émergeant sur internet, afin de dénoncer cette organisation frauduleuse. A la mi-novembre 2012, la “form 990” est toujours absente de son site alors que l’audit du rapport financier a été délivré par son cabinet comptable de New-York (Lederer, Levine et Associates), le 19 juin 2012.
Avaaz a été créé en 2006 par MoveOn.org et Res Publica. “Avaaz”, dans différents langages de l’Asie et de l’Europe de l’est signifie “la voix”.  La voix silencieuse, derrière Avaaz et Res Publica, est celle de trois individus: Tom Perriello, un ancien membre du Congrès US, Ricken Patel, consultant chez de nombreuses entités contrôlées par les psychopathes prédateurs, et Tom Pravda, un ancien diplomate d’Angleterre consultant pour le Ministère de l’Intérieur US.
Parmi les autres fondateurs d’Avaaz se trouvent Eli Pariser (le directeur exécutif de MoveOn), Andrea Woodhouse (consultant pour la Banque Mondiale), Jeremy Heimans (le co-fondateur de GetUp! et de Purpose), et l’entrepreneur Australien David Madden (le co-fondateur de GetUp! et de Purpose).
MoveOn, le co-fondateur d’Avaaz, a distribué, en 2002, par le biais de son Comité d’Action Politique, 3 millions et demis de dollars à 36 candidats politiques au Congrès US. En novembre 2003, MoveOn reçut 5 millions de dollars du spéculateur milliardaire George Soros. Ricken Patel a, d’ailleurs, déclaré publiquement que l’Open Society Institute de George Soros (renommé Open Society Foundation en 2011) était l’un des membres fondateurs d’Avaaz.
Qui est George Soros? L’un des prédateurs psychopathes à la direction du CFR (Council for Foreign Relations) et l’un des membres du Groupe Bilderberg. Le CFR et le Groupe Bilderberg sont deux des pseudopodes de la baudruche dénommée “Nouvel Ordre Mondial”. Le CFR et le Groupe Bilderberg ont été créés par les Rockefellers, la famille responsable de nombreux maux qui sévissent sur la planète.  Pour mémoire, la Fondation Rockefeller a promu les lois eugénistes aux USA dès le début du siècle passé; elle a financé le Nazisme avant et durant la seconde guerre mondiale; elle a financé les recherches génétiques, dès 1945, et donc tout le secteur des chimères génétiques; elle a lancé la dévastatrice Révolution Verte...
Avaaz fut, en juin 2009, l’un des partenaires dans la campagne Tcktcktck lancée par Havas, aux côtés d’EDF, de la Loyds Bank... et de 350.org, une organisation financée par la Fondation Ford, la Fondation Rockefeller, le Rockefeller Brothers Fund et le milliardaire George Soros.
George Soros est le financeur incontournable de toute cette mouvance d’ONGs aux objectifs occultes. Durant l’été 2009, l’Open Society Institute (de Soros) donna une subvention de 150 000 dollars à Avaaz. En sus de cette subvention, Avaaz reçut de Res Publica (financée par Soros) 225 000 dollars en 2006, 950 000 dollars en 2007 et 500 000 dollars en 2008. La Foundation to Promote Open Society (de Soros) donna à Avaaz, en 2008/2009, 300 000 dollars de soutien général et 300 000 dollars pour la campagne (sur l’arnaque) climatique durant laquelle Avaaz a particulièrement brillé dans son expertise pour susciter de l’argent non virtuel afin de combattre un réchauffement climatique virtuel avec des pétitions tout aussi virtuelles. Ricken Patel ne précise d’ailleurs, nulle part, dans sa croisade contre le réchauffement climatique anthropique, comment il effectue la rédemption de “l’empreinte carbone” générée par les émoluments grandioses de ses bons amis au sein d’Avaaz (une redistribution des libéralités généreuses de la clique de Soros alors qu’Avaaz prétend effrontément que l’organisation ne reçoit de l’argent que de dons individuels!!!) et de “l’empreinte carbone” générée par ses très hauts salaires chez Avaaz! Il s’agit vraisemblablement d’une rédemption virtuelle.
Et, qui plus est, nous ne sommes pas allés vérifier si les multiples casquettes de Ricken Patel généraient de multiples “empreintes carbone” liées à de multiples salaires. En effet, il est le co-fondateur et co-directeur de Faith in Public Life (une grosse organisation chrétienne); il est consultant pour International Crisis Group, pour la Fondation Rockefeller, pour la Fondation Bill Gates, pour l’ONU, pour l’Université Harvard, pour CARE International, pour International Center for Transitional Justice; il est le co-fondateur et co-directeur de DarfurGenocide.org; il est le co-fondateur et directeur de Res Publica. Etc, etc, ad nauseam.
Dans la clique des fondateurs d’Avaaz - dont l’idéologie est fondée sur la pratique du clic-clic et le syndrome du petit montant - Patel n’est pas le seul à arborer de multiples casquettes. On retrouve Tom Perriello dans la consultance ou la direction chez: National Council of Churches of Christ, Catholics United, Catholics in Alliance for the Common Good, Faithful America, Faith in Public Life, Center for a Sustainable Economy, Center for American Progress Action Fund, Youth and Environmental Campaigns, E-Mediat Jordan, International Center for Transitional Justice, Res Publica, The Century Foundation, l’ONU, Open Society Institute, etc, etc. Il oeuvra avec le Reverend Dr. James Forbes sur des concepts de “justice prophétique”. Tom Perriello soutient l’opération psychologique spéciale dénommée “guerre à la terreur” qui fut lancée par Bush et prolongée par Obama. Sa vision d’Israël participe du conte de fée: il considère ce pays comme l’une des «créations les plus spectaculaires et excitantes de la communauté internationale» au 20 ème siècle et est convaincu qu’il «existe une relation stratégique et morale permanente entre les USA et Israël». Etc, etc, ad nauseam.
Le grand amour que Tom Perriello éprouve pour Israël n’empêche nullement Avaaz de lancer une pétition pour soutenir les malheureux Palestiniens persécutés par l’Etat Sioniste! Et c’est là que réside le grand génie stratégique d’Avaaz pour enfumer les militants et activistes sincères: Avaaz promeut, de temps en temps, de “nobles” causes: les abeilles, les Palestiniens... et même Kokopelli. Avaaz a même lancé une pétition pour mettre les banquiers en prison, ces mêmes banquiers qui ont promu avec Avaaz la législation “cap and trade” (JP Morgan Chase, Bank of America... ) ou avec lesquels les fondateurs d’Avaaz collaborent dans l’International Crisis Group (Morgan Stanley, Deutsche Bank Group...).
Avaaz atteint des sommets de grand guignolesque lorsque l’organisation lance une campagne pour stopper la “guerre contre les drogues”. Le 3 juin 2011, la marionnette Ban Ki-moon reçoit des mains de Ricken Patel - accompagné de Richard Branson, le fondateur de Virgin - une pétition de 600 267 personnes: “End the War on Drugs”.  De quoi parle-t-on ici? D’une campagne de dépénalisation du cannabis, de l’ayahuasca, des champignons psilocybes et du peyotl? Ou bien d’une campagne pour stopper la guerre contre la gangrène sociale que constitue la commercialisation tout azimut de l’héroïne et de la cocaïne? Gageons qu’il s’agit bien de la seconde alternative. L’héroïne et la cocaïne constituent les deux sources les plus généreuses des caisses noires de la mafia des psychopathes prédateurs tout autant que des liquidités des grandes banques internationales. La présence de l’Alliance Occidentale en Afghanistan s’explique, entre autres, par le contrôle de l’opium dont 95 % de la production mondiale est concentrée dans ce pays. Quels sont les journalistes, dignes de ce qualificatif, qui ont informé le public quant au scandale gigantesque du blanchiment de centaines de milliards de dollars de l’argent de l’héroïne et de la cocaïne par les grandes banques internationales (23 / 24): HSBC, Wells Fargo, Bank of America....?
Toutes ces campagnes ne constituent qu’un gigantesque écran de fumée pour occulter toutes les finalités odieuses qu’Avaaz soutient au service de l’Impérialisme Occidental: la destruction de la Libye, la déstabilisation de la Syrie, la déstabilisation de l’Iran, la déstabilisation de la Bolivie d’Evo Morales..
Toutes ces opérations de destruction et de déstabilisation de pays souverains sont promues par Tom Perriello dont les visions bellicistes (“pro-war”) ne sont un secret pour personne.
Dans une vidéo (14), Tom Perriello, est présenté comme l’honorable directeur de E-Mediat Jordan, une organisation localisée en Jordanie, un pays limitrophe de l’Irak et de la Syrie. Il s’adresse aux jeunes de cette organisation (“un centre d’entraînement, de technologies et d’outils”) qui sont prêts, déclare-t-il, «à se sacrifier pour leur pays», à savoir à servir de chair à canon pour l’avancement de l’Impérialisme Occidental.
En mai 2009, alors que 60 membres du Congrès US votèrent contre l’attribution de 97 milliards de dollars supplémentaires dans les guerres d’Irak et d’Afghanistan, Tom Perriello vota pour.
En mars 2010, une réception fut organisée par deux organisations de coloration pseudo-verte “League of Conservation Voters” et “Environmental Defense Action Fund” pour lever des fonds pour la réélection de Tom Perriello au Congrès US. MoveOn.org, le co-fondateur d’Avaaz, lui attribua 100 000 dollars pour sa campagne de réélection.
En mars 2010, alors que 60 membres du Congrès US votèrent contre la prolongation de la guerre en Afghanistan, Tom Perriello vota pour.
Le 27 juillet 2010, Tom Perriello vota contre le retrait des troupes US du Pakistan.
Le 27 juillet 2010, alors que 115 membres du Congrès US votèrent contre l’attribution de 33 milliards de dollars supplémentaires dans la guerre d’Irak, Tom Perriello vota pour.
Le 30 juillet 2010, Tom Perriello vota contre les régulations (HR 3534) visant à encadrer les forages de pétrole en haute mer et vota en faveur de la suspension d’un moratoire imposant des gardes-fous sur les dits forages en haute mer.
Le 15 décembre 2011, Tom Perriello devint le directeur de CAP Action, l’une des branches du Center for American Progress. Dans la revue Democracy Journal, après avoir vanté le “succès” de l’intervention militaire en Libye, il déclara:
«Aujourd’hui, Kadhafi est mort et le peuple Libyen peut, pour la première fois depuis des décennies, jouir de l’opportunité d’une gouvernance responsable et démocratique... Il n’y a pas eu de décès dans les troupes Américaines. Les combattants insurgés et la vaste majorité de la population ont célébré la victoire comme une libération et les Syriens courageux, qui quotidiennement risquent la mort en s’opposant à leur propre régime répressif, se sont réjouis de la chute de Kadhafi. Tous ces accomplissements ne sont pas de petits exploits pour ceux qui se soucient de la dignité, de la démocratie et de la stabilité...»
Ce sont effectivement de grands exploits qui caractérisent la “libération” de la Libye qui fut le pays le plus riche de l’Afrique: un chaos social généralisé, des attentats quotidiens, des luttes intestines continuelles, sans oublier les 50 à 100 000 civils Libyens libérés à jamais de “l’oppression” de Kadhafi en mourant sous les bombes à uranium appauvri de l’Occident.
Que ce soit au travers des conceptions bellicistes de ses fondateurs ou de ses propres campagnes de déstabilisation et d’invasion militaire de pays souverains, Avaaz est clairement une organisation complice de crimes de guerre.
Je n’ai ni le temps ni l’envie de sonder plus avant les profondeurs d’immoralité de cette organisation crapuleuse. Je renvoie les lecteurs et lectrices à de nombreux articles et témoignages qui commencent à poindre sur internet (29 / 30 / 31 / 32) et, en particulier, aux quatre excellents rapports d’investigation rédigés au Canada par Cory Morningstar. (15 / 16 / 17 / 18).
Ce dont je suis convaincu, c’est que l’énorme rideau de fumée mis en place par Avaaz par le biais de campagnes “humanistes” en faveur des Palestiniens, des abeilles, de la forêt Amazonienne ou de Kokopelli... est en train de s’estomper rapidement. Avaaz est la “voix” occulte du complexe militaro-industriel qui cherche à semer le chaos de la guerre sur toute la planète.
Avaaz, bas les masques!
Dominique Guillet. Le 14 novembre 2012

http://www.liberterre.fr/liberterres/meta-mafia/avaaz.html

 

 


 

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21 novembre 2012 3 21 /11 /novembre /2012 00:01

 

 

Histoire occultée des faux hébreux : les Khazars
Benjamin H. Freedman
Mardi 20 Novembre 2012


Histoire occultée des faux hébreux : les Khazars

En considération de votre illustre position, je vous avoue qu’il m’a fallu un grand courage pour oser vous écrire cette si longue lettre. Je prie donc pour que vous lisiez mes paroles en gardant à l’esprit le verset 16 du chapitre 4 de l’Épître aux Galates : « Suis-je donc devenu votre ennemi en vous disant la vérité ? », et j’espère que vous me ferez l’honneur de méditer sur le sens profond de ce verset, avant de réagir à tout ce que je vais vous dire.

