Le Mali risque de devenir la seconde Côte d'Ivoire de la France. On commence, depuis le coup d’État survenu le 22 mars, à faire la lumière sur ce qui s’est réellement passé. Et force est de constater qu’il y a un unique dénominateur commun entre la rébellion touarègue du Mouvement nationale de libération de l’Azawad, qui a repris la lutte armée contre le gouvernement de Bamako le 17 janvier dernier, et le coup d’État qui a déposé le président Amadou Toumani Touré : l’Élysée.
La presse malienne a en effet accusé à plusieurs reprises Paris de financer et d’armer les rebelles du MNLA, qui sont bien armés, bien informés et bien organisés. Dans le même temps, il paraît impensable que la France et ses agents secrets, éparpillés un peu partout dans le pays, n’aient pas vu venir le coup d’Etat que préparaient le capitaine Amadou Sanogo et ses militaires contre le président Touré, avec lequel la France avait eu ces derniers temps quelques anicroches à propos de la gestion qui était faite du « terrorisme » au Sahel et de la construction d’une base militaire à Tessalit. En outre, la position officielle n’est pas claire : tantôt la France condamne le coup d’État, tantôt elle réclame de nouvelles élections. Des faits qui rappellent étrangement la Côte d’Ivoire, où Paris a d’abord soutenu la rébellion, puis a organisé un coup d’État en 2002 pour enfin mettre Ouattara au pouvoir en 2010.
Parralèlement, la communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (CEDEAO), dirigée par le président ivoirien Alassane Dramane Ouattara, a menacé la junte militaire d’un « embargo diplomatique et financier » si l’ordre constitutionnel n’était pas rétabli d’ici lundi (1er avril, NDLR) au Mali. La décision a été prise jeudi 29 mars après une réunion d’urgence à la suite de l’échec de la mission du président Ouattara et de son homologue burkinabé Blaise Compaoré, qui n’ont ni l’un ni l’autre réussi à atterrir à Bamako. Des centaines de manifestants aveient en effet envahi la piste d’atterrissage pour protester contre la venue des deux présidents, parvenus respectivement au pouvoir dans leur pays à la faveur d’un coup d’État et considérés de fait comme les moins à même de donner des leçons de démocratie aux militaires.
Parmi les mesures prises au terme de cette réunion tenue à huis clos par le président de la commission de la CEDEAO, Kadré Désiré Ouédraogo, figure l’interdiction pour les responsables de la junte de se rendre dans les États membres. Des sanctions économiques pourraient suivre, parmi lesquelles le gel des biens desdits responsables, l’interdiction pour le Mali de poser l’ancre dans les ports des pays limitrophes ; sans oublier des sanctions financières, comme le gel des comptes souscrits auprès de la banque centrale des États de l’Afrique de l’ouest, et l’interruption des paiements en faveur de l’État malien effectués par des banques privées régionales. L’objectif de la CEDEAO est d’essouffler l’économie malienne, déjà éprouvée par la famine qui a touché le Sahel, et de convaincre la junte militaire de créer un gouvernement de transition que pourrait diriger Dioncounda Traoré, actuel président de l’assemblée nationale. Comme par hasard, Traoré se trouvait au moment du coup d’État à Ouagadougou (capitale du Burkina Faso) avant de s’envoler peu de temps après pour… la Côte d’Ivoire. Trop de coïncidences qui jettent de l’ombre sur le coup d’État malien et sur le rôle (à peine perceptible…) de la France.
Une intervention des États-Unis n’est pas non plus à exclure. Vendredi (30 mars, NDLR), Washington a débloqué quelque 120 millions de dollars pour le Sahel. Le capitaine Sanogo a d’ailleurs été formé à plusieurs reprises chez l’Oncle Sam, en particulier sur la base navale de Quantico, en Virginie. On dit aussi, pour la petite histoire, que le brave capitaine porte l’insigne de la marine américaine sur sa chemise.
Pendant ce temps, les Touaregs du MNLA profitent de la confusion. Ils ont repris le 29 mars la ville stratégique de Kidal, non loin de la frontière algérienne. Selon des sources locales, ce seraient les militants d’Ansar Eddine qui se seraient emparés de la ville. En tout état de cause, la chute de Kidal ouvre aux rebelles la route aux villes de Gao et Tombouctou. Cette dernière est déjà en alerte maximale après l’annonce faite par le MNLA de l’attaquer dans les prochaines heures.
Dans la profession de foi du futur président Sarkozy figurait en 2007 cette phrase sentencieuse : « je ne passerai jamais sous silence les atteintes aux droits de l'Homme au nom de nos intérêts économiques ». A bon entendeur, salut !
Capitaine Martin
Des réfugiés de Homs, théâtre de violents affrontements entre l'opposition armée et les troupes gouvernementales, sont contraints de trouver asile dans la banlieue de Damas. Pour comprendre pourquoi ces gens ont quitté leur ville, regardez ce reportage de RIA Novosti.
La vidéo (3 mn environ) ici :
Syrie: témoignages de réfugiés de Homs
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Le suicide d'un retraité grec devant le Parlement est devenu en moins de 24 heures le symbole des souffrances causées par la politique d'austérité imposée à la Grèce par ses bailleurs de fonds internationaux.
Dimitris Christoulas, pharmacien à la retraite de 77 ans, s'est tiré une balle dans la tête mercredi devant le Parlement grec, en plein centre d'Athènes.
D'après des témoins, il a crié "j'ai des dettes, je n'en peux plus", avant de passer à l'acte. Selon un passant, il a également dit: "Je ne veux pas laisser mes dettes à mes enfants."
Une note retrouvée dans une poche de son manteau met en cause la classe politique et les milieux financiers. "Je préfère choisir une fin digne, plutôt que fouiller dans les poubelles à la recherche de ma subsistance", a-t-il écrit. (voir )
Le suicide hautement symbolique de ce pharmacien a aussitôt déclenché une vague de sympathie dans le pays.
Une marche a été organisée en sa mémoire et des anonymes ont déposé des bougies, des fleurs et des notes manuscrites condamnant la crise, sur les lieux du suicide, place Syntagma. "Qui sera le prochain ?", pouvait-on lire sur un billet.
"Quand des gens aussi dignes que lui en arrivent à un tel point, il faut absolument apporter une réponse", a déclaré Costas Lourantos, président de l'Association des Pharmaciens de l'Attique.
"C'est horrible, nous n'aurions pas dû en arriver là. Les députés devraient être punis pour ça", dit Anastassia Karanika, une retraitée de 60 ans.
"MARTYR"
Pour le quotidien populaire conservateur Eleftheros Typos, Dimitris Christoulas est un "martyr pour la Grèce".
Il a agi avec "un symbolisme politique profond" qui pourrait "choquer la société grecque, le monde politique, et réveiller leurs consciences", à moins d'un mois des élections législatives, écrit le journal.
Les petits partis opposés aux mesures d'austérité ont réagi avec colère.
"Ceux qui auraient dû se suicider, et auraient dû le faire depuis longtemps, ce sont les hommes et les femmes politiques qui ont décidé en toute connaissance de cause de mettre ce pays et ses citoyens dans cette situation", a déclaré Panos Kammenos, un député conservateur qui a fondé récemment le parti anti-austérité des "Grecs indépendants".
Les deux grands partis de coalition, la Nouvelle démocratie et le Pasok, ont exprimé leur tristesse. ce qui leur a été reproché par certains de leurs adversaires politiques.
"Honte à eux. Les complices de la souffrance et du désespoir du peuple grec (...) devraient au moins se taire face aux terribles conséquences de la crise du capitalisme et de leurs politiques", a déclaré le parti communiste KKE.
UN MAUVAIS SIGNAL
Depuis plusieurs mois, ce sont les petits partis qui profitent le plus dans les sondages de l'opposition de la population à la politique d'austérité menée par la coalition au pouvoir.
La Nouvelle démocratie et le Pasok remporteraient à eux deux moins de 40% des voix, selon les sondages. Or, la dispersion des voix au profit des petits partis risque de les empêcher d'obtenir assez de sièges au parlement pour former une nouvelle coalition, et de faire obstacle au nouveau plan de sauvetage accordé par la zone euro et le FMI.
La Grèce doit s'imposer toujours plus d'austérité budgétaire pour assainir ses finances publiques dans le cadre de ce nouveau plan de sauvetage censé lui éviter un défaut désordonné sur sa dette publique.
L'opposition de la population aux coupes dans les salaires et les retraites ne fait qu'augmenter. Le taux de chômage est au niveau record de 21%, deux fois plus que la moyenne dans la zone euro.
Selon la Fondation pour la recherche économique et industrielle (IOBE), l'institut d'analyse le plus réputé du pays, l'économie grecque se contractera de 5% cette année et un actif sur cinq sera au chômage, ce qui compliquera les efforts d'Athènes pour réduire son déficit budgétaire.
Les paroles d’encouragement de la politique ont pour de nombreux Grecs un ton cynique. Après trois ans de récession et d’innombrables mesures d’austérité, ils sont découragés et accablés. La faim et le désespoir se déploient.
Athènes. Sotiris Panagopoulos recompte son argent. Mais il n’y en aura pas plus pour autant. 599,95 euros: Avec ça il devra dans les quatres prochaines semaines entretenir sa femme et ses deux enfants en bas âge. «Comment va-t-on y arriver?» demande cet homme de 35 ans désespérément. 320 euros sont réservés pour la location, en plus il faudra payer les factures d’eau et d’électricité. «En fait, il ne nous reste qu’à peine sept euros par jour pour vivre.» Il y a cinq mois, il a perdu son travail de plombier. L’entreprise a fait faillite d’un jour à l’autre, 23 personnes se sont retrouvées dans la rue.