C’est véritablement pour moi une source de grand plaisir et de joie authentique de pouvoir vous saluer enfin, malgré tous les inconvénients de la correspondance. J’éprouve une déception profonde de devoir faire votre connaissance de cette manière. Ma joie actuelle serait bien plus intense si j’avais eu le privilège de pouvoir vous saluer en personne pour l’occasion de notre première rencontre.

Vous découvrirez dans cette lettre un grand nombre de raisons qui justifieront pleinement l’urgence avec laquelle j’ai dû mettre fin à toute temporisation pour entrer de plein pied en contact avec vous. Vous découvrirez que cette urgence ne fait que refléter la gravité de la crise qui met aujourd’hui en péril la permanence de la foi chrétienne dans cette lutte ancestrale qui fit d’elle la force spirituelle et sociale la plus efficace pour le développement du bien être de toute l’humanité, dans une mission divine qui n’avait de considération ni pour une race particulière, ni pour une religion particulière, ni pour une nationalité particulière.

Votre dernier article est paru au mois de septembre dans le Bulletin du G.C.P.I., la publication officielle de cette organisation qui s’est baptisé : La Grande Confraternité de ceux qui Prient pour la paix et la bienveillance envers Israël… Le titre de votre article (« Ce que pensent les Juifs aujourd’hui »), et la vocation du G.C.P.I. rappelée sur la première page (« Faire connaître et promouvoir l’apostolat chrétien entrepris parmi Israël »), me poussèrent immédiatement à saisir par les cheveux l’occasion de vous présenter mes commentaires. Je sollicite donc votre indulgence si ma lettre présente les défauts de la spontanéité qui lui a donné naissance.

Pour les plus grands intérêts de cette noble cause, à laquelle vous continuez à consacrer tout votre temps ainsi que vous l’avez toujours scrupuleusement fait depuis déjà plusieurs décennies, je vous invite très respectueusement et très sincèrement à étudier attentivement les données qui vont être présentées ici. Je vous suggère également de prendre toutes les mesures que vous jugerez nécessaires, et qui seront le résultat logique de vos conclusions. Au milieu de cette guerre idéologique, invisible et intangible, qui se livre pour la défense de l’immense héritage chrétien contre ses ennemis consacrés, une attitude favorable de votre part serait un pas capital vers la victoire. En revanche, votre simple passivité se muerait immédiatement en un recul sensible de l’effort global.

Vous souscrivez probablement à cet adage selon lequel il est préférable d’allumer une seule bougie plutôt que de rester assis dans les ténèbres, et bien j’ai toujours pensé moi aussi qu’il dépeignait une attitude très sensée et très saine. Certes, les tentatives solitaires que j’ai déjà entreprises pour donner la lumière à ceux qui sont dans les ténèbres, pourraient avoir le même résultat auprès de vous qu’auprès de ce nombre considérable de personnes qui demeurent la preuve vivante de tous les échecs que j’ai connus au cours des trente dernières années. Mais dans votre cas et jusqu’au jour d’aujourd’hui, je suis resté assez optimiste.

J’ai toujours nourri l’espoir, pas tout à fait vain me semble-t-il, qu’un jour, l’une de ces chandelles se transformerait en un véritable brasier, comme un tison qui dort dans une grange et se réveille tout d’un coup pour déchaîner un immense feu de prairie, appelé à traverser de part en part toute la nation, avant d’illuminer pour la première fois les vastes horizons d’un avenir rénové. Voyez-vous, c’est dans ce rêve irréductible que je puise le courage qui me maintient sur le champ de bataille, avec en face de moi, toute cette étrange étrangeté à laquelle l’histoire de ma vie m’a évidemment soudé.

Depuis des milliers d’années, il a été dit avec justesse qu’à la fin « c’est toujours la vérité qui prévaut ». En effet, nous savons tous que la vérité peut se révéler d’une force infinie. Mais hélas, jusqu’à ce jour, nul n’a vu la vérité se mettre en marche toute seule. Personne n’a jamais vu la vérité quitter son point mort sans qu’un apôtre ne lui ait dûment communiqué la poussée minimale qui puisse contrebalancer son inertie. Sans cela, la vérité ne bougera pas, et ne fera bouger personne.

Mon cher Docteur Goldstein, vous avez sans doute déjà observé qu’en voulant faire un peu de bien d’un côté, les personnes « bien intentionnées » déclenchent souvent un mal irréparable de l’autre. Chacun de nous finit par rencontrer cette expérience bien amère. Ainsi, le jour d’aujourd’hui vous montre dans le perpétuel sacrifice de tous vos efforts et de toute votre énergie, dans le but émérite de faire entrer les « Juifs » (prétendus, ou autoproclamés tels) dans le sein de l’Église catholique romaine, par le biais de la conversion à notre foi. Beaucoup de grâce et meilleure chance à vous, puissent vos efforts être couronnés d’un grand succès…

Mais mon cher Docteur Goldstein, je dois vous dire que votre travail contribue sans que vous ne le sachiez, et d’une manière non négligeable, à la dissolution de la foi d’un nombre considérable de chrétiens. 

La réaction dont vous allez faire preuve face à ce que vous allez lire, peut devenir le verdict le plus important jamais prononcé au cours des derniers siècles, dans le domaine de la défense de la foi chrétienne. Je vous recommande donc sincèrement de ne pas perdre de vue la grande responsabilité qui va être la vôtre maintenant, et j’espère que vous allez étudier cette lettre dans le moindre détail, depuis son premier mot, jusqu’à son tout dernier. 

Malgré ceux qui le nient partout et en permanence, les événements de ces dernières années ont attesté sans plus laisser le moindre doute, que la foi chrétienne se présente désormais avec un pied dans la tombe, et un autre pied sur une peau de banane, en parlant figurativement je vous l’accorde. Mon cher Docteur Goldstein, ne pas s’en rendre compte serait se fermer définitivement à toute réalité, et choisir de ne plus voir les évidences. Je crois que vous êtes bien trop réaliste pour vous autoriser ainsi à vous duper vous-mêmes.

Quand les chrétiens du monde libre ne pourront plus exercer publiquement leur foi, nous aurons connu le dernier jour du christianisme. Ce que connaissent déjà 50 % des humains pourrait très vite se propager à toute la population du monde. C’est même très probablement ce qui devrait se produire, si le cours des choses suit la tendance actuelle. Une maladie maligne ronge le monde comme un cancer, elle se propage de manière géométrique, comme des cellules cancéreuses. Elle se révélera sûrement fatale si des mesures d’une extrême rigueur ne sont prises très vite pour l’endiguer. Mais qu’est-il entrepris aujourd’hui pour la stopper, ou même seulement pour la ralentir ?

Mon cher Docteur Goldstein, vous souvenez-vous du nom de ce philosophe qui a dit : « il n’y a rien de permanent dans le monde, sauf le changement » ? Et bien cette philosophie devra s’appliquer à la foi chrétienne elle aussi… Et mon autre question à 100 francs est de savoir si ce changement sera pour le meilleur, ou pour le pire… Le problème est aussi simple que cela. Or, si l’on continue à suivre pendant les 37 années qui viennent, la voie qui fut la nôtre au cours des 37 années qui précèdent, la foi chrétienne telle quelle est professée aujourd’hui aura complètement disparue de la surface du globe. Sous quelle forme se manifestera alors la mission de Jésus-Christ sur la Terre, voilà qui est aussi peu prédictible qu’inévitable.

Dans cette situation de crise, vous conviendrez qu’il ne serait ni très logique, ni très réaliste, de chasser une multitude de chrétiens du refuge que la foi chrétienne leur donne, pour l’avantage très relatif de faire entrer un nombre de « Juifs » (prétendus ou autoproclamés tels), proportionnellement dérisoire.  

Mon dessein n’est pas de dénoncer ici les conspirateurs qui se sont voués à la destruction de la foi chrétienne, ni de m’étendre sur la nature exacte ou sur l’étendue de cette conspiration. Cela demanderait la rédaction de plusieurs ouvrages. L’histoire des derniers siècles, et notamment les événements des dernières années, confirment l’existence d’une telle conspiration, j’en ferai toute la preuve une autre fois. Un réseau mondial de conspirateurs diaboliques déploie jour après jour, avec la plus grande méthode, chacune des phases de son complot contre la foi chrétienne, alors que les chrétiens semblent dormir les poings fermés. Et le comble voyez-vous, c’est que le clergé manifeste plus d’indifférence à cette conspiration que les chrétiens eux-mêmes. On dirait que les prêtres ne veulent qu’une seule chose : enfouir leur tête le plus profond possible dans le sable de l’ignorance, comme l’autruche, qui selon la légende, agirait ainsi à l’approche du danger. Cette ignorance, ou cette indifférence de la part du clergé, a déjà porté un sérieux coup à la foi chrétienne, duquel elle pourrait bien ne jamais se relever complètement, si tant est qu’elle puisse un jour se relever. C’est si triste de voir le clergé chrétien collaborer à l’anéantissement de la foi chrétienne.

Sans oublier tout le respect que je dois à l’autorité ecclésiastique, et en toute humilité, je me retrouve avec une tâche bien difficile à accomplir… En effet, je voudrais déclarer ici publiquement que l’autorité ecclésiastique est la principale, si ce n’est la seule responsable de la présence de ces forces internes qui trahissent allègrement les intérêts de l’Église. Cette conclusion que je vous présente, condense à elle seule toutes les informations que j’ai pu répertorier jusqu’à aujourd’hui. Mon cher Docteur Goldstein, si vous désirez vraiment agir d’une manière constructive et réaliste, il va vous falloir « mettre les pieds dans le plat », sans vous inquiéter des petits doigts en l’air et autres grincements de dents. C’est la seule stratégie qui nous reste si l’on veut éviter de justesse le destin qui nous attend. Vous ne pouvez plus continuer à minauder avec la vérité, sous prétexte que la vérité blesse ceux qui vous connaissent, ou ceux que vous aimez.

En cette heure tardive, il ne nous reste que très peu de temps pour réparer la barrière, si vous m’autorisez cette image champêtre et prosaïque. Nous ne pouvons plus nous permettre de perdre la moindre seconde. « Tourner autour du pot » ne nous conduirait nulle part. Seuls des hommes courageux parviendront à franchir la tempête qui approche. Et pour parler à nouveau en figure, ou même peut-être que cette fois-ci je l’entends littéralement : « Les héros seront vivants, et les couards seront morts, lorsque la poussière de cette guerre ancestrale sera retombée » ; et non pas : « Les héros seront morts, et les couards seront vivants », comme cela se produisait parfois, dans d’autres circonstances…

Bien sûr, cette confusion dans l’esprit des chrétiens à propos des fondements de notre foi est tout à fait injustifiée et ne repose sur rien de réel ; elle n’a aucune raison d’être, et elle n’existerait pas si l’autorité ecclésiastique n’avait pas été la grande complice de toutes les supercheries qui la firent apparaître. Certes, je sais que des membres du clergé pourraient être sincèrement blessés d’apprendre qu’ils ont été les complices des ennemis consacrés de la foi chrétienne, et je vous accorde que beaucoup de prêtres sont leurs alliés sans le savoir ; mais cette ignorance est le plus gros obstacle à une défense constructive de la foi chrétienne contre ses ennemis consacrés.

Des chrétiens sans nombre, que leur ignorance du problème à poussé malgré eux sur la touche du champ de bataille, voient de jour en jour la foi chrétienne pourrir un peu plus sur la vigne, et se faisander au point de tomber toute seule dans le gosier avide de ses ennemis immémoriaux. Les chrétiens observent ce spectacle, impuissants ; et la coupe qu’ils doivent boire est rendue plus amère par la vue de l’indifférence du clergé censé les conduire. Cette apathie du clergé, livre à ses agresseurs la foi chrétienne privée de toute défense. Et leur attitude fuyante nous conduira inéluctablement à la défaite. Pour éviter une reddition sans condition aux ennemis de toujours, le clergé doit maintenant faire face sans le moindre délai, s’il désire sortir vainqueur dans ce combat idéologique invisible et intangible qui se livre sous son nez… Quand va-t-il se réveiller ?

Jésus-Christ était-Il « Juif » ou « Judéen » ?

Mon cher Docteur Goldstein, vous êtes un théologien de prestige et un historien de marque, vous auriez donc dû partager l’avis des plus grands spécialistes sur la prétendue « judaïcité » de Jésus-Christ. Les plus grands spécialistes s’accordent aujourd’hui pour dire que le raisonnement ou l’insinuation suivant laquelle « Jésus était juif », ne repose sur aucune base factuelle. Des faits historiques incontestables, ainsi qu’une profusion d’autres preuves, établissent par delà tous les doutes possibles l’absurdité de cette phrase que l’on entend partout aujourd’hui : « Jésus était juif ».