Panagopoulos n’est pas le seul qui, en ce matin pluvieux, va chercher son allocation chômage à l’agence de l’emploi de Perama. La file d’attente s’allonge chaque mois. Perama se situe à une petite heure à l’ouest d’Athènes sur le golfe Saronique, autrefois, la ville était le centre de l’industrie de la construction navale grecque. Aujourd’hui, ce lieu de 25 000 habitants détient le record du taux de chômage en Grèce: environ 60%. La plupart des entreprises ont des pro-
blèmes depuis des années, parce qu’elles ne peuvent plus concurrencer les grands chantiers navals d’Asie. La récession a fait le reste.
«Ici, rien ne fonctionne plus», déclare Panagiotis Kosmas. Il est dans son snack près d’une station de bus et attend la clientèle. Mais la plupart des portes des fabriques ici sur la rive sont verrouillées depuis longtemps. On n’entend plus que quelques voix de travailleurs, les coups de leurs marteaux et le chuintement du chalumeau dans les quelques chantiers navals qui restent. Kosmas déclare que «Perama meurt à petit feu». Il veut partir de son snack et chercher un nouvel emplacement pour sa cabane.
Les Grecs en troisième année de crise: un peuple découragé et désespéré, accablé par toujours plus de mesures d’austérité. Depuis le début de la crise, l’économie s’est dégradée de presque 15%. Selon l’institution des statistiques de l’UE, Eurostat, déjà 28% des Grecs entre 18 et 64 ans vivent au seuil de la pauvreté. Selon un sondage, une PME sur quatre craint de devoir fermer son entreprise «prochainement».
La société grecque atteint la limite de ses possibilités. Du moins, cela vaut pour les plus pauvres et pour la couche moyenne. Car les Grecs ne sont pas tous assommés – devant les clubs de nuit sur la Iera Odos, la voie sacrée, et les cafés de plage onéreux dans le faubourg de Vouliagmeni, on trouve toujours les gros véhicules tout terrain.
Les Etats de la zone euro et le FMI ont déjà versé 73 milliards d’euros à Athènes depuis mai 2010, maintenant, 130 milliards d’euros sont de nouveau mis à disposition dans le cadre du deuxième plan de sauvetage. Quand les chefs de gouvernement des Etats de l’UE se réuniront une nouvelle fois à Bruxelles, ils souligneront à nouveau l’importance de l’encouragement à la croissance dans les pays membres. Toutefois, ils ne décideront pas de mesures concrètes.
La plupart des Grecs n’ont pas le sentiment que l’aide leur rende service. Ils en ont assez des espoirs qui ne se réalisent pas et des promesses des politiciens qui garantissent l’arrêt proche de l’effondrement économique. L’ancien ministre des Finances Giorgos Papakonstantinou a promis il y a deux ans, qu’«à la fin 2011», l’économie va croître de nouveau. En fait, le déclin est toujours plus rapide, la performance économique a baissé de presque 7% l’année dernière. On disait que l’année 2012 serait l’année du tournant. Ceci se révèle être déjà aujourd’hui une illusion.
Nikitas Kanakis, de la section grecque de l’organisation humanitaire «Médecins du monde», est quotidiennement confronté aux destins qui se cachent derrière ces chiffres. Depuis la fondation, il y a 22 ans, les 600 membres ont aidé dans environ 50 pays au monde. Maintenant, ils se concentrent sur la Grèce. Ils s’occupent dans quatre villes des permanences médicales dans lesquelles les personnes nécessiteuses peuvent être traitées gratuitement. Le point brûlant est la métropole du chômage Perama.
«Nous faisons face à une crise humanitaire – ici dans notre propre pays», déclare le docteur Kanakis. Pendant la guerre d’Irak, son organisation a envoyé 150 camions de biens humanitaires à Bagdad. L’année dernière, elle a encore envoyé six containers remplis de denrées alimentaires par bateau en Ouganda. «Maintenant, nous avons besoin de tous les aliments ici», raconte Kanakis.
Chaque jour, il y a de plus en plus de gens qui viennent à la permanence médicale de Perama. Celui qui devient chômeur en Grèce, perd aussi après un an son assurance-maladie d’Etat. Mais les êtres humains qui viennent quotidiennement en grand nombre voir les «Médecins du monde», n’ont pas seulement besoin d’assistance médicale. «De plus en plus de visiteurs ne demandent pas de médicaments, mais ils ont faim et demandent instamment quelque chose à manger», rapporte Kanikis. Ce qui se passe dans son pays est «choquant et honteux», dit-il.