Sans redouter la moindre contradiction qui s’appuyât sur des faits historiques, les spécialistes les plus qualifiés s’accordent sur ce point précis que Jésus-Christ n’était pas un « Juif ». Ils pourront vous confirmer texte original à l’appui, que pendant sa vie Jésus-Christ était désigné comme un « Judéen » par ses contemporains, et non comme un « Juif » ; ils vous diront également que Jésus-Christ Se désignait Lui-même comme un « Judéen », et non comme un « Juif ». Pendant son passage ici sur Terre, Jésus fut désigné par les historiens de l’antiquité comme un « Judéen », et non comme un « Juif ». Tous les théologiens de l’antiquité, dont la maîtrise de la question pourrait difficilement être mise en doute, désignent Jésus-Christ pendant Sa vie, ici, sur Terre, comme un « Judéen », et non comme un « Juif ».

Maintenant mon cher Docteur Goldstein, ainsi que vous le savez, le mot latin rex ne signifiait pas « roi » initialement, mais « chef d’une tribu », leader en anglais ; et aux temps de Jésus-Christ, ce mot n’avait pas d’autre sens pour les Judéens qui connaissaient la langue latine. Le mot latin rex, vient du verbe latin rego, regere et signifie « diriger, conduire, mener, être à la tête de… ». Évidemment, le latin était la langue officielle dans toutes les provinces de l’Empire Romain, et c’est pourquoi l’inscription sur la croix fut rédigée également en latin.

Or, après leur invasion des Îles Britanniques, les Anglo-Saxons remplacèrent le mot latin rex, par le motking. Mais le remplacement du mot rex par le mot king à cette époque postérieure, ne modifie pas rétroactivement le sens que les Romains donnaient au mot rex à l’époque de Jésus-Christ. Le latin rex signifiait simplement pour eux « chef souverain », un leader. Le mot anglo-saxon king, avait d’ailleurs une graphie différente de celle d’aujourd’hui, lorsqu’il a remplacé le mot latin rex, mais toutefois son sens était encore à peu près équivalent à celui du latin.

Pour Ponce Pilate, il était bien évident que Jésus-Christ était la dernière personne que les Judéens auraient acceptée comme « chef de tribu ». Malgré cela, Ponce Pilate n’a pas hésité à ordonner cette inscription : Iesus Nazarenus rex Iudaeorum, et je répète que même par le plus sauvage étirement de l’imagination, on ne peut soutenir que ces mots de Pilate furent autre chose qu’un misérable sarcasme. Par cette référence à Jésus-Christ comme « chef des Judéens », ceux-ci auraient ourdi la crucifixion de leur chef souverain.

À l’époque de Jésus-Christ, les Romains désignaient le territoire actuel de la Palestine sous le nom deIudaea. Cette province était administrée par Ponce Pilate comme une partie intégrante de l’Empire romain. La traduction française de Iudaea est : « la Judée ». Le seul adjectif français que l’on puisse construire sur ce nom latin de Iudaea est « Judéen », et non pas « Juif ». Ainsi, la population qui vivait à l’emplacement de la zone géographique connue actuellement sous le nom de Palestine, était désignée en latin, à l’époque de Jésus-Christ, par le mot Iudaeus : « les Judéens ». À strictement parler, ce mot ne désignait rien d’autre que les habitants vivant à l’intérieur des frontières de la Judée à cette époque. Or qui pourrait nier que Jésus-Christ ne fut, Lui aussi, un habitant de la Judée de cette époque ?

Or vous savez très bien, mon cher Docteur Goldstein, que le génitif pluriel du latin Iudaeus est : Iudaeorum. Et que la traduction française littérale du génitif pluriel Iudaeorum, devrait être : « des Judéens », et non pas : « des Juifs ». Il est complètement impossible de donner une autre traduction littérale au latin Iudaeorum. C’est pourquoi comme je vous le disais, tous les théologiens et les historiens, qui maîtrisent bien ce problème, savent qu’il faut traduire Iesus Nazarenus rex Iudaeorum par « Jésus le Nazarénien chef souverain des Judéens ». Vous devez tomber d’accord sur cela.

Mon cher Docteur Goldstein, ouvrez bien vos oreilles, car nous arrivons maintenant au cœur du problème : il n’existe aucun fondement historique qui nous permette de dire que le mot grec ioudaiwj, le mot latinIudaeus, ou le mot français « Judéens », aient jamais possédé la moindre connotation religieuse ! Dans leurs langues respectives, ces mots n’ont toujours revêtu qu’une simple connotation géographique. Ces mots étaient utilisés pour identifier les habitants qui étaient nés dans le territoire de la Judée. Et à l’époque de Jésus-Christ, il n’existait aucun culte religieux en Judée ou ailleurs dont le nom ait la même racine que le mot « Judée », comme c’est par contre le cas pour le culte religieux dénommé « judaïsme ». Aucun culte, ni aucune secte ne portait le nom de « judaïsme ».

Personne ne pourra contredire le fait que le mot Jew (Juif) n’existait pas dans la langue anglaise avant l’année 1775.

La première acception écrite du mot Jew en langue anglaise, nous a été laissée au XVIIIe siècle par Sheridan dans sa pièce de théâtre : Les Rivaux. Dans l’Acte 2, scène 1 de cette pièce, nous lisons : « Elle aura la peau d’une momie, et la barbe d’un Juif ». Avant cette utilisation du mot Jew faite par Sheridan, ce mot n’existait pas dans notre langue. Ainsi, Shakespeare ne l’employa dans aucune de ses pièces, comme vous pourrez le vérifier vous-même. Certes, dans le Marchand de Venise, acte 5 scène 3, il est bien question d’un « Juif ». Mais pour ce passage précis, l’édition originale nous donne : « Et pourquoi ? Je suis un Iewe, et un Iewe n’a t-il pas d’yeux ? ».

Dans la Vulgate, Jésus est désigné comme « l’un des Judéens », grâce au génitif pluriel Iudaeorum.

Jésus est désigné pour la première fois par le mot Jew au XVIIIe siècle, dans l’édition révisée de la première traduction anglaise du Nouveau Testament qui remontait au XIVe siècle. L’étymologie du mot Jew dans la langue anglaise, ne laisse aucun doute sur le fait que le mot Jew du XVIIIe siècle provient directement du mot Iudaean de la Vulgate.

Les manuscrits allant du IVe au XVIIIe siècle, retracent précisément l’évolution du mot Iudaean dans la langue anglaise. Dans ces manuscrits, on trouvera que la langue anglaise à connu un très grand nombre d’équivalents au mot Jew, tout au long de son histoire. Depuis le latin Iudaeus jusqu’à l’anglais moderne Jew, on rencontre successivement : GyuGiuIuIuuIuwIeuuIeuyIweIowIeweIeueleueIueIvelew, et finalement au XVIIIe siècle : Jew. Et pour le pluriel on a : GiwisGiwsGyuesGywesGiwesGeusIuysIows,IouisIews, et finalement au XVIIIe siècle : Jews.

Au XVIIIe siècle, les presses typographiques s’étaient grandement améliorées, et on imprima des quantités illimités du Nouveau Testament. Ces éditions révisées, qui se basaient encore toutes sur la première édition en langue profane du XIVe siècle, furent largement distribuées dans tout le monde anglophone, et de nombreuses familles qui n’avaient jamais possédé de Bible, ont pu en acquérir une qui soit rédigée dans la langue qu’ils parlaient tous les jours. C’est dans cette édition révisée que le mot Jew apparaît pour la première fois. Et grâce à l’importance du tirage, la forme Jew s’est définitivement imposée dans la langue anglaise.

Ainsi que vous le savez, mon cher Docteur Goldstein, les éditions les plus connues du Nouveau Testamenten langue anglaise sont : la Rheims (DouaiEdition, et la King James Authorized Edition. La première traduction du Nouveau Testament en anglais de la Rheims Edition date de 1582, et conformément à ce qui a été dit, le mot Jew ne s’y trouve pas. De même pour la première traduction en anglais du Nouveau Testament de laKing James Authorized Edition de 1611. Le mot Jew ne fit son apparition, dans ces deux éditions les plus connues du Nouveau Testament, que dans leurs éditions révisées du XVIIIe siècle.

Un nombre incalculable de ces éditions sorties des presses typographiques a circulé parmi le clergé et les laïcs de tout le monde anglophone ; mais parmi ces personnes, très peu ne connaissaient ou ne se préoccupaient de l’étymologie exacte du mot Jew, qu’ils découvraient pour la première fois. Ils acceptèrent donc naturellement le mot Jew comme la traduction officielle du latin Iudaeus et du grec ioudaiwv. Il s’agissait simplement d’un mot nouveau pour eux.

Mon cher Docteur Goldstein, comme vous le savez déjà, la langue anglaise est largement composée de mots empruntés à des langues étrangères. Après leur adoption par la langue anglaise, ces mots étrangers subissent diverses adaptations et contractions de leur orthographe, afin de les rendre plus aisément prononçables dans le système phonétique anglais. Ce procédé d’adoption de mots étrangers, puis de leur adaptation, est à l’origine de nombreux mots nouveaux, tels que le mot cab, qui nous vient du français « cabriolet ». Et nous pourrions trouver des milliers d’exemples comme celui-ci. Vous devez déjà en avoir des dizaines sur le bout des lèvres.

C’est par ce procédé naturel d’adoption-adaptation, que le latin Iudaeus et le grec ioudaiwv ont fini par donner le mot Jew que nous connaissons. Ainsi, les anglophones auront dû se battre pendant 14 siècles avant de trouver la prononciation et l’orthographe qui leur convienne, pour l’adoption du mot latin Iudaeus. Les motsIudaeus et ioudaiwv ne pouvant se prononcer facilement en anglais, il a donc fallu forger un mot nouveau.

Comme dernière confirmation, je vous citerais l’édition Wyclife de la Bible de 1380, la toute première traduction de la Vulgate en anglais. Dans cette édition, Jésus est désigné comme « l’un des Iewes », car telle était la version anglaise du latin Iudaeus au XIVe siècle, et elle se prononçait : « HHHYOU-WIIIZ » au pluriel, le singulier Iewe se prononçait : « HHHYOU-WIII ». Pour le verset de Jean 19:19, on lit dans cette édition : « Ihesus of nazareth kyng of the iewes ». Avant le XIVe siècle, la langue anglaise s’était dotée d’un grand nombre de mots anglo-saxons, dont le mot kyng, qui avait la même signification que le latin rex et que le grec basileuv, c’est-à-dire, celle de « chef de tribu ».

Les sens dérivés du mot « Juif »

Mon cher Docteur Goldstein, si le mot « Juif » et le mot « Judéen » désignaient une chose identique, comme cela devrait être le cas si l’on se basait uniquement sur leurs étymologies respectives, soyez bien persuadé que je ne me serais pas lancé dans toutes ces fastidieuses énumérations, et que l’emploi de l’un ou de l’autre pour désigner Jésus-Christ dans le Nouveau Testament ou ailleurs, me serait parfaitement égal. Mais voilà, dans l’esprit des gens, ce que désigne le mot « Judéen », et ce que désigne le mot « Juif », sont deux idées aussi éloignées l’une de l’autre que le blanc l’est du noir.

Mais pendant les XVIIIe, XIXe, et XXe siècles, un groupe de pression international, très bien organisé et très bien financé, a généré un sens dérivé au mot « Juif ». Et ce sens dérivé, profondément implanté dans l’esprit des gens, n’a plus rien à voir avec le sens que le mot « Juif » (Jew) avait au XVIIIe siècle. Ce nouveau sens est le résultat d’une déformation calculée.

Le sens dérivé du mot « Juif » a aujourd’hui autant de points communs avec son sens initial, que le sens du mot Coca, par exemple, a de points communs avec le sens initial du mot coca. Le sens dérivé du mot Coca correspond à la boisson gazeuse ainsi dénommée, mais son sens initial est celui d’un arbuste d’Amérique du Sud.

C’est le résultat d’une quantité astronomique d’argent, dépensée dans des campagnes publicitaires d’envergure mondiale. Aujourd’hui, si vous dites à l’un de vos amis : « passe-moi une Camel », il n’ira jamais vous chercher un chameau. De même que si vous lui demandez « un Coca », il n’ira jamais vous déterrer un arbuste en Amérique du Sud. Ainsi, les sens dérivés parviennent à éclipser presque complètement le sens correct et initial des mots dans l’esprit des gens. Et le sens dérivé du motJew aujourd’hui ne fait pas exception, il a pratiquement éclipsé le sens correct et initial du mot Jew, lorsque celui-ci a été introduit dans la langue anglaise, au XVIIIe siècle.

Pendant trois siècles, une campagne mondiale abondamment financée et précisément minutée, ayant à son actif tous les médias disponibles du monde entier, a développé un sens secondaire au mot « Juif », qui a fini par oblitérer totalement le sens correct et initial du mot « Juif ». Il n’y a pas l’ombre d’un doute à ce sujet.

Plus une seule personne dans tout le monde anglophone, ne considère encore aujourd’hui un « Juif » comme un « Judéen » au sens littéral. Alors que c’était le seul sens de ce mot au XVIIIe siècle. Dans l’esprit des gens, le mot « Juif » fait maintenant référence à un ensemble de cinq théories qui sont universellement admises :

·         »Un « Juif » est une personne qui professe la religion du judaïsme. »

·         »Un « Juif » est une personne qui appartient à un groupe racial lié aux anciens Sémites. »

·         »Un « Juif » est une personne dont les ancêtres appartenaient à une nation qui prospérait aux temps bibliques dans la zone géographique de la Palestine : les Israélites, ou les Hébreux. »

·         »Un « Juif » est une personne qui bénéficie de par son origine d’une sorte d’élection divine, et qui présente de part son histoire des caractéristiques culturelles supérieures, dont les autres races sont dépourvues. »

·         « Un « Juif » est « Juif » tout à la fois par sa race, sa religion et son identité nationale. »

Cependant, sachez que tous les sous-entendus qui se cachent maintenant derrière le mot « Juif », sont petit à petit replacés dans leur juste perspective par un nombre croissant de chrétiens sensés dans ce pays… De tels chrétiens savent que ces sous-entendus sont en contradiction flagrante avec des faits historiques certains. Depuis longtemps déjà, les chrétiens qui ne tolèrent plus qu’on les prenne pour des imbéciles, soupçonnent la hiérarchie ecclésiastique qui lui régurgite à longueur de dimanche son cantique préféré : « Jésus était juif », « Jésus était juif », « et Marie… était juive ! ». Leur litanie commence même à friser la psychose.

Un nombre incalculable de chrétiens comprend que le clergé leur a fait subir un véritable lavage de cerveau, en les matraquant systématiquement par cette phrase : « Jésus était juif, alors vous comprenez… ». Les chrétiens ne veulent désormais entendre qu’une seule chose de la part du clergé : « la vérité, toute la vérité, et rien que la vérité ». Il est urgent maintenant que le clergé dise aux chrétiens ce qu’il aurait dû leur dire depuis longtemps ; car de tous les groupes religieux du monde, les chrétiens sont les moins informés sur ces questions qui les concernent pourtant de très près… La hiérarchie ecclésiastique aurait-elle fait quelques compromis avec la vérité ?

Les chrétiens intelligents n’admettent plus comme parole d’Évangile l’assertion sans fondement selon laquelle Jésus, pendant sa vie en Judée, ait appartenu à un groupe qui pratiquait le culte religieux connu aujourd’hui sous le nom de « judaïsme ». Ils ne croient pas non plus que Jésus-Christ, pendant sa vie, ici sur Terre, ait appartenu à la même communauté raciale que la grande majorité des « Juifs » d’aujourd’hui (prétendus ou autoproclamés) ; ni que ces « Juifs » d’aujourd’hui (prétendus ou autoproclamés) soient les descendants de ce peuple qui vivait en Judée et auquel Jésus-Christ appartenait.

La hiérarchie ecclésiastique va bientôt s’apercevoir que la vérité n’est pas une folie, ni l’ignorance une bénédiction. Partout et de plus en plus, les chrétiens cherchent fiévreusement à apprendre la relation véritable qui existe entre les habitants de la Judée de l’époque de Jésus-Christ, et les « Juifs » (prétendus ou autoproclamés) du monde actuel. Les chrétiens veulent que la hiérarchie ecclésiastique leur dise tout ce qu’elle sait sur le contexte racial, religieux, national et culturel des « Juifs » du monde actuel (prétendus ou autoproclamés) et sur quelles bases la hiérarchie ecclésiastique se fonde pour affirmer que le contexte racial, religieux, national et culturel des « Juifs » d’aujourd’hui (prétendus ou autoproclamés) est le même que celui que connaissait Jésus-Christ pendant Sa vie. Les chrétiens qui s’informent savent désormais que le mythe selon lequel les « Juifs » d’aujourd’hui (prétendus ou autoproclamés) seraient les descendants des Judéens parmi lesquels vivait Jésus, n’est plus désormais qu’un mythe « explosé »…

Les chrétiens comprennent également de mieux en mieux pourquoi les « Juifs » (prétendus ou autoproclamés) ont dépensé pendant trois siècles des sommes colossales pour forger la fiction selon laquelle « Jésus était juif », dans le sens dérivé du mot. Les chrétiens sont de plus en plus conscients de tous les avantages économiques et politiques que les « Juifs » ont directement tiré de cette fiction selon laquelle « Jésus était juif », dans le sens dérivé du terme. Les chrétiens ont compris que les « Juifs » (prétendus ou autoproclamés) voulaient ainsi nous faire croire qu’ils avaient de nombreuses affinités avec Jésus-Christ, le fondateur de notre religion ; et ils cherchent en permanence à entretenir cette fiction dans nos esprits.

Jésus pratiquait-Il la forme de religion qui allait donner la judaïsme ?

Prétendre que « Jésus était juif » dans le sens où il aurait professé une forme de religion voisine du judaïsme actuel, est une fiction des plus blasphématoires. Si pour être « Juif » à cette époque comme à la nôtre, la pratique du judaïsme est une condition nécessaire, alors il est bien évident que Jésus-Christ n’était pas « Juif ». Jésus détestait et condamnait la forme de culte religieux qui se pratiquait en Judée à son époque, et qui est aujourd’hui connue et pratiquée sous le nom de « judaïsme ». Cette pratique religieuse se faisait alors connaître sous le nom de « pharisaïsme ».

Le distingué Rabbin Louis Finkelstein, qui préside le Séminaire de Théologie Juive (institution que l’on désigne souvent comme : « le Vatican du judaïsme »), est l’auteur de l’ouvrage : Les Pharisiens, Mouvement religieux, contexte sociologique de leur apparition, titre qui est devenu un classique dans le monde entier. À la page 21 de ce livre, le distingué Rabbin Louis Finkelstein nous dit :

« Le pharisaïsme devint le talmudisme, le talmudisme devint le rabbinisme médiéval, et le rabbinisme médiéval devint le rabbinisme moderne. Mais au travers de tous ces changements de nom (…), l’esprit des anciens pharisiens est demeuré le même (…). De Palestine jusqu’en Babylonie, de Babylonie jusqu’en Afrique du Nord, puis en Italie, en Espagne, en France, et en Allemagne, puis de là, en Pologne, en Russie, et dans toute l’Europe orientale, l’ancien pharisaïsme a continué son voyage, (…) ce qui démontre son importance en tant que l’une des grandes religions du monde. »

Dans ce grand classique, le distingué Rabbin Louis Finkelstein nous retrace toute l’histoire du judaïsme, en partant du pharisaïsme pratiqué en Judée au temps de Jésus. Le rabbin Louis Finkelstein y confirme ce que nous disait déjà l’éminent rabbin Adolphe Moses, dans son plus grand classique : Le Yahvismeet autres discours, rédigé en collaboration avec le célèbre rabbin H. G. Enlow, et publié en 1903 par la section de Louisville duConseil des Femmes Israélites. Dans cet ouvrage, le rabbin Adolphe Moses nous déclare :

« Parmi tous les malheurs qui sont advenus, (…) celui dont les conséquences furent les plus regrettables, est l’invention du mot « judaïsme ». (…) Pire encore, les Juifs eux-mêmes en sont venus à désigner leur propre religion sous le nom de « judaïsme », (…) alors que ni dans la Bible, ni dans les écrits postérieurs, ni dans le Talmud, il n’est fait une seule fois mention de ce terme. La Bible parle de la Torah Yahweh, de « l’instruction », ou de « la loi morale révélée par Yahweh » (…), ou encore en d’autres lieux de Yirath Yahweh : « la crainte de Yahweh ». Ce sont ces appellations qui furent employées au cours des âges au sein de notre religion. (…) Toutefois, pour la distinguer du christianisme et de l’islam, les philosophes juifs la désignent parfois comme : « la foi des Juifs ». (…) Mais c’est Flavius Josèphe qui a inventé le terme de judaïsme pour pourvoir à l’instruction des Grecs et des Romains sur cette question, et de manière à distinguer cette religion de l’hellénisme. (…) Par le mot « hellénisme », il faut comprendre toute la civilisation, y compris la langue, la poésie, la religion, l’art, la science, les manières, la coutume, et les institutions (…), qui s’étaient répandues depuis la Grèce, foyer originel, jusqu’aux vastes régions d’Europe, d’Asie et d’Afrique. (…) Bien sûr, les chrétiens s’emparèrent avidement du mot, (…) pendant que les Juifs, qui détestaient profondément le traître Flavius Josèphe, refusaient tout simplement de lire ses écrits. (…) C’est pourquoi le terme de « judaïsme », inventé par Flavius Josèphe, resta complètement inconnu des Juifs, (…) et ne fut utilisé par eux qu’à une époque relativement récente ; après que les Juifs eussent commencé à lire des ouvrages chrétiens. C’est pourquoi ils se mirent eux aussi, à appeler leur religion : “judaïsme”. » (Souligné par nous.)

Ces deux citations des deux plus grands spécialistes mondiaux sur ce sujet, établissent à la fois que le « judaïsme » ne fut jamais le nom d’aucun culte religieux pratiqué en Judée aux temps de Jésus (Flavius Josèphe vivant au premier siècle de notre ère), et que le culte pratiqué aujourd’hui par les « Juifs » (prétendus ou autoproclamés) descend directement du pharisaïsme. Je n’invente rien, c’est exactement ce que nous apprend le rabbin Louis Finkelstein, qui préside le Séminaire de Théologie Juive, et c’est ce que vous diront également tous les spécialistes de cette question.

Le pharisaïsme de Judée, au temps de Jésus-Christ, est une pratique religieuse se basant essentiellement sur les enseignements qui allaient constituer le Talmud… Pour ceux qui pratiquent le judaïsme, le Talmud représente à peu prêt la même chose que ce que la Grande Charte, la Déclaration d’Indépendance, la Constitution, et le Bill of Rights, représentent pour nous. Le Talmud est sur un même piédestal pour ceux qui professent le judaïsme. Mais en revanche, le Talmud exerce une véritable dictature sur la vie des « Juifs » (prétendus ou autoproclamés) ; une dictature qui pourrait avoir été empruntée au totalitarisme le plus noir. Les rabbins ne font d’ailleurs guère d’efforts pour dissimuler le contrôle qu’ils exercent sur la vie intime des « Juifs » (prétendus ou autoproclamés). Cette autorité va bien au-delà des limites habituelles du domaine spirituel. À ma connaissance, leur pouvoir sur les gens ne connaît pas d’égal.

Le rôle joué par le Talmud dans le judaïsme tel qu’il est pratiqué aujourd’hui, est officiellement défini par le très révéré rabbin Morris N. Kertzer, le Directeur du Département des Relations Inter Religieuses, au sein duComité Israélite d’Amérique du Nord, et qui préside également l’Association des Aumôniers Israélites des Forces Armées des États-Unis. Le rabbin Morris N. Kertzer, qui est actuellement le spécialiste le plus qualifié du judaïsme, nous dit :

« Le Talmud est constitué de 63 livres. Ces livres sont la compilation d’écrits législatifs, éthiques et historiques, rédigés par les anciens rabbins. Il a été écrit cinq siècles après la naissance de Jésus. C’est un recueil de lois et de traditions. Il représente le code juridique sur lequel se base la loi religieuse juive, et c’est le livre qui est utilisé pour la formation des rabbins. »

Eh bien, mon cher Docteur Goldstein, compte tenu de ce jugement très officiel sur l’importance du Talmuddans la pratique du judaïsme actuel, peut-être y aurait-il un intérêt quelconque à ce que les chrétiens se demandassent ce qu’il peut bien contenir, ne croyez-vous pas ?

Qu’est-ce que le Talmud ?

Mon cher Docteur Goldstein, si vous rassembliez tous les écrits de tous les auteurs de tous les temps, qui de près ou de loin mentionnèrent la personne de Jésus-Christ, ou firent allusion aux chrétiens ou à la foi chrétienne, vous ne trouverez jamais de plus exécrables insultes, ni de blasphèmes plus odieux que ceux qui jalonnent les pages de ces 63 livres du Talmud, texte qui est, nous dit-on, « le code juridique sur lequel se base la loi religieuse juive », tout comme « le livre qui est utilisé pour la formation des rabbins ». La lecture du Talmud dans le texte, va vous ouvrir les yeux comme jamais ils ne l’ont été auparavant. Le Talmud couvre d’opprobre la personne de Jésus-Christ.

Les mots que vous allez lire sont foncièrement indécents, obscènes, vils, et orduriers, et je vous en présente mes excuses par avance, mais ce sont des citations mot pour mot de la traduction intégrale officielle du Talmud. Préparez-vous à une surprise.