Ce qui est honteux également pour un pays de l’UE, ce sont les scènes qui se déroulent dans la rue du Pirée à Athènes au numéro 35, un vieil établissement de deux étages. Derrière la porte en bois bleue se trouve la plus grande soupe populaire d’Athènes. La file d’attente pour une soupe chaude aux haricots ou une assiette de pâtes augmente quotidiennement. Presque 15 000 personnes sont nourries quotidiennement dans les cuisines de soupe populaire d’Athènes. En outre, l’Eglise orthodoxe approvisionne dans tout le pays 250 000 personnes dans le besoin. «Ensemble, nous pouvons y arriver»: Avec ce slogan, on fait appel dans les supermarchés grecs aux dons alimentaires, une action de la station de radio Skai. A côté des caisses se trouvent des bacs, dans lesquels ceux qui ont encore assez peuvent laisser des conserves, de l’huile d’olive, des pommes de terre, des pâtes ou du riz pour les repas des pauvres.
«Les recettes de la faim» – c’est ainsi que s’intitule un livre qui commence à devenir un best-seller en Grèce. De plus en plus de Grecs paient volontairement les 12,90 euros que coûte ce volume – beaucoup dans l’espoir d’économiser de l’argent en le lisant. L’historienne Eleni Nikolaidou a écrit ce livre. «L’idée m’est venue en lisant par hasard dans un journal datant des années de guerre, un article intitulé ‹c’est ainsi qu’on récolte des miettes de pain›», raconte l’écrivain. Pendant 18 mois, Nikolaidou a examiné les archives des journaux grecs des années 1941–1944, période de l’Occupation allemande.
Elle a rassemblé des recettes qui permettent de nourrir tant bien que mal une famille dans des conditions très difficiles. «Mâchez vos aliments le plus longtemps possible afin que l’estomac ressente le rassasiement plus lontemps», est un des conseils.
Durant l’hiver 1941/42, 300 000 personnes sont mortes de faim et de froid en Grèce, parce que les Allemands avaient confisqué tous les combustibles et denrées alimentaires. La situation n’est pas encore aujourd’hui aussi désespérée qu’elle l’était à cette époque. Mais pour la première fois depuis la fin de la guerre, un Grec sur cinq est au chômage. Chez les adolescents, un jeune sur deux est sans emploi. Les ruines calcinées et les façades noires de suie, qui rappellent les graves troubles d’il y a deux semaines, laissent entrevoir la violence potentielle qui se cache derrière cette statistique.
Selon le baromètre politique récent, neuf Grecs sur dix considèrent leur pays sur la mauvaise voie. La Grèce aborde sa cinquième année de récession. Comme la performance économique diminue continuellement, les taux de déficits et de dettes augmentent. C’est pourquoi le ministre des Finances augmente à nouveau les impôts et comprime le budget encore davantage pour satisfaire aux mesures d’épargne dictées par les créanciers internationaux. Ainsi, il retire au circuit économique encore plus d’argent et pousse le pays plus profond dans la récession. Cette année, le PIB baissera probablement de 5%. •
Source: Handelsblatt du 21/3/12
(Traduction Horizons et débats)
576 millions
Economies dans les dépenses de médicaments
Réductions des fonds pour la santé et les retraites; 500 millions sont issus du budget d’une nouvelle organisation nationale, qui doit garantir l’approvisionnement de base dans le système de santé, 15 millions issus du fond de la société de télécommunication OTE und 21 millions issus d’un fond d’un fournisseur d’électricité public
400 millions
Coupes dans le budget de la défense, 300 millions en renonçant à de nouveaux achats et 100 millions pour les coûts en cours
400 millions
Réductions des investissements publics
386 millions
Réductions des retraites principales et complémentaires
205 millions
Réductions des charges salariales pour le personnel
200 millions
Economies des dépenses administratives des ministères
86 millions
Réductions du budget du ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation, avant tout en supprimant des subventions
80 millions
Réductions dans le système éducatif, entre autre 39 millions d’économies sur les salaires d’enseignants de remplacement dans les écoles grecques de l’étranger tout comme 10 millions dans la promotion de la recherche et de la technologie
70 millions
Réductions des aides pour les campagnes électorales
66 millions
Coupes dans le budget du ministère des Finances en diminuant les retraites
59 millions
Réductions de la promotion communale
50 millions
Suppression des heures supplémentaires des médecins dans les hôpitaux d’Etat
43 millions
Réductions des allocations pour les familles ayant plus de trois enfants
25 millions
Réductions du budget pour la culture et le tourisme
3 millions
Réducti
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Beaucoup de commentaires négatifs et sans doute inappropriés ont accompagné l’élection présidentielle en Russie. Bien que l’on ne parle plus beaucoup de fraudes, ni d’une quelconque illégitimité du futur locataire du Kremlin, le main-stream médiatique a de nouveau remis en avant la possibilité d’un pouvoir russe qui serrerait la vis ou encore d’une éviction totale de Dimitri Medvedev qui quitterait la vie politique, à cause du retour au pouvoir de Vladimir Poutine.