En 1935, les grands pontes du rabbinisme international, décidèrent pour la première fois dans toute l’histoire du judaïsme de publier une traduction intégrale officielle et annotée des 63 livres du Talmud dans une langue profane, et ils choisirent bien évidemment la langue anglaise. Quelle force a bien pu les conduire à commettre une telle faute stratégique, cela restera l’un des mystères de l’histoire humaine… Peut-être sous-estimèrent-ils tout simplement le risque, et qu’ils n’entreprirent cette traduction que parce qu’un si grand nombre de « Juifs » de la nouvelle génération (prétendus ou autoproclamés tels) sont absolument incapables de comprendre les différentes langues utilisées dans la rédaction originale du Talmud.

La traduction intégrale officielle et annotée du Talmuden langue anglaise parut en 1935 chez Soncino Press. Elle a toujours été désignée depuis comme l’Édition Soncino du Talmud. Elle ne fut évidemment tirée qu’à un nombre très restreint d’exemplaires et ne fut pas non plus proposée à la vente pour le grand public. J’ai eu la chance d’avoir accès à un exemplaire de cette édition pendant de nombreuses années ; car aujourd’hui tous les exemplaires sont devenus de précieux objets de collection.

Maintenant, mon cher Docteur Goldstein, j’ai bien peur de ne plus pouvoir attendre pour faire place ici, à des citations scrupuleusement exactes de l’Édition Soncino. Mes commentaires pour en souligner l’énormités seront superflus, vous le verrez très vite. Je n’éprouve pas trop de scrupules à vous faire parvenir de telles obscénités par la poste, car l’Édition Soncino du Talmud ne figure pas sur la liste des envois interdits, je me suis renseigné auprès du bureau fédéral. Quoi qu’il en soit, je vous présente à nouveau mes excuses pour ces termes, que la nécessité seule me force à mettre sous vos yeux. Je pense que vous allez me comprendre.

SANHÉDRIN, 55b-55a :

« Qu’a-t-il été dit par là : — Rab a dit : “La pédérastie [ 1 ] avec un enfant qui a moins de neuf ans, n’est pas à considérer comme la pédérastie avec un enfant plus âgé.” Samuel a dit : “La pédérastie avec un enfant qui a moins de trois ans, n’est pas à considérer de la même manière que la pédérastie avec un enfant plus âgé.” [ 2 ] Quelle est la base de leur désaccord ? – Rab soutient que seul un sujet passif qui pourrait être capable d’avoir des rapports sexuels en tant que sujet actif, peut rendre coupable le sujet actif ; tandis qu’un enfant incapable d’être un sujet actif, ne peut être considéré comme le sujet passif d’un acte de pédérastie. [ 3 ] Samuel soutient quant à lui que l’Écriture dit : “Tu ne coucheras pas avec un homme comme on couche avec une femme” [ 4 ]. Il a donc été enseigné, conformément à l’avis de Rab, que le crime de pédérastie n’est qualifié qu’à partir de neuf ans et un jour ; (55a) mais celui qui commet la bestialité, que ce soit par les voies naturelles ou par les voies qui ne sont pas naturelles, ou bien une femme qui fait en sorte d’être abusée d’une manière bestiale, que ce soit par les voies naturelles ou par les voies qui ne sont pas naturelles, est passible de châtiment. [ 5 ] »

[ 1 ] On se place ici du point de vue du sujet passif de la sodomie. Ainsi qu’il a été établi plus haut en 54a, la culpabilité est encourue par le sujet actif de la sodomie, même si le sujet passif est un mineur (rappel : moins de treize ans). Cependant, une nouvelle distinction va être faite maintenant pour les sujets passifs ayant moins de treize ans.

[ 2 ] Rab place le minimum à neuf ans ; mais si la sodomie est pratiquée sur un enfant plus jeune, aucune culpabilité n’est encourue. Samuel, lui, fait de trois ans le minimum.

[ 3 ] À neuf ans, un enfant mâle a atteint la maturité sexuelle.

[ 4 ] LÉVITIQUE XVIII, 22.

[ 5 ] Explications depuis “Un enfant mâle âgé de neuf ans et un jour qui commet…” : Nous observons ainsi trois clauses distinctes dans cette Baraitha. La première (“Un enfant mâle âgé de neuf ans et un jour”) concerne le sujet passif de la pédérastie, la peine est alors encourue par le sujet actif adulte. Tel doit être le sens profond ici, car d’une part, le sujet actif n’est jamais explicitement désigné comme étant de sexe masculin, cela doit se comprendre spontanément, exactement comme on le comprend spontanément lorsque la Bible dit “Tu ne coucheras pas avec un homme…” où seul le sexe du sujet actif est stipulé ; et d’autre part, si l’âge de référence avait été celui du sujet actif, la culpabilité étant alors encouru par un sujet passif adulte, pourquoi alors avoir fait un cas précis du crime de pédérastie ? puisque dans tout crime d’inceste commis par l’enfant, le sujet adulte passif n’encourt aucune culpabilité, à moins bien sûr, que l’enfant ait atteint l’âge de neuf ans et un jour. C’est pourquoi cette Baraita a retenu l’affirmation de Rab selon laquelle le sujet adulte est condamnable, quand le sujet passif a plus de neuf ans et un jour. »

Avant de continuer, je voudrais également attirer votre attention sur un autre article. Confirmant la déclaration officielle du rabbin Morris N. Kertzer. Le New York Times du 20 mai de cette année a publié un article intitulé : « Les rabbins projettent de réunir des fonds pour la création de deux chaires » ; l’article commence de la façon suivante :

« Annonce spéciale pour le New York TimesUniontown, Pa. – Un projet pour collecter 500 000 $ pour la création de deux chaires au Séminaire de Théologie Juive d’Amérique a été annoncé aujourd’hui lors de la 54e convention annuelle de l’Assemblée des Rabbins d’Amérique. Les deux chaires porteront ce nom : CHAIRES LOUIS GINSBERG, CONNAISSANCE DU TALMUD. »

Ceci pour apporter une preuve supplémentaire que le Talmud n’est pas resté lettre morte pour la formation des rabbins d’aujourd’hui. En voulez-vous une autre confirmation ?

La voici : les spécialistes mondiaux du Talmud confirment que l’Édition Soncino est une traduction très fidèle et qu’elle suit presque mot à mot le texte original. Dans l’Histoire du Talmud, écrite en collaboration avec le célèbre Docteur Isaac M. Wise, Michael Rodkinson déclare encore :

« Comme conclusion de ce premier volume, nous voudrions inviter le lecteur à jeter un coup d’œil en arrière sur tout le passé du Talmud, (…) il verra que non seulement le Talmud n’a pas été détruit, mais que pas même une seule lettre n’en est tombée, et qu’aujourd’hui il s’épanouit à un degré jamais rencontré dans toute son histoire. (…) Le Talmud est l’une des merveilles du monde. À travers les 20 siècles de son existence il a survécu dans son intégralité, et non seulement ses ennemis n’ont pas réussi à en détruire une seule ligne, mais encore ils n’ont pas même été capable d’en diminuer le rayonnement à une époque quelconque. Le Talmud domine toujours les esprits d’un peuple entier, qui vénère son contenu comme vérité divine (…). Des écoles destinées à l’enseignement du Talmud apparaissent et se multiplient dans presque chaque ville où Israël est présent, et particulièrement dans ce pays où des millions sont collectés pour les caisses de deux universités : le Hebrew Union College de Cincinnati, et le Séminaire de Théologie Juive d’Amérique de New York, et dans lesquelles l’objet d’étude principal n’est autre que leTalmud. (…) Il existe également dans notre ville des maisons d’étude (Jeshibath) pour apprendre le Talmuddans les quartiers de l’East Side, et où de nombreux jeunes étudient quotidiennement le Talmud. »

Cette « vérité divine » que « vénère tout un peuple » et de laquelle « pas une seule lettre n’est tombée », et qui aujourd’hui « s’épanouit à un degré jamais rencontré dans toute son histoire », s’illustre parfaitement par

 

suite ici :

 

http://www.alterinfo.net/Histoire-occultee-des-faux-hebreux-les-Khazars_a83840.html

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20 novembre 2012 2 20 /11 /novembre /2012 05:38

 

 

 

http://img15.hostingpics.net/pics/807344397291UMPCorral.jpg

http://alter-et-caetera.over-blog.com/article-fillon-cope-du-riffifi-a-l-ump-105780194.html

 

 

 

La tragédie française,

par eva R-sistons

 

 

Tragique. La France n'est pas seulement ridiculisée, mais défigurée. D'ailleurs, je savais que Jean-François Copé gagnerait, en dépit des sondages. Il avait contre lui un Français bien de chez nous, de surcroît se réclamant du gaullisme social - donc à la fois d'une certaine façon, patriote et social. Or, en coulisses, le CRIF qui scandaleusement a colonisé notre pays, tous les centres névralgiques du pouvoir, veillait : Copé était son poulain pour la Droite, comme Valls, demain, pour la Gauche. Pas question de laisser une parcelle de pouvoir, en France, aux Français. Ségolène Royal a été éjectée, Martine Aubry aussi (à la tête du PS, remplacée par Harlem Désir) et Jean-Marc Ayrault est sali, discrédité, calomnié... par les Médias sionistes.

 

Une des tragédies de la France, aujourd'hui, est qu'elle n'est plus un Etat souverain, car non seulement lié à Bruxelles, mais surtout soumis  pour son malheur à israël via son représentant dans notre pays, le CRIF. Avec tout ce que cela implique : Les filets européistes et atlantistes, l'ultra-libéralisme, les guerres pour le compte de Tel-Aviv et de Washington -  quitte à s'allier avec les Salafistes radicaux, barbares, terroristes, contre la Syrie (comme sous Sarkozy, contre la Libye) - alors qu'à l'intérieur de notre pays, ces mêmes fanatiques sont traqués au prix des pires amalgames, d'ailleurs. 

 



http://madagoravox.wordpress.com/2010/12/07/les-chroniques-de-ragidro-de-la-dictature/

 

J'ai assisté en direct, dimanche soir, en pleine nuit, à un coup de force, à un  putsch bonapartiste, à une proclamation de victoire au forceps. En se déclarant vainqueur avant l'heure, avant d'être sûr d'avoir gagné, Copé, machiavéliquement, voulait mettre en difficulté son adversaire, en le contraignant à adopter une position de défense, celle d'un homme n'acceptant pas sa défaite. Triste position pour Fillon - et scandaleuse stratégie de Copé, rappelant celles des dictateurs sud-américains des années 60... sur fond d'urnes bourrées, de bulletins orphelins, de magouilles, de fraudes avérées. Et ce que j'ai vu, aussi, c'est un François Fillon répondant avec tristesse mais avec dignité qu'il avait (227 ?) voix de plus, ET qu'il s'en remettait à la Commission pour le résultat définitif. Tandis que l'ambitieux Copé, ce beau parleur (il est avocat, spécialiste du verbe), cet arriviste sans scrupules se pavanait avec arrogance, agressivité, sans complexe, mais aussi avec mépris pour son adversaire : en tendant une main condescendante à son rival vaincu.

 

"Quand on tient l'appareil, commente Ségolène Royal, il est plus facile de manipuler les résultats". Curieuse victoire de Copé, en effet !


 

Copé

 

Jean François Coppé  dans la piscine du marchand d’arme franco-libanais Zad Takieddine.


 

Triste personnage, d'une très grande violence, et qui clive, qui dresse les individus les uns contre les autres. Et cet inquiétant bonhomme, cet autoritaire rêve de tenir sous sa botte la France ? De la modeler comme ses amis de Tel-Aviv et de Washington le demandent, c'est-à-dire de transformer la terre de Jaurès, de Hugo, de Rousseau, de Charles de Gaulle, et même de Jacques Chirac, en jungle (où le plus fort domine le plus faible), en République bananière  autoritaire, anti-démocratique (écrasant les petits, les modestes), en pays où les nouveaux riches feront la loi avec arrogance en piétinant tous les obstacles, en ne reculant devant rien pour indéfiniment grossir leurs coffres-forts. 

 

Copé, c'est la France des parvenus, la France des affairistes, la France musclée impitoyable, la France sans état d'âme, la France autoritaire, la France communautariste (ultra-sioniste), la France raciste (islamophobe), la France du discours outrageusement identitaire, la France de Patrick Buisson (conseiller officieux de Sarkozy, ancien journaliste de Minute), la France décomplexée se permettant tout, la France qui se renie, la France qui brade ses biens (industrie, or, patrimoine...), la France  qui copie l'Amérique brutale des cow-boys, la France qui se soumet entièrement à Tel-Aviv... 

 

Sarkozy, comme j'ai eu l'occasion de l'écrire depuis son élection, est le fossoyeur de la France, de sa souveraineté, de ses valeurs, de son modèle social, de sa laïcité, de sa Presse, de son patrimoine, des fleurons de son industrie, de ses emplois, de son or, de sa diplomatie, de ses libertés, etc. Le CRIF a choisi ses successeurs : Copé à Droite, Valls à Gauche, même acabit. De la graine de dictateurs. La France, ils s'en foutent. Liés à israël "de manière éternelle", inconditionnels du modèle yankee inégalitaire, pions des Bilderberg, prêts à achever de tuer l'identité de notre pays.Tragédie française inéluctable ?