La théorie de la rupture entre les deux hommes avait, on s’en souvient, constitué l’une des principales bases d’analyse de nombre de commentateurs étrangers en vue de la présidentielle. L’idée développée par ces commentateurs était la suivante: Les deux hommes sont fondamentalement opposés, Dimitri Medvedev représenterait une Russie tournée vers la modernisation et l’ouest (comprenez vers la démocratie, les droits de l’homme et surtout la lutte contre la corruption crée par le capitalisme d’état sous contrôle des organes de sécurité) pendant que Vladimir Poutine représenterait une Russie archaïque et autoritaire, fermée et gangrenée par un vieux système sclérosé sous contrôle des organes de sécurité.
Pourtant les récents événements montrent que la rupture entre les deux hommes est à ce jour loin d’être une réalité. Sans surprise, et conformément a ce qui avait été prévu et annoncé, le nouveau président russe a nommé Dimitri Medvedev comme étant son futur premier ministre.
Cette théorie de la rupture s’était aussi propagée en Russie avant l’élection présidentielle, puisqu’un certain nombre de personnalités du monde politique russe avaient ouvertement pris position pour la candidature de Dimitri Medvedev, et donc indirectement contre la candidature de Vladimir Poutine. Dimitri Medvedev a donc fait preuve d’une solidité sans faille, n’écoutant pas les sirènes et restant indifférent aux appels du pied d’une certaine intelligentsia libérale qui aurait souhaité l’utiliser comme tête de pont dans une manœuvre contre le "système Poutine", système qui selon cette intelligentsia bloque les espoirs démocratiques de la Russie postcommuniste. Pourtant, même si les Iphonchiki (fans d’Iphones) qui ont défilé durant ces derniers mois ne le reconnaissent pas, sept réformes majeures ont été proposées en décembre 2011 par le président Medvedev, et qui curieusement ont été passée sous silence par le Main-Stream médiatique.
- Le retour aux élections directes pour les gouverneurs régionaux.
- La modification du système signatures nécessaires pour que les partis puissent s’enregistrer au parlement.
- L’allègement de la procédure de création des partis politiques (500 signatures désormais nécessaires contre 45.000 aujourd’hui).
- Le renforcement de la proportionnelle aux élections législatives pour améliorer la représentativité des petits partis. (ceux qui obtiennent moins de 5% et n’étaient jusqu’alors pas représentés).
- L’abaissement du nombre de signatures nécessaires pour qu’un candidat s’enregistre à l’élection présidentielle. (300.000 au lieu de 2.000.000 jusqu’à maintenant pour les candidats de partis représentés à la Douma, et 100.000 pour les candidats de partis non représentés à la Douma).
- L’augmentation de la représentation des partis d’opposition au sein des commissions électorales, pour assurer un vote et des décomptes justes.
- L’accentuation de la décentralisation des organismes fédéraux, c'est-à-dire du niveau fédéral vers les échelons régionaux, municipaux et locaux.
Manifestement, cet agenda politique avait été préparé bien avant l’élection présidentielle, et il parait clair que ce n’était pas dans un contexte conflictuel entre les deux hommes. Au contraire, ces réformes annoncées par Dimitri Medvedev ont sans aucun doute eu le soutien total de Vladimir Poutine. Elles laissent penser que la Russie pourrait entrer dans une nouvelle période, que l’on pourrait qualifier de "nouvelle perestroïka". Mais il est probable qu’à la différence de la "perestroïka naufrage" de Michael Gorbatchev qui avait amené le pays à l’anarchie, cette potentielle "nouvelle perestroïka" sera sans doute une perestroïka méticuleusement préparée et développée, sous contrôle. Comme l’avait annoncé le député Sergei Markov sur Ren-Tv le 11 décembre dernier, "la modernisation continuera sa route, pas par pas". Cette modernisation mise en avant par le président Medvedev dès son arrivée au pouvoir en 2008 sera donc sans doute visiblement l’un des éléments essentiels du développement de la Russie d’aujourd
’hui, et de demain. Pour l’analyste Alexandre Rahr, "Vladimir Poutine est visiblement prêt a donner carte blanche a un futur gouvernement Medvedev, pour poursuivre des reformes radicales". Le message serait clair: "le tandem existe toujours, et Dimitri Medvedev est plausiblement un leader politique de la génération russe suivante".
On voit donc bien que les mesures proposées par Dimitri Medvedev, dans le but de réformer la vie des partis politiques, ont le soutien entier de Vladimir Poutine et que le tandem n’a jamais été aussi soudé. Cette "nouvelle perestroïka" coïncide du reste parfaitement avec le ton qui a été donné au futur mandat de Vladimir Poutine, (2012-2018). Son porte parole a en effet récemment indiqué que: "Le nouveau Poutine (…) sait parfaitement où il va et ce qu'il devra faire", mais également que si "le premier et le deuxième mandat représentaient respectivement la réanimation et la restauration de la Russie, le troisième mandat de Vladimir Poutine serait celui du développement physique et spirituel du pays, de son économie et de tous les autres domaines".
Contrairement à certaines analyses donc, cette libéralisation-soft et cette ouverture politique annoncées sont un autre chapitre de la reconstruction de la Russie, qui vient après la restauration de l’autorité de l’état et le redressement de l’économie du pays.
L’opinion de l’auteur ne coïncide pas forcément avec la position de la rédaction.
* Alexandre Latsa est un journaliste français qui vit en Russie et anime le site DISSONANCE, destiné à donner un "autre regard sur la Russie". Il collabore également avec l'Institut de Relations Internationales et Stratégique (IRIS), l'institut Eurasia-Riviesta, et participe à diverses autres publications.
http://fr.rian.ru/tribune/20120404/194176449.html
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Alors que les cartes bancaires sans contact s’apprêtent à débarquer en masse dans nos porte-feuilles, un membre de l’Association des Réservistes du Chiffre et de la Sécurité de l’Information (ARCSI) s’est intéressé à la technologie sans contact qu’elles embarquent. Bilan : ces cartes sont très bavardes et particulièrement simples à faire parler ! Les échanges sans contact ne sont en effet ni chiffrés ni authentifiés.
A l’occasion des GS Days 2012, Renaud Lifchitz a ainsi démontré comment il est parvenu à « faire parler » sa propre carte Visa sans contact à l’aide d’un lecteur NFC USB vendu par correspondance pour une quarantaine d’euros, et d’un peu de développement propriétaire (c’est le plus compliqué !)
La démonstration parle d’elle-même : en glissant sa carte près du lecteur USB le chercheur affiche à l’écran de son ordinateur ses nom et prénom, le numéro complet de sa carte bancaire et sa date d’expiration. Et en guise de bonus, la carte stocke aussi les dernières transactions réalisées (montant, date, devise). Le tout en moins d’une seconde et sans aucune forme d’authentification.
Mais il y a pire : selon Renaud Lifchitz il est également possible d’accéder à l’intégralité du contenu de la bande magnétique à travers l’interface sans contact (mais il ne l’a pas démontré en public). Ce qui permettrait alors de cloner la carte, avec tous les usages frauduleux que l’on sait. Certes, il déjà possible de lire le contenu de la piste magnétique d’une carte bancaire armé d’un simple lecteur (par skimming via un faux distributeur de billets ou à distance par écoute radio au moment de l’utilisation de la carte : c’est déjà un business !). Mais le fait de pouvoir y accéder par simple frôlement d’un téléphone mobile contre la poche de la victime rend le risque de fraude largement plus élevé.
Si la principale défense des émetteurs de carte consiste à dire que la sécurité est assurée par la proximité exigée entre le lecteur et la carte, l’argument ne séduit pas le chercheur. Tout d’abord parce que Renaud Lifchitz démontre ensuite comment il a pu transformer son smartphone Android en lecteur de cartes Visa sans contact. Plus besoin de transporter un ordinateur portable, il suffit de frôler la poche d’une victime avec son propre téléphone mobile pour extraire les données personnelles et bancaires. L’image d’une rame de métro en heure de pointe vient alors immédiatement à l’esprit…
"La hausse des impôts sur les Français est bien plus importante que les 40 milliards d'euros annoncés par le président de la République", assure la Fondation qui évoque, dans une note à paraître, une "hausse réelle" de 47 milliards d'ici à 2016.
"Ce chiffre atteindrait même 60 milliards d'euros entre 2011 et 2016, une fois réintégrée la TVA sociale", qui doit entrer en vigueur au 1er octobre si Nicolas Sarkozy est réélu, ajoute Terra Nova.
Terra Nova reconnaît toutefois que la TVA sociale, qui pèserait sur les consommateurs, serait "techniquement neutre" au regard de la pression fiscale globale, puisqu'elle se traduirait par une baisse concomitante et équivalente du coût du travail.
Nicolas Sarkozy doit présenter, jeudi, son programme chiffré. Il a d'ores et déjà annoncé 115 milliards d'euros d'efforts pour atteindre l'équilibre budgétaire en 2016, répartis entre 75 milliards d'économies sur les dépenses et 40 milliards de recettes nouvelles.
Source: Le Monde
Exclusivité WikiStrike 4 avril 2012
Merah serait mort dès les premières heures du siège !
D’après une source au centre de l’évènement, Mohamed Merah a désiré se rendre tout de suite après l’arrivée du Raid. Il en aurait alors été empêché par les forces de l’ordre.
La réalité s’avèrerait plus sombre que prévu pour le Raid et le pouvoir français. Une information qui nous a été livrée ce jour dévoile un autre aspect de l’opération vouée à déloger l’assassin des carnages de Montauban et de Toulouse. La personne se présente comme ayant été « à l‘intérieur de l’évènement».
Les informations parvenues sont accablantes :
« Pourquoi vous me tuez ? » (…) « Je suis innocent »: Nous étions très tôt le matin du 21 mars, aux alentours de 10 heures. Mohamed Merah aurait été abattu quelques minutes après, soit plus de 24 heures avant sa mort officielle vers 11h25 le 22 mars ! Cette indication importante nous provient d’un témoin-acteur de l’immeuble, un immeuble évacué quelques minutes après ces paroles.