 

 

Autre exemple de parcours typique:Laurent WauquiezPourquoi Sarkozy gouvernera avec l’extrême droite

Wauquiez, ou Peltier ?

 

A l'UMP, la fracture est totale. Il y a désormais deux lignes totalement antagonistes, la bonapartiste autoritaire, anti-républicaine, anti-sociale de Copé, et la gaulliste républicaine, sociale, humaniste de Fillon. Tragédie française, avec des militants radicaux, avec la victoire d'une Droite décomplexée, arriviste, affairiste, brutale, sans scrupules, inhumaine... et de plus en plus à Droite. Dérive radicale de notre pays. François Fillon a raison : "La fracture est politique et morale". Irréductible.


L'UMP vient de se scinder en deux. Il y a d'un côté un Guillaume Peltier et sa France forte, et de l'autre Wauquiez et sa France solidaire. Il y a d'un côté Copé et les coups de force, la haine des Musulmans, les clivages, la rue pour contester la Gauche démocratiquement élue, et de l'autre Fillon et le respect des urnes, le rassemblement des Français, la République, la démocratie.  Irréconciliables. Il  y a bien 2 Droites, qui ne peuvent pas cohabiter. François Fillon doit quitter cette UMP là dont la victoire est d'ailleurs contestable, et fonder sa Droite, celle qui est compatible avec les valeurs de la France éternelle. Notre pays a le droit d'avoir sa Droite, mais elle doit être républicaine, digne. Respectueuse des traditions.  Il ne faut pas accepter en France une seule droite, tyrannique, affairiste, haineuse, raciste, sans scrupules, arrogante, exclusivement aux ordres du CRIF. Non à la France hideuse !

 

Notre pays est déjà occupé par les agents de Tel-Aviv, serons-nous aussi condamnés à subir un duel monstrueux, opposant la Droite musclée et affairiste de Copé, à la fausse Gauche autoritaire de Valls ?

 

La balle est dans le camp de François Fillon. Il a le devoir de rejeter une politique immorale... par respect pour notre pays.

 

Eva R-sistons 

 

http://r-sistons.over-blog.com

 

TAGS : Droite, Gauche, Copé, Fillon, Sarkozy, Wauquiez, Guillaume Peltier, Patrick Buisson, CRIF

 

 

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Copé : Du putsch, à la dictature ?

En tous cas, une France autoritaire,

anti-démocratique !

Déjà, Copé menace de contester le PS élu

dans la rue ! (eva)


De Sarkozy à Copé, la tragédie de la France.

Voici un article publié sur ce blog.

 

Vers une dictature en France ?

Par eva R-sistons

 

 

Sommes-nous en dictature, ou sur le point d’y entrer ? Je viens de lire un article qui s’intitule justement "La dictature s’installe" en France. Alors, dictature, ou pas ? Certains parlent de "pré-dictature", d’autres prétendent que la France a à sa tête un dictateur.

Sarkozy, c’est sûr, a l’étoffe d’un dictateur : Imbu de lui, hyper complexé, maladif, arrogant, coléreux, imprévisible, émotif, sans scrupules, égocentrique, hyper-autoritaire, ne supportant aucune critique, décidant de tout seul, caractériel, etc, etc. Hitler aussi était un grand complexé, prêt à tout pour affirmer son identité.

Je voudrais rappeler un épisode de la dernière Présidentielle : Sarkozy, alors Ministre de l’Intérieur et candidat, était passé au micro de FR3, et il n’avait pas apprécié l’accueil des journalistes ; il s’était emporté et il avait menacé, une fois élu, de licencier tout le monde... châtiment collectif, d’ailleurs !!! Une réaction comme celle-ci, disproportionnée, anti-démocratique, en dit plus que tous les discours sur la mentalité de Sarkozy et sur ce qu’il nous réserve. Il suffit d’ailleurs de lire son écriture, pour n’avoir aucune illusion sur l’homme, sur son état mental. Il paraît d’ailleurs qu’il aurait fait l’objet d’une dizaine d’ouvrages sur le sujet. Qui en parle ? Censure ? Comme pour le livre de Paul-Eric Blanrue, "Sarkozy, israël et les Juifs" ? 

Les médias sont sous contrôle absolu, le Quai d’Orsay a été "nettoyé" de ses éléments les plus indépendants, gaulliens, tout est verrouillé, les inconditionnels du Maître occupent tous les postes clefs... pauvre France ! Une fois de plus, je le dis : A l’heure des débats sur l’identité de notre pays, celle-ci est en voie de disparition complète... Et c’est encore Sarkozy qui nous annonce, le plus naturellement du monde : "Le "Nouvel Ordre Mondial", on y viendra, de gré ou de force.." ! 

Dois-je aussi rappeler que c’est le même homme qui a bafoué, piétiné, le vote des Français contre le Traité Européen ??? Et imposé, par tous les moyens, le Traité de Lisbonne clone de celui rejeté par les peuples qui pouvaient s’exprimer ? C’est encore Sarkozy qui somme de nommer son fils au poste le plus élevé, alors qu’il est encore étudiant et incapable de décrocher un diplôme, ou qui menace les députés UMP récalcitrants, bref il faut... se soumettre ou se démettre ! Pas vraiment démocratique, tout ça ! Nous pouvons légitimement craindre un avenir très sombre...

La pandémie donne l’occasion rêvée à Sarkozy de concentrer tous les pouvoirs, en prétextant le Bien public, la sécurité, l’urgence, ce qu’on veut ! Il souhaitait d’ailleurs être le premier Chef d’Etat européen à établir des lois d’exception, mais le Syndicat de la Magistrature a réussi à s’y opposer, jusqu’à présent. Gageons que rien ne résistera au désir du Président de contrôler tout, de décider de tout, et d’éliminer d’une façon ou d’une autre toute trace d’opposition, comme déjà en neutralisant la Gauche, en gommant les différences, les repères - par exemple en débauchant des hommes de Gauche (réellement de Gauche ? Ou ambitieux, opportunistes - presque tous, d’ailleurs, sont des inconditionnels d’Israël, des sionistes...). Bref, machiavélisme, mépris de la démocratie, tentative d’accréditer l’idée du parti unique... pour mieux étouffer toute Opposition, et... toute opposition !

Dernier acte nous conduisant directement à la mise en place d’une dictature antinomique des valeurs de la France, de la patrie des Droits de l’Homme, en plus de lois de plus en plus liberticides, et non négociables : Le nouveau mot d’ordre, aujourd’hui, est de vacciner à tous prix, quels que soient les risques, les mécontentements, et même les conséquences pour les étudiants en médecine ou se destinant à la carrière d’infirmiers, et bien sûr pour les malades privés de soignants à l’Hôpital ! 

Le site Artemisia, que je cite régulièrement sur mon blog r-sistons à l’intolérable, gênait : Il a été supprimé, tout simplement ! N’avons-nous pas de quoi nous inquiéter ? Sarkozy, c’est sûr, ne reculera devant rien pour arriver à ses fins, oui, devant RIEN !

 

Vous voulez que je vous dise ? J’ai l’impression de me trouver dans la France d’avant la 2e guerre mondiale, démissionnant, se résignant, face aux périls qui s’annonçaient pourtant clairement. Sommes-nous aussi défaitistes que Daladier en 1938 ? Prêts à être, par notre silence, artisans de la ruine de l’identité française, artisans de la ruine de la France, artisans de notre propre ruine ? Car tôt ou tard, on passe de la passivité résignée à la collaboration.... et à l’intolérable !

 

Un autre élément particulièrement lourd de menaces pour la liberté et pour la démocratie chère au coeur des Français, est la concentration, sans précédent, de tous les pouvoirs, de toutes les fonctions importantes, entre les mains d’un seul groupe, d’un seul clan, de surcroît inféodé à l’Etranger, indifférent aux intérêts spécifiquement français, soucieux seulement de plaire à Israël. Il s’agit d’une démission incroyable de notre pays, d’une situation unique dans l’Histoire de la France. Tous ceux qui, à juste titre, sont attachés à l’indépendance de la France, sont révoltés, ulcérés, scandalisés. Il s’agit d’autre chose que du patriotisme : Il s’agit du Droit, de la Légitimité, de la Liberté. De l’identité même de notre pays ! A l’heure où l’on institue, là encore de force, des débats sur l’identité française, d’ailleurs pour masquer les vrais problèmes, il est nécessaire de rappeler cette dimension : La France, réellement colonisée, n’est plus elle-même... Une tragédie ignorée du grand public !

Et aujourd’hui, on nous impose de commémorer à l’école les honteux camps de la mort nazis ; Demain, la France sera peut-être un immense de camp de concentration, où chaque citoyen sera confiné, contrôlé, assujetti et peut-être même éliminé parce que, comme le Gl de Gaulle, il aura osé s’opposer à l’intolérable d’une dictature qui ne dit pas son nom, au service d’un homme, de l’"Elite" militaro-financière, et d’un Etat étranger...

Eva R-sistons 

 
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Hommes "forts", alerte !
En Espagne, la Droite est musclée.
Voici comment elle traite ses citoyens (eva)
Imaginez une botte piétinant un visage humain
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Les floués, les exclus du Système, au lieu de mener les justes combats libérateurs, se tournent vers des hommes forts, qu'ils croient "providentiels", comme en 40 avec Hitler. Ils forment hélas, le gros des troupes des Droites extrêmes (note d'eva)
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Piqûre de rappel :

 
Publié le 19 mars 2012 par L'as de Madrid

Les élections présidentielles se gagneront ou se perdront à sa droite. Nicolas Sarkozy en est conscient, et tente aujourd'hui de rallier ceux qui firent sa fortune en 2007 : les électeurs du Front National. Pour ce faire, les appels du pied à l'électorat nationaliste se multiplient mais ne semblent pas suffire à siffler le réservoir des voix de Marine Le Pen. Le faux débat sur la viande halal, la remise en cause des accords de Schengen et les sorties répétées de Claude Guéant ne sont que l'avant goût de ce que Sarkozy peut nous réserver au deuxième tour : une union des droites nationales. Beaucoup en ont rêvé, pourquoi ne le ferait-il pas?
 
L'entourage immédiat de Sarkozy, des hommes sous influence

On ne le dira jamais assez : la politique ne se fait pas que dans les discours ou dans les actes, elle se décide dans les couloirs et les coulisses. L'entourage de Sarkozy  pour sa campane de 2012 a ceci de surprenant qu'il compte un certain nombre d'individus issus des rangs de l'extrême droite française. A commencer par Patrick Buisson, dont le chef de l'Etat ne peut visiblement plus se séparer. Conseiller privilégié, membre de sa garde (très) rapprochée, Nicolas Sarkozy disait de  lui en 2007 qu' « il est l'hémisphère droit de mon cerveau » (Libération 15/03/2012). En l'espace de cinq ans, le sinistre homme de l'ombre de Sarko a acquis une place prédominante dans la stratégie du candidat de l'UMP.
 
Les parasites au chômage, les mangeurs de viande halal, la France forte, c'était lui. Ce charmant conseiller, transfuge des branches les plus dures de l'extrême droite hexagonale traîne derrière lui une carrière édifiante : vice président de la FNEF en 1968 (opposée aux étudiants qui se révoltaient), directeur du journal Minute dans les années 80 (journal du Front National avant la rupture avec Marine Le Pen), puis conseiller de Philippe de Villiers, il a inspiré à Nicolas Sarkozy toutes les idées réactionnaires du quinquennat : ministère de l'immigration, débat sur l'identité nationale... Celui qui avait publié les fameux livres OAS, Histoire de la résistance française en Algérie ou  L'Album Le Pen a bel et bien pris une place prédominante dans la campagne. Militant de la première heure d'une union des droites nationales, il déclarait en 1986 déjà que « Le Pen et le RPR , c'est la droite. Souvent, c'est une feuille de papier à cigarettes qui sépare les électeurs des uns ou des autres ». (Nouvel Observateur 20/11/2008).
 
Pourquoi Sarkozy gouvernera avec l’extrême droite
Patrick Buisson dans sa jeunesse, lorsqu'il travaillait au Journal Minute
 
Les années Minute de Patrick Buisson, conseiller de Sarkozy- Rue-89 : "
Celui qui vante au Président la chasse aux voix FN est un ex-journaliste de l'hebdo d'extrême-droite. Nous avons relu ses articles." voir UMP et les mouvements racistes - citizenkhane, face au racisme : virons les lois scélérates et ceux qui l'imposent

 
Reportage de Complément d'enquête - Décryptage de la statégie
(vidéo)

Un autre visage emblématique de ce rapprochement des droites est celui de Guillaume Peltier. Jeune loup fougueux au verbe haut et à l'arrogance primaire, cet ancien villiériste convaincu (encore ?) a lui aussi fait ses classes auprès de crânes rasés et de nostalgiques notoires. Avant d'être nommé secrétaire national de l'UMP aux enquêtes d'opinions (janvier 2012), et balancés sous les feux de la rampe sarkoziste dans la campagne présidentielle, cette tête à claques (appelons un chat un chat) affiche un CV à faire pâlir Marine Le Pen : Jeunesse Action Chrétienté, Front National dela Jeunessesous Jean-Marie, MNR sous Mégret, puis MPF sous de Villiers, le bougre a multiplié les casquettes d'extrême droite avant de finir rue dela Boétie. Aujourd'hui, on lui sert le café au siège de l'UMP et Guillaume est devenu quelqu'un de parfaitement fréquentable. La preuve, il est envoyé en première ligne sur les plateaux télé pour défendre le fabuleux bilan de son candidat préféré. Encore un qui rêve depuis toujours d'une union des droites et qui a conscience qu'il faudra bien que Sarkozy s'ouvre à la droite nationaliste pour pouvoir remporter le grand chelem.
 