"Il est mort dans le couloir alors qu'il se rendait, c'est pour cette raison qu'on nous a fait évacuer l'immeuble par les fenêtres" nous raconte notre contact, et de poursuive: 'J'en ai l'intime conviction qu'on nous a menti, Mohamed Merah parlait du couloir '.
La fusillade entendue durant sept minutes aurait été fictive, organisée pour créer le remue-ménage dans l’appartement (comme déplacer une machine à laver, par ailleurs assez lourde pour que Merah (70 kilos trempés) puisse lui-même le faire avec une seule main car tenant son arme dans l’autre et sans donner l’envie au Raid d’entrer à ce moment précis).
N’oublions pas qu’un islamiste qui veut se tuer s’écrie « alla ouakba ! », ce qui n’a pas été signalé.
N’oublions pas non plus que le corps de Mohamed Merah n’a été reconnu par personne, même pas par sa mère qui s’en est indignée il y a quelques jours, des larmes dans la bouche.
Cette révélation va dans le sens d’un Merah jeté mort par le balcon pour faire croire à sa fuite et légitimer l’intervention du Raid.
Pour nous, Mohamed Merah a été choisi juste après la tuerie de l’école juive par le gouvernement français (possédant une liste de noms) parce qu’il leur fallait mettre le plus rapidement possible un terme à l’enquête pour démontrer l’efficacité du ministère de l’intérieur et créer une résurgence de l’islamophobie en période électorale.
Ce témoignage sera transmis aux avocats du père de Mohamed Merah...
Ci-dessous quelques détails intrigants que nous mettons en avant pour vous inciter à construire la vérité par vos propres recherches:
Le 16 février :Création du Parlement Juif Européen, les 120 membres ont demandé à ce que la communauté juive soit remise en avant en Europe. Chose faite moins d'un mois plus tard grâce (ou à cause) de la « folie » d’un homme isolé (?)
Le 18 mars, la veille du drame de Toulouse, Claude Guéant, se trouvait au Palais des congrès à Paris pour débattre de la laïcité à la « fête de la vie juive». Guéant s’occupera personnellement de l’enquête sur place, à Toulouse, ne quittant pas la ville « rose » avant que l’enquête soit bouclée. (Ce qui signifie que l’enquête devait rapidement aboutir puisque je pense qu’il avait, en tant que ministre de l’intérieur, autre chose à faire. Nous mettons donc cela sur le dos de la propagande pré-électorale).
Le 28 mars, le nouveau rabbin de Paris a été élu après les 10 jours du consistoire qui correspondent parfaitement au temps de deuil de la famille Sandler assassinée devant l’école juive de Toulouse. Quant au grand rabbin de France, il crée ce jour-là son nouveau site internet. Ne pas oublier que la famille Sandler est opposée aux actions menées par Israël car étant de confession ultra-orthodoxe. Le Mossad a légèrement l’habitude d’éliminer des opposants politiques. Ou comment faire d’une pierre plusieurs coups : Adieu l’opposant, bonjour le renouveau de la communauté juive et le doigt pointé (encore une fois) sur les islamistes !
WikiStrike n’appartient à aucune communauté religieuse, nous travaillons en totale indépendance.
Marina Sadovski pour WikiStrike
Ci-dessous une enquête indépendante. Le début de la vidéo est énorme. La fin beaucoup moins. Pour ce qui est du RSA, c'est faux. Mais la qualité du début de la vidéo vaut le détour.
La première femme du père de Johnatan Merah est bien Johanne de l'ONU, Myriam étant son épouse actuelle. Preuve qu'elle n'a jamais parle en disant: "Nos enfants"
Suite parution ici :
Exclusivité WikiStrike: Merah serait mort dès les premières heures du siège !
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La vidéo est aussi ici +
toutes les dernières infos Affaire Merah
M. Merah: Les dessous de l'affaire. Des révélations gênantes pour la France
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Voir aussi :
Pour Aymeric Chauprade, le "terrorisme est d'abord un fait étatique"
et relire aussi ce document capital de WikiStrike
Johanne Sandler de l'ONU et son fils Jonathan Sandler
Source WikiStrike (même lien qu'en haut) pour ce post qui explique tout, ou ici :
Par ailleurs, brefs Rappels :
Merah indicateur DCRI ? Yves Bonnet ex-patron DST répond
Sarkozy contre le terrorisme, ou soutien de celui-ci... en Arabie Saoudite ?
Résumons :
Affaire Merah et la suite: Un puzzle parfait
par eva R-sistons
Sarkozy est aux abois.
Comme le dit Ségolène Royal, il doit être réélu
pour éviter de se retrouver devant la Justice française
(nombreuses casseroles comme l'Affaire Bettencourt,
l'Affaire Karachi, la guerre contre la Libye, la Syrie etc)
et pour finir le boulot demandé par ses Maîtres, donc à la fois
- les tenants du Nouvel Ordre Mondial
(vassalisation complète et casse des spécificités de la France
comme son modèle social, ses services publics, sa laïcité avec à la clef
le choix d'un bouc-émissaire, islamiste alors qu'il n'y a en France
AUCUNE menace islamiste, elle est fabriquée de toutes pièces,
et savamment mise en scène et relayée par les Médias aux ordres)
- Les Anglo-Saxons,
pour ultra-libéraliser la France, à la Thatcher et à la Reagan,
et pour la soumettre industriellement - et militairement :
Dans l'OTAN, donc avec ses guerres: Côte d'ivoire, Libye,
Afghanistan, Syrie, Mali, etc...
et avec une Défense commune avec la G.B.
pays en tête de toutes les croisades militaires
(pour les ressources vitales de la planète, donc guerres prédatrices,
et cela sous un faux prétexte : La démocratie),
- Israël via le CRIF
(pourtant non représentatif des Juifs en France),
ce qui a de nombreuses conséquences :
Des Médias aux ordres, aux mains des sionistes fanatiques,
- donc mentant, désinformant, et faisant de la propagande
pour Sarkozy et ses guerres, entre autres - ,
le choix des dirigeants (Sarkozy-Copé,
DSK puis Hollande puis Valls, Delanoë-Hidalgo, Huchon..),
le choix des décisions: Politiques, militaires..
et bientôt la guerre contre l'Iran
débouchant sur une guerre mondiale nucléaire
(guerre de dépopulation, selon les plans du Nouvel Ordre Mondial
et des sionistes fanatiques du Talmud).
Un simple fait-divers pour faire réélire Sarkozy,
lui ôter (au moins le temps d'un nouveau mandat) ses casseroles,
lui permettre de réaliser un programme d'austérité sans précédent,
Selon Terra Nova (PS), Sarkozy prépare "le plus important plan de rigueur depuis 1945"
et le laisser seul (via ses commanditaires) décider d'entraîner la France
dans la guerre de conquête de l'Iran,
pays qui sera ruiné (infrastructures et population),
pillé et utilisé comme base d'attaque de la Russie et de la Chine,
afin que le Nouvel Ordre Mondial soit imposé sur toute la planète,
dans un monde UNIPOLAIRE, donc hégémonique.
(Rappel: NOM dictature du Cartel bancaire, avec à la clef
programme de dépopulation et de vassalisation-esclavage des rescapés).
Comme le dit très justement François Asselineau
(si clairvoyant en tout, que sa candidature 2012 a été censurée),
l'Europe créée par les Etats-Unis afin de servir leurs intérêts
sera utilisée pour la guerre, comme terrain d'affrontement
Asie-Anglo-Saxons, via l'Europe ruinée par "la crise"
(avec ensuite de juteux chantiers de reconstruction comme en 1940)!
On comprend mieux l'importance
de ce fait-divers juste avant les Elections,
une crime parfait, une belle mise en scène,
un relais médiatique impeccable, avec conditionnement total
et des Français complètement floués !
D'ailleurs, Sarkozy ose parler de 11 septembre français !
Et quand on sait, justement, que le 11/9
a été réalisé par les agents du Mossad
(pour nous faire accepter lois liberticides et guerres)...
on voit mieux l'arrière-plan des événements !
Un spécialiste exécute froidement les crimes
(d'où la perfection de l'exécution).
Puis on choisit M. Merah comme coupable idéal.
(Une dizaine d'avocats vont défendre la famille Merah,
dont un ténor du barreau français,
et l'avocate algérienne va faire des révélations fracassantes !),
puis on déclenche une campagne hystérique contre les Musulmans
alors qu'il n'y a pas de danger islamique en France,
Il n'y a pas de terrorisme islamique en France. Tout est fabriqué (à relayer)
campagne assortie d'une victimisation des citoyens juifs
pour nous faire accepter la guerre contre l'Iran bientôt,
guerre décrétée par les sionistes fanatiques du Grand Israël,
du très grand Israël en relation avec les préceptes
du livre le plus raciste au monde, le Talmud
(Peuple élu, plan de domination,
extermination des Goys ou leur mise en esclavage) !
La boucle est bouclée.
Bonjour l'apocalypse !
eva R-sistons
http://r-sistons.over-blog.com
Israël dissimule à sa population les risques encourus lors d’une guerre contre l’Iran
.
Mais aussi (Rappels):
http://www.dailymotion.com/video/xeic1b_fidel-castro-et-la-troisieme-guerre_news
http://laveritablenaturedujudaisme.blogspot.fr/
et aussi :
La Russie et la Chine se préparent ensemble à une 3e guerre mondiale
.
L'apocalypse à venir, vidéo 3 mn 20
Empêchons-la ! ( Rappel )