La Droite Populaire, passerelle de l'extrême droite
(..)

Un « je t'aime moi non plus » historique
(..)

Une stratégie délibérée en temps de crise

Partout en Europe on observe une tendance au rapprochement entre les droites classiques et les droites extrêmes. La crise financière et sociale a précipité un processus entamé depuis des années dans certains pays européens (Italie, Hongrie etc...). Désormais, qu'on se le dise, on discute avec l'extrême droite un peu partout sur le continent. Aux Pays Bas, l'importance croissante du PVV (Parti pour la liberté) de Geert Vilders a abouti en 2010 à la formation d'un gouvernement d'union des droites nationales : les chrétiens démocrates et les conservateurs étaient dans l'obligation de conclure un accord avec ce dernier pour espérer obtenir une majorité parlementaire. En Grèce, le gouvernement de Lucas Papademos censé rétablir l'ordre social dans un pays exsangue a ouvert sa porte à quatre ministres issus des rangs du parti d'extrême droite LAOS (notons que ces ministres ont démissionné au mois de février 2012). Partout, les organisations d'extrême droite font des percées historiques au sein des parlements nationaux, et obligent ainsi les partis de droite de gouvernement à composer avec elles. Sarkozy sait très bien qu'il ne gagnera pas les élections de 2012 s'il ne laisse pas la possibilité à l'extrême droite de grignoter un bout de l'os. C'est pourquoi il pourrait rapidement proposer aux électeurs nationalistes une alliance de circonstance, avec portefeuilles ministériels à la clé
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http://l-indigne.skyrock.com/3078046641-Pourquoi-Sarkozy-gouvernera-avec-l-extreme-droite.html
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19 novembre 2012 1 19 /11 /novembre /2012 05:08

 

 

Révolution !Toute l’hypocrisie qui tourne autour des événements en Syrie, tous les discours mensongers, toutes les fausses bonnes intentions et les promesses en toc ne peuvent pleinement se comprendre sans avoir analysé le cas du Bahreïn, cette petite île située au large des côtes du Qatar et de l’Arabie saoudite.

 

Le Bahreïn est encore gouverné aujourd'hui par le roi Hamad ben Issa Al-Khalifa, mais le monarque a été ébranlé en février 2011 par un gigantesque mouvement de protestation (le plus important de toute l'histoire de l'île) appelé « la Révolution de la perle » (le Bahreïn est un fabricant de perles bien connu, et la place principale de la capitale Manama s’appelle à juste titre Pearl Square).

 

Suivant les exemples tunisien et égyptien, la majorité chiite de Bahreïn (près de 75 % de la population) organisa ses premières journées de la colère, exigeant l'abdication du roi sunnite et la mise en place d'un gouvernement qui reflétât la majorité populaire chiite trop longtemps éloignée des sphères du pouvoir. C’est ainsi que le 14 février 2011, 30.000 personnes se rassemblèrent sur Pearl Square pour manifester leur désaccord avec la politique subie jusqu’alors. Comme prévu, la situation s’envenima et la police chargea la foule. Soudain, c’est le coup dur. Ali Abdulhadi Mushaima, tout juste 21 ans, vient d’être mortellement touché. On découvrira plus tard que la police anti-émeute bahreïnie utilisait les mêmes projectiles que celui qui provoqua la mort du jeune homme.

 

Ses funérailles rassemblèrent 50.000 personnes, et les manifestations qui suivirent drainèrent toujours plus de monde dans les rues de la capitale. Le 22 février, une semaine après les premières manifestations, ils n’étaient pas moins de 150.000 à battre le pavé. Leur nombre doubla dès le 25 février. C’étaient maintenant 40 % des habitants de l'île qui osaient défier le roi. Le régime perdit rapidement le contrôle de la situation : après avoir montré quelques signes d'ouverture, il comprit vite que son sort ne tenait plus qu’à un fil. La répression se déchaîna : en une semaine à peine, quatre-vingts civils perdirent la vie, fauchés par les tirs bien ajustés des forces de l’ordre ou victimes de matraquages trop appuyés. Le nombre de morts pour un pays d’à peine 1.200.000 habitants a été considérable ; toutes proportions gardées, ce chiffre représenterait pour la France plus de 4.000 vies humaines…

 

On aurait pu s’attendre, devant cette impasse politique, à voir les traditionnels défenseurs de la démocratie et des libertés rappliquer, menaçant le pouvoir en place d’une intervention humanitaire sous l’égide (ou pas) de l’ONU et armant au passage la rébellion pour qu’elle mette fin à la répression. C'est pourtant ce qu’ils ont fait… en se rangeant du côté de la monarchie.

 

Le roi de Bahreïn, lié traditionnellement aux autres monarchies du Golfe, demanda l'aide du Conseil de coopération du Golfe (CCG) et de l’Arabie saoudite (fidèle alliée des États-Unis). Le prétexte avancé est que « l'Iran chiite pouvait infiltrer l'insurrection avec des cellules combattantes ». La Jordanie et le Qatar envoyèrent à leur tour leur soldatesque. Le 14 mars, une force militaire composée de 1.500 hommes était envoyée pour mater la rébellion. La répression eut lieu sous le regard attentif de la cinquième flotte américaine, ancrée à Manama. Hillary Clinton lança pour la forme un appel en direction du régime… « en espérant une normalisation de la situation ». Les Saoudiens œuvrèrent comme il convient puisque la révolte fut matée dans l’œuf.  Le bilan du « retour au calme » est sans appel : 93 morts, des milliers de blessés, des centaines sinon des milliers de cas de torture.

 

Le fait que l'Iran chiite, dont les relations ont toujours été peu ou prou tendues avec les monarchies du Golfe, aient tenté de suivre de près les événements ne fait aucun doute, mais les Saoudiens et les Étatsuniens ont infiltré depuis les soulèvements syrien et libyen. Et là réside l’hypocrisie : on invoque d’un côté le recours à la justice en Syrie (comme on l'a précédemment fait en Libye), et de l’autre on ferme les yeux sur ce qui se passe au Bahreïn.

 

La démocratie est un prétexte à tous les mauvais coups. Cette grotesque escroquerie masque en réalité les véritables ressorts du système. Les responsables des organisations qui exercent le pouvoir réel ne sont pas élus. Les accords économiques internationaux réduisent de plus en plus la marge d’action des États, et le peuple n’est ni consulté (ou alors, on lui demande de revoter quand il se « trompe » - cf. référendum du 29 mai 2005 sur le projet de constitution européenne), ni informé. Pourtant, les électeurs continuent de voter. Il faut dire que ceux qui détiennent réellement le pouvoir continuent de bercer le tout un chacun de l’illusion de l’alternance démocratique.

 

Pourtant, quelle différence y-a-t-il entre les programmes politiques de « droite » et de « gauche » ? Rien… ou si peu. Nos politiciens s’accordent sur tout (l’Europe, la démocratie, …) puisqu’il n’y a pratiquement plus rien à décider, se contentant de gérer les affaires courantes.

 

La démocratie est un leurre, au Bahreïn, en France ou ailleurs. Depuis 1945, les États-Unis, « avant-garde » en la matière, nous l’ont servie à toutes les sauces. Elle n’aura finalement fait que desservir les intérêts des peuples : coup d’État en 1953 fomenté par la CIA en Iran pour renverser le premier ministre Mossadegh, renversement en 1954 du gouvernement en place au Guatemala, tentative de déstabilisation de Cuba en 1961 après le débarquement de la baie des Cochons, crimes de guerre au Vietnam de 1961 à 1973, soutien en 1964 au renversement de João Goulart par une junte militaire qui instaure une dictature au Brésil de 1964 à 1985, encouragement au coup d’État du général Pinochet en 1973, aide au gouvernement salvadorien et aux escadrons de la mort de 1980 à 1990, soutien des contras situés au Honduras afin de lutter contre las sandinistes du Nicaragua, guerre du Golfe en 1991 ayant provoqué une situation sanitaire dramatique en Irak, crimes de guerre en Afghanistan sous prétexte d’une guerre contre le terrorisme, soutien en 2011 des rebelles libyens accusés à leur tour de crimes de guerre… La liste des crimes commis en son nom n’est pas exhaustive.

 

L’exemple du Bahreïn nous montre que les véritables maîtres du monde, qui sont en réalité les dirigeants des grandes multinationales (le poids des sociétés multinationales ayant depuis longtemps dépassé celui des États), n’avaient aucun intérêt à voir les aspirations populaires portées par un nouveau gouvernement, ce dernier fût-t-il pour le coup véritablement démocratique.  

 

La démocratie en Occident n’est finalement que la dictature soft des marchés financiers (réseaux relationnels liant financiers, hommes politiques et journalistes, presse détenue par les industriels et financiers proches des cercles du pouvoir, etc.). Et celle qu’on exporte… une dictature au profit des mêmes marchés. Le système se perpétuera tant que l’alchimie des élections fonctionnera à plein. Mettez-vous en travers de son chemin et il se fera subitement plus autoritaire. Dans ces conditions, comment croire à un changement de société par la voie des urnes ? Leur démocratie n’est qu’un miroir aux alouettes et les gens qui y croient les dindons de la farce.

 

Capitaine Martin

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19 novembre 2012 1 19 /11 /novembre /2012 05:04

 

 

 

En finir avec les enclaves palestiniennes.
Israël veut annexer définitivement Gaza.

La situation à Gaza est de plus en plus tendue alors que les médias tendent à nous faire croire qu’Israël aurait la volonté d’un cessez-le-feu. Pas du tout. L’objectif derrière l’opération « Pilier de défense » est l’annexion complète et définitive de Gaza.

En finir avec les enclaves palestiniennes.

La diplomatie mondiale après l’intense bombardement de Gaza et la riposte (inoffensive) prétend chercher un cessez-le-feu. Toute la diplomatie mondiale? Non la grande absente de cette opération « Pilier de défense » et de ses conséquences est bien l’administration américaine qui se contente de soutenir le « droit d’Israël à se défendre » (Lire ICI):

La Maison Blanche pour sa part réaffirmé que « les tirs de roquettes en provenance de Gaza étaient le facteur déclenchant de ce conflit« , reconnaissant à Israël « le droit de se défendre et de décider de la tactique à utiliser« .

C’est donc bien clair les USA ont donné carte blanche au gouvernement Nethanyahu-Liebermann pour agir selon leurs volontés. Et leur volonté n’est pas de chercher un cessez-le-feu à tout prix comme essayent de vous le faire croire les médias occidentaux (Lire ICI). D’ailleurs comme préalable Liebermann demande à la résistance gazaoui de cesser toute riposte. Et les bombardements d’Israël doivent-ils cesser aussi? Personne ne l’exige en tout cas.

Les USA absents on retrouve encore une fois en première ligne, après la Libye, la France qui est le nouveau bras armé de l’Otan (donc l’empire americano-sioniste) dans le monde. Après avoir été le seul état jusqu’à présent à reconnaître l’alliance terroriste syrienne comme étant le représentant de la Syrie légitime, voilà que le ministre des affaires étrangères de l’état sioniste français Laurent Fabius veut se poser en défenseur de la paix dans la région. Mais c’est dur de justifier le grand écart qui consiste à alimenter la guerre en Syrie et se prétendre justicier de la paix en Israël (Lire ICI). La France en fait se positionne en avant-poste américain dans la région.

On pourrait donc croire que l’on se dirige vers la fin de la crise alors que bien au contraire elle va s’intensifier par finir par arriver à l’objectif: annexer définitivement Gaza. Pour plusieurs raisons:

  • A la knesset israélienne et dans les esprits israéliens trop c’est trop. Cette riposte gazaoui à coups de rockets même inoffensives n’est plus supportable car elle met en cause tout sentiment d’impunité. C’est ainsi qu’un parlementaire israélien peut appeler tranquillement à rasez Gaza sans être inquiété pour une incitation à la haine par Facebook qui de son côté est sans pitié avec les appels au djihad contre Israël. Le deux poids deux mesures en action comme d’habitude dans nos dictatures occidentales (Lire ICI).
La traduction dans le lien de l’article ci-dessus.

D’ailleurs dès avant le début de l’opération « Pilier de défense » Tsahal envisageait une opération militaire sur Gaza pour éradiquer le terrorisme une bonne fois pour toutes (Lire ICI).

L’envoyé du Qatar à Gaza avant le conflit avait défini les conditions de son soutien au Hamas en échange de (Lire ICI):

  • 1 – rompre l’alliance avec l’Iran.
    2 – entamer des négociations avec l’entité sioniste sans conditions préalables.
    3 – la reconnaissance d’ »Israël ».
    4 – la reconnaissance de Jérusalem comme capitale d’ »Israël » et abandonner la récupération de sa partie orientale.
    5 – Annoncer la fin de la résistance armée et entamer des négociations comme seule option de solution.

Ceci nous permet d’avoir une vue plus complète des objectifs sionistes dont le Qatar (qui abrite les frères musulmans de Tarik ramadan rappelons-le) en est le porte-parole.
Qu’en est-il donc? Le Qatar demande donc au Hamas de se soumettre intégralement aux vues sionistes ET de rompre avec l’Iran. C’est-à-dire qu’en cas de guerre contre l’Iran Israël ne veut pas avoir un risque de résistance venant de son territoire! Ce qui peut se comprendre de son point de vue et ce qui explique aussi pourquoi Israël n’arrêtera pas son offensive sur Gaza sans avoir obtenu satisfaction sur tous ces points. A priori il ne pourra pas les avoir. Je ne vois pas comment le Hamas pourrait justifier sa soumission? On va donc vers sa destruction pure et simple.

  • Cette opération a commencée avec la prise pour cible des médias internationaux (Lire ICI). Israël bombarde tous les médias présents en Palestine pour bien leur signifier qu’il ne fera aucun cadeau aux médias occidentaux trop complaisants avec les palestiniens, tout en jouant la propagande en disant qu’ils ont peur de voir les journalistes internationaux jouer le rôle de bouclier humain pour le Hamas les forçant ainsi à quitter la future zone de guerre et devenir la seule source officielle d’images (avec la Al-Jazeera peut-être…):
  • Voilà une autre possibilité ( Lire ICI) de justification d’une opération militaire terrestre israélienne à Gaza au nom de la défense du droit à l’information.
  • Il existe une autre raison qui est le calendrier. Mahmoud Abbas veut accélérer la reconnaissance à l’ONU de l’état palestinien. Une offensive vécue comme une provocation par l’entité sioniste. L’opération vise donc bien aussi à destituer Abbas pour l’empêcher de proposer sa résolution à l’ONU prévue le 29 novembre (Lire ICI).
  • Enfin dernière raison pour en finir avec l’indépendance de Gaza: le Gaz. Les réserves de Gaz gigantesques découvertes près d’Israël ( Lire ICI) ne peuvent profiter ni à un gouvernement libanais indépendant du pouvoir sioniste, ni à l’enclave gazaoui qui pourrait revendiquer un droit sur le gisement de gaz assurant ainsi son indépendance énergétique et financière, si la Palestine a un embryon de reconnaissance à l’ONU.

A noter pour donner un peu plus de consistance à l’alliance de l’Otan en Syrie que des intérêts turcs sont fortement impliqués dans le gaz israélien (Lire ICI). Les affaires prouvant bien le rôle de la Turquie pour aider à la déstabilisation de la Syrie malgré ses protestations par ailleurs contre le génocide à Gaza.

Voilà donc pour comprendre pourquoi Israël veut s’emparer définitivement de Gaza, et donc pourquoi il n’y aura pas de cessez-le-feu avant d’atteindre cet objectif. Israël veut avoir ensuite les coudées franches pour pouvoir attaquer enfin l’Iran. La Syrie allié potentiel de l’Iran même si elle ne sera pas détruite sera au moins soumise çà une guerre civile suffisante pour la paralyser militairement. Donc après la soumission de Gaza restera la cisjordanie dont le Qatar fait pression sur la Jordanie pour l’impliquer dans la reconquête de la cisjordanie et donc l’alliance militaire contre la Syrie.
Tout cela contribuera au final à construire ce grand Israël voulu par les sionistes qui est lui l’objectif suprême.

Retrouvez toutes les infos engagées dans un flux actualisé ICI

Note: Je ne partage donc pas l’avis de Norman Finkestein sur l’opération « Pilier de défense »:

 

.http://litinerantcitoyen.wordpress.com/2012/11/18/israel-veut-annexer-definitivement-gaza/

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18 novembre 2012 7 18 /11 /novembre /2012 01:28

 

 

 

La video que Valls veut éradiquer du Net  
» Je suis lié de manière éternelle à Israel »

http://bestofactus.wordpress.com/2012/11/16/la-video-que-valls-veut-eradiquer-du-net-je-suis-lie-de-maniere-eternelle-a-israel/

 

.

Notre ministre de l’intérieur travaillerait pour un pays étranger au nôtre: Israël. Or il me semble qu’Israël et la France n’ont pas obligatoirement vocation à poursuivre partout et tout le temps une même politique. Mais pour l’élite française de droite et de gauche cela semble être une évidence.

Rappelons-nous de ce Propos scandaleux que disait ce parlementaire juif Éric Raoult en pleine crise des retraites en France: Pour moi, Israël est plus important que les retraites ...

 

.

Catherine Nay (éditorialiste à Europe 1) :
"Manuel Valls est inquiétant".

Manel Valls est l'homme de Bilderberg,
choisi par les Maîtres du monde
pour dompter la France,
pour dompter la Gauche,
pour l'arrimer définitivement et complètement à l'Empire,
particulièrement à israël

Eva R-sistons
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16 novembre 2012 5 16 /11 /novembre /2012 03:07

 

François Hollande et ses amis… on oublie tout et on recommence ?

Aujourd’hui, on travaille ensemble… dans la bonne humeur…

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14 novembre 2012 3 14 /11 /novembre /2012 23:32

 

 

Avaaz :
un écran de fumée
occultant les bombes libératrices
à uranium appauvri


L'Association Kokopelli a décidé de présenter " Avaaz : un écran de fumée occultant les bombes libératrices à uranium appauvri ", - un article d’investigation concernant l'organisation Avaaz, rédigé par Dominique Guillet et posté sur son site Liberterre - car nous sommes scandalisés qu’une pétition en défense de Kokopelli ait été présentée, sans notre consentement, par cette organisation militariste (1). Cette pétition, de plus, colporte des informations complètement erronées. Depuis plusieurs mois, nous ne cessons d’informer nos amis et clients que nous n'avons pas été condamnés par la Cour Européenne de Justice à stopper nos activités (4), que nous ne sommes pas fermés, que nous continuons d’exister et que nous continuons de distribuer des semences.


Par la même occasion, nous dénonçons tout autant l'opacité de l'organisation Change.org qui, elle aussi, a mis en ligne une pétition concernant Kokopelli sans notre accord (2). Ces sites pétitionnaires sont une gigantesque farce : Dominique Guillet, en utilisant une fausse adresse e-mail et un pseudonyme, a lancé une parodie de pétition adressée au directeur de Change.org pour demander que la pétition pour sauver Kokopelli soit supprimée ! (3) Cela prouve amplement le niveau de non-sécurisation de Change.org - une organisation basée à San Francisco, employant plus de 100 salariés et mettant en ligne 500 nouvelles pétitions tous les jours. La première question fondamentale que l'on doive se poser : quels sont les gentils financiers qui rémunèrent plus de 100 salariés chez Change.org ? L'un de ces gentils financiers est l'incontournable milliardaire prédateur George Soros, évoqué dans l'article de Dominique sur Avaaz, car Change.org fait partie de Media Consortium, un pseudopode de l'empire Soros. Change.org et Avaaz partagent de la même opacité quant à leurs finalités intrinsèques ; d'ailleurs, Ben Wikler, le directeur de campagne d'Avaaz vient de devenir le vice-président et directeur exécutif de Change.org.


Quel est l’objectif réel de toutes ces pétitions - prétendument destinées à sauver Kokopelli - dont le premier effet collatéral est de semer le doute, dans le public, quant à notre capacité de continuer notre travail de libération des semences et d'exister ?


Nous remercions tous les amis de Kokopelli de faire circuler ce présent communiqué.



(1) http://www.avaaz.org/fr/petition/Que_la_justice_revienne_sur_la_decision_prise_contre_Kokopelli/

(2) http://www.change.org/fr/pétitions/françois-hollande-faire-annuler-la-condamnation-de-kokopelli

(3) http://www.change.org/fr/pétitions/ben-ratray-et-les-responsables-de-change-org-faites-stopper-la-pétition-concernant-l-association-kokopelli

(4) http://kokopelli-semences.fr/juridique/proces_perdu_2012

 

https://kokopelli-semences.fr/actualits/nouvelle_novembre_2012

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11 novembre 2012 7 11 /11 /novembre /2012 03:32
Affaire Petraeus à la CIA
Un général trop mou pour le lobby sioniste.
le lobby sioniste commence son ménage.

 

 

(..)  La première victime d’envergure de la restructuration post-élection d’Obama est la démission du général 4 étoiles Petraeus à la tête de la CIA et pressenti à la défense pour une sombre affaire d’adultère (Lire ICI). Pourtant ce « déshonneur » n’empêche pas Clinton de continuer à parader partout dans le monde de nos jours et même d’en être une icône non? Mais lui démissionne opportunément dès l’élection d’Obama et surtout dès avant son audition sur ce qu’on appelle là-bas le Benghazigate suite au meurtre de l’ambassadeur américain en Lybie. (Lire ICI).


Une affaire qui fait grand bruit donc tant ce général était admiré. Mais peut-être que son éviction a une raison beaucoup plus profonde est entièrement liée au lobby sioniste qui entend pousser ses pions notamment à la tête de la CIA. Ce général était connu pour avoir parfois des mots durs pour la politique israélienne et avait tendance à défendre l’intérêt américain avant l’intérêt sioniste ( Lire ICI), ce qui ne plait pas beaucoup au lobby sioniste qui a besoin de parfaits valets aux leviers de commande américains surtout dès le déclenchement de la destruction de l’Iran…

Qui est la femme qui est la maitresse selon vous?…

Il faut aussi préciser que la femme avec qui il est soupçonné d’adultère est juive, Paula Krantz dit Broadwell et qu’elle est parfaitement implantée dans la stratégie anti-terroriste américain tout en frayant avec Israël à travers on parcours professionnel (Lire ICI). Est-elle une agent du mossad chargé d’infiltrer le haut commandement américain et faire tomber les têtes fragiles? On peut décemment le penser.


Le général Petraeus sera remplacé en attendant par Michael Morell:

Le président a déclaré que la CIA Michael Morell Directeur adjoint servirait de directeur par intérim. Morell était la clé de la CIA aide à la Maison Blanche pour le président George W. Bush lors de la 11 septembre 2001, les attaques terroristes.

Ce sera donc lui qui sera amené à témoigner lors de l’audition du benghazigate (Lire ICI). Un mec qui a trempé dans le 11 septembre et qui va couvrir les conclusions du benghazigate…Le mossad verrouille toute accès à une vérité trop sensible assurément, appuyé par le lobby sioniste qui fait pression sur Obama.

Voilà résumé comment fonctionne un puissant lobby étranger dans un pays souverain. (..)

 

http://litinerantcitoyen.wordpress.com/2012/11/10/affaire-petraeus-a-la-cia-le-lobby-sioniste-commence-son-menage/

 

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10 novembre 2012 6 10 /11 /novembre /2012 03:58

 

 

 

Samedi 10 novembre 2012

 

« It’s the economy, stupid ! » (C’est l’économie qui importe, idiot !). Cette phrase permit à Bill Clinton de gagner la présidentielle en 92 contre Bush dont le bilan emploi était désastreux. Sous Clinton, le chômage ne cessa de grimper, et l’inégalité aussi. Et aujourd’hui ? Est-ce le président qui décide ? Ou l’économie ? C’est-à-dire d’autres gens - non élus - au-dessus du président. Voici, présentés en textes et dessins, les 10 chiffres clés qui résument la situation économique et sociale des USA. Pour comprendre l’essentiel. Quel que soit le président.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Réponse :

Qu’allons-nous faire ? Une question d’autant plus grave que l’Union Européenne veut coûte que coûte nous imposer un copié – collé de cette politique antisociale des USA !


Le problème n’est pas « Quel président ? » On se dit souvent qu’avec le « moins mauvais », on échappera au pire. Non, car le « moins mauvais » est en fait le plus intelligent pour emballer et vendre la même marchandise.


Le problème est plutôt : « Comment résister à la politique impériale des USA ? » Et pour ça il nous faut : analyser l’économie pour comprendre le lien entre la politique antisociale et le militarisme, décoder les mécanismes de pillage des ressources et de contrôle de la planète, repérer les procédés de la guerre globale dans ses formes diverses. Et les procédés de désinformation qui nous cachent tous ces enjeux. Ainsi, on pourra unir et renforcer les résistances diverses qui se développent dans le monde. La colère monte partout, il nous faut présenter une vraie alternative…

 


Source : Investig'Action

Dessins : Yace


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